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La Vache qui rit® souligne ses 100 ans d’existence d’une belle manière

Tout le monde a déjà mangé du fromage de La Vache qui rit® au moins une fois dans sa vie. Ce grand classique fête son centième anniversaire cette année et la marque du Groupe Bel en profite pour souligner l’importance du rire!

100 ans, c’est un magnifique accomplissement pour n’importe quelle entreprise et c’est aussi l’occasion idéale pour marquer le coup avec une belle campagne. Afin d’amener du positif dans la vie des Québécois.e.s, la marque invite tout le monde à participer à une grande célébration du rire! Dès aujourd’hui, tout le monde est invité à partager son rire via une application web créée pour l’occasion

« La Vache qui rit® allie la valeur nutritive à une texture crémeuse qui vous fera assurément sourire ! Célébrer le pouvoir du rire pour les 100 ans de la marque, particulièrement en cette période exceptionnelle, rend un bel hommage aux valeurs de bienveillance du Groupe Bel qui préconise l’innovation pour une alimentation plus saine et responsable pour tous », précise Marie-Eve Robert, vice-présidente marketing de Groupe Bel Canada.

En plus de cette belle campagne, La Vache qui rit® s’engage à faire des dons totalisant 75 000$ à la Fondation Dr Clown et à la Fondation SickKids, deux fondations qui viennent en aide et apportent du bonheur aux personnes qui en ont le plus besoin.

La Vache qui rit® est une des marques culinaires les plus connues et appréciées au monde. Aujourd’hui présente dans plus de 120 pays, La Vache qui rit® se décline en plusieurs délicieuses saveurs comme « Ail et fines herbes » et « Fromage fumé ».

Joyeux 100e anniversaire à La Vache qui rit® !

Pour en savoir plus sur la marque, cliquez ici

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J’en ai marre d’habiller mes garçons en bleu

Attention, si vous êtes un vieux mononcle fermé d’esprit avec une mentalité des années 20, vous allez probablement être scandalisé par mon prochain texte. Parce que oui, je vais « dégenrer » la mode masculine. Eh oui, je fais partie de celles qui mettent du cutex à leurs garçons lorsqu’ils en veulent…

Je me rends compte que je n’ai vraiment plus les mêmes goûts qu’autrefois concernant les vêtements de mes trois garçons. Mon premier fils a porté beaucoup de chemises à carreaux style Tommy Hilfiger. J’avais également les petits noeuds papillon et les petites bretelles qui allaient avec. En bon français, il faisait vraiment « p’tit gars ». Lorsque j’ai eu mon deuxième garçon, il n’a presque pas porté les chemises de son frère. Je préférais l’habiller avec des t-shirts amusants que ma belle-sœur me donnait. J’aimais beaucoup ceux de l’entreprise québécoise Birdz et je trouve que ça « fitait » avec sa petite personnalité. Avec ses cheveux longs, il faisait petit surfer.

Mais voilà que j’ai eu un troisième garçon, il y a 6 mois. Comme le sexe était une surprise, j’avais acheté plusieurs items et vêtements unisexes. Je ne sais pas si c’est pour cette raison, mais je n’ai pas du tout envie de l’habiller avec les vêtements très genrés de ses frères. Et encore moins avec les vêtements pour garçon que l’on retrouve dans les magasins à grande surface. T’sé les pyjamas bleus et jaunes avec des tracteurs dessus… Euhh non merci.

Je ne sais pas du côté des vêtements pour fille (j’ai 3 petits boys, t’sé veux dire), mais dans la plupart des boutiques, du côté des garçons, c’est très redondant. Quand ce n’est pas des chandails bleus et rouges à l’effigie de Spider-Man, c’est des cotons ouatés verts et jaunes de tracteurs. Et j’exagère à peine. J’ai l’impression d’avoir fait le tour des vêtements pour garçons. Parce que c’est ce que mes deux autres ont porté. Mais là, j’ai envie de faire différent. Je ne vous dis pas que je vais lui mettre une robe, quand même. Je dis simplement que pour notre petit dernier, on a décidé mon chum et moi qu’on achèterait des coups de cœur. Et ce, peu importe le genre pour laquelle il est destiné. Ça se peut qu’il soit du côté des filles. Et ça se peut qu’il aille du rose dessus.

Crédit:GIPHY

On a acheté des couches lavables multicolores. Elles sont tellement belles! C’est même mon chum qui les a choisies. Mais comme elles sont multicolores, en plus du gris et du jaune, elles ont aussi du rose et du mauve. Et comme nos cerveaux sont « programmés » pour relier le rose aux filles (j’exagère à peine), bien on dirait qu’il porte des couches de fille. Et ça, ça en fait jaser plusieurs… Moi, je le trouve tellement beau dans ses petites couches multicolores. Qui a dit que les flamants roses étaient des animaux destinés seulement aux filles?

Comme je disais, j’ai changé de goût vestimentaire. Il y a 5 ans, j’aimais que mon bébé garçon ressemble à un petit homme avec ses chemises à carreaux et ses noeuds papillon. Aujourd’hui, j’aime que mon bébé ressemble à un petit bébé. Habillé en petites couleurs pastelles, en petit jaune soleil ou même avec la bavette rose de sa cousine. De toute façon, ce n’est qu’une question de temps avant qu’il veule porter les mêmes vêtements cool que ses ami.e.s d’école. Et, peut-on parier que ce ne sera pas un chandail vert lime avec de jolies petits avocats dessus? Aussi bien en profiter… 

Et vous, vos goûts vestimentaires ont-ils changés avec les années?

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Ce que je me souhaite pour mon 2e congé de maternité

En juillet 2019, je tombais en congé de maternité pour la première fois. Avec mon rythme de vie effréné, je voyais ce congé d’un an comme l’occasion idéale d’accomplir un tas de choses. À l’aube d’accueillir mon premier bébé humain, j’avais même fait une liste d’activités que je souhaitais faire durant l’année qui arrivait. 

Puis, bébé est arrivé. Comme vous pouvez vous en douter, il a un peu tout chamboulé. Toutefois, je continuais de soutenir un rythme de vie des plus occupés, ne refusant surtout pas une invitation même si mon petit m’empêchait de bien dormir la nuit. Je tenais à performer ce temps sans travailler. Puis, quelques mois plus tard, la pandémie est arrivée, au bon milieu de ce congé tant convoité. Cette crise sanitaire est horrible en tous points, mais m’a tout de même ramené à l’essentiel: le bien-être de mon bébé et le mien. 

Je l’avoue, je ne prenais pas assez de temps pour le plus important. Je ne voulais pas que ma vie de maman m’empêche de vivre quoi que ce soit. Ces mois de confinement m’ont appris à bien le contraire. J’ai eu tout mon temps à consacrer à mon fils, à l’encourager dans son développement et à solidifier notre complicité. J’ai daté mon chum de nombreuses fois après l’heure du dodo. J’ai développé de nouvelles habitudes qui me faisaient du bien. J’ai pris le temps d’apprécier ma maternité. 

Quelques mois plus tard, j’amorce donc mon deuxième congé de maternité avec une mentalité tout autre. Je souhaite profiter de mon nouveau-né et aussi de mon plus vieux. Je veux bâtir notre nouvelle dynamique familiale à 4. Je désire prendre soin de mon couple qui est, avant tout, la fondation de notre famille. Je rêve de prendre le temps de ne rien faire.

Pendant cette prochaine année, je vais dire non. Je vais faire des choix qui correspondent à mes envies, mon énergie et celles de mes enfants. Je vais savourer les hauts et bas de chaque étape. Je vais prendre le temps d’apprécier mon cocon familial dans la plus grande simplicité.

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L’entreprise québécoise Emma lance un outil de recherche de prénoms pour bébés

Ah, le choix d’un prénom pour son enfant! Entre l’indécision et la difficulté de trouver un prénom qui convient aux deux parents, la tâche de nommer son futur enfant n’est pas simple! Chaque année, c’est toujours avec grand plaisir que je découvre la liste des prénoms donnés au Québec, et je me demande souvent quelles étaient les inspirations des parents pour opter pour tel ou tel prénom.

Soyons honnêtes, Internet est souvent l’inspiration première! C’est probablement pour cette raison qu’Emma, une start-up québécoise qui se spécialise en assurances a pensé à lancer un outil de recherche de prénoms pour bébés. Cet outil 100% gratuit comprend une banque de plus de 2000 prénoms et il est possible de faire des recherches selon plusieurs filtres intéressants.

 
 
 
 
 
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Le Registre de Prénoms pour bébé est une plateforme bilingue où on peut appliquer certains filtres pour la recherche, comme une recherche par pays d’origine, par nombre de syllabes et par signification.

« Avec cet outil complètement gratuit, on fait un pas de plus vers la mission d’Emma: aider les jeunes familles du mieux qu’on le peut », annonce Jacomo Deschatelets, cofondateur et CMO d’Emma.

C’est vraiment une chouette idée d’offrir cette plateforme gratuitement aux parents! Pour en savoir plus et pour faire votre propre recherche, cliquez ici

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J’ai enseigné la natation à mes enfants à l’aide d’un programme en ligne et voici ce que j’en ai pensé

La natation est bien plus qu’un passe-temps ou un sport, c’est un apprentissage nécessaire. Chaque année, nous entendons des histoires de noyade. Chaque année, nos yeux coulent devant les informations racontant une vie perdue, encore. Une de trop, toujours.

Avec la pandémie, beaucoup d’enfants ont vu leur cours de natation ainsi que leurs visites à la piscine annulées. C’était le cas de mes enfants.

Je me posais tellement de questions lorsque j’ai découvert le programme : SwimForce crée par l’entreprise Nager pour la vie. Après un an sans piscine, par où commencer? Comment accompagner ma fille qui n’aime pas la piscine? Le programme a répondu à mes questions et plus encore. Il s’agit de vidéos à reproduire à la maison nous enseignant quoi faire avec nos enfants. Le programme est vraiment conçu pour y aller étape par étape, commençant même avec un exercice hors de l’eau. Pas besoin d’avoir accès à une piscine puisque le bain fonctionne tout aussi bien.  En réalité, c’est bien plus que des vidéos. SwimForce c’est Karine Renaud, cette enseignante d’expérience qui nous outille tout au long du programme. Votre enfant a peur de l’eau ? L’exercice ne fonctionne pas? Vous pouvez lui écrire en tout temps, en plus d’avoir accès à des rencontres virtuelles de groupe. Ses conseils personnalisés m’ont réellement aidé à mieux guider mes enfants dans leur cheminement vers l’acquisition de la nage. 

Pour avoir essayé les cours de natation à la piscine municipale avant la pandémie, je peux vous assurer que l’expérience est complètement différente, moi qui croyais que le programme virtuel était une alternative due à la pandémie, j’avais tout faux. Ce programme est plutôt LA façon d’aider son enfant à acquérir les bonnes habitudes, pas une alternative. En fait, ça peut sembler étrange puisque les cours de groupe sont amusants, mais les conseils offerts par Karine sont plus personnalisés et plus efficaces que ce que j’ai pu recevoir dans les cours que j’ai suivis dans le passé.

Pour mes enfants, je suis heureuse de dire que ma fille se familiarise tranquillement à l’eau, à son rythme. Karine m’a donné de nouveaux conseils pour l’aider encore plus dans son cheminement et j’ai vraiment confiance que cela portera fruit. Mon garçon, de son côté, adore l’eau alors je suis heureuse de l’accompagner avec les bonnes techniques et les bonnes habitudes à prendre. Honnêtement, ça me remplit de bonheur de donner ces bonnes habitudes à mes enfants, je trouve cela si important et je suis reconnaissante d’avoir découvert ce programme.

Lancez-vous, plongez, vous ne serez pas déçue 😊

Vous trouverez ce cours ici.

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Renee Wilkin lance une trilogie de livres jeunesse sur la diversité

Renee Wilkin, une ancienne finaliste à La Voix, a plus d’une corde dans son sac! En plus d’être chanteuse, elle est maintenant l’autrice d’une trilogie de livres jeunesse. C’est avec ses yeux de jeune maman prônant la diversité que Renee Wilkin a choisi d’écrire ses livres, dont le premier tome est disponible dès maintenant en librairie.

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Le premier tome, Le cœur rouge et or de Nestor, raconte l’histoire du petit Nestor qui se sent bien différent des autres enfants. Alors que son anniversaire approche, il n’arrive tout simplement pas à dire ce qu’il aimerait recevoir comme cadeau, de peur d’être jugé. Heureusement, grâce à l’aide de sa famille bienveillante et de ses peluches adorées, le jeune Nestor pourra célébrer ses six ans comme il le veut!

Vous l’aurez peut-être deviné, mais l’histoire de Nestor parle de diversité et vise à briser les stéréotypes de genre imposés très rapidement, dès l’enfance. Renee Wilkin explore ainsi la diversité identitaire, l’aspect genré des divers produits pour enfants et la pression d’aimer ce qui est typiquement féminin ou masculin.

« En tant que maman, j’ai toujours eu envie de laisser libre cours à mes enfants et leurs centres d’intérêt. À la maison chacun a son unicité. Le cœur rouge et or de Nestor est un cadeau que je fais à mes enfants. J’avais envie de rendre le sujet lumineux, heureux, et je voulais miser sur le positif. Ce n’est pas un guide, c’est une histoire avec un dénouement heureux face à la différence », explique Renee Wilkin.

Chaque tome est illustré par Annie Boulanger et il sera possible d’avoir accès aux histoires en mode audio grâce à la collaboration de Vues et Voix.

Pour acheter le livre, cliquez ici.

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Ce banal accident qui a fait remonter toute cette culpabilité que j’éprouve envers mon plus jeune

Tire, tire et tourne. On change de côté, demi-tour s’il vous plait. Tire un peu à droite, un peu à gauche, BOUM!

Le chariot, contenant ma fille de 2 ans, mon bébé de 9 mois et leur ami de 12 mois chavire sans que je puisse réagir d’une quelconque façon, tout se fait trop vite. Seule avec les 3, mon cerveau réagit vite, par terre je m’accroupis et prends les 3 enfants contre moi en me rendant vite compte que le plus jeune est plus affecté par la chute. Mon plus jeune, mon petit Caleb, Calilou pour les intimes. Mon bébé qui a toujours dû partager sa place avec sa sœur, lui qui n’a jamais passé toute une nuit dans mes bras, parce que mes bras sont trop remplis. Mon garçon. Si doux, si petit, si fragile. Lui avais-je fait du mal? Pourquoi avait-il fallu que je tourne ce chariot? Une fois à la maison, Caleb semble pleinement remis de l’incident et rigole avec ses ami.e.s, mais maman, elle n’a rien oublié. Je décide alors d’appeler au 811, en cherchant du réconfort, mais on me dicte plutôt d’aller à l’urgence, le sourire de Caleb ne veut rien dire, il peut y avoir des saignements intracrâniens.  Mon attente à l’hôpital pour enfant d’Ottawa fut la plus longue attente de toute ma vie, j’imaginais mon bébé devoir subir une panoplie de tests et d’interventions médicales pour un évènement qui, selon ma perception, relevait entièrement de ma faute.

Ma faute. C’est moi qui ai tourné le chariot. C’est moi. La vérité c’est que le chariot n’est que la pointe de l’iceberg, ma culpabilité envers Caleb va bien plus loin que cela. Caleb, c’est mon bébé qui grandit trop vite. Il ne peut pas être cajolé pendant des heures et faire ses siestes sur moi. Parce que. Parce que sa sœur est aussi avec nous 24h sur 24. Parce que la pandémie nous a isolés et que nous devons gérer tout seuls. Parce qu’on fait de notre mieux, mais qu’à deux parents, nous ne sommes pas un village, nous sommes juste deux parents.

Caleb s’en sort, sans test, rien. Quelques signes à surveiller pour les prochaines heures, rien de plus. Caleb s’en sort indemne, mais maman devra nettoyer son cœur.

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Les livres de bébés: une montagne de souvenirs à gérer!

À la fin du mois de mai, je fêterai quinze années de mariage avec mon homme. Des noces magnifiques, une journée parfaite où le soleil, la famille, les ami.e.s et l’amour étaient à l’honneur. Suite à un merveilleux voyage en France, nous sommes retournés à la vie normale… où le rythme du métro-boulot-dodo a augmenté sans cesse et où éventuellement, un trio de fillettes est venu compléter notre famille. Bref, nous célébrons nos 15 ans d’union et avec le « répit » de la pandémie, je suis à finaliser NOTRE ALBUM DE MARIAGE. C’est un peu un « running gag » dans la famille que suite à une noce tellement belle, aucun album photo n’ait été disponible. Nous avions bel et bien un photographe, mais le temps de rencontre pour bâtir un recueil d’images digne de ce nom nous a échappé.

Un autre ensemble de souvenirs qui ont failli ne pas voir le jour sont les fameux livres de bébés. Tsé ceux que nous jurons vouloir remplir dans la première année de vie de nos chérubins, mais que finalement, seul un dossier cartonné rempli de bouts de papier annotés est créé… Parce que sérieusement, qui a eu le temps de s’acquitter de cet enregistrement de faits marquants ? Depuis la naissance de mes filles, prendre une douche sans interruption ou faire pipi sans une question posée au travers de la porte sont choses rares. Alors, pfff les livres de bébés, pas une priorité, mettons.

Fast forward 13 ans, en pleine pandémie avec beaucoup de temps, et me voilà avec une montagne de « souvenirs » à gérer. Et pas juste des notes éparpillées avec des dates importantes, mais la première brosse à dents, une mèche de cheveux, la première dent tombée, les premières bottines, la peluche préférée… la chandelle du baptême, le pyjama 0-3 mois, la dernière suce, l’empreinte de la main ET du pied. Merde. Que je suis. Dans. La. Merde. Je dois vraiment me rappeler quand elle a marché à quatre pattes pour la première fois ? C’est quoi la différence entre les premiers pas et le moment où elle a marché seule ? Doit-on compter les fois où nous la tenions par les mains ? Celles où elle se tient debout et se lève seule ? C’est pareil ou non ? Le premier légume mangé ? MAIS QUI ÉCRIT CES QUESTIONS ??? ET OÙ SONT MES NOTES ??? ET POURQUOI JE FAIS CET EXERCICE ENCORE ???

J’ai terminé ma mission en mars. Trois coffres personnalisés avec 12 mois de mémento pour la postérité de mes enfants. Tout ce dont j’ai parlé ci-haut, plus des bricolages de garderie. Je sais. Je sais. C’est capoté. JE. Suis. Capotée. Mais si elles ne partent pas du nid familial avec leurs coffres, je pourrais y retourner et revivre de beaux moments, non ? Être nostalgique en attendant les petits-enfants… Comme avec mon album de mariage ? Feuilleter et fouiller pour me remémorer la magie, le bonheur, le plaisir, la famille et l’amour. Parce que c’est ça dans la fond l’utilité des livres de bébés, sourire en se souvenant et réaliser notre chance d’avoir créé des petit.e.s humain.e.s uniques qui nous apportent magie, bonheur, plaisir, famille et amour… Du moins, c’est la raison que je me suis donnée.

Et vous, vous avez terminé vos satanés livres de bébés ?

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Hymne à mes filles, celles qui me rappelle qui je suis

Il y a des semaines comme celle-ci où des questions existentielles se bousculent dans ma tête. La fameuse question qui tue, celle à laquelle j’ai tant de mal à répondre : « qui suis-je? » Perdue entre la vision qu’ont les autres de moi et celle que j’aimerais avoir de moi-même, je me demande parfois laquelle est juste.

En regardant mes enfants, je m’y retrouve. Elles me ressemblent. Lorsque je les écoute attentivement, que je les regarde agir entre elles, je remarque qu’elles me ressemblent. Elles sont comme un mélange magique de leur papa et moi, dans une enveloppe corporelle qui leur appartient. Elles sont uniques tout en me représentant si bien.

L’une est romantique. Elle regarde attentivement les bourgeons de roses. Elle touche chaque petit cœur qui naît de notre plan de cœurs saignants. Elle cueille ses tulipes en prenant bien soin de les choisir au goût de maman, de sa sœur, de mamie, de tout le monde qu’elle aime, avant elle-même.

Crédit:Jill Wellington / pexels.com

Elle pense à sa meilleure amie en organisant sa propre fête. Elle choisit son gâteau en fonction des préférences de sa sœur. Elle cueille la pomme la plus rouge pour quelqu’un de spécial. Elle est généreuse et attentionnée. Prends garde, ma petite, à te choisir en premier quand le temps sera venu.

Elle est respectueuse et exigeante. Un peu soupe au lait. Il faut lui remettre la monnaie de sa pièce. Elle n’accepte pas qu’on lui coupe la parole. Elle n’accepte pas qu’une amie rie d’elle ou la boude sans raison. Elle n’accepte pas qu’on la touche si elle ne veut pas. Si elle a besoin de temps, elle a besoin de temps. C’est bien ça, ma fille, ça s’appelle s’écouter.

L’autre est amoureuse du genre humain. Elle se fout du jaune éclatant du pissenlit. Elle aime la personne qui le lui offre. Elle aime celui qui lui fait les câlins les plus serrés. Elle est facile d’approche, ouverte à aimer, charmante et indépendante à la fois. Son cœur est facile à cueillir, mais attention, qui le cueille doit en prendre bien soin.

Crédit:Josh Willink / pexels.com

Caractérielle, oui, mais assez terre-à-terre pour se mettre en mode solution lorsque le calme revient. Je suis fière de toi ma Rose, la détermination promet de grandes choses.

J’ai rencontré une dame un jour, une voyante. Elle m’a dit que mes enfants étaient nés pour moi, pour me sauver la vie. C’est ce qu’elles font, chaque jour, sans s’en rendre compte. Elles me ramènent à moi-même, me repositionnent sur mon X, elles m’empêchent de m’égarer dans cette vie instable. Elles me rappellent aussi la valeur la plus importante que mon père m’a transmise; le respect de soi.

Voilà qui je suis, voilà qui elles sont, voilà qui nous sommes. Merci mes amours.

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La Dictée P.G.L vous propose de tester votre vocabulaire en famille!

Aujourd’hui avait lieu La Dictée P.G.L, une activité pédagogique qui a comme objectif de valoriser la langue française et d’encourager la persévérance scolaire. C’est la Fondation Paul Gérin-Lajoie qui est derrière l’organisation de cette dictée et l’UQAM a accueilli cette année la 30e édition de l’événement. 

Cette année, le thème de la dictée est la biodiversité, un enjeu important pour les jeunes. L’événement virtuel se déroulait le 18 mai à 13h et était animé par François-Étienne Paré, diplômé de l’UQAM en théâtre. Le rendez-vous linguistique a réuni 120 finalistes âgés de 10 et 11 ans qui ont eu la chance d’entendre Laure Waridel, professeure associée à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM, cofondatrice d’Équiterre et coinstigatrice de Mères au front, lire la dictée rédigée par le média de l’action climatique au Québec Unpointcinq.

Si vous voulez relever le défi, l’événement a été enregistré et la vidéo sera disponible sur la page Facebook de la dictée. Le corrigé sera aussi mis en ligne, mais attention, pas de tricherie! C’est une belle activité à faire en famille afin de sensibiliser les enfants à l’importance de la langue française et aux enjeux de biodiversité.

Relèverez-vous le défi?

Pour en savoir plus sur la dictée, cliquez ici