Les fans de hockey reconnaitront surement le nom de Phillip Danault.
Membre actuel des Canadiens de Montréal, Phillip Danault a grandi à Victoriaville. Pendant plusieurs années, il s’est entrainé à la maison familiale, ce qui a causé quelques petits dommages à la porte de garage des Danault!
Phillip Danault avait promis à ses parents de remplacer ladite porte un de ces quatre et c’est de cette anecdote qu’un livre écrit par Alain M. Bergeron et illustré par Amélie Dubois s’est inspiré.
Le livre est lancé en partenariat avec la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais et les Éditions Druide. Pour chaque livre acheté, un don sera remis au Fonds Marie-Pierre et Phillip Danault, une initiative lancée par le joueur et sa conjointe.
Le Fonds finance des programmes scolaires et parascolaires pour la pratique sportive des jeunes.
L’ouvrage est sous forme d’album illustré. Les jeunes découvriront l’histoire de Phillip et sauront s’il a su tenir sa promesse ou non.
Un an a passé déjà. Un an depuis que tout.e.s, grand.e.s et petit.e.s, ont été renvoyés à la maison pour y rester. Bang : confinement.
C’était irréel. Les rues fantômes à l’heure de pointe. Les étalages vides dans les magasins. L’épicerie en ligne. Les files distancées à l’extérieur des grandes surfaces.
C’était du jamais vu. Le travail à distance, à la table de la cuisine. Les dossiers à revoir avec deux enfants sur les genoux. Les urgences qui pleuvaient à un rythme effréné. Les interrogations enfantines pendant un appel avec un supérieur. Les chicanes fraternelles pendant la réunion mensuelle. La concentration à temps partiel, l’oreille toujours à l’affût du moindre indice de bisbille.
C’était la solitude, les trous dans les habitudes. Les enfants désœuvrés à la maison. La cour arrière inaccessible, d’abord glacée, puis trempée. Le parc fermé. Les ami.e.s interdis, la famille aseptisée derrière l’écran. Les bricolages, les lectures, et surtout la marelle, tout le temps, parce que c’est tout ce qu’il y avait à faire dehors. Le jeu à retracer à la craie, inlassablement, après chaque averse. Mon Dieu qu’on a pu jouer à la marelle. Des heures et des heures de temps, entre mars et avril.
Crédit:Abby Haukongo/Pixabay
Puis, graduellement, la reprise. La réouverture des boutiques, des écoles, des garderies. Le retour des sports, des petits rassemblements. La fin du confinement. Enfin, presque. Parce que pour nous, les parents, le confinement n’a jamais pris fin. Jamais totalement.
On ne sait jamais, en se levant le matin, si chacun ira à l’école ou au travail. Chaque jour, ça peut aller dans un sens comme dans l’autre. On réorganise mentalement nos échéances professionnelles au moindre reniflement de notre progéniture. On tressaillit au moindre raclement de gorge. « Combien de jours de vacances me reste-t-il, déjà? » « Peux-tu prendre congé, toi, chéri? » On sursaute en voyant le numéro de l’école sur l’afficheur; on angoisse quand on reçoit un courriel de la garderie. Notre tour viendra, c’est certain : on ne sait juste pas quand. Et si c’était aujourd’hui?
Bien sûr, les mesures sont nécessaires. Bien sûr, il n’y a pas que les parents qui sont épuisés. Mais reste que la pandémie nous a joué un tour : en normalisant le fait que les parents travaillent avec des enfants dans les bras, elle a fait oublier à tout.e.s que ce n’était pas une option viable à long terme. C’est rushant. Ça use. Ça souffle sur la poussière accumulée sur les souvenirs. Et on se rappelle.
C’était un accroc dans le temps. Le ciel gris, maussade, comme un printemps normal. Les pistes cyclables prises d’assaut, faute d’autre destination. Les arcs-en-ciel dans les fenêtres, l’optimisme naïf, l’espoir parce qu’on n’a pas le choix. Ça a l’air loin, mais on s’en souvient.
C’était il y a un an, mais c’est aujourd’hui en même temps.
30Si votre enfant aime Arthur L’aventurier, vous serez ravi.e.s d’apprendre que deux spectacles virtuels ont été annoncés pour le week-end de Pâques!
À la suite du succès des spectacles virtuels de la relâche, Arthur L’aventurier a décidé de proposer deux autres séances pour les familles durant la fin de semaine de Pâques. Les spectacles virtuels feront voyager les jeunes au Costa Rica et en Australie par le biais de chansons entrainantes, de magnifiques images et de belles histoires.
Le rendez-vous est donné le 3 et le 4 avril à 10h. Pour le premier spectacle (3 avril), les jeunes voyageront au Costa Rica tandis que le spectacle du 4 avril sera sur les aventures du chanteur en Australie. Les spectacles sont très abordables : 15$ pour un et 20$ pour deux (plus taxes). Une rediffusion du spectacle sera disponible pendant cinq jours pour les détenteurs de billet. Durant les spectacles, les enfants pourront poser des questions à Arthur et demander leur chanson favorite. Ils courent aussi la chance de gagner un DVD et une peluche d’Arthur!
Faites vite, il n’y a que 200 billets disponibles!
Le Canada est un des pays qui gaspille le plus la nourriture, selon un nouveau rapport de l’ONU. Pourtant, avec un peu de planification et de cuisine, il est possible de réduire son taux de gaspillage alimentaire. Il est même possible de cuisiner avec nos retailles alimentaires afin de réduire encore plus notre production de déchets!
C’est dans cette idée qu’IKEA Canada a décidé de créer un livre mettant à l’honneur les retailles alimentaires. Le projet a été réalisé en collaboration avec dix chef.ffe.s nord-américain.e.s qui ont chacun.e proposé des recettes originales et créatives. Le livre Cuisiner avec les retailles permet donc aux familles canadiennes d’explorer le vaste monde des recettes zéro déchet.
Crédit:IKEA
« Au Canada, des recherches concluent que plus des deux tiers des résidus alimentaires auraient pu être consommés, affirme Johanna Andren, cheffe du marketing de IKEA Canada. Sachant qu’une telle quantité de déchets est produite dans la pièce la plus importante de la maison, nous avons entrepris d’encourager les Canadiens et les Canadiennes à donner une nouvelle vie aux restants de nourriture et de proposer des façons créatives de réduire le gaspillage chez soi. »
Les recettes du livre sont d’inspiration variées. L’ouvrage sera disponible gratuitement sur le site web d’IKEA et sur iBooks et Google Play Books. L’initiative d’IKEA s’inscrit dans la volonté de réduire le gaspillage alimentaire dans ses cuisines et d’aider les foyers canadiens à faire de même.
Vous trouverez plus d’informations sur ce livre et le projet d’IKEA ici.
La pandémie a eu beaucoup d’effets sur nous, et ce n’est pas que du négatif. On a pu ralentir, passer du temps en famille (ou en bulle), découvrir de nouveaux loisirs et j’en passe. On a aussi, dans plusieurs cas, revu notre définition de vacances. Beaucoup entendaient le mot vacances et pensaient à un voyage en avion dans le Sud ou en Europe. J’ai d’ailleurs été surprise d’entendre de plusieurs bouches qu’une grande partie de la population n’avait jamais pris de vacances au Québec, à faire le tour de la province. Bien que j’adore me promener à l’étranger, ce n’est pas possible présentement, alors je compte prendre mon sac à dos et me promener au Québec cet été (en respectant les mesures sanitaires bien entendu)!
Vous comptez probablement faire la même chose en famille et c’est ici que je vous présente mon sujet du jour: le Québec touristique présenté par des enfants. C’est aujourd’hui que la maison d’édition Québec Amérique publie 2 nouveaux tomes de la série documentaire SAVOIR. Les livres de cette série présentent des faits historiques et scientifiques sur une multitude de sujets, dont les régions du Québec.
Ce qui est génial c’est que pour chaque tome, on adopte la vision d’un enfant qui nous présente son coin de pays à l’aide de toutes sortes d’informations. Le premier nous présente la Gaspésie en passant par le Rocher Percé, l’agriculture et le parc éolien. Le second nous fait découvrir la région de Québec, le berceau de la civilisation française en Amérique.
C’est livres sont géniaux pour faire connaître à vos enfants notre belle province, ou encore pour les préparer à d’éventuelles vacances dans ces régions. Ils pourront alors partir à l’aventure en toute connaissance de cause!
La Fromagerie Victoria a décidé de participer au temps des sucres elle aussi avec une succulente poutine à l’érable disponible dans ses succursales. La poutine « L’Érablière » propose donc un savoureux mélange de sucré-salé avec du bon fromage en grains de la Fromagerie Victoria, du jambon, des saucisses cocktail, des oignons caramélisés et un filet de sirop d’érable. Miam!
La poutine est disponible pour un temps limité dans les succursales de la Fromagerie ou en livraison avec DoorDash. Pour les personnes qui résident en zone orange, il sera même possible de déguster la poutine directement en salle à manger!
Outre cette nouvelle poutine, la Fromagerie Victoria propose un menu diversifié incluant des sandwichs, des burgers, des hot-dogs et bien d’autres. Il est aussi possible de se procurer tout plein de succulents produits en boutique comme le fameux fromage en grains, des sauces, des soupes, des desserts et des petits plats préparés. Il y en a vraiment pour tous les goûts!
Visitez le site web de la Fromagerie Victoria pour en savoir plus sur les produits, le menu, et pour trouver où est la succursale la plus près de chez vous.
Je suis une personne plutôt angoissée d’emblée. Je crois que devenir parent, à la base, est un créateur d’inquiétudes. Mes plus grands moments d’angoisse ont pris forme en même temps que le deuxième embryon dans mon ventre. Lorsque j’ai ressenti les premiers symptômes de la grossesse, que la réalité du petit bâton à 2 lignes m’ait frappée pour la seconde fois, c’est là que je me suis dit: « Ah non, mais qu’est-ce qu’on vient de faire là! »
La machine à angoisse venait de décoller à plein régime. Je boucanais de questions sans réponses. Je revoyais mon frère, papa avant moi, exprimer ses peurs face à la venue de son 2e enfant. Ça résonnait comme une crainte d’échouer : « on a réussi à 99% avec la première, on ne réussira pas avec le 2e ». Je me disais que c’était une crainte qui n’avait pas lieu d’être. L’arrivée d’un autre enfant ne pouvait qu’améliorer les choses. J’ai compris plus tard ce qu’il essayait de me dire…
Je désirais cet autre enfant plus que tout au monde. J’aime être enceinte et j’ai apprécié ma grossesse. Au fil du temps, lorsque je ne pouvais plus accomplir mes plaisirs quotidiens avec ma grande et que je croulais sous la fatigue et le poids de mon gros ventre, la culpabilité me reprenait. Je m’en voulais de négliger mon premier enfant pour faire grandir l’autre en moi. La fatigue accentuait mon ressentiment.
Crédit:Elyzabeth Gagnon photographe
Cet enfant-là, en moi, qui occupait mon corps et prenait mon énergie, je ne l’aimais pas vraiment. Je n’ai pas regretté sa conception non, mais je ne l’aimais pas vraiment. Je n’imaginais pas ma vie avec cet enfant comme je l’ai imaginé avec ma première. Chaque soir, au couché de notre grande, on se faisait un « câlin tout le monde » elle, papa et moi. Je n’arrivais pas à concevoir quelle serait notre routine quand j’aurais bébé au sein et que je manquerais le fameux « câlin tout le monde ».
Je craignais la réaction de ma fille. J’avais peur de la « gâcher » en lui imposant une petite sœur. Aujourd’hui, je sais bien que tout ça ne faisait aucun sens, mais à l’époque, c’est ce que je ressentais. Elle a réagi, cela va de soi. Elle qui a toujours été un petit moulin à parole, a cessé de parler pendant plusieurs jours, voir des semaines. Maintenant, sa meilleure amie, c’est sa petite sœur.
Crédit:Jens Johnson / Unsplash
À l’hôpital, j’ai pleuré. J’ai pleuré parce que ma grande me manquait. J’ai pleuré parce que je ne connaissais pas ce bébé qui venait de naître. Une infirmière m’a dit ces mots qui m’ont fait sentir beaucoup moins seule et moins honteuse : « Quand j’ai eu mon 2e fils, je me sentais exactement comme toi. Maintenant, il a 7 ans et je n’imaginerais pas ma vie sans lui. »
Est-ce qu’on aime le deuxième enfant autant que le premier? Oui, mais peut-être pas tout de suite.
Mon bébé, tu as changé ma vie, tu l’as rendue meilleure. Jamais je n’imaginerais ma vie sans toi.
Vous avez une histoire comme celle-ci à partager? Écrivez nous au info@tplmag.com
Mon téléphone m’envoie un rappel. « Avez-vous oublié de saisir vos règles? » J’ai le cœur qui s’emballe – j’ai perdu le fil ce mois-ci. 4 jours de retard, ou 6 si l’on compare au mois d’avant. Je calcule, me questionne. Est-ce que ça se pourrait, finalement? Et non. Ce petit rappel électronique vient réveiller mes ovaires, mon utérus pleure, la rivière se déclenche.
Je me replonge dans ma lecture du moment, Un bébé si je peux, de Marie Dubois. Une bande dessinée qui explique les difficultés que vivent de nombreux couples alors qu’ils chérissent le rêve de porter la vie.
Crédit:Un bébé si je peux/Marie Dubois
L’autrice met en lumière tout le processus pour concevoir un enfant alors que la nature n’est pas de son côté. Des essais infructueux aux traitements hormonaux puis à la fécondation in vitro, on sent la frustration, l’incompréhension et la tristesse qui l’a habitée tout au long de son parcours parsemé d’aiguilles et de rendez-vous. Son ton à la fois dynamique et touchant vient me chercher dès les premières pages. Elle met la table sur ce sujet parfois tabou et explique l’infertilité de façon vulgarisée et douce.
J’aurais tant envie d’envoyer une copie de ce livre à certaines personnes qui ont croisé ma route ou qui m’entourent depuis les deux dernières années. Mon médecin. Celle que j’ai consultée après un an de tests négatifs, qui m’a accueillie dans son bureau et m’a répondu, à ma grande déception, que c’était dans ma tête, que j’y pensais trop. Je suis jeune, en forme et j’ai déjà un enfant, rien d’inquiétant! C’est dans ma tête. Comment ajouter de la pression à tout ça…
Crédit:Un bébé si je peux/ Marie Dubois
Bien que j’aie adoré l’écriture et les émotions représentées, je me suis sentie comme une impostrice dans certains passages, alors que moi, j’ai déjà une fille qui embellit nos journées. Le livre m’a aussi amenée vers une grande réflexion : ai-je essayé assez fort? Ai-je baissé les bras trop vite? Aurions-nous dû faire des traitements, même si nous avions décidé dès le début de ne pas nous embarquer dans ce long périple comme nous avons déjà un enfant?
Crédit:Un bébé si je peux/Marie Dubois
C’est une lecture qui nous amène aussi à réfléchir sur plusieurs enjeux de société. L’égalité hommes-femmes, la difficulté d’accès à certains soins, la réalité des femmes, la pression de la société. L’autrice habite en France et dépeint le portrait plus complet du processus de procréation assistée dans son pays, mais les similitudes avec le Québec sont nombreuses, on s’y retrouve facilement.
Pour mon conjoint et moi, le désir d’un deuxième enfant et les échecs l’entourant sont quelque chose de plus intime que nous n’avons pas souhaité dévoiler ouvertement (d’où ma plume anonyme). Je vis bien les grossesses de mes amies et tente de ne pas montrer la petite jalousie qui vient quand même m’habiter. Tabou? Au début, pour moi, oui. Maintenant, je ne me gêne pas pour donner la vérité à la réponse à « Pis, c’est pour quand, le p’tit 2e? », malgré le froid qui s’en suit. Et quand j’en parle, je réalise que nous sommes plusieurs dans la même situation.
Crédit:Un bébé si je peux/Marie Dubois
Soyons solidaires entre femmes et n’imposons pas de pression, même avec des questions sans malice. On ne sait jamais quelle réalité entoure ces ventres vides.
Avez-vous d’autres œuvres du genre à nous proposer?
Depuis quelques années, IKEA lance un concours de dessin afin de trouver le nouveau design d’une de leurs peluches SAGOSKATT. Pour l’année 2020, le concours était ouvert pendant plusieurs jours en octobre et tous les pays pouvaient y participer. Par la suite, les gens pouvaient voter pendant une semaine à la fin novembre et début décembre.
Après la récolte des votes, nous connaissons maintenant l’identité des gagnants et un des enfants est canadien! La jeune Audrey, de Saskatoon, a été choisie afin que son dessin devienne un des emblématiques toutous d’IKEA. Son dessin, appelé « Sandwich Friends » représente une amitié entre deux meilleur.e.s ami.e.s. Une des tranches de pain est le beurre d’arachides tandis que l’autre tranche est la confiture! C’est tellement mignon!
Outre Audrey, d’autres gagnants ont été choisis aux États-Unis, en Lituanie, en Russie et en Pologne. La nouvelle collection SAGOSKATT sera disponible dès cet automne dans les magasins IKEA.
La semaine de relâche se termine et encore une fois, j’ai su conserver ma santé mentale… ou presque. Avant l’apocalypse, cette période de « relaxation » se déroulait sous le chaud soleil de la Floride, entassés dans le condo de Papi. Cette année, avec les restrictions de zones, j’ai dû prévoir des activités afin d’occuper mes enfants… et ce, à mon grand désespoir. Ce n’est pas pour rien que je ne suis pas éducatrice en service de garde !
Détestant l’hiver et tous ses sports, mon plan de match était simple : cuisine, jeux de société, films, cabanes de couvertures, magasinage masqué et limité en alternance avec le ménage, le lavage, les repas et la gestion des écrans. Ben oui ! Vous avez pensé au bordel technologique qu’un huis clos provoque au sein d’un groupe de 5 personnes ? Malheureusement, lorsque mon plan de match s’écrasait, et afin d’éviter de faire du temps pour meurtre, j’ai laissé mes enfants « devant les appareils » beaucoup plus souvent qu’anticipé. J’ai essayé de m’enfuir pour l’éviter, mais on me rattrape toujours.
Évidemment que j’aime les « internets » avec leurs jeux, leurs vidéos rigolos et leurs films. Mais puisque je ne suis pas imbécile, je sais pertinemment que « trop, c’est comme pas assez » et qu’il faut contrôler le temps d’exposition des enfants. Sans compter, le contenu qu’ils regardent. Non, mais ! Est-ce qu’il y a un boutte à TikTok ? Et pourquoi mes enfants tiennent absolument à me montrer TOUS les vidéos qu’ils visionnent ?! AUCUNE recette, je répète, AUCUNE recette de ver de terre en gélatine n’a été une réussite chez nous.
Personnellement, devoir gérer le temps d’écran d’un enfant est aussi amusant que de manger un coup de pelle ronde dans la face. Mes deux plus jeunes se battent pour utiliser mon téléphone intelligent ou pour bouder la tablette qui fonctionne moins bien que la tablette qui fonctionne dont mieux. J’ai beau partir la minuterie sur la cuisinière et établir des règles, ça se termine toujours avec un enfant qui crie, qui braille, qui claque une porte et qui me qualifie de « traîtresse injuste ». Une fois, j’ai oublié volontairement le mot de passe du wifi pour les pousser à faire autre chose… J’ai aussi changé les mots de passe des appareils. Tout ça pour me faire réveiller aux aurores avec la douce phrase : « Maman, c’est quoi ton code ? ». Finalement, j’ai menacé de lancer la télécommande de télévision dans la piscine, ce qui n’a provoqué aucune réaction. Ils se foutent de la télé!
Bref, gérer une progéniture techno est exigeant et épuisant – autant physiquement que mentalement, et ce EN TOUT TEMPS. J’ai beau avoir les meilleures intentions du monde au lever du corps, le volet « écrans » m’use quotidiennement et me casse les jambes au moins une fois par semaine. C’est dans ces moments que j’abdique. Je leur donne tout, je me verse un verre de vin et je m’isole dans ma chambre… pour regarder NETFLIX en cachette. Maudits écrans.
Crédit:GIPHY
Avez-vous de la difficulté avec la gestion des écrans ?