À la veille de la semaine de relâche, le Festival international du film pour enfants de Montréal dévoile sa programmation. Cet évènement se déroulera du 27 février au 7 mars prochain pour le plaisir de tout.e.s les jeunes cinéphiles (et des plus vieux et vieilles aussi). La sélection 2021, présentée uniquement en ligne sur la plateforme du festival au fifem.com, offre une panoplie de longs et de courts-métrages magnifiques. La liste comprend d’ailleurs des premières mondiales, internationales, nord-américaines et canadiennes.
Grâce à la riche sélection de longs métrages en compétition officielle, vous pourrez voyager à travers la France, la Pologne, la Belgique et l’Autriche, pour ne nommer que ces pays. 11 courts-métrages amusants et touchants font aussi partie du volet compétition.
Pour les plus jeunes cinéphiles, on vous suggère de visionner le film Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary de Rémi Chayé qui est un récit d’aventures rempli de dangers et de rencontres. Cette vous permettra du même coup de découvrir la mythique Calamity Jane. Les amateur.trice.s de chevaux seront certainement ravi.e.s!
Il est aussi fort probable qu’ils/elles apprécient aussi le film Les Blagues de Toto de Pascal Bourdiaux. C’est une comédie qui suit les aventures du jeune Toto, ou plutôt, les catastrophes qui l’entourent. C’est un bon divertissement!
Le FIFEM a aussi concocté un Focus Hispanique, en collaboration avec le festival de films pour enfants chilien Cine Ojo de Pescado. Vous y retrouverez quatre longs-métrages qui proviennent du Mexique, de la Colombie, du Chili et de l’Argentine. Il est important de noter que ces films seront disponibles en version originale espagnole avec sous-titres français ou anglais. C’est une bonne opportunité d’approfondir nos connaissances en cinématographie latine, tout ça dans le confort de notre foyer.
Des passes familiales sont offertes en prévente au coup de 80$ et vous permettront de visionner l’entièreté du contenu disponible. Vous pourriez même faire votre propre festival à la maison en attribuant des notes à chaque film comme un vrai jury et faire une cérémonie de clôture si le cœur vous en dit. Les pouvez aussi acheter des billets et regarder les films à l’unité.
Arthur L’aventurier est un des chanteurs et artistes préférés des enfants! Ses chansons entrainantes et son univers créatif plaisent autant aux petits qu’aux plus grands. Comme la relâche scolaire approche à grands pas, Arthur L’aventurier a décidé de surprendre les familles québécoises en leur proposant deux spectacles virtuels les 2 et 3 mars.
Ces deux spectacles feront voyager les familles! Un des spectacles a comme thématique les Rocheuses canadiennes tandis que le deuxième a comme thématique l’Australie. Chaque spectacle proposera de belles images, des chansons entrainantes et des histoires impressionnantes.
Les billets sont en vente dès maintenant et il n’y a que 200 « places » virtuelles! Votre billet vous donnera accès à une rediffusion du spectacle pendant cinq jours. Chaque spectacle sera interactif et les enfants pourront poser des questions à Arthur L’aventurier ou demander leur chanson préférée. Ils auront aussi la chance de gagner un DVD et une peluche d’Arthur.
« En début de pandémie, j’ai fait une série de rendez-vous virtuels qui ont été grandement appréciés par les enfants. J’ai vraiment hâte de retrouver les aventuriers sur scène! D’ici là, c’est un plaisir pour moi de les divertir dans le confort de leur maison. Ça me permet de garder ce lien précieux avec le jeune public qui est ma priorité depuis maintenant 25 ans! », explique Arthur.
Vous trouverez plus d’informations sur les spectacles en cliquant ici.
Je me suis posé la question je ne sais plus combien de fois et je ne trouve jamais la réponse. À vrai dire, je trouve des « raisons » plus ou moins valides, mais la réponse qui revient est la suivante: je ne le sais juste pas.
Pourquoi pas elle(s)? Pourquoi est-ce que ma belle-famille ne prend jamais ma fille (maintenant mes filles) pour la journée comme ils le font avec mes garçons? Mes 2 plus vieux passent régulièrement la journée avec mes beaux-parents, soit chacun leur tour ou les 2 ensemble. Ce n’est jamais le tour de ma petite 3e, non, ce n’est jamais arrivé. Auparavant, je me disais: « elle est plus petite et de toute façon elle ne s’en rend pas compte ». Mais maintenant, elle commence à s’en rendre compte du haut de ses 2 ans et demi. Ça me brise le cœur de savoir qu’elle voit l’un de ses frères préparer son sac tout heureux d’aller chez grand-maman et grand-papa, mais pas elle.
Pourquoi pas elle(s)? Je suis capable de trouver 1 million de raisons, mais aucune n’est vraiment valable. C’est comme ça et que je dois l’accepter… Je suis si triste que ma cocotte ne puisse pas profiter de ses beaux moments où elle est seule et à toute l’attention juste pour elle. Je suis encore moins optimiste pour ma petite dernière, si déjà la 3e est mise de côté, je doute encore plus qu’elle ait la chance de vivre ce genre de moment.
Pourquoi pas elle(s)? L’excuse qu’elle est plus jeune, je n’y crois pas du tout, car ils ont toujours pris les garçons même lorsqu’ils étaient bébés. Mon 2ème un peu plus tard que le 1er, mais il faut dire qu’il régurgitait tellement que sa demandait plus de gestion. Mon 1er est un coco avec des besoins et des défis qui demandent beaucoup plus d’attention, alors l’excuse qu’elle pourrait demander plus d’énergie n’est pas valide, car son grand frère bat tous les records.
Pourquoi pas elle(s)? Je ne saurai probablement jamais. Mon conjoint voulait leur en parler et j’ai refusé. Je ne veux pas que ça vienne de nous, je n’imposerai pas mes filles à quelqu’un qui ne semble pas vouloir plus que des visites occasionnelles.
Pourquoi pas elle(s)? Elles sont merveilleuses et magnifiques, elles sont enjouées et têtues. Ma 3ème a un cœur en or et un paquet d’amour à donner et sa sœur découvre le monde qui l’entoure de plus en plus.
Pourquoi pas elle(s)? Eux seuls connaissent la réponse. Qu’ils ne se plaignent pas plus tard que mes filles ne veulent rien savoir d’eux. Si cela se produit, je n’hésiterai pas à leur poser cette question qui me hante depuis 2 ans : pourquoi pas elle(s)?
Est-ce que des grands-parents de votre entourage ont déjà agi de la même façon?
L’anorgasmie, c’est la difficulté à atteindre l’orgasme. Ce qui ne veut pas dire absence de plaisir, non. Simplement que l’excitation sexuelle n’atteint pas le palier de non-retour et donc, l’acte sexuel ne se conclut pas par un une explosion orgasmique. Au moment où on sent venir l’extase, ça meurt dans l’œuf. Les orgasmes s’envolent en fumée. Oui c’est frustrant, mais ça se travaille!
Étonnamment, selon la psychologue clinicienne et sexothérapeute Marjorie Cambier, « l’anorgasmie est une dysfonction sexuelle relativement fréquente ». Une femme sur trois en souffre au moins une fois dans sa vie! Maintenant, à défaut de vous lancer d’autres définitions, je vous lance une statistique taboue : 67% des femmes ont déjà simulé l’orgasme. Pourquoi? Parce qu’elles savent que, de toute façon, elles ne l’atteindront pas. C’est trop long, l’excitation va s’essouffler avant.
Alors nous y voilà, la vérité toute crue : est-ce que les femmes jouissent à tout coup? Non, parfois pas, parfois oui et d’autres femmes, jamais. Est-ce que c’est grave? Non. Est-ce que le sexe peut être délicieux tout de même? Bien évidemment. Est-ce qu’on peut réapprendre à jouir? La bonne nouvelle c’est que oui.
L’anorgasmie c’est avant tout psychologique. Cela peut survenir après un traumatisme émotionnel. Porter un enfant, le mettre au monde. La maternité est un choc en soi. Le corps change, l’inconscient peut ne pas l’accepter tout à fait. Il y a aussi la dimension du lâchez prise. S’abandonner, se laisser aller, ce n’est pas acquis. Et la fameuse charge mentale, cela aussi peut vous empêcher d’atteindre la jouissance. Le petit hamster est tellement habitué de courir à fond qu’il ne peut pas s’arrêter l’espace d’un orgasme.
J’ai été confronté à l’anorgasmie. Après avoir mis au monde mon premier enfant, j’ai fait une dépression. J’ai mis un autre enfant au monde, j’ai fait une autre dépression. L’anxiété, c’est très mauvais pour l’orgasme! J’ai commencé à prendre une médication pour m’aider à revenir sur la mappe. Les médicaments pour contrôler les problèmes de santé mentale jouent sur les neurotransmetteurs. C’est une des nombreuses causes de l’anorgasmie.
Je me suis séparée. J’ai un nouveau partenaire. Il faut réapprendre à se connaitre et ce n’est pas si simple. C’est important pour un homme d’avoir une bonne moyenne au bâton. Il faut éviter la pression parce que la pression, ça ne fait pas jouir. Il faut s’en parler. Il faut s’abandonner aussi à ce nouveau partenaire. Le niveau de confiance au lit, c’est quelque chose qui se développe.
Pour travailler ce qui se joue dans le cerveau, la méditation et la relaxation peuvent aider. Cela permet de relaxer le corps, d’écouter ces sensations, de se connecter à soi-même. Pour se connecter à l’autre, il me faut le regard. C’est dans ses yeux que j’arrive à me perdre.
Je vous partage mon dernier petit secret pour « venir » : être égoïste! Au diable les si, peut-être, est-ce que ci, est-ce que ça? Je suis ÉGOÏSTE. Je fais ce qu’il me plait, quand ça me plait et en prime, je lui dis quoi faire. Pour le peu de fois que ça m’arrive, je mérite bien un bon coup!
Prochain défi, atteindre le double orgasme! Let`s go girls!
J’ai beaucoup cherché afin de trouver des albums jeunesse qui permettraient à ma grande fille de se reconnaître dans un personnage principal qui lui ressemble et j’ai envie de vous présenter mes petites trouvailles en ce mois de février, mois de l’histoire des noirs. Peu importe la couleur de peau de votre enfant, ces 5 livres sont merveilleux et méritent d’être lus.
Sulwe
Ce livre est le favori de ma grande fille, même si elle ne comprend pas encore toutes les nuances de cette histoire qui traite d’un sujet qui n’est pas facile. Ma fille l’adore tout de même, probablement pour ces illustrations fabuleuses et l’amour qui s’en dégage. Ce livre nous présente une petite fille, Sulwe, qui ne se trouve pas très jolie, car elle est plus foncée que ces proches. En effet, sa sœur, qui a la peau plus claire, reçoit plein de beaux compliments à l’école, mais pas elle. Alors qu’elle est triste, une étoile filante l’embarque afin de lui raconter l’histoire de deux autres sœurs : Nuit et Jour. Nuit aussi se sentait malaimée, mais les deux sœurs, ainsi que les habitants de la terre, se sont vite rendue compte de l’importance qu’elles avaient toutes les deux, autant Nuit que Jour. C’est une histoire qui parle d’estime de soi, ainsi que de l’importance de chacun dans la société (nous ne pourrions pas vivre sans Jour ou sans Nuit, ni même sans les nuances entre les deux!). J’avoue que lorsque la maman parle à Sulwe dans le livre, en la comparant à une étoile brillante, j’ai les larmes aux yeux à chaque fois. C’est magnifiquement écrit, de plus, j’ai toujours surnommée ma fille : ma petite étoile, ça me touche donc particulièrement. Vous le trouverez ici.
Nos boucles au naturel
Ce livre est le coup de cœur de papa. J’adore ce livre qui met de l’avant la relation père-enfant. C’est notre seule livre mettant en vedette le papa, il est donc très précieux. Papa adore le lire à notre fille. De plus, le livre met aussi de l’avant la beauté des cheveux frisés, je le conseille donc à tous ceux qui ont des enfants à la chevelure bouclée. Pour ce qui est des illustrations, elles sont tout simplement superbes. Vous trouverez le livre ici.
Quelles tête !
Avec les livres de Robert Munsch, on ne se trompe jamais, selon moi. Ce livre est plein d’humour et les illustrations sont très jolies. Le livre utilise la répétition et ça fonctionne très bien avec les enfants. Ma fille adore répéter les mots avec moi. Il me fait penser à un livre du même auteur que j’adorais quand j’étais petite : Les fantaisies d’Adèle. Les deux livres sont un peu dans le même style, je trouve. Il y a de la répétition, de l’humour et des coiffures dans les deux! Vous trouverez ce livre ici.
Ruelle d’hiver
Ce livre ne ressemble pas vraiment aux précédents, car il ne traite ni de peau foncée ni de cheveux frisés. Il parle de l’amitié, des voisins, de l’hiver et du jeu. Mais voilà, nos enfants ont besoin de s’identifier aux personnages d’histoires qui parlent d’autres sujets également. La beauté de ce livre est que tout.e.s pourront se reconnaitre, les enfants présents font un beau portrait de la diversité culturelle du Québec. Les illustrations sont magnifiques et représentent bien nos rues enneigées québécoises. Après avoir lu ce livre, à tous les coups, nous avons envie d’aller jouer dehors et de profiter de l’hiver! Vous le trouverez ici.
Comme un million de papillons noirs
Ce livre, malheureusement, ne fait pas partie de ma bibliothèque et je ne l’ai pas encore lu, mais il est sur ma liste et m’a été recommandé à plusieurs reprises. En effet, j’entends souvent parler de ce livre avec éloges, j’ai donc très hâte de me le procurer. L’histoire met en vedette la petite Adé qui reçoit des commentaires désagréables sur sa chevelure crépue. Elle interroge donc des membres de sa famille qui l’aident à apprécier ses cheveux si magnifiques. Vous pouvez le trouver ici. L’auteur de ce livre à d’ailleurs écrit un autre livre qui me semble aussi très intéressant et qui traite d’un sujet semblable. Il s’agit du livre : Le chemin de Jada. Vous le trouverez ici.
Finalement, je crois qu’il est vraiment enrichissant pour l’enfant d’avoir, dans sa bibliothèque, des livres dans lesquels il pourra se reconnaître et s’identifier aux personnages. Les livres ont ce pouvoir magique, celui de dire à une personne qu’elle n’est pas seule et qu’elle peut, au fil des pages, partir à l’aventure avec le personnage principal.
En juillet dernier, la Duchesse de Sussex et son amoureux, le prince Harry, ont vécu une des choses que redoutent le plus les parents de ce monde : une fausse couche. L’actrice avait raconté la douloureuse expérience dans une chronique du New York Times. Suite à la publication de cette chronique, la Duchesse de Sussex s’était fait vivement critiquer d’avoir partagé un événement aussi intime de sa vie, ce qui met en lumière la stigmatisation encore trop présente du deuil périnatal.
Malheureusement, le tabou entourant cette triste réalité isole les parents alors qu’ils sont déjà dans un état très vulnérable. C’est pourquoi il est important d’en parler et qu’il est plus que pertinent lorsque des stars et personnalités publiques comme Meghan Markle ou encore Chrissy Teigen partagent leurs histoires.
Dimanche dernier, le 14 février, un porte-parole du couple a confirmé que les parents du petit Archie attendent un deuxième enfant. On ne connait pas encore la date d’arrivée de ce petit bébé arc-en-ciel ni son sexe. Cette annonce du couple pourrait être un doux clin d’œil à la mère d’Harry, la princesse Diana qui avait annoncé sa deuxième grossesse le 13 février 1984.
Une magnifique photo du couple a été partagée sur Instagram via le compte de la photographe et grande amie de Meghan Markle, Misan Harriman.
Nous voulons vous parler de L’envolée, un livre touchant qui s’adresse aux enfants et à leur famille. Le livre a été écrit par Joanie Poirier et illustré par Gwenaëlle L’Heureux-Devinat. Le projet a été réalisé en collaboration avec La Maison des Petits Tournesols, un organisme qui a comme mission d’accompagner les jeunes et leur famille à travers leur processus de deuil.
L’autrice est une comédienne qui a souhaité immortaliser la vie et le courage de sa sœur décédée de complications d’une deuxième greffe bipulmonaire. Elle a donc écrit l’histoire de L’envolée un peu pour ses fils, afin de leur présenter à travers des mots le courage de leur tante. L’histoire raconte la rencontre et l’amitié entre Lou, un jeune garçon, et Karen, une fillette atteinte de la fibrose kystique. Lou apprendra beaucoup de choses sur la vie à l’aide de son amitié avec Karen, et c’est pourquoi il sera dévasté lorsque Karen décèdera. Malgré sa tristesse, il apprivoisera son deuil et l’absence de son amie.
En plus de cette touchante histoire, une section éducative proposant des pistes de réflexion et de discussions pour aborder le deuil en famille est incluse à la fin du livre. C’est grâce à l’organisme communautaire La Maison des Petits Tournesols que cette section a pu être ajoutée.
Un lancement virtuel aura lieu le lundi 15 février, à 19h. Pour tous les détails sur le lancement et pour savoir comment vous procurer le livre, on vous invite à consulter la page Facebook de La Maison des Petits Tournesols.
J’ai pris des résolutions en janvier, l’avez-vous fait aussi? Évidemment, certaines résolutions sont difficiles à tenir, mais il y en a une à laquelle je tiens : faire plus de yoga et l’intégrer à ma routine. J’essaie d’en faire chaque jour, même si ce n’est que 15 minutes. Je me sens tellement bien après une petite séance de yoga, ça commence la journée en beauté!
On ne va pas se mentir, ce n’est pas une résolution facile pour les parents. Moi, j’ai deux enfants (2 ans et 7 mois) et je voulais tenter de les intégrer à cette routine, en partie parce que je n’arrive pas à me réveiller avant eux, j’aime trop dormir. Ma grande de 2 ans a très envie de m’imiter, mais ça se termine souvent avec moi en cobra et elle qui saute sur mon dos ne me laissant pas changer de posture. AH ! J’ai quand même trouvé plein d’idées afin qu’ils apprennent à apprécier le yoga et ça fonctionne plutôt bien (on s’entend, la séance de yoga est pas mal moins relaxante, mais les fous rires sont garantis, haha !).
Voici ma petite planche de yoga que j’ai bricolée, ainsi que les images gratuites que j’ai trouvées en ligne, si vous avez envie de faire quelque chose de similaire.
Confection de la planche de yoga
Sur ces photos, vous pouvez voir ma fameuse planche de yoga ! Si vous souhaitez en faire une pareille, vous aurez besoin d’une planche de bois (vous pourriez aussi opter pour du carton), de la peinture et des velcros. Après avoir imprimé et plastifié vos images de yoga, vous pourrez y mettre des velcros sur la planche et les images et le tour est joué. Petit truc: n’oubliez pas de bien mesurer l’espace que prennent les images sur la planche afin de bien positionner les velcros.
Pour l’utiliser, l’enfant peut choisir les postures qu’il ou elle veut faire et les coller sur la planche, ensuite, vous effectuez la routine tout.e.s ensemble ! Ici, c’est devenu un essentiel de notre routine matinale.
Où trouver du matériel en ligne
Les images proposées par Pomme d’api
Ces images de yoga sont géniales, car elles proposent une petite histoire à raconter à l’enfant pour effectuer les postures, ce qui transforme la routine de yoga en jeu! Vous les trouverez ici.
Images pour dés de yoga par Blogue à part
J’aime tellement ce blogue, je suis carrément fan de tout ce que la créatrice fait, je me fais donc un devoir de partager avec vous ces petites images. J’avoue ne pas les avoir imprimées… En fait, ces images sont sorties alors que j’avais déjà fait ma planche et tous mes cartons. Je vous en parle quand même, car je les trouve très mignonnes. Normalement, ces images sont faites pour un dé à pochettes. Personnellement, j’ai fait plein de dés à images avec des boites de carton pour mes enfants, c’est une autre option si l’on n’a pas le fameux dé. Donc, à vous de choisir, soit vous créer un joli dé de yoga (on brasse et effectue la posture qui apparait) ou bien les images pourraient aussi être utilisées pour créer une planche de yoga.
Images montrant de «vrais» enfants
Ces images sont des photos de véritables enfants pratiquant le yoga, c’est donc facile pour les enfants de comprendre comment se placer afin d’effectuer la posture. Ma fille les adore, quand elle voit les images elle dit : « bébé ». Personnellement, j’ai imprimé les images en ajustant la mise en page pour qu’elles soient plus petites, puis j’ai plastifié les cartons en recto verso, nous avons donc obtenu de petites cartes de yoga. C’est sur ce site que j’ai trouvé le lien de ces photos, vous verrez, il y a plusieurs liens avec d’autres images de yoga également!
Le mini livre de yoga gratuit
Voici un petit livre super intéressant à imprimer et plastifier afin de le consulter avec vos enfants. Le livre complet est disponible à l’achat, vous le trouverez ici. La version disponible en PDF offre tout de même quelques pages à imprimer, et si vous l’aimez, vous pourrez vous procurer la version complète. Ça permet de tester avant d’acheter. Les postures sont si bien illustrées, les enfants auront plaisir à imiter les enfants du petit livre!
Les cartes de yoga
En terminant, je vous présente mes images coup de cœur : les cartes de yoga que vous trouverez ici. C’est celles-ci que j’ai utilisées pour ma planche. J’aime les illustrations simples et claires, l’explication de la posture en quelques mots, et j’adore que le niveau de difficulté de chaque posture soit imagé dans le bas de la carte. Ces cartons sont idéals pour la fameuse planche de yoga, si vous avez envie de la bricoler, mais ils peuvent aussi être utilisés pour divers jeux. Par exemple, vous pourriez faire un jeu calqué sur le jeu de cartes POKEMON puisque les postures ont des niveaux de difficulté. Dans ce jeu, le perdant ferait la posture de son carton! Vous pourriez inventer tellement de jeux différents, cela pourrait aussi être un jeu de mémoire, en imprimant les images en double, le gagnant effectuerait la posture dont il a trouvé les cartons! Qui a dit que le yoga n’était pas un jeu ? Pas moi, ça, c’est certain!
Pour ma part, je suis vraiment heureuse d’avoir pu intégrer le yoga à notre routine familial. Je me rends compte des bienfaits sur mes enfants quand, par exemple, ma fille pense à sa respiration (car elle m’imite et m’entend respirer). Cela l’aide à se calmer quand elle en a besoin. De plus, ça aide à nous faire bouger à l’intérieur cet hiver. Pour ce qui est de mon garçon qui a 7 mois, il ne fait pas encore les postures ( sauf celle du cobra, haha), mais il aime ce moment de yoga, car je l’intègre à ma routine en le chatouillant, ou en le portant pendant la posture du guerrier. Cela devient donc un beau moment à partager et mon petit homme adore cela.
Finalement, il y a beaucoup de moyens pour intégrer le yoga en famille, mais c’est certains que ça vaut aussi la peine de le faire seul.e en soirée, si vous en avez l’occasion, cela sera sûrement plus relaxant que la séance familiale.
Il est parfois difficile de trouver de bons livres que vos adolescent.e.s apprécieront. Nous ne sommes pas certain.e.s de leurs goûts ou du genre de livre qu’ils/elles aiment lire, et leur offrir la lecture en cadeau peut être périlleux… Heureusement, des spécialistes chez Les Libraires ont préparé une liste contenant plusieurs suggestions de livres parfaits pour les jeunes.
Nous avons fait le tour de cette liste de suggestions, que vous pouvez consulter ici, et nous avons sélectionné cinq livres parmi les 51 suggestions.
On approche bientôt d’une année complète en pandémie. Donc, presque tout le monde a une anecdote à propos des anniversaires en confinement. Tristes? Ennuyants? Différents? Inventifs? Alors que celui de mon copain et le mien sont passés un peu sous le radar, ma fille a eu droit à un semblant de fête « normale ». On était en plein cœur de l’été, alors que les mesures étaient plus lousses, et elle a eu son petit party d’anniversaire.
Mais c’était tout de même différent. D’habitude, je mets vraiment « le paquet » pour faire de son anniversaire une journée très spéciale. Je me suis toujours beaucoup investie, parce que ça me fait tellement plaisir de voir les petites étoiles briller dans ses yeux. On invite la famille et les ami.e.s, on organise une grande chasse au trésor et on fabrique une tonne de décorations. Cette année, son anniversaire de 13 ans a été le plus simple de tous. L’ironie c’est que, malgré cela, il aura été le plus fêté en 2020 de toute notre famille. Ses petites cousines auront été moins chanceuses côté anniversaire.
Elles ont respectivement fêté leurs premier et quatrième anniversaires en début janvier et à une semaine d’intervalle. C’était en plein couvre-feu, avec toutes les restrictions qu’on connaît. Toute la famille était présente, sur vidéo, pour les voir sourire devant leur gâteau d’anniversaire. C’était beau et triste à la fois. On fait tellement d’efforts pour amener de la joie dans cette situation un peu déroutante. On met une couche de crémage sur notre solitude, notre résilience et notre désespoir. On tente tant bien que mal que faire du spécial pour chasser la tristesse quelques instants.
Je me suis demandé si cet anniversaire de 4 ans allait marquer ma nièce. Va-t-elle se souvenir qu’elle a tellement parlé des ami.e.s et de la famille qui ne sont pas venus, sauf sur un écran? Ou tout cela sera-t-il gommé dans son subconscient, tellement qu’elle ne se souviendra plus de la journée de ses 4 ans ? Je me rends compte que j’ai très peu de souvenirs de mes propres anniversaires avant un âge plus avancé. Pourtant, ils étaient soulignés chaque année avec un gâteau, un présent et toute ma famille autour de la table pendant que je soufflais mon âge en chandelles. Je me souviens que j’étais une enfant heureuse, confiante, aimée et aimante. J’ai perdu la trace exacte de ces moments, mais j’ai l’impression qu’ils ont été heureux, qu’ils ont bercé cet âge doux où je n’avais que peu de soucis.
Je me suis mise à réfléchir aux anniversaires que j’ai organisés pour ma fille. Je me suis revue à minuit, la veille de la fête, en train de finir de laver le plancher et de cacher les petits indices pour le lendemain. J’ai revu les guirlandes de fleurs en papier de soie, le gâteau arc-en-ciel, le barbecue avec ses 4 salades différentes. De quoi se souvient-elle exactement? Qu’a-t-elle gardé en mémoire, sinon l’impression que cette journée était magique? Et si j’avais mal saisi… Pourquoi s’investit-on autant?
Si on demande aux gens de nous raconter un souvenir de Noël ou d’anniversaire tiré de leur petite enfance, il en ressort une émotion, une odeur, une présence. Rarement un jouet ou tout le fla-fla autour. Je croyais à tort que les anniversaires de nos cocos sont si tristes en pandémie. Mais nous étions là. On s’est investis, « avec les moyens du bord » pour qu’il y ait quand même un peu d’étoiles dans leurs yeux. Et, au final, ils auront peut-être la même impression que ma fille lorsqu’elle parle de ses anniversaires. Il en ressortira de doux souvenirs, un peu flous, mais la certitude que durant cette journée, la famille était là, présente, aimante. Qu’elle faisait partie d’un groupe qui soulignait son importance et la joie de la savoir parmi eux/elles.
Je repense souvent à ce premier samedi soir de couvre-feu, alors que ma filleule soufflait sa première chandelle. Nous avons chanté si fort que le bébé a dansé devant son gâteau, le sourire aux gencives. Ce moment-là fait partie de mes petites bulles de joie, et comme un film, j’y repense parfois quand ma famille me manque un peu trop.
Comment avez-vous souligné l’anniversaire de votre enfant en pandémie?