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Kim Rusk anime un documentaire sur les enjeux de l’école de demain

L’animatrice Kim Rusk, maman de la petite Billie, se questionne sur les enjeux de l’école de demain et tous ces questionnements ont mené à la création d’un documentaire qui sera diffusé sur les ondes de Canal Vie le mercredi 9 décembre à 20h.

Dans le documentaire L’école de demain, Kim Rusk a côtoyé le personnel ainsi que les élèves de l’école St-Paul de Beauharnois afin de comprendre quels sont les besoins et les enjeux de l’école d’aujourd’hui et de demain. On explore entre autres les conditions nécessaires à la réussite scolaire, tant au niveau des ressources que des bâtiments et des diverses installations disponibles dans les différents milieux scolaires.

Un constat s’effectue rapidement: le modèle des écoles du Québec est le même depuis plus de 60 ans et cela ne correspond plus à la réalité des élèves. Dans le futur, le gouvernement du Québec souhaite ainsi investir afin que le système scolaire favorise la communication, le travail d’équipe, la créativité et l’activité physique.

Mais quels seront les défis qui se dresseront sur la route de tous ceux qui souhaitent concrétiser ces changements? Des initiatives actuelles et inspirantes d’ici et d’ailleurs sont ainsi présentées dans le documentaire, afin de donner des pistes de réponses.

Ce documentaire d’une durée de 60 minutes a été créé d’après une idée originale de Kim Rusk et de David Gauthier, et produit par Bell Média. En plus de la diffusion à Canal Vie, il sera présenté sur Crave dès le 9 décembre.

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Alexandra Diaz propose une boîte «apéro à la maison» idéale pour deux

Avec les restaurants qui sont fermés en zones rouges et l’année rocambolesque que nous venons de vivre, disons que nous sommes constamment à l’affût des petites trouvailles qui peuvent nous permettre de gagner du temps… ou de nous gâter un peu. Avouez qu’on le mérite bien! C’était donc une très belle surprise de découvrir que l’animatrice et auteure Alexandra Diaz et l’entreprise familiale locale Ferro se sont associées pour créer une boîte d’apéro à la maison.

Crédit:Ferro X Alexandra Diaz

Votre curiosité est piquée et vous salivez déjà? Attendez de voir ce que cette boîte contient! D’une valeur de 170$, elle est offerte pour seulement 115$ et vous y retrouverez de quoi vous délecter d’un bon repas à deux: crevettes nordiques, fondue parmesan au saumon fumé Indian Bay, rondelles de calmars, crevettes cocktail, morceau de saumon Indian Bay fumé à froid, mousse de saumon Indian Bay, jerky de saumon Indian Bay, le livre Fiesta Santé par Alex Diaz, une carte-cadeau de 25$ échangeable à partir du 6 janvier 2021. Accompagnez le tout d’une salade pour un peu de verdure, et le tour est joué!

Crédit:Ferro X Alexandra Diaz

L’Apéro Ferro est disponible dès maintenant; vous pouvez le commander en ligne et il sera livré à domicile!

Psst: Au cas où ça vous inquiéterait, sachez que les produits Ferro sont livrés par camions réfrigérés pour en assurer la fraîcheur. Dans le passé, nous avons eu la chance d’essayer certains de leurs produits et… wow! La fraîcheur, la qualité et le goût sont au rendez-vous! Promesse de TPL Moms!

Nous ne sommes pas payées pour parler de ce produit, nous aimons simplement partager nos belles découvertes avec vous!

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Mon message aux parents qui vivent avec le diabète de type 1

(CHRONIQUE)

Novembre est le mois de la sensibilisation au diabète. Je voulais prendre un moment pour souligner tout le travail que doivent accomplir les parents vivant avec le diabète de type 1, que ce soit eux-mêmes, leur conjoint.e ou bien leur enfant.

Le diabète de type 1 est une maladie qui débute généralement à l’enfance. Pour une raison souvent inconnue, les cellules du pancréas qui sécrètent l’insuline cessent de fonctionner. Ce qui veut dire qu’une personne diabétique de type 1 dépendra, toute sa vie, de l’insuline qu’elle s’injecte (ou bien qu’une pompe lui injecte) pour contrôler sa glycémie (taux de sucre dans le sang).

Il faut savoir que les facteurs qui influencent la glycémie sont très nombreux : stress, alimentation, activité physique, maladie, température, sommeil, grossesse, pour n’en nommer que quelques-uns. La gestion des glycémies doit être constante. Jour et nuit, il faut monitorer le taux de sucre et adapter les doses d’insuline en tenant compte du plus grand nombre de facteurs possibles. Impossible de prendre congé ou de relâcher sa vigilance sur quoi que ce soit.

Vivre une grossesse avec cette maladie devient rapidement extrêmement compliqué. Il est recommandé d’avoir un contrôle exemplaire sur sa glycémie avant de tomber enceinte. Ensuite, les débalancements hormonaux affectent non seulement l’humeur, mais aussi comment le corps répond à l’insuline. Souvent, tout ce qui fonctionnait avant ne fonctionne plus de la même façon : si une certaine routine marche bien à un certain moment, elle deviendra rapidement un nouveau casse-tête la semaine suivante. La pression sur les personnes enceintes avec le diabète de type 1 est énorme. Autant venant la personne elle-même qui veut s’assurer que la grossesse se passe bien, mais aussi par le corps médical qui a des attentes élevées au niveau du contrôle glycémique, parce que ça a un impact important sur le bébé.

Une personne très proche de moi vit avec ce type de diabète depuis longtemps. Elle me décrit souvent les hauts et les bas de la gestion de sa maladie, souvent pour en rire, parfois parce qu’elle est épuisée et découragée.

« Tu sais, juste le fait de mettre mon pyjama fait varier ma glycémie. »

« Est-ce que tu penses qu’on va aller marcher après notre café ce soir? Si oui, il faut que j’ajuste mon insuline cet après-midi en prévision de ce soir. »

« Cette nuit, bébé m’a seulement réveillée 2 fois, mon capteur de glycémie m’a aussi réveillée 1 fois parce que j’étais en hypoglycémie. »

« J’ai perdu mes repères avec l’allaitement, je suis tout le temps en hypo. Je suis découragée. »

En tant que parent, il n’est pas rare de faire passer toute la maisonnée avant soi-même. Toutefois, une personne vivant avec le diabète de type 1 doit aussi se prioriser en tout temps. Alors, voici mon message aux parents vivant avec le diabète de type 1 : vous faites un travail exceptionnel et j’ai beaucoup de respect pour les sacrifices que vous faites pour vous et votre famille. Je vous lève mon chapeau bien haut, bravo de réussir à tout concilier, bravo de vous choisir tout en priorisant votre famille et bravo de jongler avec cet enjeu supplémentaire qui amène son lot de charge mentale. Vous êtes forts.es!

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On rêve de câlins et de brunchs

(CHRONIQUE)

La pandémie nous fait réaliser à quel point des choses prises pour acquises et semblant si anodines peuvent soudainement nous être enlevées. Nos grands rêves et nos grandes ambitions se sont, pour certain.e.s, transformés en rêves si simples.

Pour ma part, je rêve de prendre un café avec ma mère, dans le confort de la maison familiale, aussi longtemps qu’on en a envie, sans distance (et un immense câlin). Je rêve aussi de serrer ma filleule, qui est à 500 km d’ici, dans mes bras. Je rêve de chaleur humaine.

J’ai demandé aux Moms (et Dad) du blogue ce qu’elles feraient une fois la pandémie derrière nous, ou à tout le moins, lorsqu’elle sera presque terminée. Voici le top 5 des réponses que j’ai reçues quant aux petites envies normalement si faciles à combler, mais si difficiles en ce moment.

  1. Faire un câlin à une autre personne qu’un membre de son foyer – et laisser les enfants faire des câlins aux autres aussi.
  2. Faire un repas entre adultes : bruncher avec sa meilleure amie, souper avec les voisins, partager un dessert au restaurant avec une amie, prendre un verre en famille élargie.
  3. Permettre aux enfants d’aller passer du temps chez leurs grands-parents, un soir, une nuit, une semaine en vacances, pour réchauffer leur coeur.
  4. Aller voir des spectacles ou participer à des activités… en vrai!
  5. Voyager, à 200 km ou à 2000 km, sans tracas.

Et vous, à quoi vous accrochez-vous pendant cette période un peu plus difficile? Quel doux souvenir vous enrobe d’amour et vous motive à continuer vos efforts pour contrer la pandémie?

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J’ai oublié de vivre au présent

(CHRONIQUE)

Un autre calendrier presque terminé. Une année presque complète qui s’est écoulée. Voilà déjà décembre qui se pointe le bout du nez, et mon ventre toujours aussi vide. Chaque mois, cette petite pensée, depuis près de 2 ans maintenant. Et si ça marchait? Quel âge aurait notre grande lorsque la petite frimousse se pointerait le bout du nez?

J‘écoule les saisons remplies de si et de -rait. Trop de fois, j’ai projeté notre famille dans un avenir à 4, me liant le cœur à un futur qui n’en deviendrait pas un, m’empêchant de profiter du présent. Je me suis mis des embûches alors que tous les chemins s’ouvraient devant moi. J’ai limité mes projets, reporté des envies, mis sur pause mon couple – en mode procréation.

Ce soir, il ne m’aura fallu qu’un vulgaire panier virtuel de vêtements… Et les yeux pleins d’eau.

C’est futile, ce ne sont que des vêtements, mais c’est mon quotidien depuis plusieurs mois : j’ai laissé de côté des achats en me disant que peut-être que, que si, oui mais peut-être… que je porterais une autre grandeur dans quelques mois, que cela ne valait pas la peine d’acheter du linge si finalement je tombais enceinte, que j’aurais besoin de linge de maternité à la place…

Quand est-ce que j’ai arrêté de vivre le moment présent? Quand est-ce que j’ai commencé à vivre dans cet univers rempli d’incertitudes et à m’y complaire, sans chercher à mieux savourer les minutes qui disparaissent et ne reviendront jamais?

Certains vivent dans le passé. Moi je vis trop dans l’avenir.

Chaque mois, ces quelques jours d’amertume, l’utérus qui pleure et tout mon corps qui se décourage. Une frustration qui se ressent à la maison avec la petite famille. Au lieu de coller ma fille dans mes bras et de juste… être. Être présente. Être heureuse. Être à l’écoute.

Pour la nouvelle année, je me souhaite moins de calendrier, et plus de doux moments. Moins de déceptions le jour rouge, plus de réconfort et de reconnaissance envers ce que j’ai.

Certains diront que c’est la vie qui est faite ainsi. Qu’on ne peut rien faire contre.

Alors, je me laisserai bercer par la vie. Et j’oublierai ces tests d’ovulation dans le fond de mon armoire. La fin du mode procréation, du mode automatique, des déceptions.

Parce que le bonheur, il fait dodo à quelques mètres de moi. Et ma petite famille… je l’ai déjà.

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La mémoire de ma grand-maman continue d’exister

(CHRONIQUE)

Les Fêtes approchent et ce sera encore une autre année sans ma grand-maman. Elle avait le don de nous faire rire et de mettre de la joie dans nos rassemblements. Cette femme-là était tout un personnage. Drôle, passionnée, bonne vivante, coquette, drama-queen, hors norme et surtout, célibataire endurcie. Je me souviens d’elle comme de La Dame super cool de son HLM pour personnes âgées, qui aimait promener son petit chien dans le parc du Plateau Mont-Royal, qui avait des amis au Village et qui aimait aller chez Mado.

Elle fait partie de ces battantes qui n’ont pas eu froid aux yeux pour utiliser les médias de l’époque afin de dénoncer le gouvernement en place dans mon pays natal. Elle a élevé ses enfants seule dans un pays dans lequel elle ne connaissait pas la langue. Même en tant qu’immigrante ici, elle a été très impliquée dans le milieu de la radio, de la télévision et du théâtre. Elle était une défenderesse de la langue française, qu’elle parlait avec un gros accent.

Crédit:Karina Zeballos, Facebook

Des fois, je parle d’elle à mes enfants. Mon aînée, qui est adulte maintenant, parle souvent à ses petites sœurs de leur arrière-grand-mère. Je leur montre des photos et je leur raconte des anecdotes d’elle. Les gros yeux ronds de mes petites curieuses me confirment qu’elles sont intriguées par cette dame. Je leur parle des personnages qu’elle a incarnés au théâtre et des marionnettes qu’elle manipulait pour une émission de télévision d’ici pour les enfants hispanophones. Je leur dis qu’elle adorait écrire des poèmes et écouter de l’opéra. Je leur raconte que malgré qu’elle n’eût même pas fini le primaire, elle a appris le français et l’italien, qu’elle parlait parfaitement d’ailleurs. Ma grand-maman a même joué dans Les Belles-Sœurs version italienne.

Crédit:Karina Zeballos, Facebook

Je vois que les gènes de ma grand-maman existent à travers les talents artistiques de tous mes enfants. Lorsque je les vois jouer aux marionnettes, créer, peindre, composer, danser, chanter, et cetera; c’est ma abuela que je vois et je ne peux m’empêcher de sourire. Elle existe aussi à travers mon dada pour le théâtre, la danse, l’opéra et l’écriture. Elle disait; « Tant qu’on se souvient de quelqu’un; on ne meurt pas ». Ma abuela vit encore.

Est-ce que la mémoire de  vos grands-parents décédés continue d’exister?

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Mettre ses traditions au placard le temps d’une année

(CHRONIQUE)

Je me réveille ce matin sous un petit tapis de neige et un merveilleux ciel rose. C’est la veille du Thanksgiving américain, tradition que nous avons intégrée à la maison il y a déjà près d’une décennie puisque papa est originaire de la Californie.

Thanksgiving est plus qu’un simple repas copieux en famille, c’est aussi l’événement déclencheur des festivités du temps des fêtes. Ici, nous avons comme tradition de décorer le sapin de Noël le ventre plein de dinde, de farce et de tarte à la citrouille.

Mais cette année, je n’ai pas la tête à la fête, je n’ai pas la tête aux célébrations… toutes ces traditions du passé qui seront tristement rangées au placard, le temps d’une année (une seule année, on l’espère!).

Année après année, malgré les ajouts à la famille, les crises d’adolescence et la multiplication des bébés, on était toujours tous réunis, moi et ma famille élargie, 4 générations sous un même toit. Pour moi, le temps des fêtes est un pur moment de bonheur. On emmagasine du temps de qualité en famille. On fait le plein de souvenirs avec nos frères et sœurs, parents, grands-parents, cousins, tantes et oncles. On rattrape le temps manqué en cours d’année.

Mais cette année, ça ne sera pas le cas. Notre grande célébration n’aura pas lieu. On pourra peut-être espérer quelques FaceTime par-ci, par-là si les enfants collaborent, mais aucune chaleur humaine provenant de l’extérieur de notre mini-bulle familiale.

Et le hic, c’est que cette année, ma petite famille et moi sommes à plus de 3,800 km de ma famille, et à 2,000 km de la famille de mon conjoint. Passer un Noël loin de la famille, c’est toujours difficile, mais on dirait que c’est pire cette année, avec l’épuisement émotionnel que nous portons depuis mars dernier. Initialement, on devait célébrer Noël quelque part entre la Thaïlande et l’Indonésie, à mi-parcours de notre tour du monde, mais la pandémie aura complètement modifié notre planning. C’est plutôt près des Rocheuses que nous célébrerons un Noël assez différent de ce que nous connaissons, et malheureusement beaucoup plus isolé que nous en avons l’habitude.

Je me console en me disant que même si j’étais à 5 km de la maison familiale, nous serions tout de même loin et séparés physiquement. 

Je me console en me disant que c’est l’occasion pour débuter nos propres traditions du temps des fêtes avec mes petits garçons. 

Je me console en me disant qu’on se reprendra l’an prochain… ou pourquoi pas un Noël des campeurs si la situation le permet cet été?

Je me console en me disant que c’est temporaire, mais ohhh que ce n’est pas facile. Malgré la musique de Noël en fond, je n’ai pas la même joie qui m’habite généralement à cette période de l’année. Tout est un peu plus sombre cette année.

Vivement 2021…. on l’espère.

D’ici là, je vous souhaite un merveilleux, quoique probablement très différent, temps des fêtes, en santé!

Comment vous sentez-vous face aux festivités des fêtes 2020?

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C’est la semaine «Le poids? Sans commentaire!» et c’est important

Si vous ne connaissez pas encore l’organisme ÉquiLibre, on vous invite fortement à aller visiter leur site web. La mission d’ÉquiLibre est de prévenir et de diminuer les problèmes liés au poids et à l’image corporelle dans la population et principalement chez les jeunes. En effet, ces derniers sont souvent plus sensibles et moins outillés face aux différentes images propagées dans les médias ou aux commentaires qu’ils peuvent recevoir sur leur apparence.

La Semaine Le poids? Sans commentaire! en est déjà à sa 9e édition et chaque fois, il est important d’en parler! Cette année, l’organisme se concentre sur la pratique sportive et comment celle-ci peut parfois entraîner des commentaires sur l’apparence et le poids des personnes qui exercent un sport. C’est pourquoi le thème de la 9e édition est « Mise sur ce que ton corps peut faire, pas ce qu’il a l’air ».

L’ambassadrice pour cette nouvelle campagne est la danseuse professionnelle Kim Gingras. Elle ajoute sa voix aux efforts de l’organisme afin de sensibiliser la population aux conséquences des commentaires sur l’apparence et le poids en contexte de pratique d’activités physiques.

« La mission de cette campagne me tient grandement à cœur. Être jugée sur mon physique est devenu une norme dans mon métier. Quand on me voit entrer sur scène ou en audition, on analyse d’abord mon apparence. Je sais donc exactement c’est quoi de se remettre en question en raison d’un seul commentaire » souligne Kim Gingras.

La campagne se déroule principalement sur les réseaux sociaux, dont sur Instagram et sur TikTok. Un défi a même été lancé sur TikTok avec le mot-clic #défiÉquiLibre.

Cette campagne de l’organisme ÉquiLibre est tellement importante! N’hésitez pas à la partager avec vos jeunes.

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Petites idées cadeaux pour faire plaisir aux papas

(CHRONIQUE)

L’idée d’un petit Noël simple cette année me plaît beaucoup, alors j’y vais pour des cadeaux simples. J’ai cherché quelques idées pour les hommes qui m’entourent. Comme toujours, j’ai jeté mon dévolu sur des créations québécoises, des produits bios, des idées à petit coût et des créations personnalisées. Je vous partage cette petite liste de Noël.

Produits pour le corps

Les produits pour le corps; ça fait également mon bonheur puisque j’adore l’odeur des produits des gammes de soins masculines. Les odeurs de pin et de sapinage, ça me parle.

La crème à main BKIND, produit pensé et conçu au Québec aux propriétés nourrissantes et réparatrices. C’est un produit végane à base d’huiles essentielles aux odeurs d’homme des bois. Avouez qu’on aime les mains adoucies qui ne font pas de mailles dans nos bas collants des Fêtes!

La pommade coiffante pour un look coiffé décoiffé. Les industries Groom est le chef de file dans la conception de produits corporels écologiques pour hommes . La gamme complète est confectionnée chez nous, à Montréal.

Les soins de barbe Pur|om. J’ai un gros kick sur la crème à raser en barre. En plus de diminuer l’empreinte écologique, les crèmes en barre sont, selon ce qu’on en dit, hydratantes et très soyeuses à l’utilisation. Elles laissent derrière elles des joues douces à sentir et… à embrasser!

Crédit:purom.ca

Produits du terroir

Les alcools québécois et autres produits du terroir sont aussi d’excellentes idées parce qu’on aime partager un petit moment de gâterie avec notre chéri.

Les vins biologiques; petit coup de cœur ici pour les vins biologique orange. Ce qui est formidable avec ces vins bios, c’est que la soirée peut s’arroser plus longuement et fait moins de dégâts sur le corps au petit matin! Plaisir et goût garantis.

Les spiritueux québécois; la folie de Gin est à nos portes. Mon préféré : La Radoune, gin gaspésien agrémenté d’épices aux champignons. J’aime surtout son nom. Une petite Radoune avec ça!? Les produits de la distillerie Les Subversifs de Sorel-Tracy sont également d’excellents choix.

Les thés, les épices, les gelées et le chocolat pour nos épicuriens. Mon produit coup de cœur; le mélange d’épices autochtones Les épices du guerrier. C’est un mélange d’assaisonnements naturels utilisé jadis par les ancêtres autochtones. J’ai trouvé le mien à la boutique écologique Folles d’ici.

Crédit:follesdici.com

Une garde-robe actualisée

Je propose aussi l’achat de vêtements parfaits pour habiller père et enfants en twinning (maman aussi, tant qu’à y être!)

Les vêtements de la boutique Tic Tac Bow Kids sont personnalisables, unisexes et originaux. Allez y jeter un œil!

Considérez aussi le traditionnel et ô combien apprécié des papas, le t-shirt de Poches et fils. Personnalisez vos poches, pourquoi pas?

Sinon, la boutique Fait par une maman offre de très beaux duos pour toute la famille. Les couleurs et les motifs sont toujours aussi vivants et originaux.

Et vous, avez-vous des idées originales de cadeaux pour hommes? 

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Voici comment donner pour La guignolée des médias

2020 aura sans contredit été une année surprenante. Pour plusieurs familles, elle aura aussi été difficile. C’est pourquoi il est plus important que jamais de donner aux organismes si nous en avons la possibilité.

Du 23 novembre au 24 décembre, La guignolée des médias aura lieu à travers tout le Québec. Il y a plusieurs manières d’y contribuer, dont en donnant des denrées non périssables et des produits d’hygiène personnelle dans les 199 épiceries Maxi et Provigo et les 380 pharmacies Jean Coutu. Il est aussi possible de faire des dons en argent directement sur le site web de la guignolée ou en textant NOEL au 20222.

Comme la collecte de rue est malheureusement impossible dans le contexte de la COVID, la guignolée a eu l’idée de lancer un financement participatif via le site web La Ruche. Desjardins doublera les contributions jusqu’à une concurrence de 1 million de dollars!

Pour cette édition bien spéciale, une vingtaine de porte-parole soutiennent la cause, dont notamment Marina Bastarache, Bob Le Chef, Brigitte Boisjoli, Manal Drissi, Geneviève Everell, Ingrid Falaise, Katherine Levac, Livia Martin, Geneviève O’Gleman et Alex Perron.

Cette année, n’hésitez pas à donner à la guignolée des médias! Les familles d’ici en ont besoin.