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Tim Hortons souligne le Jour des camps avec une grande collecte de fonds

Tim Hortons souligne aujourd’hui le début d’une grande collecte de fonds pour les camps de sa fondation. Durant toute la journée du 13 juillet, la totalité des recettes du café chaud et du Tim Glacé vendus dans les restaurants Tim Hortons au Canada et aux États-Unis sera versée en dons au Camps de la Fondation Tim Hortons! Le Jour des camps est donc le moment PAR-FAIT pour s’acheter un bon café glacé (en plus, il annonce chaud aujourd’hui!).

 
 
 
 
 
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Cette grande collecte de fonds permettra aux camps de la Fondation Tim Hortons d’offrir un programme pluriannuel de développement du leadership chez des jeunes de 12 à 16 ans. Les camps offrent aussi des programmes scolaires et communautaires, et ils ont soutenu plus de 300 000 jeunes grâce à ça.  

 
 
 
 
 
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Outre le café chaud et le café glacé, il est aussi possible de se procurer un bracelet inspirant disponible en quatre couleurs vives. Chaque bracelet coûte 2$. Cette année, il sera aussi possible d’acheter une jolie paire de bas rouge et blanc sur la thématique du camp pour 5$. La totalité des recettes nettes sera aussi versée aux Camps Tim Hortons.

 
 
 
 
 
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Mine de rien, il s’agit déjà du 31e anniversaire du Jour des camps! Cet engagement de Tim Hortons auprès des jeunes est tout à fait admirable. Les camps Tim Hortons permettent à des jeunes de développer plusieurs aptitudes importantes comme le leadership, la persévérance et le sens des responsabilités.

« Beaucoup des jeunes que nous soutenons n’avaient jamais eu l’occasion de vivre une expérience de camp ou de voyager en dehors de leur ville. Nos camps de séjour sont uniques et marquants. Ils permettent aux jeunes de développer rapidement des aptitudes essentielles, de rencontrer des gens et de tisser des liens avec leur communauté pour mieux faire face aux situations difficiles », explique Graham Oliver, propriétaire de restaurant Tim Hortons et président des Camps de la Fondation Tim Hortons.

« Nous mettons les jeunes au défi et nous les aidons à voir le meilleur d’eux-mêmes. Nous travaillons avec eux pour les aider à tracer leur propre chemin et à changer leur avenir. »

Bref, ne tardez pas à vous procurer un café glacé aujourd’hui et profitez-en pour encourager les camps de la Fondation Tim Hortons!

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Les écrans, anges ou démons?

Avant de devenir mère, je pensais que mes enfants ne regarderaient jamais les écrans avant au moins trois ans. Au GRAND jamais! Puis, j’ai eu des enfants, en pleine pandémie en plus… Je vous laisse imaginer qu’ils ont regardé beaucoup plus d’écrans que ce qui est officiellement recommandé. Effectivement, les recommandations officielles sont d’éviter les écrans le plus possible avant l’âge de trois ans. Cependant, nous sommes tous parents et nous savons que ce n’est pas toujours facile. En effet, les écrans font maintenant partie de la vie. Bienvenue en 2022, tout le monde! En premier lieu, en tant que parents, nous devons déculpabiliser. Oui, les écrans font partie de la vie. Ils ne sont ni anges ni démons. Il sont juste des écrans, à utiliser intelligemment et modérément, selon votre réalité familiale et votre conception des choses. Si vous voulez les éviter au maximum, il est possible pour vous de le faire et c’est génial. Au contraire, si pour vous, les écrans sont une belle solution pour que votre santé mentale soit préservée, c’est super aussi. Avec ou sans écran, votre enfant se sent aimé ? Il peut compter sur votre soutien? C’est véritablement l’essentiel! Le reste dépend uniquement de vous et de votre réalité familiale qui est unique. Par exemple, une famille pourrait déterminer que les écrans sont permis uniquement le samedi alors qu’une autre famille pourrait les permettre tous les matins de la semaine. Aucune de ces familles n’est meilleure que l’autre. Chaque réalité est différente. Vous pourriez établir des règles claires ou ne pas en établir aussi. Il existe tout de même de petits trucs pour accompagner nos enfants dans cette ère numérique, les voici!

Choisir avec soin les contenus audiovisuels

Crédit:Victoria Borodinova / Pexels

Il est pertinent de porter attention à ce que l’enfant regarde. Ce n’est pas parce que c’est un contenu pour les enfant que c’est adapté ou même intelligent. De notre côté, nous aimons particulièrement Passe-Partout, disponible sur TOU.TV, Ada Twist disponible sur Netflix ou encore le classique Encanto disponible sur Disney Plus.

Encourager une conversation par la suite et répondre aux interrogations de l’enfant

Cela permettra à votre enfant d’obtenir une réponse à ses questions s’il en a. C’est le cas notamment des contenus aux sujets un petit peu plus sensibles. De plus, cela vous permettra d’échanger ensemble!

Se garder des temps sans écran

Crédit:Kampus Production/Pexels

Vous pourriez instaurer certaines balises quant au moment d’utilisation des écrans, par exemple, pendant le souper. Se garder un temps familial sans écran vous permettra de connecter ensemble.

Si possible, éviter leur utilisation juste avant le dodo

Les écrans nuisent au sommeil lorsqu’ils sont utilisés dans les heures précédant l’heure du coucher. Si cela est possible, vaut mieux les éviter avant de coucher nos enfants (cela s’applique pour les adultes aussi!).

 L’enseignement d’une bonne utilisation

Nos enfants grandiront dans un monde numérique, c’est un fait. Le numérique est parfois super positif. En effet, qui n’aime pas se faire une soirée cinéma dans le confort de chez soi ? Retrouver de vieux amis depuis longtemps perdus sur les réseaux sociaux ou alors publier des photos artistiques sur Instagram ? Malgré tout, Internet doit être utilisé de la bonne façon et vous pouvez enseigner certains principes de base à vos enfants. Par exemple, vous pourriez leur montrer de porter attention aux images qu’ils publieront ou de ne pas parler à des inconnus, etc.

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Mon enfant est colérique, que faire?

Vous avez du plaisir avec votre enfant, puis tout à coup, le tonnerre gronde, la tempête s’en vient… BOUM, des cris, des pleurs, des coups, peut-être même des morsures. Votre enfant a de la difficulté à gérer sa colère et vous ne savez plus comment faire pour l’aider. Tout d’abord, rassurez-vous, votre enfant est tout à fait normal. Effectivement, même les adultes ont parfois du mal à gérer leur colère, il s’agit d’un apprentissage qui dure souvent toute une vie! Cependant, il est vrai qu’il faut accompagner et aider notre enfant dans cet apprentissage afin que sa colère ne se déverse pas sur nous ou sur les autres. Voici donc 5 petites astuces pour aider votre enfant. Sachez que tous les enfants sont uniques et il se pourrait que certains trucs ne soient pas adaptés à sa réalité ou à la vôtre. Utilisez cette liste comme un buffet et prenez ce qui vous convient uniquement!

Laisser l’enfant vivre son émotion

Crédit:Croyde Bay /Unplash

L’émotion est telle une tempête dans l’océan, elle passe et nous devons la laisser venir, la vivre pleinement et la laisser partir, ensuite. Cependant, en combattant les vagues ou en voulant trop les éviter, nous pourrions nous y noyer. L’émotion est là, il serait inutile de dire à l’enfant de ne pas être en colère ou de ne pas pleurer. Afin de permettre à votre enfant de vivre son émotion jusqu’à ce qu’elle passe, vous pourriez lui dire des choses comme ceci : « Je comprends que tu es en colère », « C’est ton jouet favori, je comprends ce que tu ressens ». Souvent, en tant qu’adultes, nous minimisons ce que peuvent vivre les enfants, car, pour nous, un jouet n’est qu’un jouet. En revanche, pour l’enfant, c’est sa première vraie grosse perte et c’est É-N-O-R-M-E. D’ailleurs, même si l’enfant n’a pas de raison valable pour être en colère, il vit une émotion et doit la traverser, comme la vague. En lui offrant une attitude compréhensive, nous permettons à l’enfant d’être triste ou en colère, de manière acceptable, évidemment.

Le coin calme

Crédit:Monstera / Pexels

Nous avons écrit deux articles à ce sujet, vous pouvez les retrouver ici et ici. Le coin calme n’est pas un coin de punition, mais bien un coin où votre enfant pourra se défouler en toute liberté et surtout, pas sur vous.

Ne pas parler pendant la crise

Crédit:Anna Shvets / Pexels

Lorsque votre enfant est en crise, il est inutile de se lancer dans les grands discours, celui-ci n’entend plus rien. Le mieux serait de laisser la tempête passer et de prévoir un temps pour se parler ensuite. Évidemment, il pourrait être nécessaire de parler si le comportement de l’enfant est inacceptable, mais le mieux serait de garder les paroles au minimum. En cas de colère, vaut mieux placer l’enfant en sécurité et vous retirer également. Vous vous retrouverez après la tempête.

Donner l’exemple

Crédit:Keira Burton / Pexels

L’enfant apprend par l’exemple! En tant qu’humain, vous pourriez être en colère parfois ou vivre une tempête émotionnelle. L’important est de montrer l’exemple à votre enfant en vivant votre émotion sainement. Cela pourrait être de se retirer, de s’excuser auprès de votre enfant en cas de débordement, de bien respirer, etc.

Travailler la reconnaissance des émotions

Crédit:Victoria Borodinova / Pexels

En travaillant la reconnaissance des différentes émotions, l’enfant pourra mettre des mots sur ce qu’il ressent et le fait de comprendre pourrait l’aider à mieux se sentir lors de la tempête émotionnelle. Nous vous en proposerons plusieurs dans un prochain article! 

Et vous, quel truc fonctionne avec vos enfants?

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3 excellents trucs pour accompagner l’enfant dans son développement moteur

Ramper, marcher à quatre pattes, marcher sur deux pieds, sauter, courir, grimper, monter les escaliers… L’enfant développe constamment sa motricité globale et il apprend de nouveaux mouvements chaque jour! En effet, même quand ils ne semblent pas bouger, les enfants bougent! Par exemple, un bébé couché sur le ventre ne bouge peut-être pas beaucoup, mais il fait tant d’apprentissages qui lui permettront plus tard de relever la tête puis de ramper avant d’aller à quatre pattes. De plus, un enfant qui ne bouge pas va parfois observer les gens autour de lui pour comprendre comment effectuer un mouvement avant de se lancer dans l’expérimentation. Bref, les enfants apprennent constamment de nouvelles choses! Nous vous avons préparé une petite liste de 3 trucs afin d’accompagner vos enfants dans leurs apprentissages moteurs, la voici!

La motricité libre

 

Ce premier truc vous fera certainement économiser! En effet, avec cette théorie, nous oublions tout ce qui est siège pour bébé, comme les sièges sauteurs, etc. Selon la motricité libre, il vaudrait mieux laisser bébé au sol, sur le ventre ou sur le dos, en le laissant découvrir ses capacités physiques par lui-même et en bougeant à son rythme. Effectivement, asseoir le bébé qui n’a pas les capacités physiques de s’asseoir ne serait pas l’idéal. Si vous décidez d’utiliser cette technique, vous pouvez mettre de petits jouets attrayants autour de bébé afin de l’encourager à aller les chercher. Au tout début, les jouets seront très proches pour qu’il puisse les attraper avec les mains, ensuite, plus le bébé sera habile, plus vous pouvez éloigner les jouets. Vous pourriez aussi utiliser l’arche pour placer des jouets au-dessus de bébé. Pour ce qui est de placer bébé sur le ventre, les enfants n’aiment pas toujours cela, mais en commençant graduellement le bébé s’habituera à cette position et cela sera très bénéfique pour ses futurs apprentissages!

Montrer l’exemple

Crédit:Monstera / Pexels

En tant que parent, le temps nous manque souvent! Je suis la première à annuler mon cours de yoga par manque d’énergie ou de temps. Cependant, donner l’exemple est certainement une bonne façon d’encourager nos enfants à bouger sainement et dans le plaisir. Les enfants apprennent par l’exemple! Pas de panique ici, pas besoin d’être un athlète! L’essentiel est d’avoir du plaisir à bouger. Cela peut être de se permettre un cours de yoga de temps à autre, de marcher au parc avec notre enfant, de danser dans le salon en famille, de prendre un cours de sport parent-enfant, etc. Donc, oui bouger en famille et jouer avec vos enfants, mais aussi prendre du temps pour vous, car ça aussi c’est un exemple important à donner, celui d’un parent heureux qui prend un peu de temps pour lui. Bref, pourquoi ne pas danser dans le salon ce soir avant le dodo ?

Y aller selon les intérêts de l’enfant

Crédit:Rodnae Productions / Pexels

Votre enfant aime la danse, le soccer ou la natation ? Qu’il soit bébé ou plus grand, si on commence un jeu en s’inspirant des intérêts de notre enfant, il sera certainement beaucoup plus aimé! Par exemple, avec un jeune enfant, vous pourriez observer qu’il aime pousser ou tirer des objets. Vous pourriez alors proposer une poussette, un panier ou un jouet à tirer. Avec un enfant plus grand, si vous désirez l’inscrire à un cours, vous pourriez vérifier avec lui ce qu’il préfère. N’oubliez pas que l’essentiel est de s’amuser! Cela ne doit pas être une obligation, mais un plaisir!

Crédit:Les Bougeottes

Pour finir, nous voulons vous présenter une entreprise québécoise qui pourrait vous inspirer dans vos jeux moteurs avec vos enfants. Les Bougeottes est une entreprise se donnant pour mission de faire bouger les enfants dans le plaisir. Ils proposent différents jeux et cartes pouvant être utilisés à la maison ou à l’extérieur, en groupe ou seul. Pour nous, c’est une véritable découverte! Vous pouvez les visiter juste ici.

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Le Théâtre La Roulotte se promènera dans les parcs montréalais cet été!

Le Théâtre La Roulotte a été fondé en 1952 et on peut dire qu’il est le plus vieux théâtre pour enfants au Québec! Cet été, la Ville de Montréal a annoncé le retour du mythique théâtre qui pourra ainsi sillonner les parcs municipaux et présenter la pièce Le Nez. Ça tombe bien, puisque le Théâtre souligne ces 70 ans d’existence cette année!

Crédit:Théâtre La Roulotte

Le Nez est une adaptation libre du texte de l’auteur Nicolas Gogol, réalisée par Philippe Robert. En tout, 50 représentations tout à fait gratuites seront présentées dans plusieurs parcs montréalais du 27 juin au 19 août 2022.

Voici une description de la pièce :

Un matin d’été, monsieur Pierre, professeur, découvre à son réveil que son nez a disparu! Paniqué, il se lance aussitôt dans une quête effrénée à travers la ville afin de le retrouver. Avec l’aide d’une jeune fille espiègle prénommée Anna, il tentera ainsi par tous les moyens de faire son chemin à travers les rouages absurdes d’une société qui le dépasse. Qui sommes-nous dans le regard des autres? Qui sommes-nous au-delà de ce regard? Ce sont à ces questions que s’attaque, de manière loufoque et touchante, cette fable surréaliste.

Crédit:Vincenzo D’Alto

« Dans les parcs de Montréal depuis 1953, le Théâtre La Roulotte est certainement le plus vieux théâtre pour enfants au Québec. C’est à travers lui que plus d’un million de jeunes de plusieurs générations ont eu un premier contact avec la magie du théâtre. Je souhaite une excellente saison aux jeunes artistes qui feront partie de notre production post pandémie! Aux Montréalaises et Montréalais de tous les âges et de tous les quartiers, je vous souhaite des moments uniques! », a déclaré la responsable de la culture et du patrimoine au comité exécutif, Ericka Alneus.

De plus, des ateliers participatifs et créatifs seront offerts par le Théâtre La Roulotte dans les bibliothèques de Montréal. Chaque atelier d’une durée de 50 minutes permettra aux enfants de se questionner tout en s’amusant! En lien avec la pièce Le Nez, l’atelier proposera un jeu de piste où l’on se questionnera avec imagination et sensibilité sur l’identité, notre perception et celle de l’autre. Les ateliers sont gratuits, mais il faut réserver sa place juste ici.

Pour plus d’informations sur la programmation, cliquez ici

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Les droits des femmes ne seront jamais acquis

« N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. »
 
Simone de Beauvoir le savait déjà. Et si nous, on l’avait oublié, la Cour suprême des États-Unis vient de nous le rappeler en invalidant l’arrêt Roe v. Wade, qui, chez nos voisins du Sud, était venu décriminaliser le recours à l’avortement en 1973Ce n’est pas une surprise : le mois dernier, une fuite de document avait laissé entendre que c’était dans les cartes. Mais jusqu’à aujourd’hui, il était encore permis d’espérer.
 
Aujourd’hui, fini l’espoir (ou le déni) : on est plutôt dans le surréalisme, voire l’anachronisme. De nos jours, les mythes ont pourtant été déboulonnés depuis longtemps : on sait qu’interdire les avortements n’en diminue pas le nombre : ça ne fait que les rendre dangereux. On sait qu’il est faux d’affirmer que les femmes utilisent l’avortement comme moyen de contraception. On sait que les avortements tardifs sont extrêmement rares. Mais peu importe : aucun argument factuel ne semble pouvoir venir à bout de cette idéologie pernicieuse qui n’a de cesse de s’attaquer aux femmes.
 
Car c’est d’une attaque directe contre les femmes qu’il s’agit. Sous le couvert du valeureux prétexte de « sauver des vies », on balaie celles des femmes sous le tapis. Pas un mot sur les femmes qui mourront des suites de leur grossesse ou en tentant d’obtenir un avortement par leurs propres moyens. Pas un mot sur celles qui s’appauvriront parce que leur grossesse non désirée les aura forcées à mettre sur pause, ou carrément à abandonner, leurs études ou leur carrière. Pas un mot sur les conséquences disproportionnées de cette atteinte au droit de choisir sur les femmes pauvres et racisées. Leurs vies à elles ne comptent pas dans l’équation. Si c’était le cas, tous ces efforts déployés pour les empêcher de contrôler leur propre corps seraient consacrés à la sensibilisation (de tous, hommes et femmes) et à l’accès aux moyens de contraception. Mais non : la vie des femmes n’intéresse personne.
 
Comme si ça ne suffisait pas, cette décision de la Cour suprême des États-Unis vient mettre en danger, là-bas, d’autres droits chèrement acquis, notamment par la communauté LGBT. L’avortement n’est-il que la première étape? On est en droit de s’inquiéter.
 
Il paraît qu’au Canada, le droit à l’avortement est mieux protégé. On va le croire. On va espérer que c’est vrai — car, disons-le, il n’y a pas de droit à l’égalité sans droit à l’avortement. Mais il reste qu’aujourd’hui, les droits des femmes semblent plus fragiles que jamais.
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8 trucs pour aider le sommeil de votre tout-petit

Le sommeil… AH, le fameux sommeil! Ce sujet cause bien de l’angoisse à de nombreux parents et nous en comprenons les raisons, effectivement, nous avons tous besoin de dormir! Lorsque nos enfants ne dorment pas ou dorment très peu, et que nous manquons également de repos, il nous est difficile de bien gérer le quotidien. Nous vous avons donc préparé une petite liste de conseils afin d’aider le sommeil de vos enfants. Cependant, il est important de noter que chaque enfant étant différent, certains conseils pourraient ne pas être adaptés à votre situation ou à votre enfant. À vous de faire une sélection!

Créer une routine apaisante

Crédit:Pavel Danilyuk/pexels

L’établissement d’une routine identique avant tous les dodos viendra rassurer l’enfant avant cette longue période de séparation. De plus, il vaut mieux éviter les écrans quelques heures avant le dodo (même pour les adultes!), afin de favoriser un bon endormissement. Par exemple, votre routine pourrait être celle-ci : bain, lecture, chanson et fermeture des lumières.

Avoir un objet de transition

Crédit:Karolina Grabowska / Pexels

Si votre enfant a un objet qui le rassure, cela pourrait l’aider à s’endormir seul. Par exemple, cela pourrait être la suce, le toutou ou la doudou.

Le cododo, oui ou non ?

Crédit:William Fortunato / Pexels

Dans certains cas, le cododo est la meilleure solution pour permettre un bon sommeil à toute la famille alors que dans d’autres cas, les membres de la famille dorment mieux chacun dans leur chambre. Cela dépend des parents et de l’enfant. Le cododo nécessite l’approbation de tous. Aucune des deux techniques n’est meilleure, tout dépend de vous!

Les siestes

Crédit:William Fortunato / Pexel

Parfois, nous croyons à tort que les siestes nuisent au sommeil. Au contraire, l’enfant est rassuré par une routine constante et maintenir sa sieste l’aidera à bien dormir le soir.

Faire des jeux calmes

Crédit:Pavel Danilyuk / Pexels

Avant de commencer votre routine du dodo, vous pourriez jouer à un petit jeu calme en famille ou laissez votre enfant faire de petits jeux calmes seul. Par exemple, vous pourriez faire des jeux de société, des dessins ou des casse-tête.

Pour l’enfant craignant les monstres

Crédit:Pavel Danilyuk / Pexels

Vous connaissez le vaporisateur chasseur de monstres? Mettez de l’eau colorée dans une bouteille et vaporisez la chambre de l’enfant en lui expliquant que ce vaporisateur chassera les monstres de la chambre. Ce petit truc semble complètement fou, mais il a fait ses preuves auprès de plusieurs enfants.

La veilleuse

Crédit:Willsantt / pexels

Certains enfants peuvent être rassurés par une petite veilleuse éclairant un peu la chambre. Le but est de rendre la chambre apaisante et propice à l’endormissement.

La chambre ne doit pas servir de lieu de punition

Crédit:Max Vakhtbovych / Pexels

Cela est parfois complexe à respecter, mais le but ici est simplement de garder la chambre comme un lieu de repos et de réconfort afin que l’enfant n’en vienne pas à percevoir sa chambre négativement. Dans le même ordre d’idée, nous pouvons essayer de garder la chambre bien rangée et de lui donner des couleurs calmes et apaisantes.

Bref, plusieurs petits trucs existent et c’est à vous de déterminer ce qui fonctionnera dans VOTRE famille. N’oublions pas que les jeunes enfants n’ont pas les mêmes cycles de sommeils que les adultes et que le sommeil, comme toute autre chose, est un apprentissage dans la vie de l’enfant. Je vous souhaite une bonne nuit!

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«Oh, il n’est pas ENCORE propre?», la phrase qu’on ne veut pas entendre!

C’est l’été et qui dit été dit : propreté! Oui, oui, propreté! Effectivement, plusieurs parents veulent profiter de la période estivale pour aider leurs enfants à utiliser les toilettes. C’est vrai qu’en été, mini peut se promener tout nu dans la maison, en espérant qu’il n’y ait pas trop de dégât! Cependant, est-ce vraiment la bonne stratégie?

Si votre enfant est prêt pour cet apprentissage, alors c’est super, allez-y! Cependant, si l’enfant n’est pas prêt, vous pouvez le mettre tout nu, en culotte ou toute la journée sur la toilette, rien ne fonctionnera. Effectivement, l’enfant a besoin d’acquérir certaines compétences avant d’être capable de faire pipi sur le pot. Par exemple, il doit être capable de s’asseoir seul sur cette toilette, de descendre et de remonter ses pantalons, de nommer son envie, de retenir son envie d’uriner et de comprendre des consignes simples.

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Malgré tout, ce n’est pas toujours facile de jongler entre cela et la pression faite par l’entourage. Eh oui, souvent, il y a une grande pression de l’entourage afin que l’enfant soit propre : « Oh, il a trois ans et il est en couche, mmmm… ». Ces petites phrases anodines peuvent sembler inoffensives, mais elles viennent parfois nous heurter dans notre rôle de parents : « Et si j’étais dans l’erreur ? ». Nous n’avons qu’une seule chose à dire : parents, écoutez votre instinct! Votre enfant ne démontre pas tous les signes de propreté, mais vous êtes persuadé qu’il est prêt? Écoutez-vous! Votre enfant démontre tous les signes, mais vous pensez qu’il a besoin d’un peu de temps ? D’accord! Écoutez-vous. La meilleure personne pour prendre soin de votre enfant, c’est vous. Non, vous n’êtes pas dans l’erreur, vous êtes le meilleur parent du monde pour votre tout-petit et c’est tout ce qui compte. Bref, les véritables clés d’un apprentissage à la propreté réussi sont très simples: faites-vous confiance, faites confiance à votre enfant et soyez patients. Bientôt, votre enfant accomplira ce grand apprentissage et vous serez rempli de fierté, faites-vous confiance.

Si vous avez besoin de petits outils qui pourraient encourager votre enfant à aller sur la toilette, voici notre top 8 des meilleurs outils! Bonne découverte!

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Quand l’heure du repas rime avec chaos

Est-ce que l’heure du repas est devenue chaotique à la maison ? Avez-vous droit à des refus de manger, des crises ou des refus de s’asseoir à la table? Cette période n’est pas facile dans toutes les familles et ce n’est pas faute d’essayer… Cela peut engendrer beaucoup d’angoisses pour les parents qui souhaitent tant que leurs enfants mangent sainement et suffisamment.

Un seul conseil : la simplicité. Oui, oui, vous avez bien lu! Le secret se cache dans la simplicité! Aussi simple que cela! Nous n’avons aucunement besoin de nous casser la tête avec 10 millions de théories éducatives, non, non! Les enfants n’ont pas besoin de grand-chose. Voici les quelques conseils simplistes afin de revenir à l’essentiel pendant le repas!

Quelques règles simples et constantes

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Choisissez vos règles, celles qui sont importantes pour vous et votre famille, puis soyez constants avec celles-ci. Par exemple, cela pourrait être de rester assis à la table pendant tout le repas, de ne pas lancer la nourriture ou de ranger son assiette après le repas. La constance est la clé. Ça vaut la peine de s’asseoir en famille afin de choisir les règles et de les écrire.

Cuisinez en famille

Crédit:Cottonbro / Pexels

Cuisiner en famille peut encourager l’enfant à manger et à goûter de nouveaux aliments. L’enfant sera naturellement curieux en préparant de nouveaux plats et il sera très content de faire une activité avec vous.

Faire de l’art culinaire

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Nous n’avons pas toujours le temps de faire cela, mais parfois, un petit sourire dans l’assiette peut encourager notre enfant à manger! Après tout, on mange d’abord avec les yeux…

Continuer de proposer

Crédit:Wendy Wei / Pexels

Si votre enfant mange peu de légumes, pas de panique! Continuer de proposer chaque aliment, votre enfant y goûtera certainement quand il sera prêt. Ça ne sera peut-être pas aujourd’hui, ni même demain, mais ça viendra. Goûter un nouvel aliment n’est pas nécessairement facile, même pour nous! L’important est que l’enfant y soit souvent exposé. Peut-être va-t-il commencer par le lécher, le cracher ou le repousser. Cependant, en persévérant, il pourrait très bien manger et adorer cet aliment dans les semaines à venir! Ne vous découragez pas!

Ne pas forcer

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Proposez tous les aliments à l’enfant et ne le forcez pas. Il ne mange pas? D’accord. Parfois, il est difficile en tant que parent de ne pas forcer notre enfant à manger, nous voulons tant qu’il se nourrisse! Cependant, il est possible que l’enfant n’ait pas faim. Les enfants doivent apprendre à écouter leur propre sentiment de satiété interne et nous pouvons les guider avec de petites phrases comme : « Y a-t-il encore de la place dans ton ventre ? », « si tu n’as plus faim, c’est correct », etc.

Manger en famille

Crédit:August De Richelieu / Pexels

En mangeant tous ensemble et en coupant les écrans, vous pouvez créer un temps sacré pour votre famille. D’ailleurs, les enfants seront plus enclins à manger puisqu’ils voudront faire comme leurs parents! De plus, vous pouvez profiter de ce temps pour discuter avec eux, vous aurez certainement de très belles conversations familiales.

Offrir un dessert

Crédit:Trang Doan / Pexels

Oui, oui, vous avez droit au dessert que l’assiette soit finie ou pas! Le dessert peut être nutritif comme un yogourt ou un fruit. Ainsi, l’enfant qui n’a pas aimé le repas pourra tout de même manger le dessert et avoir quelque chose à se mettre sous la dent.

Et surtout, amusez-vous!

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L’ABC du road trip familial avec de jeunes enfants

Ma famille habite la Rive-Sud de Montréal, celle de mon chum habite Rimouski. Entre les deux, 567 km, soit environ 5 h 45 de route sans s’arrêter, mais bien plus quand on doit manger, faire le plein, changer une couche et j’en passe. Nous avons fait la route un nombre incalculable de fois avec nos filles à toutes les étapes de la petite enfance (entre 3 mois et 4 ans). À l’approche des vacances estivales, certaines familles prendront la route pour faire de longues distances sans en avoir l’habitude. J’ai eu envie de vous partager mes meilleurs trucs pour conserver votre santé mentale et les quelques notions importantes à savoir pour vous préparer à cette étape stressante, mais obligée pour arriver à la destination désirée.

Être prêts !

La première chose qui semble être une évidence, c’est d’être prêts! Prêts à répondre à tous les besoins et requêtes qui se présenteront à vous au cours du long voyage. Tout doit se retrouver dans les quelques mètres carrés de l’habitacle. D’abord, il n’y a rien de pire qu’un bébé ou un jeune enfant qui a faim. Quand leur glycémie se met à descendre, on se sent comme dans une pub de Snickers! Apportez des collations et des bouteilles d’eau pour tous vos minis et conservez-les à portée de main. Allez-y pour des valeurs sûres, pas trop salissantes (sinon prévoyez-vous des lingettes humides).

Il n’est pas impossible que ce voyage vous fasse découvrir que l’un de vos enfants a le fameux « mal du transport ». Soyez prévoyant et demander du Gravol (ou autre médicament similaire) à votre pharmacien avant de partir. Un parent averti en vaut deux!

Les divertissements!

Ils sont essentiels parce que demeurer immobile plusieurs heures pour de jeunes enfants ça relève du miracle. Prévoyez donc une sélection de jeux et jouets qui sont des succès assurés et qui ont l’habitude de tenir votre enfant occupé longtemps. Privilégiez une variété dans le type de jouet (un livre, une tablette à dessin, une poupée, etc.). Pour des idées de jeux et jouets, je vous suggère cet article.

Quand les jouets ne font plus et que les enfants commencent à être impatients, je vous suggère d’avoir sous la main une playlist de chansons avec laquelle ils sont familiers. Un mélange de ce qu’ils aiment et de ce que vous aimez, bien que j’ai envie de vous dire que quand on est sur le point d’éviter une crise, on focus sur leurs chansons préférées!

Fort heureusement, voyager avec des passagers dans la petite enfance nous donne quelques fois des moments de répit pendant les siestes. N’oubliez pas de prévoir suces (avec un S), toutou et/ou doudou pas trop loin. Ils seront essentiels pour assurer un voyage vers le pays de Morphée pour votre tout-petit. 

Ce n’est pas une course!

Il ne faut pas être pressé quand on voyage avec de jeunes enfants à l’arrière. Leur besoin de bouger est essentiel à leur développement et c’est très contre-intuitif de rester assis aussi longtemps. Faites des arrêts pour bouger. Juste prendre le temps d’aller aux toilettes et de courir dans une halte routière peut être très bénéfique. Certains endroits sont très bien organisés pour ça (allô la halte Madrid 2.0 avec son module de jeux extérieur!).

Par contre, ne planifiez pas trop vos arrêts. Le nombre de fois où nous avons soupé à Saint-Hyacinthe au lieu de Drummondville parce que ça se plaignait trop sur la banquette arrière! 

La sécurité avant tout!

Collations, bouteilles d’eau, jouets, c’est bien beau tout ça, mais c’est important que l’intérieur de l’habitacle demeure dans la mesure du possible le plus sécuritaire. Savez-vous qu’un objet volant dans un véhicule lors d’une collision prend 30x son poids? Ce qui signifie que le toutou qui ne pèse qu’une plume deviendra un projectile dangereux lors d’un accident sérieux. Laissez donc à la maison vos gros livres cartonnés et priorisez les magazines ou les livres de bain plus légers. Faites une rotation de jouets durant le trajet, plutôt que de les laisser traîner ici et là sur la banquette arrière. Pensez ranger les livres dans les pochettes des sièges devant eux et rassembler tous les petits morceaux de jouets dans un bac solidement déposé au sol ou dans des compartiments accessibles de la voiture lorsque possible.

Pour vos collations, évitez d’en donner aux mangeurs encore malhabiles sur la route et choisissez-les avec un risque d’étouffement moins élevé. Par exemple, troquez les crudités pour la compote de pommes en sachet. Quand vos trésors sont solidement attachés à 100 km/h sur la 40, il devient plus difficile d’intervenir en cas d’étouffement.

Avant de terminer, je me permets un petit clin d’œil à vos voyages en saison froide. Partez la voiture quelques minutes en avance et attachez vos enfants à l’intérieur sans gros manteau d’hiver. Vous vous assurez ainsi que la ceinture est installée le plus près du corps possible. Et pour sortir et entrer coco ou cocotte de la voiture à -30, procurez-vous un petit poncho à enfiler facilement ou emballez-le tout simplement dans une grosse couverture.

Été comme hiver, ne vous laissez pas avoir par la tentation de régler les ceintures de sécurité plus lousses ou d’ajouter des accessoires de type coussin ou oreilles d’éléphants dans les bancs d’auto des tout-petits. Ils n’améliorent pas vraiment le confort de votre enfant, et seront dangereux en cas de collision. Pour plus de détails sur la sécurité routière, je vous encourage à consulter une technicienne certifiée en sécurité des enfants passagers (TSEP) avant de partir. Si vous ne l’avez jamais fait, c’est pratique et gratuit!

Sur ce, bon voyage et bonne route!