Selon FashionMag, le troisième joaillier mondial ordonne à ses fournisseurs qu’ils lui attestent que les pierres précieuses ne soient pas birmanes.
Un communiqué publié par Bulgari fait état des exigences : « Bien que l’entreprise n’ait jamais acquis de pierres directement du Myanmar (ex- Birmanie) mais seulement des marchés internationaux, elle a expressément demandé à ses fournisseurs des garanties sur la provenance géographique de leurs pierres précieuses. »
Cette décision fait suite aux annonces similaires de Cartier et Tiffany qui déplorent les conditions de travail effroyables dans les lesquelles sont extraits environ 700 joyaux annuellement.