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Pas d’chicane dans ma cabane: un film à découvrir!

Après La guerre des tuques, Le journal d’Aurélie Laflamme et Félix et le trésor de Morgäa, un nouveau film québécois pour jeunes sort cet été ! Pas d’chicane dans ma cabane est un long métrage estival idéal pour les enfants à partir de 9-10 ans jusqu’à 15-16 ans.

Ce film raconte l’histoire de Justine, une élève de 12 ans qui souhaite le divorce de ses parents qui passent le plus clair de leur temps à se chicaner. Avec ses ami·e·s, ils élaborent un plan pour réaliser le souhait de Justine. Ce sujet, bien que triste, est important pour les enfants qui voient et sentent les désaccords entre les adultes autour d’eux. Malgré tout, le film est lumineux et se termine sur une note positive.

Comme tout bon film jeunesse, l’histoire est remplie de moments drôles et d’autres plus touchants. Ce qui m’a le plus frappé lors de l’écoute c’est la magie de l’enfance présente tout au long du film. En effet, l’histoire est truffée de détails qui nous permettent de plonger dans le film et de revivre la magie de l’été, de l’amitié et de penser comme un enfant que tout est possible. Le scénario, la réalisation et le jeu des acteurs amènent une touche unique à une histoire de chicane régulièrement vécue par les enfants un peu partout. Un film d’été idéal à voir en famille ou bien juste entre ado!

Alors, on se rejoint au cinéma le plus près ?

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Cet organisme cherche à mettre fin au cycle de violence chez les jeunes

Nous avons récemment entendu parler de l’organisme LOVE grâce à une campagne menée par la Fondation TELUS pour un futur meilleur en collaboration avec LOVE et la personnalité publique Vanessa Pilon. On souhaitait vous glisser un mot sur l’organisme, puisqu’on considère qu’il fait un travail très important auprès des jeunes.

 
 
 
 
 
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L’organisme a été fondé en 1993 par Sheila Rudberg suite au meurtre de son mari aux mains d’un adolescent de 14 ans. Convaincue que le jeune était lui-même victime de violence, Sheila Rudberg a décidé de fonder LOVE afin de mettre une fin au cycle infernal de la violence et de l’agressivité. L’organisme se donne comme mission de permettre aux jeunes de s’épanouir, de forger des liens et de valoriser leur potentiel. LOVE propose une multitude de programmes aux participant.e.s afin de les aider à créer des relations saines et à développer leur confiance en eux.

 
 
 
 
 
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Récemment, et grâce à une collaboration avec la Fondation TELUS pour un futur meilleur, LOVE a organisé un événement avec la personnalité publique Vanessa Pilon. Appelé Carrière de rêve, l’événement a permis d’ouvrir une discussion importante avec les jeunes qui ont vu leur motivation professionnelle être affectée par la pandémie.

 
 
 
 
 
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L’événement fait partie de la programmation Art-média de LOVE qui comprend tout plein d’activités très intéressantes pour les jeunes.

Pour en savoir plus sur LOVE et sur la Fondation TELUS pour un avenir meilleur, cliquez sur ici et ici.

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Lettre à ma grande petite fille de treize mois

Treize mois et plus de cartons pour souligner les mois qui passent. On est ailleurs, y’a pas de doute, quoiqu’il y a longtemps que je t’ai gardée contre moi d’aussi longues minutes pour t’amener au sommeil. Ça m’aura pris 13 mois pour rédiger cette fameuse lettre dans ton journal de naissance. Plus d’un an pour trouver les mots, et tu sais quoi, je ne suis même pas certaine de les avoir réellement trouvés.

Tout ce temps, car c’est comme si avant, mon esprit était ombragé par un trop-plein d’émotions que je n’arrivais pas à maîtriser, à comprendre, à apaiser. Comme si j’errais dans la vie, à ne répondre qu’à tes besoins, mais délaissant les miens, ne trouvant plus mon chemin. On ne peut pas faire fi non plus du fait que ta première année de vie s’est écoulée en pleine pandémie. En fait, mon esprit s’est éclairci alors que tu avais environ huit mois, quand je me suis remise à penser à moi. C’est à ce moment que je me suis sentie atterrir dans notre vie, à avoir du plaisir, à apprécier te voir grandir, à te rejoindre dans tes rires, à te laisser t’abandonner dans mes bras. Il était temps maman, me diras-tu. Oui ma poulette, il était temps, mais maman en avait besoin, de ce temps.

Maman avait besoin de ce temps pour apprivoiser ce rôle plus grand que tout ce qu’elle avait connu auparavant. Maman avait besoin de souffler, mais n’avait pas l’espace pour le faire. Maman avait besoin de temps pour trouver sa place dans la maternité, pour dessiner sa façon bien à elle de s’acquitter de cette tâche colossale. Maman avait besoin de soutien, que quelqu’un lui tienne la main pour survivre au quotidien.

Treize mois ont passé depuis que tu es arrivée dans ce grand monde. Que nos vies ont été chamboulées de la plus belle et percutante des façons. Ma grande poule, maintenant que tu as 13 mois, je peux dire sans aucun doute à quel point c’est extraordinaire et un immense privilège d’être ta maman. À ta naissance, ça n’a pas été le coup de foudre, je l’admets un peu timidement, mais plutôt un coup de pelle qui m’a frappée de plein fouet. Mon amour s’est tissé au gré des doux (et moins doux) moments d’allaitement, des siestes collées, des moments de portage et même des crises aussi.

Tu grandis tellement vite, tu accumules les exploits et fais craquer mon cœur, qui fait plus mal, chaque fois. Dire qu’à tes premiers mois, on te décrivait comme douce, sereine et zen. Aujourd’hui, mon bébé, tu es vive, explosive, expressive et la douceur n’est là qu’à tes heures. Comme quand on partage encore ces doux moments rien qu’à nous, juste nous deux, ce lien si précieux. Tu n’as pas de demi-mesure et tu valses à toute allure entre grands élans d’indépendance et besoins forts d’être rassurée, collée serrée.

Mais tu sais quoi, mon bébé? Elle est belle ton intensité, il est énergisant ton besoin de bouger et c’est émouvant de voir ta déjà-grande envie de communiquer! Avec tes airs fiers et tes petits pas décidés, il est devenu clair que ta personnalité, tu ne l’as pas prise à côté et que tu m’en feras sûrement voir de toutes les couleurs.

Mais sache, mon bébé, qu’il n’y a pas plus grande motivation à m’améliorer que toi. Que la vie ne pouvait pas mettre sur mon chemin une meilleure enseignante que toi. Parce que dans tes tempêtes, tu auras besoin que je t’accueille, que je contienne l’intensité, sans m’emporter avec toi. Tu auras besoin que je sois ton guide qui te tient la main dans les temps incertains. Qui te rassurera même quand moi aussi j’aurai peur.  Et je serai là, fidèle au poste. Pour toujours, à faire du mieux que je peux pour être un modèle dont tu seras fière et sur lequel tu pourras toujours te déposer en toute sécurité.

C’est le dernier mois que je soulignerai mon bébé. Continue de pétiller comme tu le fais spontanément chaque jour et maman, elle, va aller regarder des photos de toi pour ne jamais oublier comme le temps passe.

Ta maman qui t’aime à la folie!

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Ma relation amour-haine avec mes cheveux blancs

Depuis un certain temps, les quelques matins où je peux passer plus de 5 minutes devant le miroir – j’ai deux enfants en bas âge, donc ça m’arrive peu souvent – je fixe mes quelques mèches blanches qui parsèment ma crinière d’un brun foncé et je réfléchis. Je n’arrive pas à expliquer cette fixation, mais ces quelques minutes dans ma journée m’obsèdent. Parce que la vue de ces nombreux cheveux blancs me ramène à deux raisonnements existentiels : l’un sur le vieillissement et l’autre sur mon rapport à la beauté. Je sais c’est lourd comme sujet pour un matin de semaine quand j’ai le drap du lit encore étampé sur ma joue et que ma marmaille crie en sourdine, mais quand on est une jeune mère, on ne choisit pas nos pauses philosophiques. Elles vont et viennent à leur guise.

Mon histoire de cheveux blancs débute à 16 ans, le jour de mon bal. C’est ma coiffeuse de l’époque qui voit poindre le tout premier coupable dans ma très longue tignasse brune. Quel scandale! Entre nous, ce n’est pas une grande surprise. Mon grand-père, me dit-on, était poivre et sel à 25 ans et déjà tout blanc à 30. Donc ma mère, qui a de qui retenir, a débuté les teintures dans la première moitié de sa trentaine. Mon sort était déjà scellé! Un jour ou l’autre, le blanc dans mes cheveux serait précoce et je devrais a) l’assumer ou b) fuir la réalité.

Dans ma vingtaine, il y a bien eu quelques courageux spécimens ici et là qui se sont pointés le bout du nez, mais j’arrivais chaque fois à les arracher et à passer l’anecdote sous silence. Par contre, passé l’âge de 30 ans et après avoir enfanté à deux reprises, il me fallait capituler si je ne voulais pas passer tout mon temps devant le miroir. D’autant plus qu’en post-partum, on ne peut pas se vanter d’avoir une chevelure des plus abondantes. Les arracher aurait été synonyme de génocide du cuir chevelu et ma tête aurait été désertique.

Toujours est-il que depuis un certain temps, à la vue de ces mèches grisonnantes et dans l’impossibilité de nier leur présence, je me suis mise à me questionner religieusement sur leur pertinence sur ma tête. D’abord, il faut me connaître pour comprendre que d’aller chez la coiffeuse aux 6 semaines pour renouveler une teinture ne m’excite pas tellement. Encore moins de devoir me faire un shampoing à une fréquence encore plus rapprochée pour m’assurer d’un esthétisme adéquat.

De toute façon, je connais mon âge et je ne le cache pas quand on me le demande, alors où est le problème? Ce qui m’achale vraiment dans le concept, c’est que je n’ai que 36 ans et que je ne me sens pas du tout vieille! L’espérance de vie chez les femmes au Québec étant actuellement de 84 ans, il m’en reste pas mal plus en avant qu’en arrière. Et malheureusement, ce n’est pas ce que ma tête projette comme image. Ce qui est super embêtant (noter ici l’euphémisme du terme employé), c’est que nous vivons dans une société de double standard. Le nombre de fois où j’ai relevé le côté sexy d’un homme à la barbe ou aux tempes grisonnantes, et ce, même dans mes jeunes années. Pas de chances qu’un homme sorte le même discours à propos d’une femme. Mon conjoint vieillit tellement bien avec sa barbe grise et personne ne s’en préoccupe.

Ce n’est donc pas un problème de peur du vieillissement, mais d’acceptation de mon image corporelle. Moi qui aie passé ma vie d’adulte à me dire que l’opinion des autres m’importait peu, me serais-je trompé sur mes capacités à faire taire les standards sociaux imposés par la société? Le simple fait que je me pose des questions quotidiennement sur mes cheveux blancs me prouve que je ne suis pas imperméable aux dictats de mes contemporains. Je pense que c’est terrible de réaliser que si j’assume de les garder, je m’expose à devoir porter une étiquette. Je ne suis plus le reflet de la jeunesse et de la beauté que j’arborais jadis. Et ce, même si je me sens jeune et que je le suis, justement!

En fin de compte, quand je les regarde mes lignes blanches naturellement parsemées à l’intérieur de ma chevelure, ça a quelque chose d’esthétique, d’original. De toute façon, je n’ai plus les seins d’avant, mon bassin a vu traverser deux mini-moi et j’ai même deux, trois rides qui ne disparaissent pas même quand je ne souris pas. Les signes du temps sont bien présents sur moi. Mon corps n’est peut-être plus aussi jeune et désirable aux yeux des autres, ceux qui sont à l’extérieur de mon foyer familial aimant, mais mon clan, lui, m’aime d’un amour inconditionnel. Et pour l’instant, je pense que je vais continuer de capitaliser là-dessus. Leur donner tout mon temps… plutôt que de le donner à ma coiffeuse!

Quel est votre rapport avec les signes du vieillissement? Vous les gérez bien?

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Souris Mini lance dès maintenant une plateforme de revente seconde main

Grande nouvelle pour les parents : Souris Mini vient tout juste d’annoncer le lancement d’une plateforme de revente seconde main! Cette plateforme se veut sécuritaire et collaborative, favorisant et facilitant ainsi les échanges entre les parents vendeurs et les acheteurs de la grande communauté Souris Mini.

 
 
 
 
 
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En plus de permettre aux personnes de vendre des vêtements qui ne sont plus utilisés et à d’autres d’acheter de la qualité à bon prix, Souris Mini contribue à protéger l’environnement avec cette initiative. Ça respecte d’ailleurs l’une des missions de l’entreprise qui est d’opter pour du développement durable et de réduire son empreinte écologique afin de contribuer à l’avenir des enfants.

 
 
 
 
 
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La plateforme est vraiment simple d’utilisation. Le concept est le suivant : chaque vendeur crée sa propre « boutique » personnalisée afin d’y ajouter ses articles Souris Mini. Les acheteurs peuvent ainsi découvrir l’offre de vêtements des différentes boutiques personnalisées. Une fois l’achat passé, le vendeur est responsable de l’envoi du colis. L’acheteur et le vendeur pourront communiquer ensemble via la messagerie afin de coordonner le meilleur moyen de livraison. Le paiement est ensuite donné dans sa globalité sous forme d’une carte-cadeau Souris Mini remise au vendeur. L’entreprise bonifie de 10% le montant de chaque carte-cadeau.

 
 
 
 
 
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De plus, d’ici au 30 juin, Souris Mini plantera un arbre pour chaque « nouvelle boutique » qui sera créée sur la plateforme!

C’est vraiment un chouette concept qu’on vous invite à découvrir juste ici

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On a trouvé LA solution parfaite pour identifier les vêtements des minis

Connaissez-vous la compagnie québécoise Colle à moi? Non? Je ne la connaissais pas non plus il y a quelques semaines et depuis, elle a complètement changé ma vie! Pour être plus précise, elle a changé la game lorsqu’il est question de cette tâche répétitive et ennuyeuse que je n’aime pas particulièrement (pour ne pas dire que je la déteste, tout simplement): l’identification des vêtements de mon fils. 

Voyez-vous, mon fils vient de faire son entrée à la garderie. Et, tout de suite après le stress de me séparer de lui pendant de longues heures sur une base quotidienne pour la première fois depuis sa venue au monde, est venu le stress d’identifier tous ses vêtements. Armée de mon fidèle Sharpie, j’ai d’abord identifié au jour le jour les vêtements que je plaçais dans son sac à dos de garderie. Je ne pouvais pas me motiver à tout identifier d’un coup; c’était une tâche trop colossale et répétitive pour moi. Il faut aussi dire que je n’étais pas particulièrement ravie du résultat alors que les trois lettres de son prénom s’étiraient et se déformaient sur les étiquettes parce que l’encre du marqueur était absorbée par le tissu. Pour le dire simplement; ça faisait la job, mais ce n’était pas top. 

Puis, comme si elle avait senti mon problème, l’entreprise Colle à moi m’a contactée pour tester ses produits: de jolies étiquettes personnalisables pour identifier les vêtements (et autres items comme les fournitures scolaires) des enfants. Je ne savais même pas qu’un tel produit existait et c’était pour moi une découverte révolutionnaire, rien de moins. Restait à voir si ces étiquettes étaient véritablement à la hauteur des belles promesses de la compagnie: des étiquettes qui résistent à l’enfance (et au lavage). J’étais prête à leur faire subir le test du quotidien et du lavage laveuse-sécheuse!

 
 
 
 
 
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La compagnie propose deux types d’étiquettes; les autocollantes et les thermocollantes. Les premières peuvent être apposées sur les étiquettes d’entretien des vêtements (vous savez, les petites étiquettes soyeuses qu’on retrouve habituellement dans la couture latérale à l’intérieur d’un vêtement) ou sur les jouets, les fournitures scolaires ou tout autre item, alors que les secondes peuvent être apposées à l’aide d’un fer à repasser directement sur les tissus.

Ces étiquettes sont par ailleurs personnalisables: vous pouvez choisir un joli design parmi les 29 (!) qui sont proposés ainsi qu’une des quatre polices d’écriture, puis inscrire le prénom et le nom de votre enfant (ou son surnom, si vous préférez). Il est aussi possible de se procurer une étampe à vêtements, elle aussi personnalisable avec un choix de police d’écriture, qui vous permettra d’identifier rapidement jusqu’à 500 morceaux de votre enfant!

 
 
 
 
 
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J’ai personnellement reçu une série d’étiquettes autocollantes et je manque de mots pour vous exprimer ma satisfaction. Quand je disais plus haut que ce produit est un véritable « game changer », je n’exagérais pas. Lorsque je veux identifier les vêtements de mon bébé avant sa journée à la garderie, il me suffit de sortir mes petites étiquettes, d’en apposer une sur l’étiquette d’entretien, presser quelques secondes, et voilà! Sachez toutefois qu’il faut attendre 24h avant de laver le vêtement; c’est donc préférable de s’y prendre un peu d’avance au cas où l’item revient souillé de la garderie et qu’on a vraiment envie de le lancer dans la laveuse. Vous savez exactement de quoi je parle. De plus, sachez que les étiquettes autocollantes sont à l’épreuve de la lessive, mais aussi du lave-vaisselle et du micro-ondes. Vous pouvez donc identifier les assiettes, les bols et les gobelets de votre enfant (et plus encore!).

Si vous avez envie de découvrir ces produits révolutionnaires (je suis fan, je crois que c’est assez clair), la compagnie propose une offre à la carte ainsi que différents ensembles, selon vos besoins. Vous pouvez explorer le tout sur le site de Colle à moi.

Je tiens à préciser que j’ai reçu ces étiquettes gratuitement, mais que je ne suis pas payée pour en parler. Je suis sincèrement émerveillée par ma découverte!

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Les insectes s’invitent à l’Aquarium du Québec cette fin de semaine!

Le rendez-vous est donné à l’Aquarium du Québec cette fin de semaine! L’emplacement accueille le chouette Festival des insectes les 23 et 24 avril grâce à une collaboration avec La Bibitte mobile. Ainsi, c’est plus de 10 000 insectes vivants ou naturalisés qui seront présentés lors de cette 9e édition du Festival!

 
 
 
 
 
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Une grande variété d’insectes sera présentée, ce qui fait que les petit.e.s curieux.ses en verront de toutes les couleurs! Il sera même possible de manipuler des tarentules et de goûter à des ténébrions (pour les plus aventurier.ère.s!). De plus, une foule d’activités sont organisées afin que les familles profitent au maximum du Festival des insectes. Il y aura notamment une causerie entre l’entomologiste Pierre-Olivier Ouellet et Victor l’Insecteur sur les Pokémon! Eh oui, ces créatures de notre enfance sont directement inspirées du fabuleux monde des insectes.

 
 
 
 
 
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Pour participer au Festival des insectes, il suffit de se procurer un billet d’accès quotidien à l’Aquarium du Québec. L’activité spéciale est incluse dans le prix.

Voici un court aperçu de ce qui vous attend cette fin de semaine à l’Aquarium du Québec!

Procurez-vous vos billets ici

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Evive lance une campagne de sensibilisation au profit du Club des petits déjeuners

L’entreprise québécoise Evive, qui propose de délicieux smoothies, soupes et bien d’autres produits, a décidé de lancer une campagne de sensibilisation durant tout le mois d’avril. Cette campagne se fait en collaboration avec le Club des petits déjeuners et Evive Smoothie se donne l’objectif d’amasser 50 000$, soit l’équivalent de 11 200 déjeuners pour les enfants dans le besoin.

 
 
 
 
 
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Cette collaboration va de soi puisque la mission d’Evive est de rendre accessible la saine alimentation. C’est d’ailleurs la quatrième année consécutive qu’Evive organise des initiatives diverses avec le Club des petits déjeuners, comme des collectes de fonds, la distribution de smoothies dans les écoles et des campagnes annuelles.

 
 
 
 
 
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Ainsi, pour chaque commande passée durant le mois d’avril, des smoothies seront remis par Evive au Club des petits déjeuners afin que les enfants aient accès à des repas nourrissants.

Pour plus d’informations sur cette belle campagne, cliquez ici

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Rihanna est magnifique avec son baby bump sur la une du magazine Vogue

Récemment, nous vous présentions les magnifiques looks de grossesse éclatés et originaux de Rihanna. Depuis que la chanteuse et femme d’affaires a dévoilé sa grossesse, elle ne cesse de nous surprendre avec son style qui révolutionne les tendances en looks de maternité. Évidemment, son style n’est pas pour fait pour tout le monde, mais elle permet de prouver qu’une femme enceinte peut absolument accueillir et montrer son côté sexy tout au long de sa grossesse si c’est ce qu’elle désire!

 
 
 
 
 
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Aujourd’hui, le célèbre magazine Vogue a dévoilé la une de son magazine de mai avec nulle autre que la superbe Rihanna! On peut voir la chanteuse complètement magnifique dans un ensemble une pièce moulant en dentelle. Le résultat est surprenant et nous permet d’admirer encore plus le mignon bedon de la vedette!

 
 
 
 
 
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Rihanna n’en est pas à sa première une pour le magazine Vogue! En effet, il s’agit de la septième fois déjà qu’elle prend la pose pour l’équipe d’experts. Évidemment, cette fois-ci, la petite (grosse) différence est qu’elle est enceinte! Lors de son entrevue avec le magazine, elle parle notamment de sa grossesse, de sa vision de la parentalité et du fait qu’elle espère être à la fois une « enseignante et une élève » par rapport à son bébé.

 
 
 
 
 
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Elle aborde aussi la question de son style en disant simplement qu’elle espère fortement qu’il sera possible de redéfinir ce qui est « décent pour les femmes enceintes ».

« Mon corps fait d’incroyables choses en ce moment et je ne vais pas être gênée de ça. Ce moment devrait être célébré. Pourquoi devrait-on cacher notre grossesse? »

 
 
 
 
 
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On ne pourrait pas être plus en accord avec Ri Ri!

Pour lire l’entrevue complète (en anglais), cliquez ici

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5 bonnes raisons de tomber enceinte au printemps

Vous sentez cette odeur? Ouvrez la porte. Faites fi de votre propreté corporelle ou des fraîches selles dans la couche de votre mignon. Allumez vos glandes olfactives. Éteignez vos écrans. Respirez un grand coup. Ça sent… Un air de printemps. Ça sent… Le retour du beau temps. Ça sent… un « je ne sais quoi » qui donne envie de changer d’air, voire tout renouveler. Chez nous, c’est l’appel de la maternité, trois en trois, qui s’est fait sentir, au doux printemps. J’imagine que mère nature entre en symbiose avec mes hormones quand les arbres bourgeonnent. Je remercie la vie pour ce terreau fertile.

Si vous avez ressenti cet appel de la nature, vous aussi, ou que la vie croît nouvellement en votre ventre, sachez que bébé naîtra théoriquement en fin d’automne ou en hiver. Et il y aura des avantages qui sauront vous plaire. Alors voici 5 points positifs à une maternité qui s’échelonne sur printemps-été-automne:

1. Les nausées et la fatigue sont à leur maximum au premier trimestre.

Quoi de mieux que de se reposer, au printemps? On se réveille tout doucement, au rythme des bourgeons, ou on sieste longuement. Il y a souvent peu d’activités au menu, dans ces mois de météo imprévisible. Alors, on y va au jour le jour! On fait le plein de repos ou de petites marches légères. Et si les pieds nous enflent, on quitte rapidement nos bottes! Nos manteaux s’allègent, au rythme où nos vêtements se font plus serrés. Ça tombe bien! Les gougounes et robes lousses arrivent à grands pas! Hé oui!

De plus, l’énergie revient au deuxième trimestre, soit juste à temps pour les beaux jours d’été, les barbecues entre amis ou les baignades qui allègent la bedaine en croissance. On se crème et on savoure les premiers mouvements de bébé!

Et quand l’automne revient, que les journées raccourcissent et que le ventre nous pèse, on profite des couleurs d’automne pour immortaliser notre binette enceinte. On retourne au repos ou au magasinage des derniers articles requis, pendant les nombreuses journées de pluie.

2. Lorsqu’on se reproduit au printemps, bébé naîtra près du temps des fêtes, assurément.

Avant ou après Noël; c’est une occasion en or pour présenter notre mignon à la famille ou encore faire jaser les matantes quant à la taille de notre ventre. On peut aussi opter pour le cocooning et utiliser bébé comme prétexte pour des Fêtes moins occupées.

3. Une fois bébé arrivé, les courtes journées d’automne et d’hiver nous déculpabilisent de dormir au gré de nos besoins.

L’obscurité favorise les siestes impromptues. On regarde bébé, au lieu de courir mille activités. On fait la larve, aux côtés de notre nouveau-né, on se berce, dans un tricot réconfortant. On met du linge mou et on ne se préoccupe pas de notre ventre tout aussi mou. Personne ne le verra encore avant bien des mois.

4. Bébé grandit, le printemps revient.

On sort la poussette et on retrouve de l’énergie. Les six mois de notre coco se coordonnent avec la venue des rayons UV, soit juste au moment où l’application d’écran solaire FPS devient « ok »! On sort nos chapeaux. Finis les habits de neige ou le Coulou! On alimente sa curiosité et ses sens nouvellement aiguisés! On lui met les pieds nus, l’été venu. On laisse notre mignon explorer le gazon, la douce brise du vent ou le sable chaud. On fait des promenades en poussette, le soir venu. On retrouve un brin de vie sociale, mocktail ou cocktail à la main!

5. Le temps des purées ou de l’alimentation autonome arrive pratiquement au même moment où la nature est à son summum.

Les fruits et légumes locaux sont de retour et regorgent de vitamines. Les couleurs de notre panier sont un véritable spectacle pour les yeux de notre nouveau gourmand. On fait la tournée des marchés ou on récolte le fruit de notre potager et on en fait bénéficier notre chanceux poupon.

Alors, à tous les parents qui ont semé la graine du bonheur ou qui le feront prochainement, sachez que l’aventure sera remplie de côtés positifs!