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On a trouvé LA solution parfaite pour identifier les vêtements des minis

Connaissez-vous la compagnie québécoise Colle à moi? Non? Je ne la connaissais pas non plus il y a quelques semaines et depuis, elle a complètement changé ma vie! Pour être plus précise, elle a changé la game lorsqu’il est question de cette tâche répétitive et ennuyeuse que je n’aime pas particulièrement (pour ne pas dire que je la déteste, tout simplement): l’identification des vêtements de mon fils. 

Voyez-vous, mon fils vient de faire son entrée à la garderie. Et, tout de suite après le stress de me séparer de lui pendant de longues heures sur une base quotidienne pour la première fois depuis sa venue au monde, est venu le stress d’identifier tous ses vêtements. Armée de mon fidèle Sharpie, j’ai d’abord identifié au jour le jour les vêtements que je plaçais dans son sac à dos de garderie. Je ne pouvais pas me motiver à tout identifier d’un coup; c’était une tâche trop colossale et répétitive pour moi. Il faut aussi dire que je n’étais pas particulièrement ravie du résultat alors que les trois lettres de son prénom s’étiraient et se déformaient sur les étiquettes parce que l’encre du marqueur était absorbée par le tissu. Pour le dire simplement; ça faisait la job, mais ce n’était pas top. 

Puis, comme si elle avait senti mon problème, l’entreprise Colle à moi m’a contactée pour tester ses produits: de jolies étiquettes personnalisables pour identifier les vêtements (et autres items comme les fournitures scolaires) des enfants. Je ne savais même pas qu’un tel produit existait et c’était pour moi une découverte révolutionnaire, rien de moins. Restait à voir si ces étiquettes étaient véritablement à la hauteur des belles promesses de la compagnie: des étiquettes qui résistent à l’enfance (et au lavage). J’étais prête à leur faire subir le test du quotidien et du lavage laveuse-sécheuse!

 
 
 
 
 
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La compagnie propose deux types d’étiquettes; les autocollantes et les thermocollantes. Les premières peuvent être apposées sur les étiquettes d’entretien des vêtements (vous savez, les petites étiquettes soyeuses qu’on retrouve habituellement dans la couture latérale à l’intérieur d’un vêtement) ou sur les jouets, les fournitures scolaires ou tout autre item, alors que les secondes peuvent être apposées à l’aide d’un fer à repasser directement sur les tissus.

Ces étiquettes sont par ailleurs personnalisables: vous pouvez choisir un joli design parmi les 29 (!) qui sont proposés ainsi qu’une des quatre polices d’écriture, puis inscrire le prénom et le nom de votre enfant (ou son surnom, si vous préférez). Il est aussi possible de se procurer une étampe à vêtements, elle aussi personnalisable avec un choix de police d’écriture, qui vous permettra d’identifier rapidement jusqu’à 500 morceaux de votre enfant!

 
 
 
 
 
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J’ai personnellement reçu une série d’étiquettes autocollantes et je manque de mots pour vous exprimer ma satisfaction. Quand je disais plus haut que ce produit est un véritable « game changer », je n’exagérais pas. Lorsque je veux identifier les vêtements de mon bébé avant sa journée à la garderie, il me suffit de sortir mes petites étiquettes, d’en apposer une sur l’étiquette d’entretien, presser quelques secondes, et voilà! Sachez toutefois qu’il faut attendre 24h avant de laver le vêtement; c’est donc préférable de s’y prendre un peu d’avance au cas où l’item revient souillé de la garderie et qu’on a vraiment envie de le lancer dans la laveuse. Vous savez exactement de quoi je parle. De plus, sachez que les étiquettes autocollantes sont à l’épreuve de la lessive, mais aussi du lave-vaisselle et du micro-ondes. Vous pouvez donc identifier les assiettes, les bols et les gobelets de votre enfant (et plus encore!).

Si vous avez envie de découvrir ces produits révolutionnaires (je suis fan, je crois que c’est assez clair), la compagnie propose une offre à la carte ainsi que différents ensembles, selon vos besoins. Vous pouvez explorer le tout sur le site de Colle à moi.

Je tiens à préciser que j’ai reçu ces étiquettes gratuitement, mais que je ne suis pas payée pour en parler. Je suis sincèrement émerveillée par ma découverte!

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Les insectes s’invitent à l’Aquarium du Québec cette fin de semaine!

Le rendez-vous est donné à l’Aquarium du Québec cette fin de semaine! L’emplacement accueille le chouette Festival des insectes les 23 et 24 avril grâce à une collaboration avec La Bibitte mobile. Ainsi, c’est plus de 10 000 insectes vivants ou naturalisés qui seront présentés lors de cette 9e édition du Festival!

 
 
 
 
 
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Une grande variété d’insectes sera présentée, ce qui fait que les petit.e.s curieux.ses en verront de toutes les couleurs! Il sera même possible de manipuler des tarentules et de goûter à des ténébrions (pour les plus aventurier.ère.s!). De plus, une foule d’activités sont organisées afin que les familles profitent au maximum du Festival des insectes. Il y aura notamment une causerie entre l’entomologiste Pierre-Olivier Ouellet et Victor l’Insecteur sur les Pokémon! Eh oui, ces créatures de notre enfance sont directement inspirées du fabuleux monde des insectes.

 
 
 
 
 
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Pour participer au Festival des insectes, il suffit de se procurer un billet d’accès quotidien à l’Aquarium du Québec. L’activité spéciale est incluse dans le prix.

Voici un court aperçu de ce qui vous attend cette fin de semaine à l’Aquarium du Québec!

Procurez-vous vos billets ici

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Evive lance une campagne de sensibilisation au profit du Club des petits déjeuners

L’entreprise québécoise Evive, qui propose de délicieux smoothies, soupes et bien d’autres produits, a décidé de lancer une campagne de sensibilisation durant tout le mois d’avril. Cette campagne se fait en collaboration avec le Club des petits déjeuners et Evive Smoothie se donne l’objectif d’amasser 50 000$, soit l’équivalent de 11 200 déjeuners pour les enfants dans le besoin.

 
 
 
 
 
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Cette collaboration va de soi puisque la mission d’Evive est de rendre accessible la saine alimentation. C’est d’ailleurs la quatrième année consécutive qu’Evive organise des initiatives diverses avec le Club des petits déjeuners, comme des collectes de fonds, la distribution de smoothies dans les écoles et des campagnes annuelles.

 
 
 
 
 
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Ainsi, pour chaque commande passée durant le mois d’avril, des smoothies seront remis par Evive au Club des petits déjeuners afin que les enfants aient accès à des repas nourrissants.

Pour plus d’informations sur cette belle campagne, cliquez ici

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Rihanna est magnifique avec son baby bump sur la une du magazine Vogue

Récemment, nous vous présentions les magnifiques looks de grossesse éclatés et originaux de Rihanna. Depuis que la chanteuse et femme d’affaires a dévoilé sa grossesse, elle ne cesse de nous surprendre avec son style qui révolutionne les tendances en looks de maternité. Évidemment, son style n’est pas pour fait pour tout le monde, mais elle permet de prouver qu’une femme enceinte peut absolument accueillir et montrer son côté sexy tout au long de sa grossesse si c’est ce qu’elle désire!

 
 
 
 
 
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Aujourd’hui, le célèbre magazine Vogue a dévoilé la une de son magazine de mai avec nulle autre que la superbe Rihanna! On peut voir la chanteuse complètement magnifique dans un ensemble une pièce moulant en dentelle. Le résultat est surprenant et nous permet d’admirer encore plus le mignon bedon de la vedette!

 
 
 
 
 
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Rihanna n’en est pas à sa première une pour le magazine Vogue! En effet, il s’agit de la septième fois déjà qu’elle prend la pose pour l’équipe d’experts. Évidemment, cette fois-ci, la petite (grosse) différence est qu’elle est enceinte! Lors de son entrevue avec le magazine, elle parle notamment de sa grossesse, de sa vision de la parentalité et du fait qu’elle espère être à la fois une « enseignante et une élève » par rapport à son bébé.

 
 
 
 
 
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Elle aborde aussi la question de son style en disant simplement qu’elle espère fortement qu’il sera possible de redéfinir ce qui est « décent pour les femmes enceintes ».

« Mon corps fait d’incroyables choses en ce moment et je ne vais pas être gênée de ça. Ce moment devrait être célébré. Pourquoi devrait-on cacher notre grossesse? »

 
 
 
 
 
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On ne pourrait pas être plus en accord avec Ri Ri!

Pour lire l’entrevue complète (en anglais), cliquez ici

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5 bonnes raisons de tomber enceinte au printemps

Vous sentez cette odeur? Ouvrez la porte. Faites fi de votre propreté corporelle ou des fraîches selles dans la couche de votre mignon. Allumez vos glandes olfactives. Éteignez vos écrans. Respirez un grand coup. Ça sent… Un air de printemps. Ça sent… Le retour du beau temps. Ça sent… un « je ne sais quoi » qui donne envie de changer d’air, voire tout renouveler. Chez nous, c’est l’appel de la maternité, trois en trois, qui s’est fait sentir, au doux printemps. J’imagine que mère nature entre en symbiose avec mes hormones quand les arbres bourgeonnent. Je remercie la vie pour ce terreau fertile.

Si vous avez ressenti cet appel de la nature, vous aussi, ou que la vie croît nouvellement en votre ventre, sachez que bébé naîtra théoriquement en fin d’automne ou en hiver. Et il y aura des avantages qui sauront vous plaire. Alors voici 5 points positifs à une maternité qui s’échelonne sur printemps-été-automne:

1. Les nausées et la fatigue sont à leur maximum au premier trimestre.

Quoi de mieux que de se reposer, au printemps? On se réveille tout doucement, au rythme des bourgeons, ou on sieste longuement. Il y a souvent peu d’activités au menu, dans ces mois de météo imprévisible. Alors, on y va au jour le jour! On fait le plein de repos ou de petites marches légères. Et si les pieds nous enflent, on quitte rapidement nos bottes! Nos manteaux s’allègent, au rythme où nos vêtements se font plus serrés. Ça tombe bien! Les gougounes et robes lousses arrivent à grands pas! Hé oui!

De plus, l’énergie revient au deuxième trimestre, soit juste à temps pour les beaux jours d’été, les barbecues entre amis ou les baignades qui allègent la bedaine en croissance. On se crème et on savoure les premiers mouvements de bébé!

Et quand l’automne revient, que les journées raccourcissent et que le ventre nous pèse, on profite des couleurs d’automne pour immortaliser notre binette enceinte. On retourne au repos ou au magasinage des derniers articles requis, pendant les nombreuses journées de pluie.

2. Lorsqu’on se reproduit au printemps, bébé naîtra près du temps des fêtes, assurément.

Avant ou après Noël; c’est une occasion en or pour présenter notre mignon à la famille ou encore faire jaser les matantes quant à la taille de notre ventre. On peut aussi opter pour le cocooning et utiliser bébé comme prétexte pour des Fêtes moins occupées.

3. Une fois bébé arrivé, les courtes journées d’automne et d’hiver nous déculpabilisent de dormir au gré de nos besoins.

L’obscurité favorise les siestes impromptues. On regarde bébé, au lieu de courir mille activités. On fait la larve, aux côtés de notre nouveau-né, on se berce, dans un tricot réconfortant. On met du linge mou et on ne se préoccupe pas de notre ventre tout aussi mou. Personne ne le verra encore avant bien des mois.

4. Bébé grandit, le printemps revient.

On sort la poussette et on retrouve de l’énergie. Les six mois de notre coco se coordonnent avec la venue des rayons UV, soit juste au moment où l’application d’écran solaire FPS devient « ok »! On sort nos chapeaux. Finis les habits de neige ou le Coulou! On alimente sa curiosité et ses sens nouvellement aiguisés! On lui met les pieds nus, l’été venu. On laisse notre mignon explorer le gazon, la douce brise du vent ou le sable chaud. On fait des promenades en poussette, le soir venu. On retrouve un brin de vie sociale, mocktail ou cocktail à la main!

5. Le temps des purées ou de l’alimentation autonome arrive pratiquement au même moment où la nature est à son summum.

Les fruits et légumes locaux sont de retour et regorgent de vitamines. Les couleurs de notre panier sont un véritable spectacle pour les yeux de notre nouveau gourmand. On fait la tournée des marchés ou on récolte le fruit de notre potager et on en fait bénéficier notre chanceux poupon.

Alors, à tous les parents qui ont semé la graine du bonheur ou qui le feront prochainement, sachez que l’aventure sera remplie de côtés positifs!

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Des athlètes d’ici veulent sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage

Le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ) et le Conseil québécois sur le tabac et la santé (CQTS) ont mis leurs forces en commun pour lancer une campagne d’envergure afin de sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage. Pour soutenir le partage de la campagne, les deux organisateurs ont annoncé un partenariat avec plusieurs athlètes de calibre international, dont Nick Suzuki et Félix Auger-Aliassime.

La campagne, appelée Brise l’illusion en est à sa deuxième offensive. L’objectif est de lutter contre la popularité grandissante du vapotage chez les jeunes. D’ailleurs, le slogan de la campagne, « Vapoter, c’est pas ta game » est directement adressé aux adolescents.

 
 
 
 
 
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De nombreux athlètes professionnels partageront dès aujourd’hui des publications originales afin de soutenir la campagne du RSEQ et du CQTS. Voici la liste complète des athlètes participants : Nick Suzuki, Maxence Parrot, Félix Auger-Aliassime, Kristel Ngarlem, Samuel Piette, Kim Clavel ainsi qu’Ève Gascon, Karen Paquin, René Cournoyer et Marie-Ève Croteau.

« De plus en plus de jeunes sportifs vapotent et je trouve ça important d’en parler. Par exemple, lorsque tu vapotes, tu es beaucoup plus à risque de développer de l’asthme. Je suis sûr que les jeunes ne sont pas au courant de ça », insiste l’aspirante # 1 au titre mondial de boxe, Kim Clavel.

 
 
 
 
 
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« Je vois de plus en plus de jeunes qui vapotent dans les snowparks. Je suis heureux d’être impliqué dans cette campagne afin de sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage et qu’il est important de se renseigner », déclare le double médaillé olympique à Pékin en snowboard, Maxence Parrot.

De plus, un concours a été lancé afin d’encourager les jeunes à découvrir la campagne et à pratiquer de saines habitudes de vie. Il sera possible de gagner l’une des trois cartes cadeaux de 1000$ à dépenser dans une boutique de sport au choix. Pour participer, les jeunes n’ont qu’à publier une story d’eux en train de pratiquer leur sport préféré et d’identifier un mot-clic ainsi que la page Instagram de la campagne.

 
 
 
 
 
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Pour en savoir plus sur la campagne Brise l’illusion, cliquez ici.  

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Deux enfants, mais deux expériences de maternité complètement différentes

À l’arrivée de mon deuxième enfant au printemps dernier, je pensais savoir dans quoi je m’embarquais. Mes enfants n’ont que 21 mois de différence. Mon expérience de maternité était donc fraîche à ma mémoire. Je m’imaginais allaiter, faire du portage sans arrêt, des belles marches en poussette en après-midi, apprécier les premiers sourires, peu dormir la nuit, etc. Même si on sait ce que c’est, la maternité, d’un enfant à l’autre, les défis sont différents. On le réalise surtout quand on le vit.

Chacun d’eux m’a poussée à travailler sur ma persévérance et ma patience. Mon plus vieux, ç’a été et est encore aujourd’hui l’endormissement. On en a passé du temps près de lui à l’accompagner pour qu’il s’envole dans les bras de Morphée. Il est super actif, éveillé et curieux. Il a besoin qu’on dépense son énergie. Depuis sa naissance, il faut que ça bouge!

Mon plus jeune, l’allaitement a apporté son lot d’épreuves: douleurs, blessures, régime d’éviction et refus du sein sans raison. Heureusement que l’expérience de mon premier enfant m’a bien outillée pour poursuivre malgré tout. Mon deuxième enfant est beaucoup plus calme et colleux que mon premier. Il adore se faire bercer et peut jouer seul durant de longues périodes. Il aime surtout observer sa tornade de frère qui lui, adore divertir son petit frère. 

J’apprécie grandement leurs oppositions au niveau de leurs caractères. Chacun est né avec ses traits propres et c’est ce que je trouve le plus magnifique. J’ai la forte impression qu’ils se compléteront à merveille plus tard par leurs différences. Nous tentons souvent de comparer nos enfants à ceux des autres, mais rappelons-nous que nous ne pouvons pas choisir nos enfants. Apprécions plutôt leurs particularités qui les rendent si uniques. 

Même si nous avons de l’expérience et de la confiance comme parents, rien n’est acquis. Ces minis humains nous en apprennent autant sur notre parentalité que sur notre personnalité. Les différences de mes enfants sont innées, ce sont leurs couleurs à eux. J’ai hâte de les voir évoluer et de les accompagner dans plusieurs facettes de leur vie.

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Plus que quelques jours pour acheter des bébés plantes au profit de la néonatologie

Suite à la naissance prématurée de son fils Laurent à 30 semaines de grossesse en avril 2020, l’horticultrice Mélanie Grégoire a lancé l’initiative Le mois des bébés plantes (nous en avons déjà parlé l’an dernier). Le principe est simple: vous achetez des bébés plantes et les profits servent à financer la recherche et les soins en néonatologie (l’unité de soins intensifs néonatals) afin de sauver des petites vies.

Plusieurs assortiments de plantes sont disponibles dans les BB boîtes, qui se vendent 49,99$+tx ou 69,99$+tx. Toutes les boîtes contiennent d’ailleurs des espèces végétales idéales pour l’intérieur et pour les débutants; pas nécessaire d’avoir le pouce vert!

De plus, si vous sélectionnez le mode de livraison « Mois des BB plantes », la livraison est incluse partout au Québec.

Pour en savoir plus sur l’initiative, pour écouter une entrevue avec Mélanie Grégoire ou pour commander votre BB boîte, visitez le site internet des Serres St-Élie.

Faites vite! La vente se termine avec la fin du mois de mars!

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Quand la gastro s’invite à la maison…

Jeudi. 20 h. Tisane et livre à la main, je m’apprête à me faire couler un bon bain. Je viens tout juste de déposer ma plus vieille dans son lit dans la bonne humeur et avec le sentiment du devoir accompli. Une autre belle soirée tranquille et beaucoup de plaisir avec mon clan. Rien ne laissait présager la suite. Parce que, comme chaque fois que la gastro entre chez nous, c’est brutal et ça sort de nulle part! Croyez-moi que si j’avais eu ouï-dire que ça traînait à la garderie, j’aurais tout fait pour tenir loin ma petite famille de ce virus sournois et dévastateur. Je pense que j’ai plus peur de la gastro que de devoir me taper Baby Shark en boucle pendant un road trip familial de 2 jours.

Je ne sais pas pour vous, mais moi, toutes les fois, j’ai beau virer la maison à l’envers, aller jusqu’à nettoyer les poignées de porte et vaporiser tous les jouets de Lysol, rien à faire! La question demeure toujours la même. Ce n’est pas est-ce que je vais l’attraper, mais plutôt quand je vais l’attraper. Le problème avec la gastro, c’est que même quand tu penses que le virus a disparu, il n’est jamais très loin. Ce n’est pas anormal d’avoir esquivé la sale bibitte pendant deux semaines pour qu’elle réapparaisse soudain sans crier gare et fasse tomber tous ceux qui avaient été épargnés jusqu’à présent.

De toute façon, quand ta progéniture – je m’excuse auprès des lecteurs.trices sensibles – déverse la totalité de son souper à plusieurs reprises sur ton chandail, tu as beau te débarrasser des items souillés, puis te laver compulsivement les mains (et pendant 20 secondes sous l’eau chaude svp!), tu le sais au fin fond de toi-même que tu subiras un sort équivalent dans quelques heures, voire quelques jours. #fatalité

Ce qui m’achale dans tout ça, c’est que même avant de devenir une maman, je gérais très mal les gastros et autres lendemains de veille de ce monde. Je suis de cette catégorie de gens qui sont incapables de se remettre d’une déshydratation dans un délai raisonnable. Je vis sans cesse le cercle vicieux de:

J’ai mal au cœur, donc je ne mange pas

et je ne mange pas donc j’ai mal au cœur!

M’en remettre me prend toujours beaucoup plus de temps que la moyenne des ours. Et évidemment, pour ajouter au supplice, c’est tout l’inverse pour mon chum. Vous savez ce genre d’individu qui pogne toujours le virus moins fort que tout le monde et qui peut manger n’importe quoi seulement quelques heures après son dernier passage à la toilette. Mon chum en temps de gastro, c’est comme le roc d’une épave de la croisière qui ne s’amuse pas.

Toujours est-il que ce jeudi soir-là, à 20 h, j’ai rapidement su que je m’en allais à la guerre pour la nuit et que je devais me préparer à ne pas avoir une « belle nuit paisible et réparatrice ». La tisane est restée froide et il n’y a pas eu de bon bain. J’ai changé beaucoup de draps à ne plus savoir quoi mettre dans son lit. Et, même une fois le tsunami passé, je n’ai même pas réussi à m’endormir, parce que tout le monde sait qu’une maman inquiète, c’est un aller simple direct pour le pays de l’insomnie.

Cet épisode familial de la gastro a duré en tout et partout trois jours et demi. Mais avec les restrictions liées à la pandémie, c’est plutôt sept jours de confinement à jouer les parents-employés que ça nous a pris pour surmonter ce désagréable épisode. Et chaque fois que nous affrontons une gastro en famille, j’espère vraiment que c’est la dernière fois. Mais bon, je sais bien que cette pensée est aussi réaliste que le dénouement d’un film de James Bond.

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Le Réseau des carrefours jeunesse-emploi lance une consultation nationale pour les jeunes

Le Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec lance aujourd’hui la deuxième édition de sa grande campagne de consultation nationale Ma voix compte. L’objectif de cette campagne est de prendre le pouls des jeunes Québécois.es sur les enjeux et les priorités en matière de développement durable.

Cette initiative permet donc aux jeunes de 15 à 35 ans de s’exprimer sur plusieurs sujets et de proposer des solutions concrètes sur les enjeux futurs du Québec. Pour la consultation actuelle, les propositions et idées développées seront en lien avec les 17 objectifs de développement durable de l’ONU.

« Notre volonté est de rassembler autour de ces objectifs de développement durable de l’ONU une force collective tournée vers l’action », explique Rudy Humbert, directeur général du RCJEQ. « La participation active des jeunes est au cœur du développement économique, social et politique, nous souhaitons que chaque jeune puisse s’épanouir, proposer des idées, les mettre en œuvre et ainsi contribuer au mieux-être de la société. En ce sens, ces objectifs représentent un programme porteur de changement, axé sur l’être humain, et fondé sur les principes de transparence et d’inclusion. »

Ainsi, les jeunes de 15 à 35 ans pourront prendre part à cette consultation jusqu’au 8 mai 2022. Il sera possible d’y participer par le biais d’une consultation en ligne ou en présentiel dans l’un des 111 Carrefours jeunesse-emploi du Québec. Les résultats de cette consultation seront dévoilés en juin au grand public et directement aux décideurs du Québec.

« Ma voix compte agit également comme porte-voix des idées et solutions émises. En effet, l’initiative donne la possibilité aux jeunes d’énoncer leurs inquiétudes, leurs idées, leurs recommandations et d’être entendus par par les décideurs et les leaders du Québec, notamment les élu.e.s, les candidat.e.s, les chercheur.e.s et les acteurs.trices qui oeuvrent auprès des jeunes de la province », conclut Rudy Humbert, directeur général du RCJEQ.

Vous trouverez plus d’infos sur cette consultation ici