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Des athlètes d’ici veulent sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage

Le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ) et le Conseil québécois sur le tabac et la santé (CQTS) ont mis leurs forces en commun pour lancer une campagne d’envergure afin de sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage. Pour soutenir le partage de la campagne, les deux organisateurs ont annoncé un partenariat avec plusieurs athlètes de calibre international, dont Nick Suzuki et Félix Auger-Aliassime.

La campagne, appelée Brise l’illusion en est à sa deuxième offensive. L’objectif est de lutter contre la popularité grandissante du vapotage chez les jeunes. D’ailleurs, le slogan de la campagne, « Vapoter, c’est pas ta game » est directement adressé aux adolescents.

 
 
 
 
 
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De nombreux athlètes professionnels partageront dès aujourd’hui des publications originales afin de soutenir la campagne du RSEQ et du CQTS. Voici la liste complète des athlètes participants : Nick Suzuki, Maxence Parrot, Félix Auger-Aliassime, Kristel Ngarlem, Samuel Piette, Kim Clavel ainsi qu’Ève Gascon, Karen Paquin, René Cournoyer et Marie-Ève Croteau.

« De plus en plus de jeunes sportifs vapotent et je trouve ça important d’en parler. Par exemple, lorsque tu vapotes, tu es beaucoup plus à risque de développer de l’asthme. Je suis sûr que les jeunes ne sont pas au courant de ça », insiste l’aspirante # 1 au titre mondial de boxe, Kim Clavel.

 
 
 
 
 
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« Je vois de plus en plus de jeunes qui vapotent dans les snowparks. Je suis heureux d’être impliqué dans cette campagne afin de sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage et qu’il est important de se renseigner », déclare le double médaillé olympique à Pékin en snowboard, Maxence Parrot.

De plus, un concours a été lancé afin d’encourager les jeunes à découvrir la campagne et à pratiquer de saines habitudes de vie. Il sera possible de gagner l’une des trois cartes cadeaux de 1000$ à dépenser dans une boutique de sport au choix. Pour participer, les jeunes n’ont qu’à publier une story d’eux en train de pratiquer leur sport préféré et d’identifier un mot-clic ainsi que la page Instagram de la campagne.

 
 
 
 
 
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Pour en savoir plus sur la campagne Brise l’illusion, cliquez ici.  

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Deux enfants, mais deux expériences de maternité complètement différentes

À l’arrivée de mon deuxième enfant au printemps dernier, je pensais savoir dans quoi je m’embarquais. Mes enfants n’ont que 21 mois de différence. Mon expérience de maternité était donc fraîche à ma mémoire. Je m’imaginais allaiter, faire du portage sans arrêt, des belles marches en poussette en après-midi, apprécier les premiers sourires, peu dormir la nuit, etc. Même si on sait ce que c’est, la maternité, d’un enfant à l’autre, les défis sont différents. On le réalise surtout quand on le vit.

Chacun d’eux m’a poussée à travailler sur ma persévérance et ma patience. Mon plus vieux, ç’a été et est encore aujourd’hui l’endormissement. On en a passé du temps près de lui à l’accompagner pour qu’il s’envole dans les bras de Morphée. Il est super actif, éveillé et curieux. Il a besoin qu’on dépense son énergie. Depuis sa naissance, il faut que ça bouge!

Mon plus jeune, l’allaitement a apporté son lot d’épreuves: douleurs, blessures, régime d’éviction et refus du sein sans raison. Heureusement que l’expérience de mon premier enfant m’a bien outillée pour poursuivre malgré tout. Mon deuxième enfant est beaucoup plus calme et colleux que mon premier. Il adore se faire bercer et peut jouer seul durant de longues périodes. Il aime surtout observer sa tornade de frère qui lui, adore divertir son petit frère. 

J’apprécie grandement leurs oppositions au niveau de leurs caractères. Chacun est né avec ses traits propres et c’est ce que je trouve le plus magnifique. J’ai la forte impression qu’ils se compléteront à merveille plus tard par leurs différences. Nous tentons souvent de comparer nos enfants à ceux des autres, mais rappelons-nous que nous ne pouvons pas choisir nos enfants. Apprécions plutôt leurs particularités qui les rendent si uniques. 

Même si nous avons de l’expérience et de la confiance comme parents, rien n’est acquis. Ces minis humains nous en apprennent autant sur notre parentalité que sur notre personnalité. Les différences de mes enfants sont innées, ce sont leurs couleurs à eux. J’ai hâte de les voir évoluer et de les accompagner dans plusieurs facettes de leur vie.

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Plus que quelques jours pour acheter des bébés plantes au profit de la néonatologie

Suite à la naissance prématurée de son fils Laurent à 30 semaines de grossesse en avril 2020, l’horticultrice Mélanie Grégoire a lancé l’initiative Le mois des bébés plantes (nous en avons déjà parlé l’an dernier). Le principe est simple: vous achetez des bébés plantes et les profits servent à financer la recherche et les soins en néonatologie (l’unité de soins intensifs néonatals) afin de sauver des petites vies.

Plusieurs assortiments de plantes sont disponibles dans les BB boîtes, qui se vendent 49,99$+tx ou 69,99$+tx. Toutes les boîtes contiennent d’ailleurs des espèces végétales idéales pour l’intérieur et pour les débutants; pas nécessaire d’avoir le pouce vert!

De plus, si vous sélectionnez le mode de livraison « Mois des BB plantes », la livraison est incluse partout au Québec.

Pour en savoir plus sur l’initiative, pour écouter une entrevue avec Mélanie Grégoire ou pour commander votre BB boîte, visitez le site internet des Serres St-Élie.

Faites vite! La vente se termine avec la fin du mois de mars!

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Quand la gastro s’invite à la maison…

Jeudi. 20 h. Tisane et livre à la main, je m’apprête à me faire couler un bon bain. Je viens tout juste de déposer ma plus vieille dans son lit dans la bonne humeur et avec le sentiment du devoir accompli. Une autre belle soirée tranquille et beaucoup de plaisir avec mon clan. Rien ne laissait présager la suite. Parce que, comme chaque fois que la gastro entre chez nous, c’est brutal et ça sort de nulle part! Croyez-moi que si j’avais eu ouï-dire que ça traînait à la garderie, j’aurais tout fait pour tenir loin ma petite famille de ce virus sournois et dévastateur. Je pense que j’ai plus peur de la gastro que de devoir me taper Baby Shark en boucle pendant un road trip familial de 2 jours.

Je ne sais pas pour vous, mais moi, toutes les fois, j’ai beau virer la maison à l’envers, aller jusqu’à nettoyer les poignées de porte et vaporiser tous les jouets de Lysol, rien à faire! La question demeure toujours la même. Ce n’est pas est-ce que je vais l’attraper, mais plutôt quand je vais l’attraper. Le problème avec la gastro, c’est que même quand tu penses que le virus a disparu, il n’est jamais très loin. Ce n’est pas anormal d’avoir esquivé la sale bibitte pendant deux semaines pour qu’elle réapparaisse soudain sans crier gare et fasse tomber tous ceux qui avaient été épargnés jusqu’à présent.

De toute façon, quand ta progéniture – je m’excuse auprès des lecteurs.trices sensibles – déverse la totalité de son souper à plusieurs reprises sur ton chandail, tu as beau te débarrasser des items souillés, puis te laver compulsivement les mains (et pendant 20 secondes sous l’eau chaude svp!), tu le sais au fin fond de toi-même que tu subiras un sort équivalent dans quelques heures, voire quelques jours. #fatalité

Ce qui m’achale dans tout ça, c’est que même avant de devenir une maman, je gérais très mal les gastros et autres lendemains de veille de ce monde. Je suis de cette catégorie de gens qui sont incapables de se remettre d’une déshydratation dans un délai raisonnable. Je vis sans cesse le cercle vicieux de:

J’ai mal au cœur, donc je ne mange pas

et je ne mange pas donc j’ai mal au cœur!

M’en remettre me prend toujours beaucoup plus de temps que la moyenne des ours. Et évidemment, pour ajouter au supplice, c’est tout l’inverse pour mon chum. Vous savez ce genre d’individu qui pogne toujours le virus moins fort que tout le monde et qui peut manger n’importe quoi seulement quelques heures après son dernier passage à la toilette. Mon chum en temps de gastro, c’est comme le roc d’une épave de la croisière qui ne s’amuse pas.

Toujours est-il que ce jeudi soir-là, à 20 h, j’ai rapidement su que je m’en allais à la guerre pour la nuit et que je devais me préparer à ne pas avoir une « belle nuit paisible et réparatrice ». La tisane est restée froide et il n’y a pas eu de bon bain. J’ai changé beaucoup de draps à ne plus savoir quoi mettre dans son lit. Et, même une fois le tsunami passé, je n’ai même pas réussi à m’endormir, parce que tout le monde sait qu’une maman inquiète, c’est un aller simple direct pour le pays de l’insomnie.

Cet épisode familial de la gastro a duré en tout et partout trois jours et demi. Mais avec les restrictions liées à la pandémie, c’est plutôt sept jours de confinement à jouer les parents-employés que ça nous a pris pour surmonter ce désagréable épisode. Et chaque fois que nous affrontons une gastro en famille, j’espère vraiment que c’est la dernière fois. Mais bon, je sais bien que cette pensée est aussi réaliste que le dénouement d’un film de James Bond.

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Le Réseau des carrefours jeunesse-emploi lance une consultation nationale pour les jeunes

Le Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec lance aujourd’hui la deuxième édition de sa grande campagne de consultation nationale Ma voix compte. L’objectif de cette campagne est de prendre le pouls des jeunes Québécois.es sur les enjeux et les priorités en matière de développement durable.

Cette initiative permet donc aux jeunes de 15 à 35 ans de s’exprimer sur plusieurs sujets et de proposer des solutions concrètes sur les enjeux futurs du Québec. Pour la consultation actuelle, les propositions et idées développées seront en lien avec les 17 objectifs de développement durable de l’ONU.

« Notre volonté est de rassembler autour de ces objectifs de développement durable de l’ONU une force collective tournée vers l’action », explique Rudy Humbert, directeur général du RCJEQ. « La participation active des jeunes est au cœur du développement économique, social et politique, nous souhaitons que chaque jeune puisse s’épanouir, proposer des idées, les mettre en œuvre et ainsi contribuer au mieux-être de la société. En ce sens, ces objectifs représentent un programme porteur de changement, axé sur l’être humain, et fondé sur les principes de transparence et d’inclusion. »

Ainsi, les jeunes de 15 à 35 ans pourront prendre part à cette consultation jusqu’au 8 mai 2022. Il sera possible d’y participer par le biais d’une consultation en ligne ou en présentiel dans l’un des 111 Carrefours jeunesse-emploi du Québec. Les résultats de cette consultation seront dévoilés en juin au grand public et directement aux décideurs du Québec.

« Ma voix compte agit également comme porte-voix des idées et solutions émises. En effet, l’initiative donne la possibilité aux jeunes d’énoncer leurs inquiétudes, leurs idées, leurs recommandations et d’être entendus par par les décideurs et les leaders du Québec, notamment les élu.e.s, les candidat.e.s, les chercheur.e.s et les acteurs.trices qui oeuvrent auprès des jeunes de la province », conclut Rudy Humbert, directeur général du RCJEQ.

Vous trouverez plus d’infos sur cette consultation ici

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Voici tout ce qu’il faut planifier pendant le premier trimestre de grossesse

Vous venez tout juste d’obtenir un test de grossesse positif et vous êtes aux anges? Félicitations!! La parentalité est une magnifique expérience que vous aurez l’occasion de vivre très bientôt.

Lorsqu’on vit une grossesse pour la première fois, il peut être un peu stressant d’essayer de comprendre tout ce qu’il y a à faire comme démarches tout au long de la grossesse, surtout au premier trimestre. C’est pourquoi on s’est dit qu’on ferait un petit tour des choses à vérifier et à planifier durant les semaines 1 à 13 d’une grossesse.

Prendre de l’acide folique

Crédit: Cottonbro/Pexels

Si ce n’est pas déjà fait (il est recommandé de commencer la prise d’acide folique 3 mois avant la conception), vous devriez prendre de l’acide folique dès maintenant. La plupart des vitamines prénatales contiennent de l’acide folique et en plus, elles vous garantiront un certain apport de vitamines et minéraux durant votre grossesse. Il existe plusieurs marques en vente libre, donc n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre médecin ou de votre pharmacien.ne pour choisir celle qui vous convient. 

Trouver le.la professionnel.le qui fera votre suivi

Crédit: Gustavo Fring/Pexels

Au Québec, il est possible d’avoir un suivi de grossesse avec un médecin de famille, une sage-femme, un.e obstétricien.ne ou une infirmière praticienne spécialisée. Dès que vous savez que vous êtes enceinte, il est pertinent de vous questionner sur le genre de suivi que vous souhaitez avoir et prendre contact avec une/des cliniques près de chez vous. Le plus tôt vous faites cela, le plus facile il sera d’obtenir votre premier rendez-vous, surtout considérant que l’accès à un suivi de grossesse est plus difficile selon les régions. 

Psst. Québec vient de lancer l’initiative Ma Grossesse afin d’améliorer l’accès à un premier rendez-vous de suivi et à cibler les femmes enceintes plus vulnérables. Nous vous en parlons en détails ici

Avoir un premier rendez-vous

Crédit: Mart Productions/Pexels

Techniquement, si vous avez trouvé le.la professionnel.le qui vous suivra durant votre grossesse, vous n’aurez pas à prendre vous même votre premier rendez-vous, il vous sera donné par la clinique. Néanmoins, on tenait à vous expliquer en quoi consiste ce premier rendez-vous.

Durant celui-ci, le.la professionnel.le vous posera des questions sur votre santé et les antécédents médicaux de votre famille et de celle de votre partenaire. Un examen gynécologique peut être réalisé, et votre poids ainsi que votre tension artérielle seront mesurés. C’est lors de ce rendez-vous que le.la professionnel.le vous demandera si vous voulez participer au Programme québécois de dépistage prénatal de la trisomie 21. Sachez que vous n’êtes absolument pas obligée d’y participer.

Si vous décidez d’y participer, vous aurez à faire une prise de sang entre la 10e et la 13e semaine et une autre entre la 14e semaine et la 16e semaine. 

La première échographie

Crédit: Mart Production/Pexels

Vous aurez à faire une première échographie, souvent appelée échographie de datation, entre la 11e et la 14e semaine de grossesse. À cette échographie, il sera aussi possible de demander, si vous le désirez, la mesure de clarté nucale qui permet d’évaluer la probabilité de trisomie 21. Cette mesure n’est pas obligatoire et elle reste à la discrétion des parents. 

Selon l’endroit où vous êtes suivie, un hôpital devrait vous contacter afin de vous donner un rendez-vous pour votre échographie. Sachez que vous pouvez aussi demander une prescription et passer une échographie au privé sans rien débourser. Cette mesure est offerte par la RAMQ. 

Vérifier les médicaments avec la pharmacie

Crédit: Karolina Grabowska/Pexels

Si vous prenez des médicaments sur une base régulière, il est possible que certains d’entre eux entre en interaction avec votre grossesse. Pour éviter tout risque, dès que vous savez que vous êtes enceinte, rendez visite à votre phamarcien.ne et demandez-lui de réviser votre liste de médicaments.

Arrêter de nettoyer et vider la litière des chats

Crédit: Alexander London/Unsplash

Si vous avez un ou des chats, il faut dès maintenant que vous arrêtiez de vider et nettoyer leur litière! Leurs selles peuvent contenir un parasite qui provoque la toxoplasmose, qui est hautement dommageable pour le foetus. Si vous habitez seule, mettez des gants et nettoyez-les après chaque usage. 

Outre ses excréments, le chat ne présente aucun danger pour la femme enceinte. Si vous avez des inquiétudes à ce sujet, parlez-en à votre médecin. 

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L’Insectarium de Montréal rouvrira très bientôt ses portes!

Bonne nouvelle pour tous.tes les amateur.trice.s d’insectes et de nature : Espace pour la vie vient d’annoncer la réouverture de l’Insectarium de Montréal pour le mois d’avril! Fermé depuis mars 2019, l’Insectarium a subi des rénovations majeures qui ont complètement métamorphosé l’endroit. Les portes de l’Insectarium rouvriront le 13 avril prochain et plusieurs nouveautés seront à découvrir.

Ce musée consacré aux insectes sera le tout premier en Amérique du Nord où il sera possible d’observer autant d’espèces vivantes (dont certaines en libertés) et naturalisées. L’approche muséologique de l’Insectarium a elle aussi été entièrement renouvelée afin de valoriser et soutenir la relation du public avec les insectes.

Si vous aimez l’attraction Papillons en liberté, sachez que l’Insectarium possédera dorénavant plusieurs espèces de papillons qui voleront librement toute l’année.

Les billets pour le nouvel Insectarium sont en vente dès aujourd’hui. Pour vivre l’expérience, il faut réserver une visite à une heure fixe. Le tarif d’une visite à l’Insectarium sera désormais aligné aux tarifs des autres musées d’Espace pour la vie.

Pour toutes les informations sur l’Insectarium et Espace pour la vie, cliquez ici.

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Mon petit bébé aura bientôt un an

À la mi-avril, mon petit bébé aura un an. Déjà. Il me semble que c’était hier que nous partions vers l’hôpital, le cœur plein d’un mélange confus d’excitation et d’appréhension, pour l’accueillir. En fait, ce moment me semble à la fois si récent et si lointain. Depuis l’arrivée de mon fils, les jours se sont succédé, s’entremêlant aux nuits; chacun étant toujours un peu une version du précédent. Déjà un an de cette routine qui n’en est jamais vraiment une et surtout, un an de toi, mon bébé.

Il y a bientôt un an, je devenais maman. Un rôle que j’espérais depuis longtemps, sans vraiment savoir à quoi m’attendre. Pendant des mois, mon bébé au chaud dans mon ventre arrondi, je tentais d’imaginer ce que la vie allait être avec lui. Je n’arrivais pas à lui parler, pas vraiment. Je ne savais pas quoi lui dire, je ne le connaissais pas encore. Alors je lui faisais écouter de la musique. Et maintenant, il aime danser.

J’avais de la difficulté à imaginer qu’un mini humain se développait dans mon ventre. Je sais que c’est naturel, que c’est le cycle de la vie, que tous les mammifères en sont capables et que ça n’a rien d’exceptionnel. Mais ce l’est quand même ; exceptionnel. Parce que ma grossesse était sans histoire – mis à part quelques symptômes qui ne dérangeaient que moi et mon confort –, je savais que le vrai défi arriverait avec lui. Et je ne m’étais pas trompée.

Mon bébé a eu la chance d’arriver dans un couple soudé par une décennie de hauts et de bas, navigués avec complicité, compassion et respect. Des parents qui s’aiment, qui l’attendaient avec de l’amour à profusion, qui l’ont planifié, voulu. Et malgré tout, des défis, il y en a eu.

Dès ses premiers moments, extirpé de son cocon par la force lors d’une césarienne d’urgence, mon bébé était fort et vigoureux, comme si son cœur qui s’emballait quelques moments plus tôt n’était qu’un mauvais rêve. Puis, j’ai eu besoin d’un moment pour comprendre ce qui venait de se passer ; cet adorable petit être qui faisait craquer les infirmières était bien celui que j’avais couvé tout ce temps. Nous nous sommes rencontrés et avons appris à nous connaître, à nous aimer. Tout doucement.

Papa était là. Si fier. Prêt à tout pour nous, dès les premiers moments. Jour et nuit, confiné à une vulgaire chaise droite dans le coin de la chambre d’hôpital, il a pris soin de bébé lorsque je n’y arrivais pas. Sans broncher, sans hésiter, sans douter. Ou peut-être qu’il a douté de lui, dans le silence, mais personne n’aurait pu deviner.

Puis, retour à la maison. Adaptations, découvertes, défis, ajustements ; notre lot quotidien. Les heures étaient parfois interminables ou alors elles défilaient à vitesse grand V. Les jours se sont transformés en semaines, puis en mois ainsi qu’en saisons et nous voici, près d’un an plus tard.

Mon garçon est le même bébé fort et vigoureux qu’il était dès ses premiers moments. Il aime grimper et rien – pas même moi, vous vous en doutez – ne peut l’arrêter. Sa curiosité est sans limites ; il veut tout voir, tout découvrir et tout essayer.

À mes yeux, il est encore le petit bébé qui se collait sur moi dans la position de la grenouille. Mais j’entrevois aussi le petit garçon qu’il sera demain, qu’il devient un peu plus à chaque instant. Le voir grandir me remplit d’une fierté indescriptible et d’une nostalgie des moments qui ne reviendront jamais. Heureusement, plusieurs sont immortalisés en photos et en vidéos que je revisite souvent, le cœur prêt à exploser.

Mon bébé aura un an. Déjà.

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Entre félin et petit humain: une histoire d’amour presque fraternel

J’ai adopté une adorable chatte, qui dort près de mon oreiller tous les soirs, il y a une dizaine d’années. Elle est (très) affectueuse et prête à se faire câliner par tout un chacun (sauf par mon père, mais c’est une autre histoire!). Lorsque ma fille est née, je redoutais cependant cette relation entre les deux « femmes de ma vie »: comment la bête réagirait à l’arrivée de la belle? Celle qui dort près de mon oreiller depuis toujours allait-elle se sentir rejetée? Remplacée?

La fuite : le chat fantôme

Une fois de retour à la maison avec la prunelle de nos yeux, bien que l’impératrice Sissi avait déjà repéré les nouveaux objets et presque élu domicile dans la couchette, elle est momentanément disparue.

Des semaines durant, l’indépendante chatte ne semblait pas concevoir de se trouver sur le même étage que ce petit bébé sans défense.

 

Oh oh! Le bébé bouge!

À mesure que bébé commençait à se mouvoir, nous avons finalement pu apercevoir l’animal au pelage tricolore se trémousser dans le salon. Mais JAMAIS trop près de la mini, qu’elle observait plutôt de loin, avec un regard de lynx. En revanche, si le bébé pleurait, son comportement changeait brusquement : la protectrice féline accourait pour être certaine que tout était okay.

Crédit:Véronique Asselin

L’acceptation : elle va rester là!

Peu à peu, ma belle chatte espagnole et ma fille ont donc fait connaissance, se sont apprivoisées. Ces 4 dernières années, ma douce poilue semble avoir constaté que le troisième petit être humain de la maison ne partirait pas! Elle n’eut alors guère le choix d’accepter de se faire serrer trop fort, de se faire tirer les oreilles— ou la queue —, mais surtout d’être couverte d’amour dès 6h le matin sans broncher d’un poil. Elles sont maintenant inséparables… même que depuis peu, Sissi a réélu domicile dans la chambre de ma fille, et ce n’est pas peu dire!

Crédit:Véronique Asselin

Animal de compagnie : je n’aurais pas pu dire mieux!

Comme elle est et restera probablement enfant unique, la présence de notre animal permet à ma fille de créer un lien extraordinaire avec celle qu’elle a affectueusement nommée  « sa sœur ». De plus, elle développe son autonomie en prenant soin d’elle et apprend à respecter les animaux! Que de beaux apprentissages!

Comment se passe la relation entre vos enfants et vos animaux de compagnie?

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Cook it annonce un partenariat d’un an de recettes avec Érable du Québec

L’entreprise de kits repas chouchou du Québec vient tout juste d’annoncer un super partenariat avec Érable du Québec! Pendant la prochaine année, Cook it proposera des recettes gourmandes où l’érable sera à l’honneur. L’annonce est faite dans la même période où la saison des sucres débute après deux ans de pause pandémique ; le timing ne pourrait pas être meilleur!

 
 
 
 
 
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Avec ce partenariat, l’érable sera mis de l’avant durant toute une année dans les plats prêts à cuisiner et prêts-à-manger de Cook it. En avril, c’est une salade au chèvre, bacon, betteraves et pacanes à l’érable, créée spécialement par les cheffes de l’entreprise, ou une recette prête à manger de tofu à la coréenne, sauce épicée à l’érable, riz de chou-fleur et brocolis que les abonné.e.s pourront sélectionner.

 
 
 
 
 
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Outre les recettes ajoutées au menu Cook it, le partenariat proposera de temps à autre des concours. La première boîte du partenariat, celle envoyée lors de la semaine du 3 avril, sera bonifiée d’une petite surprise sucrée!

 
 
 
 
 
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Si vous voulez découvrir ce partenariat et que vous n’êtes pas déjà abonné.e.s à Cook it, notre code OBOX40 vous donnera 40$ de rabais sur votre première boîte!

Découvrez Cook it ici.