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Partons en Écosse sur les traces de Harry Potter!

Que vous soyez des nôtres depuis le début du voyage à Londres, ou que vous vous joigniez à nous maintenant, saisissez bien vos valises et votre animal de compagnie, car on prend le train pour Poudlard.

Durant ce trajet de 4h30, vous traverserez des paysages à couper le souffle.

 

Crédit: Photo par Dean Brierley – Unsplash

Question de plonger dans l’univers à fond, réservez un hébergement dans le Edinburg Old Town. D’étroits corridors de pierres vous mèneront à de magnifiques appartements construits à même les rochers, à partir desquels vous aurez une vue imprenable sur la ville.

*ASTUCE: Il est maintenant possible de louer un appartement entièrement sous le thème de Harry Potter.

 

Château d’Édimbourg – Photo par Jörg Angeli – Unsplash

 

Et que dites-vous d’une petite balade en partance du château d’Édimbourg? En voyant son allure imposante à flanc de montagne, on comprend vite qu’il a inspiré JK Rowling pour le look de Poudlard. Descendez par Grassmarket pour en apprécier toute sa splendeur.

Poursuivez vers Victoria Street, une magnifique rue qui regorge de boutiques aux façades colorées. Vous y trouverez la boutique The Wizard Boy sous la thématique Harry Potter. Prochain arrêt: le café Elephant House, où JK Rowling s’est installée pour écrire tout le premier tome de la saga. Ne manquez pas le cimetière Greyfriars Kirkyard, qu’elle a traversé mainte fois pour s’inspirer dans la recherche des noms de ses personnages. Vous pourrez y voir la tombe de Tom Riddle (Jédusor alias Voldemort), celle de Mcgonagall, de la famille Potter et bien d’autres.

Aussi, même s’ils ne sont pas officiellement des lieux de tournage ou d’inspiration, les 3 destinations suivantes valent le détour.

New Collège University rappelle le célèbre château, le Scott Monument vous permet de grimper au plus haut point de vue de la ville et, pour terminer, Calton Hill vous donnera l’impression de faire un bond dans les décors de tournage des films « Les animaux fantastiques ».

Crédit: Alnwick Castle – Photo par Isabelle Comtois

Vous ne resterez toutefois pas sur votre faim, car il est possible de réserver un spectaculaire tour guidé en autobus de luxe vers le château d’Alnwick où plusieurs scènes des cours de balais volants ont réellement été tournées. D’ailleurs, vous pourrez apprendre à voler sur un balai ou encore à chasser le dragon. Le circuit offre une escale à Bamburgh. Un petit extra agréable pour les yeux. Un château datant de l’époque viking s’élève au bord de la mer du Nord où vous pourrez aller marcher sur la plage!

 

Crédit: B K woolyart – unsplash

Autres lieux à visiter en rafale

Le Jacobite Steam train vous permet un voyage à bord du Poudlard Express et ainsi voir d’autres lieux de tournages.

Deux jeux d’évasion sous le thème de Harry Potter à Édimbourg. Celui-ci et celui-là.

Trouverez-vous les empreintes de mains de Jk Rowlings?

J’espère que vous aimerez autant que nous votre voyage et n’hésitez pas à partager vos photos!

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Stress élevé chez les mères de jeunes enfants : la conciliation travail-famille en jeu

Un nouveau portrait dressé par l’Observatoire des tout-petits montre que malgré une amélioration de la situation pour les bambins dans les 10 dernières années, les mères de jeunes enfants (5 ans et moins) sont de plus en plus stressées. Cette année, c’est une augmentation croissante qui a été notée par l’Observatoire.

La directrice générale, Fannie Dagenais, fait le lien entre la conciliation travail-famille et la pression que les jeunes mères ressentent par rapport à ça. Avec les années, la situation des parents en matière d’employabilité s’est grandement améliorée, ce qui est une bonne chose, mais une des conséquences est que la réalité des familles s’en est trouvée changée.

Fannie Dagenais a aussi souligné que le niveau de stress des pères est moins élevé, même si ces derniers en ressentent aussi. C’est à se questionner à savoir pourquoi notre société actuelle fait en sorte que les mères souffrent plus de stress que les pères… Mais disons qu’on a quelques pistes, #chargementale.

Pour écouter l’entrevue complète de Fannie Dagenais, on vous invite à visiter le site Web de Radio-Canada. 

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Mirianne Brûlé: Ce que j’aurais voulu savoir sur l’allaitement

Ça y est. Je suis maman. Après y avoir tant rêvé pendant toutes ces années. Après avoir porté la vie 9 mois durant, avoir vu mon corps se transformer jour après jour, avoir vécu les hauts et les bas de la grossesse qui m’a semblée si longue, voire même presque interminable à la fin… Après avoir suivi semaine après semaine le développement de cet enfant tant désiré, les rendez-vous chez le médecin, remplis d’angoisse et d’espoir que tout soit correct, que tout soit normal, que nous allions avoir un bébé en santé. J’avais hâte, tellement hâte de rencontrer ma puce, de la tenir dans mes bras, de la cajoler, de la trouver belle, de l’aimer à l’infini….de la nourrir. Par contre, après coup, il y a bien des choses que j’aurais aimé savoir sur l’allaitement.

 

 

 

 

 

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On a beau se préparer du mieux qu’on peut à devenir maman, lire tous les livres, surfer des heures sur le net, parler aux amies qui ont des enfants, prendre les cours prénataux, on ne peut toutefois pas devenir maman avant de devenir maman. On le devient au fur et à mesure, à chaque jour qui se présente et c’est une grande aventure remplie d’essais-erreurs. Au début, quand on devient maman, on flotte, on est sur un nuage hors du temps et de la réalité.

On se sent tellement privilégiée; on a mis un enfant au monde. Wow, c’est juste fou! On se sent forte, belle, capable de tout, une vraie héroïne!! Dès qu’on met le bébé sur toi à l’accouchement, l’enfant a le réflexe de chercher le sein. C’est naturel, c’est incroyable, tu te dis ça y est, je vais allaiter. Tu imagines que c’est aussi simple que ça, que la nature est bien faite, que tu es faite pour ça, que c’est merveilleux et tellement un beau moment à partager avec ton bébé. Tu te dis que tu es chanceuse et que pour toi, tout va bien aller, même si ta belle-soeur t’a dit qu’elle avait eu de la misère un peu, tu te dis non pas moi, moi je vais faire ça comme une championne.

Laissez-moi vous dire que dans mon cas, ce ne fût pas si simple que ça. Après la lune de miel, qui dure environ une semaine je dirais, les défis ont commencé à se pointer. D’abord et avant tout, le manque de sommeil qui s’accumule ne peut que nuire à cet apprentissage. Je dis bien apprentissage, car on doit apprendre à allaiter et cet apprentissage se fait à 2: la maman et le bébé. Ma petite, depuis qu’elle est née, a un fort besoin de succion, mais refuse systématiquement toutes formes de suces (je les ai TOUTES essayées, croyez-moi) ce qui fait en sorte qu’elle réclame le sein sans arrêt et que je suis devenue assez rapidement une suce humaine. En plus, ma cocotte est délicate et a une petite bouche et mes seins, après ma montée de lait, deviennent deux fois plus gros que sa tête. Ce qui fait qu’elle n’arrivait pas à prendre tout le mamelon dans sa bouche et donc, elle tirait de toutes ses forces sur le bout de mes mamelons. Ils sont devenus très rapidement en forme de biseau avec de belles fissures à vif, au sang.

Le début du calvaire a commencé; chaque tétée me faisait un mal de chien, des chocs électriques qui allaient jusque dans le bras, je sentais mon coeur battre plus fort dans ma poitrine, j’avais chaud, j’en devenais rouge de douleur. Les larmes coulaient sur mes joues en silence dans la nuit. Les jours passaient et je devenais de plus en plus découragée. J’ai cherché des solutions de toutes sortes; les crèmes, les ostéopathes, les marraines d’allaitement, etc. J’ai essayé de me tirer du lait pour donner une bouteille quand je n’étais plus capable d’endurer la douleur, mais elle refusait la bouteille et celle-ci finissait la plupart du temps dans le fond de l’évier, à ma grande déception. Finalement, il fallait juste attendre que ça passe. Que mes seins s’habituent, que mes bobos guérissent et que l’apprentissage se fasse.

 

 

 

 

 

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A post shared by Mirianne Brûlé (@miriannebrule) on Nov 13, 2019 at 8:45am PST

Ça m’a pris 6 semaines: 6 semaines de souffrance à être toujours sur le bord de lâcher. Mais je suis entêtée et je ne voulais surtout pas abandonner. Je le voyais comme une mission. Ma mission de mère, mon travail, ma responsabilité. Vous dire comment j’ai pleuré quand, à son premier rendez-vous, le médecin m’a dit les yeux remplis d’inquiétude qu’elle ne prenait pas assez de poids… La pression que je me suis mise sur les épaules par la suite… Je pense que j’ai fait une mini dépression et mon chum vous dirait sûrement que oui, vu le nombre de fois où j’ai pleuré la nuit en allaitant, en suppliant le ciel que ça arrête de faire mal. C’était vraiment une torture physique et mentale.

Si je partage mon expérience aujourd’hui, c’est parce que je sais que je ne suis pas la seule. J’ai commencé à discuter avec d’autres mamans sur les réseaux sociaux et dans mon entourage et je me rends compte que nous sommes plusieurs à passer par ce parcours du combattant.

Pourquoi personne ne m’en avait jamais parlé avant?

Est-ce un tabou de ne pas réussir son allaitement du premier coup?

Est-ce tabou de parler du fait que ce ne sont pas toutes les femmes qui réussissent à allaiter?

Est-ce qu’on peut se dire aussi que c’est ben correct d’abandonner si notre santé physique et mentale sont en cause? Que ce n’est pas un échec, que nous ne sommes pas de moins bonnes mères pour autant? Qu’il n’y a pas de honte à avoir. Qu’on peut en parler. On peut se dire tout ça?

Maman heureuse, bébé heureux. C’est une phrase toute simple prononcée par mon médecin qui est restée dans ma tête et qui joue en boucle. Peu importe les choix qu’on fait par rapport à l’allaitement, je crois que le plus important est de s’écouter et de respecter nos limites. Moi, j’ai certes poussé mes limites au maximum, mais je l’ai fait parce que je me sentais capable malgré tout et je le désirais très fort. Aujourd’hui, je suis extrêmement heureuse de l’avoir fait. Je vis aujourd’hui, 8 semaines après la naissance de ma fille, un allaitement super agréable et sans douleur. Je vis finalement ces moments magiques partagés dans une bulle d’amour et de détente avec ma fille qui grandit à vue d’oeil.

 

Où trouver de l’aide?

Les ressources disponibles

Avant tout, je dirais qu’il ne faut surtout pas hésiter à demander de l’aide. Il existe des ressources comme Nourri-Source pour trouver une marraine d’allaitement, les haltes d’allaitement des CLSC sont d’excellents endroits pour trouver le support le réconfort dont on a grandement besoin, les ostéopathes et les conseillères en allaitement peuvent aussi être d’une grande aide. Bref, tous les moyens sont bons pour essayer de se soulager et il ne faut surtout pas s’isoler avec le problème, car il va juste empirer.

Remèdes: Mon top 5

Comme je n’avais jamais entendu parler de ces trucs avant de passer par là et que j’aurais aimé les connaître, voici un Top 5 des remèdes qui ont sauvé mon allaitement ou, du moins, qui m’ont aidée à ne pas lâcher (on s’entend je ne suis pas médecin: demandez l’avis de votre médecin si vous éprouvez des problèmes et cherchez ensemble des solutions).

1- La crème Lanoline (en vente libre): Ça soulage un temps, mais dans mon cas, après un moment, ce n’était pas suffisant. Et surtout, c’est hyper graisseux et ça laisse des taches sur les vêtements. Tenez-vous-le pour dit.

2- La crème du docteur Newman (sous ordonnance) m’a énormément aidée à me soulager, mais comme elle contient de la cortisone et que je l’ai utilisée trop longtemps, après un moment, elle amincit la peau et ça n’aide plus à guérir les bobos. Donc, à utiliser avec modération.

3- Les téterelles (je sais, je n’avais jamais entendu ce mot de ma vie moi non plus) sont des embouts en silicone à porter directement sur les mamelons en allaitant pour créer un écran entre le sein et la bouche du bébé pour que ça fasse moins mal. Pour moi, ça m’a soulagée une semaine. Je pensais honnêtement que c’était un vrai miracle, je criais presque victoire. Mais après une semaine, ma petite a vite compris le subterfuge et refusait désormais le bout de silicone avec une moue de dégoût. C’était comme un plaster sur le bobo: ça soulage sur le coup, mais ça ne guérit pas. Mais si ça peut aider à ne pas lâcher, why not?!?

4- Finalement mon médecin m’a prescrit en crème deux des ingrédients de la crème du docteur Newman, mais de façon séparée: la Taro Mupirocin et la Clotrimaderm à appliquer 2 fois par jour seulement. C’est à partir de là que j’ai commencé à guérir. Enfin!

5- Ensuite, il faut se promener les seins à l’air le plus possible et ne pas porter de pads d’allaitements humides. Il faut que ça sèche pour que ça guérisse. J’avais même un petit éventail en papier et je me séchais les mamelons après chaque tétée (je sais, au revoir le sex appeal, mais il faut ce qu’il faut).

En terminant, j’ai juste envie de m’adresser aux nouvelles mamans qui, comme moi, ont de la misère avec l’allaitement, mais qui aimeraient vraiment que ça fonctionne. J’ai juste envie de vous dire: lâchez pas, vous êtes extraordinaires, vous n’êtes pas seules et surtout, vous êtes normales!

Parce que c’est ça qu’on a envie d’entendre quand on est une nouvelle maman et qu’on est inquiète de tout.

C’est NORMAL de trouver ça difficile, c’est NORMAL d’avoir besoin d’aide, c’est NORMAL d’être découragée, c’est NORMAL de pleurer et c’est aussi NORMAL d’arrêter l’allaitement si on n’est juste plus capable.

Je vous serre fort dans mes bras et sur ce, je retourne allaiter ma merveille!

Crédit: Mirianne Brûlé

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Le Musée des beaux-arts gratuit pendant les Fêtes

Amateurs et amatrices de visites au musée, cette nouvelle est pour vous! Le Musée des beaux-arts de Montréal offrira l’accès gratuit à une vaste sélection d’expositions et de collections pour le temps des Fêtes!

C’est l’occasion parfaite pour initier les minis au musée, en plus d’être une très belle activité à faire en famille. La gratuité sera offerte du 21 décembre 2019 au 5 janvier 2020 sur toutes les expositions et collections permanentes, à l’exception de la grande exposition.




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En plus de l’accès gratuit, le Musée des beaux-arts propose une tonne d’activités ultra intéressantes pour les Fêtes, comme des moments de création en famille, des projections de grands classiques, comme le ballet de Casse-Noisette et des concerts festifs!

Trois ateliers de création sont offerts gratuitement aux familles. Il suffit de se présenter à 10h le jour de l’atelier, et récupérer un laissez-passer à la billetterie du Musée. Vous pourrez ainsi construire une guirlande d’étoiles ou encore fabriquer un papier d’emballage ultra personnalisé.

Crédit: MBAM Olivier Chwaiki

Pour connaître les horaires des activités, les expositions gratuites et pour avoir plus d’informations, on vous invite à visiter le site Web du Musée des beaux-arts de Montréal.

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Disney +, oui ou non ?

Étant une grande fan des films de Disney, j’attendais avec impatience le lancement de la nouvelle plateforme de streaming du géant américain! Voici ce que mes premiers jours d’utilisation m’ont permis de découvrir.

Le prix et les modalités d’abonnement

Tout d’abord, vous bénéficierez d’une période d’essai gratuite de 7 jours. Vous pouvez donc résilier l’abonnement avant même qu’il ne débute si vous n’êtes pas satisfait.e, avant la fin de la période d’essai. Si toutefois vous décidez de poursuivre le service, les frais mensuels sont de 8.99$ et vous pouvez annuler en tout temps par la suite. Pas de contrat annuel ni de frais de pénalité!

L’interface

Très semblable à ce que l’on peut retrouver sur Netflix, il y a une barre d’outils sur le côté qui vous permet de faire des recherches par catégorie (contenus originaux, films et séries) ou tout simplement par mot clé.

Vous pouvez avoir plusieurs profils d’utilisateurs et le visionnement peut être partagé simultanément entre 4 écrans. Le contenu est divisé en 5 grandes catégories : Disney (incluant Disney Channel, Disney Nature et Disney Junior), Pixar, Marvel, Star Wars et National Geographic.

L’un des plus gros points négatifs de l’interface est qu’il n’y a pas de catégorie qui nous permet de voir les visionnements non terminés. Donc, si vous fermez votre session sans avoir terminé un film ou un épisode, vous aurez à retourner le chercher parmi la sélection.

Disney + : le verdict

En plus d’y retrouver tous les films les plus populaires des dernières années, vous y trouverez tous les classiques de votre enfance (même ceux que vous aviez oubliés). À la place de devoir fouiller pour retrouver ces films originalement en VHS en Blu-ray (s’ils le sont, même) vous pouvez maintenant y avoir accès à un seul et unique endroit. 

Je suis tombée sur les versions de Noël de plusieurs de mes classiques préférés (La Belle et la Bête, Mickey Mouse, Winnie l’ourson, etc.), que j’écoutais assidûment dans le temps des Fêtes durant mon enfance et je compte bien recommencer l’exercice cette année avec mon fils.

La section mini-film renferme également des petits trésors. J’ai eu un énorme coup de coeur pour Float et Purl qui véhiculent tous les deux des morales d’inclusion très touchantes.

Pour les fans de superhéros, il y a la section Marvel où vous pourrez visionner vos films préférés ainsi que les mini-aventures pour nos petits héros!

Si la science-fiction c’est votre truc, eh bien, avec la série originale Star Wars : The Mandalorian, vous serez servis!

Bref, pour moi, Disney + est un oui définitif! Que vous aimiez les princesses, les cyborgs ou les secrets des fonds marins, la plateforme saura plaire aux petits comme aux plus grands.

Nous ne sommes pas payées pour vous parler de Disney +,

on aime simplement partager nos découvertes.

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« Cochon dingue » maintenant en livres!

Une des émissions préférées des jeunes Québécois se transpose en livres! Cochon Dingue, l’émission jeunesse diffusée à Télé-Québec a décidé de prolonger l’expérience à travers trois tomes tous plus intéressants les uns que les autres.

Crédit: Cochon dingue

Les livres sont écrits par les mêmes scénaristes que l’émission et comportent plein d’informations ludiques et des révélations exclusives des animateurs. L’univers de l’émission est transposé à merveille à travers les pages des livres!

Pour l’instant, deux tomes sont disponibles : La peur et La fête. Un troisième tome est prévu pour mars 2020 et traitera de la thématique de la Terre.

Les auteurs et les animateurs de Cochon dingue seront de la partie pour la 42e édition du Salon du livre de Montréal. Les minis et les parents auront l’occasion de les rencontrer et de faire signer les ouvrages. Toute l’équipe sera au stand 610 et il est possible de voir leur horaire juste ici

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Salon du livre : 5 auteurs jeunesse à rencontrer

Comme chaque année, il y a une grosse section jeunesse pendant le Salon du livre de Montréal, que ce soit grâce aux multiples activités proposées ou encore avec tous les artistes jeunesse à rencontrer sur place. Plusieurs des artistes animent d’ailleurs des activités pour les minis. Voici 5 auteurs jeunesse qui seront présents pendant le Salon du livre!

Atchoum, par Véronique Gagné

Crédit: Renaud-Bray

Venez rencontrer Atchoum (ou Véronique Gagné), la célèbre rockeuse jeunesse! Qui sait ? Elle vous fredonnera peut-être une petite chanson.

Horaire ici

Ti-Guy la puck ? Qui veut la coupe, Geneviève Guilbault

Crédit: Renaud-Bray

Tous.tes les petits.es fans de hockey adoreront ce livre. L’autrice sera présente pour discuter avec les minis et signer des livres.

Psst : vous avez aimé son livre Hockey Mom? Elle aura aussi des séances de dédicace pour cet ouvrage.

Horaire ici

Olga, Élise Gravel

Crédit: Renaud-Bray

La présentation de cette autrice et illustratrice n’est plus à faire! Elle sera présente plusieurs jours pendant le Salon du livre afin de signer et parler de plusieurs de ses ouvrages, comme Olga, Le Pire livre du monde et Je veux un monstre!

Horaire ici

Les nombrils, Delaf

Crédit: Renaud-Bray

Votre ado adore la bande dessinée Les Nombrils? C’est l’occasion d’aller rencontrer un des auteurs de cette célèbre série québécoise!

Horaire ici

Quand le père Noël était petit, Geneviève Godbout

Crédit: Renaud-Bray

L’autrice sera présente le samedi 23 et dimanche 24 pour signer et discuter de plusieurs de ses oeuvres comme Quand le père Noël était petit, Bonne nuit, Anne et Gâteau aux pommes.

Horaire disponible ici

Sur le site Web du Salon du livre de Montréal, il y a possibilité de se créer un compte afin de cataloguer les événements et les auteurs/autrices qui vous intéresse! 

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Mon fils de 11 ans croit encore au père Noël

Avec la première neige arrive l’impatience de mon fils à installer et décorer le traditionnel sapin de Noël. Il adore l’esprit des Fêtes. La pomme (de pin) ne tombe jamais bien loin de l’arbre, comme on dit. En effet, j’ai moi-même toujours cette même magie dans le coeur quand je m’installe pour lire dans le salon à la lueur des lumières de notre arbre familial.

Et qui dit Noël, dit père Noël. J’aime ce gros barbu aux joues rouges et je me suis arrangée pour que mes enfants l’adorent. Mes filles ont arrêté d’y croire d’elles-mêmes au primaire. Mais mon fils de bientôt 12 ans y croit encore et je ne me vois pas lui briser cette magie en un claquement de doigts.

Pourtant, il est dégourdi, allumé, débrouillard, mais aussi tellement sentimental. Je me suis donc arrêtée un instant, afin de me poser cette question: « Pourquoi le père Noël est si important et que représente-t-il pour moi? » J’ai ainsi réalisé que son rôle va bien au-delà de la magie et de l’imaginaire.

Il personnifie la générosité et l’altruisme que j’inculque à mes enfants. Il symbolise le plaisir d’être ensemble et de partager une tradition.

Il renforce, à mon avis, un lien d’appartenance à la société. Partout, on chante Noël, on se prépare à la fête, on décore et on festoie. Et même si on a associé le père Noël, Saint-Nicolas et/ou Santa Claus à une fête religieuse, à la base, ils sont tous nés de traditions païennes et j’aime les valeurs transmises par ce sympathique vieil homme.

Je n’ai jamais fait croire à mes enfants que les pères Noël de centre d’achats avaient un lien avec LE petit papa Noël qui descend du ciel. Mais leur apparition au début  du mois de décembre titille la patience et le plaisir lié à l’anticipation s’installe. Avoir hâte et compter les dodos, ça fait aussi partie du bonheur de la chose.

Et voilà que les années ont passées et que mon fils est encore et toujours ce même petit garçon à l’intérieur. Celui qui donne, qui aime, qui aide et qui partage, avant, pendant et après la période des Fêtes. Et moi, je suis sa maman qui le regarde avec des étoiles dans les yeux et de la chaleur dans le coeur. Je n’ai pas envie que ça s’arrête.

Vos enfants croient-ils encore au père Noël?

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Quand sexualité et fertilité riment avec corvée

La procréation assistée, ce long et préoccupant processus par lequel j’ai dû passer pour avoir mes cocos, m’aura enlevé, le temps de quelques saisons, mon désir de faire l’amour par plaisir. Je me souviens d’un samedi soir, collés dans le lit, j’avais envie d’être coquine, mais comme mon insémination était lundi matin, pas question de « gâcher » ça.  

Eh oui, tout est une question de calcul et de « timing »! Les jours sont comptés, les injections sont bien dosées, l’échographie doit avoir lieu à une date précise, l’ovulation est déclenchée, puis on part presque avec une prescription de où, quand et comment faire l’amour. Correction: on ne fait pas l’amour, on fait des bébés!

La magie, les fantaisies, le désir et les préliminaires, ça n’existe plus. On fait place aux alarmes, au calendrier, aux automatismes et à un profond sentiment de découragement lorsqu’il faut recommencer.

Les mois passent et on devient comme des robots programmés à faire du sexe dans le seul et unique but que je tombe enceinte. Pour moi, cette période de traitements aura duré 15 mois. Quinze mois à avoir des relations sexuelles de façon mécanique.  En fait, les premiers cycles de traitements, nous avions des relations, mais à des moments bien précis.

Malheureusement pour nous, cette méthode n’a pas fonctionné. Nous sommes donc passés à l’étape de l’insémination, une technique  par laquelle le sperme de l’homme est artificiellement introduit dans la cavité utérine de la demoiselle.  À ce moment, nos corps n’avaient plus à se rencontrer. En fait, le jour où mes deux petits ont été conçus, mon chum n’était même pas là. J’étais seule dans ma petite salle, les genoux dans les airs à espérer que cette fois soit la bonne . 

Après 8 inséminations artificielles, j’étais enfin enceinte et cette étape de notre vie nous aura rendus plus forts (et plus fatigués) parce que j’ai finalement eu la chance incroyable de porter et de mettre au monde 2 enfants plutôt qu’un. Mes jumeaux (pas si jumeaux que ça finalement) auront été conçus le 25 mai 2015 à 10:15 et ils sont nés le 27 janvier 2016 à 7:58 et 8:03 et cette fois, mon homme était présent.

La vie de couple a repris son cours, mais nos rapprochements étaient devenus une corvée plutôt qu’une envie. Après ce triste constat, on a dû réapprendre à faire l’amour par désir et non par « obligation ».  La flamme qui nous allumait autrefois s’était éteinte et il allait falloir mettre des étincelles dans notre chambre à coucher pour que nos corps s’enflamment à nouveau.

Petit à petit, on a recommencé à « flirter » comme des ados en quête de bon sexe sans autre but que le plaisir. Il a fallu réapprivoiser notre intimité, réapprendre à se découvrir et à aimer nos corps. Puis, naturellement, nous nous sommes rappelé que le sexe ne sert pas juste à concevoir un enfant et que l’objectif principal peut enfin être l’orgasme!  

À tous les parents qui sont passés par les traitements de fertilité, avez-vous eu de la difficulté à surmonter cette épreuve?

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La programmation de Ciné-Cadeau est enfin disponible!

Le meilleur temps de l’année est bientôt de retour! Soyez prêts, car Ciné-Cadeau reprend du service dès le 14 décembre sur les ondes de Télé-Québec.

Chaque année, c’est immanquable chez TPL Moms, on s’accorde au moins UN film du Ciné-Cadeau à regarder pendant les Fêtes parce que le petit moment nostalgie que ça nous donne est juste trop parfait. En plus, c’est tellement un beau temps à passer avec la famille et faire découvrir des films classiques aux minis.

La programmation est officiellement sortie et on a déjà plein de films sur notre liste. Évidemment, on veut regarder TOUS les Astérix, mais il y a aussi quelques nouveautés ou films plus récents qu’on aimerait voir ou revoir. Madagascar, Le Bébé Boss, Il pleut des hamburgers et Dragons : Le cadeau du furie nocturne sont définitivement parmi nos choix!

Vous pouvez consulter l’horaire complet en visitant le site Web de Télé-Québec.

Bon visionnement!