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Être nouvelle maman, c’est difficile!

Il y a 8 ans, je me rendais à un atelier sur le sommeil avec, sous le bras, mes lectures du moment: toutes sur le développement du nourrisson.  Mes livres étaient surlignés en rose ou en vert selon mon interprétation des passages et j’avais annoté les heures de réveil de ma fille. Mes livres sur l’alimentation avaient la même allure et je comptais bien assister à l’atelier également. Je pensais trouver des réponses… LA réponse, en fait. 

Je m’en allais au cours : « Maman 101 », rien de moins, et pourquoi? Parce qu’être maman pour la première fois, c’est DIFFICILE. Il y avait UNE façon de faire, et moi, je ne la connaissais pas encore.

Je me souviens du bonheur indescriptible de la naissance. Je me souviens également du vertige face à la tâche à venir. La peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être « assez ». Même mettre bébé au sein pour le nourrir semblait insuffisant.   

Je me souviens alors du mode « trouvons des solutions ». Bébé s’endort au sein, dort trop, pas assez, avec nous, mange trop ou pas.  Je cherchais dans les livres, les ateliers, sur Internet.

J’associais les comportements qui différeraient des livres ou des autres bébés à une incapacité de ma part. J’avais tellement d’attentes précises sur ce que les choses « devaient » être que je ne profitais pas de mon quotidien tel qu’il était.  Dans mes yeux de nouvelle maman, mon intuition maternelle était bien loin sur l’échelle de la pertinence. 

Pourtant, cette intuition, cette lecture que l’on fait de notre bébé,  ne devrait-elle pas prévaloir sur tout ce que #LesGens peuvent bien penser?  En bout de ligne, la meilleure personne pour savoir si bébé a faim ou besoin de sommeil devrait être bébé lui-même, non? Après 3 enfants, ça me semble futile que bébé mange à 6 mois plutôt que 5. J’aimerais bien faire un petit saut dans le passé, me dire de me calmer un peu. M’avertir de profiter. 

Aujourd’hui, je suis de retour dans les groupes « mamans-bébés », avec ma troisième. Mes nouvelles amies, elles, sont mamans pour la première fois et je me vois à travers elles. Elles me posent des questions (parce que moi, j’en ai 3, donc « je sais »).  Honnêtement, j’ai moins d’opinions que j’en avais et, malheureusement pour elles, je réalise que je n’ai aucune recette miracle.

Par contre, je sais que si on s’éloigne de ce qui nous semble naturel, de nos valeurs ou de notre instinct, c’est là que tout déraille et qu’on se perd. C’est bien de s’informer, mais il faut se faire confiance sans attendre l’approbation. Il faut s’écouter. Il faut se permettre de choisir ce qui nous simplifie la vie, même si cela implique de dormir avec bébé ou de l’endormir dans les bras.

De toute façon, si j’ai appris une chose en 8 ans, c’est qu’on ne trouvera jamais c’est qui le « y » dans « y disent »…  Alors, pourquoi tout faire pour leur plaire?

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« La vraie nature » maintenant disponible en livre

La popularité de l’émission La vraie nature n’est plus à prouver : cette émission chouchou des Québécois.es permet de faire des incursions douces et sensibles dans la vie des stars et personnalités publiques de la province. Son concept authentique a donné l’occasion à plusieurs vedettes de se confier sur certains aspects de leur vie ou de leur carrière, et a permis d’avoir plusieurs moments télévisuels très touchants.

L’animateur, Jean-Philippe Dion, et plusieurs collaborateurs ont donc décidé de prolonger l’expérience de La vraie nature à travers les pages d’un livre contenant plus de 200 photos exclusives! Le livre revient sur des moments forts des deux premières saisons, autant devant que derrière la caméra. Plusieurs extraits jamais diffusés ont été revus afin d’être inclus à travers les pages du bouquin.

Mais ça ne s’arrête pas là! En plus de pousser l’expérience de La vraie nature encore plus loin, les auteurs proposent aussi une tonne d’activités et de recettes à faire lors d’un séjour en nature. Le livre aborde plusieurs thèmes, comme « s’orienter en forêt », « comment ramer dans une barque », « fabriquer des bougies », « l’ABC des champignons sauvages », etc.

Des confidences exclusives de plusieurs stars rempliront aussi les pages, dont les témoignages d’Étienne Boulay, Bianca Gervais, Mitsou Gélinas, Guillaume Lemay-Thivierge et Guylaine Tremblay, pour ne nommer que ces personnes-là!

Définitivement un livre à découvrir, si vous êtes fan de l’émission La vraie nature!

Le livre est disponible en ligne et en librairie dès maintenant.  

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Limitez votre émission de micro plastique grâce à ce nouveau produit pour le lavage

Sans nécessairement le savoir, on relâche une tonne de micro plastique à chaque brassée de lavage effectuée. Tous les vêtements en fibres synthétiques relâchent plusieurs résidus lorsqu’ils sont lavés et ces résidus sont par la suite envoyés dans le système d’aqueduc.

Bon, on n’arrêtera clairement pas de faire du lavage et ça risque d’être difficile d’éviter entièrement tous les vêtements en fibres synthétiques, alors c’est quoi la solution? L’entreprise Stop Microwaste (en anglais uniquement) a inventé un sac de lavage qui permet de retenir les micros fibres de plastiques et ainsi réduire leur propagation dans l’eau et le système d’aqueduc.

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Did you know that fibers from synthetic textiles are one of the main culprits of microplastic pollution? (e.g. IUCN 2017 Primary Microplastics in the Oceans). The Guppyfriend Washing Bag was developed to prevent microfibers from ending up in nature. It protects your clothes, keeps plastic out of the water and is a daily reminder to change your buying habits and washing rituals. . . #weareguppyfriendly #plasticfree#plasticwaste #skipplastic #washingguide#stopmicrowaste #microplastic#plasticpollution #guppy #guppyfriend#washingbag #marinedebris #plasticfree#conciousliving #stopmicrowaste#plasticfreenature #safetheplanet#environmentallyfriendly #chemfreelife#nontoxic #earthfriendly #greenhome#saynotoplastic #naturalliving#reduceplastic #plasticwaste#environmentalpollution #nature#naturelovers #singleuseplastic

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Le sac de lavage s’utilise avec tous les vêtements qui sont confectionnés en fibres synthétiques et se met autant dans la laveuse que la sécheuse. En plus, il permet de protéger les vêtements lors du lavage et/ou du séchage, alors c’est assez win-win comme produit.

Le sac est quand même dispendieux (39.75$), c’est le petit bémol… mais pour une innovation qui a de l’allure et qui va aider à faire notre part un peu plus, c’est un prix plutôt raisonnable.

Il est disponible en ligne et vous trouverez aussi plus d’infos sur le site Web de Guppyfriend

*Nous ne sommes pas payées pour vous parler de ces produits,

on aime simplement partager nos belles découvertes!

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4 ans et 4 bébés plus tard

Je vais faire une petite mise en contexte pour ceux qui n’ont pas trop suivi mes derniers textes. J’ai 30 ans et je suis en couple avec un homme de 31 ans depuis 4 ans. Nous nous sommes « rencontrés » lors de nos années d’université il y a environ 9 ans. Lui était en maîtrise de biologie et moi en chimie. Il venait parfois voir son frère qui étudiait en enseignement des sciences avec qui j’avais des cours en commun et qui me tapait bien gros sur les nerfs. Frère qui est maintenant parrain d’un de nos garçons… t’sais, la vie. Jamais je n’y aurais cru à ce moment-là. Tout ça pour dire qu’en fait, c’est Tinder qui nous a réunis plusieurs années après notre graduation. On a fait un sapin de Noël le 26 octobre 2015 et depuis on ne s’est pas lâchés.

Très rapidement, on a parlé d’avoir des enfants. On approchait tous deux la trentaine et on se sentait prêts. Ça nous a pris un an et demi avant qu’enfin, un être décide d’élire domicile dans mon utérus. L’échographie de datation nous a finalement montré qu’il y avait deux petits êtres qui s’y étaient logés. On a été sous le choc, mais on s’y attendait un peu vu les taux de HCG très élevés de mes prises de sang.

Nos jumelles non identiques sont venues au monde le 23 novembre 2017. Un accouchement naturel sans complications. S’en est suivi une année où j’ai eu la tête dans le brouillard de la dépression sans être officiellement diagnostiquée et traitée. J’avais l’angoisse profonde de devoir prendre des antidépresseurs et d’avoir toute la difficulté du monde à me sevrer de ça. (Aujourd’hui, je me trouve poche et si vous avez des symptômes de dépression, parlez-en à votre médecin sans honte ni peur du jugement, il est là pour vous et c’est important. Vous pouvez aussi contacter l’organisme Revivre au 1 866 REVIVRE (738-4873)).

Quand nos filles ont atteint l’âge vénérable de 14 mois, je suis retombée enceinte au premier essai. On était super contents. J’ai pris mes rendez-vous pour un premier suivi de grossesse et l’échographie de datation. Ma gynécologue me dira plus tard que sa première pensée quand elle a vu mon nom dans sa planification fut « hihihi, voire si elle n’a pas encore des jumeaux ». Quelque part en mars, on se dirige à l’hôpital pour l’échographie et sure enough… encore des jumeaux, mais cette fois, ils sont identiques. J’ai braillé, mon chum a ri et la gynécologue qui faisait mon échographie était sur le cul.

Ma bedaine a poussé, mes filles ont grandi. On a su qu’on attendait des garçons. On a acheté une maison. On a rénové la maison, on a acheté une minivan. On a fini de préparer la valise et la chambre des garçons le 25 septembre à minuit et le 26 septembre j’ai accouché naturellement de nos garçons.

Nos garçons ont eu un mois hier. C’est aussi notre 4e anniversaire de couple. Pour la première fois en 4 ans, on n’a pas fait notre sapin de Noël hier. Pas eu le temps. Mais watch out qu’on va se reprendre aujourd’hui ou demain.

Si vous m’aviez dit que j’allais être où je suis aujourd’hui il y a 4 ans et demi, je vous aurais ri au visage et j’aurais probablement pris une coupe de vin pour passer ma peine d’être toute seule encore à 27 ans et si loin de ce que je projetais pour ma vie.

Aujourd’hui, notre vie est bien remplie, notre maison est pleine de rires, de pleurs, de couches sales, de couchettes de bébés. Notre sortie de la semaine consiste maintenant à aller chez Costco au lieu d’aller prendre un gelato sur le bord de l’eau. On se lève plusieurs fois par nuit et on se réveille tôt au lieu de dormir jusqu’à pas d’heure.

Mais savez-vous quoi?

Je n’échangerais cette vie à 7 (Ne jamais oublier le félin. Le félin est important.) pour rien au monde. On se dépasse chaque jour. On reçoit et on donne de l’amour comme jamais on aurait cru cela possible. On est l’anecdote de tout le monde qu’on connait. Notre histoire, elle est unique et on l’aime.

Le plus beau dans tout ça, c’est qu’on s’aime un peu plus chaque jour. Même après quatre enfants, on a la capacité de dialoguer et de résoudre nos petits pépins rapidement et de se coucher le soir aussi amoureux que lorsqu’on s’est levés le matin. Pis ça ben, c’est important.

Bien que je vive le moment présent, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer mes quatre enfants partir à l’école ensemble. Une seule année scolaire les séparera. Un jour, ces quatre poulets joueront ensemble et la différence d’âge ne sera même pas détectable.

C’est complètement fou, la vie.

Vous, c’est quoi votre histoire?

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Quand le travail invisible est plus épuisant qu’un « vrai » emploi

Ça a souvent été dit, mais c’est constamment oublié : être maman à la maison, c’est un travail invisible. Les mamans à la maison ou en congé de maternité font des tonnes de tâches. Elles s’occupent des enfants en jouant avec eux, en leur faisant à manger, en s’occupant de leur hygiène. Elles s’occupent aussi de la maison en faisant le ménage, en organisant les biens, en faisant les achats nécessaires. Puis, elles s’occupent de toute la famille en prenant les rendez-vous, en planifiant des vacances, en organisant des activités. Tout ça, et beaucoup plus encore. Bref, la charge mentale est immense.

Lors de mon premier congé de maternité, me retrouvant pour la première fois maman à la maison le temps de quelques mois, j’ai trouvé ça difficile. J’avais l’impression de passer mes journées à travailler, sans vraiment travailler.

Je m’explique.

En tant que tel, je trouvais ça plus épuisant d’être mère à la maison que d’être enseignante, mon emploi habituel. Je manquais de sommeil, je passais ma journée à faire de nombreuses tâches et je me retrouvais complètement brûlée à 4h l’après-midi.

Or, ce que je trouvais le plus difficile, ce n’était pas mes grosses journées. Je savais que c’était temporaire, qu’un jour, bébé ferait ses nuits, vieillirait, et que tout ça deviendrait plus facile (ce qui fût le cas quelques mois après).

Ce que je trouvais difficile, c’était que je manquais de reconnaissance. Je faisais ce qui est, selon moi, un des plus importants travails du monde : éduquer nos enfants. Pourtant, un partie de moi se sentait inutile. Alors qu’on vit dans une société de performance, on se valorise trop souvent par rapport à notre emploi rémunéré. Ainsi, quand on fait un travail invisible, un incontournable sentiment d’inutilité vient nous envahir.

Bon, ce texte semble être un horrible constat négatif, mais détrompez-vous! Il y a quelque chose qui m’a vraiment aidée: mon chum et moi, on se dit merci.

Ça a l’air d’une solution bien simple, et ce l’est, mais son efficacité est assez incroyable. C’est simplement parce que ça provoque le sentiment que tout le travail fait est reconnu par quelqu’un. C’est parfois tout ce que ça prend pour se donner un petit boost de confiance et de sentiment d’accomplissement.

Mon chum et moi, on se remercie pour plein de choses.

« Merci d’avoir fait la vaisselle. »

« Merci d’avoir plié le linge. » (On va se le dire, le défi n’est pas de partir une brassée, mais bien de la plier!)

« Merci d’avoir fait prendre le bain aux enfants. »

C’est un effort conscient qui aide tout le monde à se sentir mieux face au travail invisible qui est fait. En prime, ça fait vraiment du bien au couple! Ça a même été confirmé scientifiquement par une étude qui a conclu que cette expression de gratitude réduit les chances de divorce!

Dites-vous merci dans votre couple?

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Des desserts avec trois ingrédients seulement!

Êtes-vous du genre à éviter de faire de la pâtisserie parce que c’est trop d’ouvrage? Je vous comprends… d’habitude, je me limite aux croustades, muffins et autres trucs peu compliqués. J’étais donc bien curieuse quand on a reçu le livre « La pâtisserie en 3 ingrédients », de Charmian Christie, au bureau.

L’autrice est une populaire blogueuse culinaire d’Ontario et publie des recettes depuis des années sur The Messy Baker. Elle privilégie une méthode simple qui nécessite que très peu d’équipements (donc pas besoin du batteur sur socle fancy). Dans son ouvrage, elle pousse la simplicité encore plus loin puisqu’elle propose 101 recettes de desserts composés de seulement trois ingrédients.

Vous voulez faire des tartelettes au citron vert et au gingembre? Ou encore, un gâteau renversé à l’ananas? Le livre La pâtisserie en 3 ingrédients est le guide à avoir pour réaliser des desserts rapides et faciles.

Le livre est disponible en librairie et sur le site Web des Éditions la Semaine. 

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Ma mère n’est pas la mamie que je voulais pour mon enfant…

Ce n’était pas le scénario que j’avais envisagé quand je lui ai annoncé que j’étais enceinte. Dans ma tête, elle sautait de joie, m’aidait à préparer la venue de ce petit être tant attendu, elle avait hâte de catiner. Dans la réalité, c’était une tout autre paire de manches. Elle a sauté de joie, mais ça s’est arrêté là…

Ça faisait quelque temps qu’elle nous rabâchait les oreilles avec la classique phrase : « pis, c’est quand que vous nous faites un p’tit bébé? » J’en avais donc conclu qu’elle avait hâte d’être grand-mère. Elle qui avait passé notre jeunesse à la maison, à s’impliquer dans toutes les activités de bénévolat à notre école, je me disais qu’elle serait présente pour ce petit trésor à venir, qu’elle voudrait être aux premières loges de tous les moments importants de son protégé.

Quand, enfin, je suis tombée enceinte, ça ne s’est pas du tout déroulé comme je l’avais prévu… Moi qui l’espérais mamie gâteau, prête à assister à tous les exploits de son seul petit-enfant, elle s’est plutôt avérée être un brin désintéressée par ce que ma progéniture accomplissait. 

Pas qu’elle n’est pas là! Mais à mes yeux, pas comme il le faudrait. Elle m’a clairement avisée au départ que je ne devrais pas me servir d’elle comme d’une garderie de secours, et que l’avertir moins de 24h à l’avance pour me dépanner n’était pas trop envisageable. Nouvelle retraitée, elle avait bien l’intention de dormir le matin et de penser à elle. Ce qui, en soi, est légitime, si j’avais eu l’intention d’exagérer. Je crois qu’à ce jour, mon enfant a dû se faire garder par elle l’équivalent de deux mois en presque 10 ans! Et là-dessus, il n’y a eu aucun dodo.

Bien évidemment, quand vient le temps de choisir où mon enfant veut se faire garder, le nom de ma mère ne vient jamais en tête de liste. Je dois parfois user de subterfuges pour qu’il y aille. Parce que contrairement à quand j’étais enfant et que ma mère jouait avec nous, maintenant, elle continue à vaquer à ses occupations pendant que mon enfant s’amuse seul.

Imaginez mon désarroi la première fois qu’elle m’a dit s’ennuyer de son petit protégé! Qu’elle trouvait qu’elle ne le voyait pas assez souvent à son goût… je ne savais pas quoi lui répondre sans l’offusquer!

Je sais qu’elle l’aime à sa façon et qu’elle s’en occupe bien quand il est avec elle. Je trouve juste dommage que les liens ne soient pas tissés plus serrés. Je regarde juste la relation que mon enfant a avec son autre grand-mère, qui malgré ses courbatures et son âge, est prête à se rouler par terre pour divertir mon enfant, ou même avec mes beaux-parents (qui ne sont pas ses grands-parents), qui l’acceptent comme si c’était la leur et je me dis que c’est ça que je souhaitais que mon enfant vive avec mes propres parents.

J’en viens donc à la conclusion que ce que je considère une belle relation mamie – petit-enfant n’est pas perçu de la même façon par tous… et que je dois jongler avec les émotions que cela implique, autant pour mon enfant, ma mère que pour moi…

Êtes-vous satisfait.e de la relation entre vos parents et vos enfants?

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5 livres pour un beau moment lecture avec bébé

Salon du livre, bibliothèques municipales; les occasions sont nombreuses pour faire découvrir la lecture à nos cocos. C’est un cadeau à offrir en héritage, et ce, dès la tendre enfance. Par contre, ce n’est pas toujours évident de se retrouver dans l’offre toujours grandissante et surtout, de savoir s’adapter à l’âge de notre jeune public. Car non, bien que bébé soit plus avancé que son âge (comme adore le répéter grand-maman), il ne lira pas le roman gagnant du dernier prix Goncourt; pas d’ici quelques années, du moins. 

Voici donc mes coups de coeur de livres cartonnés pour poupons. 

Où est le canard?

Coucou! Un livre jeu où bébé doit découvrir où se cachent les bestioles de la marre en soulevant différents volets de feutre. J’aime l’imagerie simple et sympathique, mais surtout les couleurs vives et fluo utilisées pour les panneaux de feutre qui créent beaucoup de contraste. Un bon livre pour acquérir la notion de permanence de l’objet. En bonus, la dernière page révèle un miroir qui amusera bébé. On retrouve plusieurs livres dans la même collection, dont Où est le père Noël, car oui, He is coming to town sous peu.

Je suis terrible

Impossible de passer sous silence ce livre cartonné créé par Élise Gravel. Un monstre essaie tant bien que mal d’effrayer une fillette et son chien en forêt. Le problème, c’est qu’elle le trouvera plutôt mignon! À mon avis, la force de ce livre est la grande flexibilité théâtrale qu’il procure. On peut varier les intonations, faire différents bruits et mimer certains passages; le tout sur le ton humoristique propre au livre. C’est littéralement la première histoire sur laquelle mon enfant CAPOTE. Un hit dans mon entourage!

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Je t’aimerai toujours: hommage à mon grand-père

Il y a de ces gens qui marquent notre vie et nous rendent meilleurs. Parmi ceux-là, il y a cet homme qui, un jour, a été fort et beau, jeune et athlétique. Dans un élan de passion, il a déserté l’armée pour rejoindre sa dulcinée. Excommunié par l’église parce qu’après 2 enfants, il empêchait la famille; il était un peu rebelle. Il a connu la guerre, l’amour, le vrai et par deux fois, car la vie lui a arraché sa première femme, ma grand-maman, dans la jeune quarantaine.

Il s’est remarié et, avec son coeur gros comme l’univers, il a adopté les 3 enfants de sa nouvelle flamme. Mieux encore, il les a aimés comme les siens et ils en ont fait un petit dernier. Il a travaillé fort, est tombé et s’est relevé plus fort encore. La vie lui a arraché sa deuxième femme, sans originalité, de la même manière que la première.

Malgré la peine et la douleur, encore et toujours il était là, avec ses bras rassurants, son rire contagieux et sa générosité sans nom. En tant que grand-papa, il m’a appris à ne jamais lâcher, à aimer plus fort, à bluffer au poker, mais à ne jamais mentir à ceux que j’aime. Il est aujourd’hui arrière-grand-père de mes 3 enfants. Notre papi occupe une place importante dans notre vie.

Il a voyagé avec nous et ce sont des souvenirs que je chéris au plus profond de mon être. Je les chéris pour deux, parce que lui, il ne s’en souvient plus. Il ne se souvient plus du nom de mes enfants, mais il se souvient de leur visage et de leur amour aussi. Parce que l’amour, ça s’oublie moins facilement, j’imagine. Et même si c’est difficile pour notre coeur et que parfois on a mal jusque dans l’âme de le voir perdre son autonomie et ses souvenirs, on est là pour lui.

Et même si a chaque visite il oublie qu’on est venus, mes enfants lui font un petit trio musical. Quand il voit mon fils s’installer au piano du CHSLD, accompagné de mes filles à la flûte traversière et à la clarinette, des larmes de bonheur perlent sur ses joues. Bien que le chemin de ses idées entre son cerveau et sa bouche soit plus ardu, il réussit, chaque fois, à laisser échapper cette phrase: « C’est des diamants bruts. » Et je pleure.

Quand ils ont le choix entre une journée entre amis ou une visite à leur papi, jamais ils n’hésitent. Ils apportent bonheur et douceur dans sa vie. Et je trouve ça beau. Mes enfants développent l’empathie, la compassion, l’altruisme en côtoyant de près la vieillesse dans toute sa splendeur. Notre papi est atteint de la maladie d’Alzheimer, qui lui vole beaucoup de choses, mais on s’unit pour l’empêcher de lui voler sa dignité!

Je crois fermement que nos aînés devraient occuper une place de choix dans notre société, car ce sont eux qui nous ont forgés.

Quelle relation ont vos enfants avec leurs grands-parents ?

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Défilé du Père Noël : Un nouvel itinéraire !

NOËL S’EN VIENT! Wouhouuuuuu! Êtes-vous autant excité.e.s à l’idée que nous? Il ne reste que 7 vendredis avant Noël, mais on aura l’occasion de célébrer ce moment festif un peu avant grâce au fameux Défilé du Père Noël, présenté depuis les 69e dernières années.  

C’est le 23 novembre qu’aura lieu cette nouvelle édition du Défilé et cette année, un nouveau parcours sera suivi par le cortège. C’est sur le boulevard René-Lévesque, entre les rues Guy (le départ) et Saint-Urbain (l’arrivée) que les chars paraderont pour le bonheur des petits et des grands.

Crédit: Destination centre-ville

Au total, c’est plus de 17 chars originaux et féériques qui parcourront le trajet, accompagnés de fanfares canadiennes et de plusieurs autres artistes. Notons d’ailleurs la présence des chanteurs et chanteuse Brigitte Boisjoli, Christian Marc Gendron et Yoan, qui viendront faire honneur aux classiques de Noël.

Parmi les nouveautés, un char du Cirque du Soleil en mettra plein la vue aux participants du Défilé et trois chars seront entièrement tractés à l’aide de véhicules électriques Tesla X (dont celui du Cirque du Soleil et celui de XP_MTL. Plusieurs visages bien connus seront de la partie, comme les mascottes Youppi (Canadiens de Montréal), Junior (Impact) et Touché (Alouettes).

Pour une 3e année consécutive, la charmante Vanessa Pilon interprétera la jolie Fée des étoiles!

Pour les familles qui ne pourront pas être présentes, le défilé sera rediffusé sur le réseau de TVA et de la chaîne Yoopa.

Vous trouverez plus d’infos ici