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Trucs pour aborder les sujets difficiles avec les enfants

Un beau matin ou un soir tranquille, votre mini vous pose LA question… Celle à laquelle vous ne vous attendiez pas et vous ne savez pas trop comment y répondre… Il ou elle vous demande ce qui arrive après la mort, pourquoi certaines personnes se font intimider, ce qui se passerait si papa et maman se séparaient, etc…

Ouf!

Certains sujets sont plus difficiles à aborder avec les petits, et c’est pourquoi la psychologue Nadia Gagnier a partagé quelques trucs et conseils dans une entrevue avec Radio-Canada. Quand les minis sont exposés à une situation plus difficile, que ce soit dans la « vraie vie » ou par le biais de la télévision ou d’un livre, les questions arrivent rapidement. Plutôt que de les ignorer ou de minimiser certains aspects, Dre Nadia Gagnier recommande de nommer les émotions qui sont soulevées par les interrogations et de les normaliser.

La psychologue recommande aussi de décortiquer les situations avec les enfants, tout en leur montrant qu’ils ont du pouvoir dans ce qui leur arrive et dans leur relation avec les autres. Il est utile aussi d’accueillir les questions et d’y répondre dans le meilleur de nos capacités, car selon Dre Gagnier « si on ne répond pas en totalité à la curiosité de l’enfant, les zones d’ombre qui restent dans son esprit vont être plus anxiogènes parfois que la réalité. »

Enfin, elle conclut en aussi en rappelant qu’il est important de respecter le rythme de l’enfant et d’être sensible à ses réactions.

Vous pouvez écouter l’entrevue intégrale ici

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Être maman et militaire: Un dur retour à la réalité

Trois semaines de préavis, c’est ce que j’ai eu pour me préparer mentalement à mon départ pour mon cours militaire de base. Je revenais tout juste de mon congé de maternité et mon fils venait de commencer la garderie. J’étais complètement terrifiée à l’idée d’être loin de mon bébé et de laisser mon chum en charge. La nuit précédant mon départ, j’ai bercé mon fils en pleurant toutes les larmes de mon corps.

Être loin de ma famille n’était pas une partie de plaisir, mais mes journées étaient tellement chargées que je n’avais pas vraiment le temps de m’ennuyer ni de penser. 

Puis, j’ai revu mon garçon pour la première fois une semaine avant ma graduation, à l’aéroport. Je n’oublierai jamais la panique dans son regard lorsque mon chum a été chercher la valise. Mon fils se débattait en hurlant dans sa poussette comme s’il venait d’être kidnappé. Ébranlée par sa réaction, je retenais mes larmes du mieux que je pouvais. 

Mon retour a été tough. J’avais l’impression d’être une étrangère dans ma propre maison. Je n’étais plus sa préférée, notre lien était brisé. Un énorme sentiment d’impuissance m’habitait. J’étais tout simplement incapable de décoder les besoins de mon fils et de répondre aux attentes de mon chum. J’étais un brin jalouse de leur complicité. Le moment où je me retrouvais seule avec mon gars, j’étais en mode panique. Je n’avais plus confiance en mes capacités parentales, c’est comme si mon instinct maternel était à off

Aussi, dès mon retour à la maison, je me suis donné la mission de faire le ménage, faire les lunchs et cuisiner, car cela me donnait l’impression d’être utile, de servir à quelque chose. Quelques semaines sont passées et j’ai constaté que je passais peu de temps avec mon fils et que j’accordais trop d’importance à mes tâches ménagères. Incapable de verbaliser mes émotions, je m’énervais pour un rien, je me couchais épuisée, mais surtout découragée. 

Au total, j’ai été absente six mois. Cela a été une longue période d’adaptation et d’ajustement pour toute la famille. Je n’ai jamais regretté d’être partie, car c’était ma décision et je suis fière d’être militaire. Graduellement, j’ai cessé de m’enfermer dans la maison et j’ai commencé à sortir de ma coquille. J’ai travaillé fort pour me réapproprier mon rôle de mère et reprendre ma place dans la vie de mon fils. Ç’a été très long avant qu’il se réhabitue à ma présence, mais ma patience a porté fruit.

L’autre jour, je suis allée le déposer à la garderie et il a fait une crise quand j’étais sur le point de partir et ça m’a fait chaud au coeur. 

J’admire et lève mon chapeau à tous les parents militaires qui restent derrière et/ou qui s’absentent tout au long de leur carrière, vous êtes mes héros. 

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Organiser un shower de bébé vraiment chouette en 5 étapes!

Organiser un shower de bébé n’est pas très compliqué, mais on vous donne quelques conseils pour faire de cet événement un succès, autant pour la mère que pour les invités.

1. La préparation

Je ne sais pas pourquoi, mais souvent dans les showers, certaines personnes sont oubliées. Peut-être parce que, comme c’est souvent une s?ur ou une amie, qui l’organise, elle oubliera les 2 collègues cool de la mère, ou une amie qu’elle voit moins souvent. Donc, assurez-vous de valider la liste avec la mère et si vous faites un groupe ou un événement Facebook, faites en sorte que les amies puissent inviter d’autres personnes. On peut retirer la mère des préparatifs par la suite pour lui garder quelques surprises.

Demandez aussi à la mère de faire une liste de cadeaux avec plusieurs catégories de prix. Comme ça, elle n’aura pas de double, ça aidera les gens sans enfant qui ne savent pas quoi acheter dans les showers et ça conviendra au budget de tous. Vous pouvez aussi faire pot commun et remettre un certificat-cadeau ou acheter un item plus dispendieux de la liste.

2. Où et comment?

En déterminant le lieu, il sera facile après de tout planifier en conséquence. Par exemple, à la maison de la mère, vous pouvez décider de faire un potluck ou de réserver un traiteur pour un dîner. Certaines inviteront aussi les conjoint.e.s et préféreront une formule BBQ ou plus informelle.

Prévoyez de l’alcool, les autres personnes présentes ne sont pas enceintes. ? Soit des mimosas ou une petite bière d’après-midi, ça crée un moment plus festif et les gens resteront plus longtemps.

Ensuite, laissez aller votre imagination et les plus crafty du groupe peuvent réaliser des banderoles et bouquets de ballons, faire des cupcakes, et même un gâteau de couches (les parents n’en auront jamais assez). On peut trouver une foule d’inspiration sur Pinterest. La déco, en plus de faire des belles photos, fait partie des éléments qui mettent les gens dans l’ambiance. 

3. Jouez

Il y a une panoplie de jeux possibles pour les showers, passant de deviner des saveurs de petits pots à du minutage de changement de couches, dépendant de votre niveau d’intensité.

Pour celles qui n’aiment pas les jeux, sachez qu’il est préférable d’en faire quand même, car plusieurs personnes ne se connaissent pas et après un moment, les conversations avec tante Giselle et Annie la voisine, ça vient long. Dans ce cas, optez pour un jeu moins impliquant comme un pool sur la date de naissance, tout le monde participera.

Si la mère et ses amies adorent les jeux, on peut y aller pour des concours de rapidité de buveurs de biberons ou « À quoi ressemblera le bébé » en laissant nos invités assembler et coller des parties de visage de photos agrandies des parents. Un jeu-questionnaire peut être amusant aussi: 

  • Combien d’enfants veut la mère? Le père?
  • Quelle est la date d’accouchement prévue?
  • Quelle est l’envie de bouffe de la mère (les fameux « cravings »)?

Aussi, si la mère en est à son premier enfant, sa maison n’aura probablement pas de jeux pour enfants. Prévoyez d’amener des jouets pour les enfants des invités, ou rappelez-leur d’en apporter.

4. Suivez un horaire

Ça parait simple, mais lorsqu’on est dans un événement à la maison, parfois, on perd le fil du temps et les gens ont réservé une période de temps dans leur journée. On peut faire l’accueil, puis passer à manger, ensuite on pourra se lancer dans les cadeaux pour finir par les jeux. Aussi, avec un moment pour l’ouverture des cadeaux, les parents ne seront pas pris et monopolisés à ouvrir un cadeau à l’arrivée de chaque invité, ou avant que ceux-ci quittent. 

5. Créez des souvenirs

Comme c’est un moment assez unique dans la vie d’une mère, en plus de prendre des photos, on peut laisser un polaroid à disposition pour nos invités. Ils pourront prendre quelques clichés et inscrire des petits messages aux parents ou des mots de bienvenue pour l’enfant, au dos. On peut aussi en faire un album après. On peut même demander aux invités d’écrire des messages drôles ou d’encouragement sur les couches pour faire sourire les parents lors de nuits plus difficiles.

Bon shower!

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La parentalité: on fait ce qu’on peut!

Personne ne m’a avisée que devenir maman rimait avec 25% de sommeil perdu. Moi qui adore dormir et qui considère la sieste comme un hobby. Personne ne m’a prévenue que l’inquiétude des 9 mois de grossesse n’était qu’un aperçu du restant de ma vie de maman. Moi qui croyais ne pas devenir une maman poule. Personne ne m’a dit que chaque repas allait devenir un combat. Moi qui me réjouis à l’idée d’un repas en famille ou entre amis…

Quel choc d’élever des enfants pour qui dormir est une perte de temps, qui ont déjà un goût de l’aventure très prononcé et pour qui rester à table plus de 10 minutes est une mission impossible. Que faire? Eh bien? on fait ce qu’on peut! (Un recueil de textes à ce sujet vient d’ailleurs d’être publié.) Aucun manuel d’instruction ne nous a été fourni à la sortie de l’hôpital, on fait donc ce qu’on peut pour être le meilleur parent. La parentalité, c’est clairement de l’essai-erreur. On espère simplement que nos essais n’aboutissent pas tous en erreurs.

Je dis souvent « non » aux écrans, mais je vis avec les crises. J’ai le « oui » facile pour des collations à toutes heures, mais le souper assis à table en famille est non négociable. Je n’adopte pas la méthode du 5-10-15, mais j’accepte de me réveiller plusieurs fois par nuit. Je n’applique pas une routine du dodo stricte, mais je ne déroge que très rarement à la sieste de l’après-midi. Je perds patience, j’envoie les enfants en réflexion et je crie par moment, mais je leur dis que je les aime mille fois par jour. Chaque jour, je fais mes choix de maman; je choisis mes batailles. Chaque enfant est différent, chaque parent a sa réalité. Des parents parfaits, ça n’existe pas. Alors, pas de jugement! 

Peu importe les méthodes que nous utilisons pour élever et faire grandir nos enfants, l’important, c’est l’amour que nous leur donnons, le temps que nous leur consacrons et l’attention que nous leur portons. Ils finiront tous par entrer à l’école et devenir de petites personnes à part entière. Le magnifique documentaire de Thomas Balmès, Bébés, m’a fait comprendre que peu importe l’environnement dans lequel j’élève mes enfants (du moment, bien sûr, qu’il y a de l’amour et de la tendresse), ils se développeront tous selon les mêmes étapes: à moins d’événements ou de conditions hors de notre contrôle, tous les bébés finissent par ramper, se déplacer à quatre pattes, marcher et parler. 

Alors, s’il vous plaît, entre parents, soyons unis, et au lieu de juger. Ayons de la compassion et de l’empathie, car à la fin de la journée, on fait tous ce qu’on peut! Et ne vous mettez pas trop de pression, car des parents parfaits, ça n’existe pas, on fait simplement tous ce qu’on peut.

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L’infidélité qui m’a donné envie de plus

Mon histoire commence comme plusieurs autres infidélités: par des sourires et quelques mots. Ce moment où on devrait dire « non », celui que je reprocherais à mon amoureux. Tu étais brillant, important… Plus vieux.

On a parlé des semaines: de nos vies, de nos enfants. Nos échanges sont devenus des textos, de plus en plus crus, assumés. Tu t’adressais à la femme. Ça me faisait un bien fou. Tu m’as offert une sortie, un lift, un french d’adolescente. Puis, les frenchs sont devenus une vraie aventure, avec des souvenirs. Plus tu alimentais ce flirt, plus je réalisais à quel point ma vie sentimentale était loin de mes attentes.

J’étais insatisfaite et je pensais que de te gagner TOI chasserait ce mal-être. Pourtant, j’allais de mal en pis. Un an a passé… Personne ne comprenait.

« Si on se voit, il va falloir que ce soit le fun. » Ce sont tes mots, quelques mois avant la fin, quand je commençais à devenir lourde. J’ai cru que tu parlais de sexe. Avec le recul, je vois que ça signifiait que je devais être conciliante, jouer selon tes règles. Toujours heureuse, jamais dans la demande. Flexible, je devais accepter tes annulations, tes changements de plans, tes voyages soudains avec elle.

Cela dit, je n’ai jamais voulu du rôle de maîtresse. Je voulais ce chalet rêvé à deux. Je voulais connaître tes enfants. Tu me parlais d’elle, moi, je t’ignorais. Tu me parlais aussi de ma famille. De l’importance du couple, de l’impact d’une rupture sur des enfants. Tu ne voulais tout simplement pas d’une maîtresse célibataire qui n’a plus rien à perdre.

En fait, si un seul moment j’ai cru que tes paroles ou tes gestes servaient mon intérêt, j’ai eu tort. L’engagement des deux, ailleurs… Un beau filet.

La journée où tu m’as dit que tu ne partirais PAS, j’ai trouvé un logement et j’ai fait mes valises. Une semaine plus tard, je dormais sur le plancher d’un appartement vide. J’ai emménagé avant mes meubles, je voulais un endroit pour pleurer.

Même s’il n’en savait rien, je ne pouvais plus rester dans sa vie. Tu m’avais donné envie de plus et ce que je voulais n’était ni dans ma relation avec toi, ni avec lui. Alors, je suis partie. Tu as disparu, des semaines, des mois.

Ceux qui savent me demandent souvent si je t’en veux. J’y étais aussi, c’était mon choix. Tout de même, je t’en veux de m’avoir promis tant et donné si peu, de ne pas m’avoir prévenue. Je t’en veux de m’avoir fait croire que je n’étais « pas assez » et SURTOUT, je t’en veux de te pas plus t’en excuser à ce jour.

Aujourd’hui, tu es toujours avec elle. Je ne voudrais plus sa place. Tu m’écris de temps en temps, tu t’informes. Tu t’en fais pour moi… Faux!

Tu t’en fais pour toi et moi, je ne réponds pas. Ça m’amuse de penser que, dans ta vie si heureuse, tu as peur… Juste assez.

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Des cures de désintox au cellulaire pour les jeunes Coréens

En Corée du Sud, le taux de possession de téléphone cellulaire par habitant est le plus haut au monde. Pour les jeunes adolescents, il n’est pas rare de passer plusieurs heures par jour sur leur mobile, parfois jusqu’à 10 heures et plus…

Dans les dernières années, un problème a commencé à émerger : la dépendance au cellulaire. Selon des données du ministère des Sciences et des Technologies de l’information et de la communication du pays (informations lues dans cet article de TVA Nouvelles), l’an dernier, c’était environ 30% des enfants sud-coréens âgés de 10 à 19 ans qui présentaient un problème de dépendance à leur cellulaire.

Comme avec la plupart des dépendances, les conséquences peuvent être graves : troubles du sommeil, incapacité à fonctionner dans le quotidien, perte de contrôle de soi… Pour contrer ce phénomène inquiétant, le gouvernement a mis en place des camps de désintox et les effets sont flagrants.

Typiquement, le camp offre une désintoxication de 12 jours qui commence par le fait de laisser son téléphone au personnel dès le début du séjour. Les enfants et adolescents sont ensuite encouragés à jouer avec leurs amis, à inventer des activités, à faire des bricolages et faire des activités sportives. À travers ce programme plus festif, des séances de consultation individuelle et des rencontres de groupe les amènent à réfléchir à leur utilisation malsaine de leur cellulaire. Les différents responsables s’entendent pour dire que les résultats sont apparents après les trois premiers jours.

C’est quand même spécial de prendre conscience que la technologie peut créer de symptômes de dépendance alors qu’elle était à peine présente dans nos vies il y a une vingtaine d’années.

Nous ne sommes d’ailleurs pas à l’abri de ce genre de dépendance ici, puisqu’un courageux jeune homme a récemment parlé publiquement de sa dépendance à Fortnite (un jeu vidéo en ligne).

Disons que ce genre de nouvelles nous fait réfléchir quant à notre rapport à l’Internet et à nos cellulaires…

Ressources :

Prévention l’Arc-en-ciel

Tel-jeunes 

+1 800-263-2266

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Un organisme donne un argument pour ceux qui n’ont pas envie de ramasser leurs feuilles mortes

Vous avez en horreur la corvée de ramasser les feuilles d’automne? On vous comprend donc, haha! On a donc une très bonne nouvelle pour vous : laisser les feuilles au sol est une bonne chose à faire pour l’environnement.

C’est l’organisme Conservation de la nature Canada qui a lancé la bonne nouvelle ce mois-ci et qui encourage fortement les Canadiens à laisser le beau tapis coloré de feuilles sur leur terrain.

Les raisons derrière sont simples : les feuilles au sol deviennent un abri pour plusieurs insectes et petites bestioles durant l’automne et l’hiver. Les oiseaux en profitent aussi, puisqu’ils viennent se nourrir des insectes cachés dans les feuilles!

En plus, puisqu’elles laissées au sol, elles constituent un excellent engrais pour vos jeunes pousses du printemps! Il y a vraiment QUE de bonnes raisons de ne pas ramasser les feuilles *clin d’oeil*.

Mais bon, si jamais l’esthétique d’un terrain couvert de feuilles vous gosse, ou que vous avez peur qu’un trop-plein de feuilles étouffe le gazon ou autre, les spécialistes à Conservation de la nature Canada vous recommandent de simplement déplacer les feuilles sous les buissons ou dans les plates-bandes ou les réduire en paillis avec une tondeuse.

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Vacances de rêve en Floride: Disney ou Universal?

J’ai 30 ans, mais j’ai encore mon c?ur d’enfant; ce c?ur d’enfant qui ne se pouvait plus d’attendre la sortie du Roi Lion, ce c?ur d’enfant qui adore se déguiser en Reine des neiges à l’Halloween et qui s’émerveille de voir ses enfants découvrir les films classiques de son enfance. 

Dans la dernière année, je suis d’ailleurs partie à la découverte des parcs thématiques d’Orlando avec mon grand garçon de 5 ans et j’ai envie de partager ce qui se distingue de Disney et Universal Studios.

Universal Studios

Universal compte 2 parcs thématiques qui sont axés sur les sensations fortes. Ayant déjà visité ce site adolescente, j’étais excitée à l’idée d’apporter mon fils dans le monde des Transformers , des Avengers et des Minions. Nous avons rencontré Bumblebee, oui oui le vrai Bumblebee; un beau moment capté rapido presto en photo, parce que pas le temps de jaser, la file est longue.

Notre séjour a commencé en force dans un manège multidimensionnel dans lequel nous devions échapper à Voldemort furieux pendant qu’un dragon nous crachait du feu. L’adolescente en moi a adoré le « feeling », mais mon fils lui m’a crié: « Je ne veux plus jamais faire ce manège-là de toute ma vie! » Voyez-vous, le 4D est un concept ultra réaliste, mais difficile à comprendre pour mon enfant de 5 ans. J’ai donc dû dédramatiser et lui expliquer que rien n’est vrai, que c’est comme un cinéma qui bouge. Bye, bye la magie?

D’un autre côté, nous avons été agréablement surpris par le réalisme et la beauté des deux mondes d’Harry Potter, nous avons même voyagé dans le train Poudlard Express pour traverser d’un parc à l’autre plutôt que de marcher. Petite astuce; si vous souhaitez acheter une robe de sorcier pour vous costumer lors de votre visite, magasinez ici avant de partir, car à sur place la fameuse cape est à 129$ US! Cependant, la baguette magique a été un must malgré son prix, car avec son petit ?il magique et la technologie implantée sur place nous avons eu le plaisir de faire des « vrais » tours de magie.

Disney

Disney, c’est un monde magique envoûtant. Dès le premier pas dans le hall d’entrée de l’hôtel, nous, les adultes, on retombe plongés en enfance et nos petits sont émerveillés par ce monde magique où vivent leurs personnages préférés. Disney propose des attractions pour petits et grands, garçons et filles, et surtout, c’est au goût du jour. Reine des neiges, Le Roi Lion, Les Bagnoles, Marvel, Histoire de jouets; bref, toute la famille peut trouver son compte dans les 4 parcs captivants de Disney. Petite astuce; pour économiser un brin j’avais préalablement magasiné des chandails Disney et des robes de princesses à moindre coût dans plusieurs boutiques du Québec.

Conclusion

Bref, avec la saison hivernale qui arrive et les vacances de Noël à planifier en famille, voici ma conclusion de maman de jeunes enfants: avec vos minis, vous serez comblés à Disney et pour un voyage avec vos ados en quête d’adrénaline, les attractions et montagnes russes de Universal Studios pourront davantage répondre à vos attentes. Et si vous avez envie de repos et de Piña colada, eh bien, il faut peut-être revoir vos plans! 

Quelles sont vos destinations familiales préférées?

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Un musée montréalais offre un espace de création 100% gratuit pour les jeunes

Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) inaugurait officiellement un nouveau studio de création, conçu par et pour les jeunes! Nommé l’ATLR 15-20, ce nouvel espace entièrement destiné aux ados et jeunes adultes leur permettra d’explorer leur créativité et de faire des rencontres inspirantes.

Le plus cool dans tout ça, c’est que l’accès au studio est 100% gratuit et tout plein de matériel artistique et informatique est disponible sur place pour que les jeunes puissent essayer toutes sortes de médiums créatifs. De la peinture, des feutres, de l’argile, différents supports (papier, toiles, etc.), des appareils photo, des ordinateurs, des fonds verts, etc. sont à disposition afin que chacun.e puisse créer comme bon lui semble! Aucune expérience artistique n’est requise et des artistes émergents seront parfois sur place pour donner des conseils et montrer certaines techniques.

L’ATLR 15-20 est une initiative du comité Jeunesse du MBAM, et plusieurs activités seront offertes tout au long de l’année, comme des ateliers-rencontres! Les jeunes de 15 à 20 ans pourront aussi profiter d’un espace lounge, d’une bibliothèque et de surfaces d’exposition pour toutes sortes de créations.

Quelle belle idée pour initier les jeunes aux arts et leur donner un espace pour exprimer leur créativité!

L’ATLR 15-20 est accessible au 2200 rue Crescent et est ouvert le mercredi de 15h à 20h et le dimanche de 13h à 16h.

La salle est aussi disponible gratuitement hors des heures d’ouverture, sur réservation, pour les organismes sociocommunautaires.

Plus d’informations ici.

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55 000 jeunes du secondaire sensibilisés à la détresse psychologique

Vers la fin des années 1990 est survenue une inquiétante vague de suicides chez les jeunes québécois. Ces drames ont été l’évènement déclencheur qui a mené à la création d’un programme visant spécialement à prévenir la détresse psychologique chez les jeunes, le programme Solidaires pour la santé mentale (SPLSM). S’inscrivant parmi les initiatives de la Fondation jeune en tête, la tournée qui se déroule dans les écoles secondaire du Québec est de retour pour une 21e année.

Une belle nouveauté cette année!

Cette année, une nouvelle animation a été mise en place afin de rejoindre la tranche d’âge des 12-13 ans qui sont également touchés par les problématiques de santé mentale. L’animation 1er cycle fait découvrir aux jeunes les bases d’un état sain. Au terme de cet atelier, les 12-13 ans seront en mesure d’appliquer différentes actions pour prendre soin de leur santé mentale, comme la méditation pleine conscience et la mentalisation.

L’animation 2e cycle, qui existe depuis plus de 20 ans, s’adresse quant à elle aux jeunes du secondaire 3-4-5 (14 à 18 ans). Elle a pour but d’apprendre à ces derniers à identifier les signes et les symptômes de dépression à l’adolescence et à diriger une personne en détresse vers les ressources compétentes du milieu. Il est important de mentionner que cette animation est proposée gratuitement en français et en anglais ? partout au Québec et dans la région d’Ottawa. 

Ce sont 55 000 jeunes qui bénéficieront de ces 2 animations.

Crédit: Solidaires pour la santé mentale

Un bref portrait en chiffres

Pour vous dresser un bref portrait de la situation en chiffres, 50% des problématiques de santé mentale débutent avant l’âge de 14 ans et 75% avant 24 ans. 

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la dépression touche de façon disproportionnée les adolescents et les jeunes adultes. L’organisation tient aussi à rappeller que le suicide est la 2ème cause de mortalité chez les 15-29 ans. D’où l’importance d’intervenir le plus rapidement possible dans la vie des jeunes et de les conscientiser pour ne plus que la détresse psychologique soit un sujet tabou.

Si vous souhaitez prendre part à cette belle cause, vous pouvez inscrire votre école secondaire afin que ses élèves et son personnel bénéficient des formations offertes ou vous pouvez tout simplement faire un beau geste en donnant quelques sous à la fondation Jeunes en Tête