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Richard Martineau pense qu’il a la solution au problème d’absentéisme à l’école

Richard Martineau se positionne comme détenant la solution ultime au problème d’absentéisme à l’école.

Son idée : imposer une amende aux « parents-rois » pour un taux d’absentéisme jugé « trop élevé » de leurs enfants.

« On parle souvent des enfants-rois, mais la pomme ne tombe jamais très loin de l’arbre. Il y a aussi des parents-rois », selon Martineau, qui s’est exprimé à l’émission 100% Nouvelles sur les ondes de LCN.

Linda Pagé, présidente de l’Association des directeurs et directrices d’établissement d’enseignement de l’Estrie, a résumé sa pensée avec cette citation (article complet disponible via La Presse): « Mais ce qui est beaucoup plus troublant, c’est quand les absences "sont dues à des difficultés scolaires, à des élèves qui se découragent ou à des contextes familiaux difficiles. Derrière l’absentéisme, il y a souvent un appel à l’aide" ». 

La solution proposée par Martineau est-elle alors idéale… 

L’augmentation du taux d’absentéisme est réelle, mais reste somme toute basse (on parle d’une hausse d’environ 1 jour sur 10 ans, selon les différentes commissions scolaires, et d’une moyenne de 4 à 5 jours d’absence en tout).

En se concentrant sur la coercition plutôt que sur des mesures de sensibilisation pour contrer le décrochage et l’absentéisme, est-ce une avancée?

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Mes jumeaux, pas si « jumeaux » que ça finalement

Lorsque j’ai appris que j’allais avoir des jumeaux, ce fut une tornade d’émotions. Rapidement, plusieurs questionnements me sont venus à l’esprit? Seront-ils identiques? Auront-ils nécessairement une belle complicité? Ressentiront-ils ce que l’autre vit? Allons-nous les habiller pareil?

Il a été frappant de constater que les deux petits êtres qui grandissaient en même temps dans mon ventre étaient déjà bien différents. J’allais avoir un garçon et une fille; le duo parfait pour nous, déjà parents d’un garçon. Placés côte à côte en moi, Petit Homme était complètement à droite, tête en bas en position f?tus. Petite Fille était assise au centre comme un petit bouddha, bien confortable malgré l’espace qui restait à gauche.

Le « running gag » à la naissance était que la cocotte avait poussé son frère en dehors. Déjà, quand j’étais enceinte, je sentais que ma fille avait du caractère, qu’elle serait une « Germaine » ( comme moi) avec son frère et j’avais raison. Lorsque Petit Homme est venu au monde en premier, on m’a fait une échographie pour voir si ma cocotte s’était tournée, mais au fond de moi, je savais qu’elle ne se tournerait pas. Effectivement, le médecin a dû aller la chercher par les pieds.

Bébés, ils étaient complètement différents. Mon garçon, c’était le bébé à bras qui avait besoin d’être collé peau à peau, l’enfant insécure qu’il faut rassurer et qui ne fait que pleurer. Ma fille, de son côté, appréciait grandement le confort de son banc vibrant dans un coin sombre du salon et j’ai vite compris qu’elle serait indépendante. Puis, ils vieillissent; quand un dit « oui »,  l’autre crie « non », elle gère, il suit, elle aime le chocolat, il préfère les fruits, elle veut grandir trop vite, il veut rester bébé.

En fait, malgré leur vie intra-utérine ensemble et le quotidien qu’ils partagent, mes « jumeaux » sont deux êtres complètement distincts et nous avons fait le choix de respecter ça. Toutes nos décisions sont prises en considérant que ce sont deux enfants différents plutôt que des jumeaux.

Nous nous sommes questionnés et nous avons convenu que nous n’allions pas les habiller avec des vêtements semblables et nous ne leur imposerons pas les mêmes activités sportives. Nous avons surtout pris la décision de ne pas les appeler les « jumeaux », un mot qu’on n’affectionne pas particulièrement, puisque dans le fond, ce sont un frère et une s?ur qui sont nés en même temps, point.

Ils ont une complicité, la même complicité qu’ils partagent avec leur grand frère et ils ont des intérêts et besoins différents, mais le plus important est que nous les aimons autant l’un que l’autre.

Parents de jumeaux, avez-vous fait face à ce genre de questionnements?

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Une tragédie donne un nouveau souffle à Parents-Secours

Ça prend malheureusement souvent un drame pour se réveiller ou voir des actions plus concrètes être posées pour régler un problème. Le printemps dernier, une horrible tragédie a fouetté le Québec en entier? Une jeune fille a succombé à ses blessures après avoir subi de la maltraitance par son père et sa belle-mère. Cette situation n’aurait pas du arriver et nous bouleverse chaque fois qu’on y pense?

À travers l’horreur, plusieurs remises en question nécessaires ont été faites et on apprend aujourd’hui que l’organisme Parents-Secours a tellement été inondé de messages de la part de gens souhaitant prêter assistance aux enfants qu’il a ouvert plus d’une dizaine de nouveaux comités locaux responsables du recrutement des foyers-refuges.

En tout, c’est 13 nouveaux secteurs qui sont couverts par Parents-Secours, amenant ainsi le nombre de villes et arrondissements couverts à 121 à travers le Québec.

L’organisme Parents-Secours existe depuis 1976 et a surtout été très connu dans les années 80 et 90. Depuis, plusieurs comités n’avaient même plus de bénévoles pour assurer le minimum de leurs activités. Les foyers-refuges étaient facilement identifiables avec une affiche rouge et blanche bien en vue sur une fenêtre de leur maison.

Crédit: Parents-Secours

Il y a environ 2400 foyers-refuges à travers la province et pour devenir membre, une vérification très serrée des antécédents judiciaires est effectuée. Tous les membres du foyer âgés de 12 ans et plus voient leurs antécédents être vérifiés et une rencontre avec des responsables de l’organisme aura lieu au domicile du foyer-refuge par la suite.

Pour en savoir plus sur Parents-Secours ou pour devenir foyer-refuge et/ou bénévole, cliquez ici

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7 activités originales pour célébrer l’Halloween

J’ai toujours adoré la fébrilité des semaines précédant l’Halloween. Le choix et la confection du costume, la création d’un décor d’épouvante, la réalisation de biscuits d’Halloween aux mille et un petits bonbons. Je me souviens très bien de mon costume de fée dans lequel je me trouvais dont ben cool ou encore de la fête d’Halloween que ma mère avait organisée avec des épreuves à la Fort Boyard. Que de plaisir d’avoir eu à deviner quels insectes en plastique se trouvaient dans un sac de jello bien gluant. Pour moi, cette fête, c’est avant tout celle de la créativité et de l’imaginaire. Le temps d’une soirée, d’un week-end, on peut devenir qui l’on souhaite, on peut se plonger dans un monde fantastique où tout est possible. 

Au-delà des sucreries, le Québec regorge d’activités pour les tout-petits. Je vous invite donc à consulter quelques idées d’activités qui se dérouleront dans la grande région de Montréal et ses alentours. 

1.Les drôles de fantômes de Pointe-à-Callière

26 et 27 octobre – Public: 4 à 10 ans 

Sur un récit de Simon Boulerice, les enfants pourront prendre part à un parcours interactif à travers les vestiges archéologiques du musée et rencontrer de bien drôles de fantômes. Des ateliers de création sont également offerts à la fin de la visite. 

2.Sorcière Malbouffa – Sur un air de croquette

27 octobre – Public: 3 à 12 ans 

Sous les traits de la sorcière Malbouffa, Natalie Choquette plonge les tout-petits dans un univers fantastique où ils devront l’aider à concocter une potion magique pour chanter comme une diva. Un spectacle des plus ludiques alliant musique, théâtre et folies!  Présenté au Centre d’art La petite église à Saint-Eustache

3.Le Grand bal des citrouilles au Jardin botanique 

Jusqu’au 31 octobre 2019 – Public: famille

Le Grand bal des citrouilles du Jardin botanique est un classique indémodable. En compagnie de la sorcière Esméralda, les enfants pourront découvrir 800 courges et citrouilles décorées par la population. Également au programme, conte animé et adapté d’un album d’Élise Gravel et une aire de jeux extérieure où les « petits monstres » pourront lâcher leur fou!  

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« Est-ce qu’il fait ses nuits? » ou la pression d’avoir un « bon » bébé

Avec la petite troisième qui m’arrive 5 et 8 ans après les deux grands, je me sens plus assurée comme maman.  Le corps et l’esprit se souviennent. Je suis enchantée de me remettre aux couches, à l’allaitement, aux nuits écourtées. Je ne ressens plus le besoin de valider ce qui me semble naturel. Cela dit, je reste surprise de constater que mon entourage, lui, semble concerné à savoir si j’ai un « bon bébé » et cette pression, elle, me rappelle mes premières expériences maternelles. Est-ce que les « mauvais bébés » existent?

Selon cet entourage, un bon bébé dort toute la nuit, ne pleure pas « pour rien », ne boit pas « trop souvent », aime les inconnu.e.s, se laisse poser sans problème (surtout lors des repas) et ne dérange pas les conversations.

Ça semble bien important! On veut aussi savoir si je suis une « bonne » maman, si j’allaite (« Il faut! »), combien de temps je compte allaiter (« Pas trop longtemps, quand même! »).  Pourtant, j’ai le sentiment qu’on oublie l’essentiel.

En 8 ans, on ne m’a jamais demandé si mon enfant souriait, s’il semblait heureux, si j’observais chez lui des signes d’un développement sain ou d’un attachement sécure. Si quelqu’un l’avait fait, j’aurais pu répondre que bébé cherche notre regard et s’amuse au son de nos voix, que les réveils nocturnes et la fréquence des boires varient selon sa croissance, que les bébés développent leur attachement et qu’ils ont besoin de nos bras, qu’ils pleurent pour s’exprimer. Mais non, on me demande plutôt si mon enfant dort en continu et, si je mens en répondant que oui, on conclue à un bon bébé.

Nouvellement maman, cette pression m’envahissait. Je mentais aux gens. J’étais réactive. Je vivais chaque moment comme s’il allait durer éternellement. Si bébé s’endormait au sein, je tentais, manuel à la main, de l’endormir autrement. Aujourd’hui, je sais bien que les choses ne se règlent pas d’elles-mêmes, mais qu’elles évoluent. Je sais bien que les siestes en porte-bébé ne dureront pas six ans. 

À l’époque, une psychologue avait donné un conseil simple à la maman désemparée que j’étais. Tiraillée entre les cododos avec une fillette d’un an, le bonheur de ces moments cachés, la pression de l’entourage et l’urgence de la remettre dans son lit, je cherchais le miracle: « Le temps passera, tu pourras lui expliquer avec des mots ».  C’était un conseil sans éclat, mais comme prévu: le temps, la communication, la routine et les histoires avec maman ont ramené ce bébé imparfait dans son lit, au bon moment. 

Aujourd’hui, je ressens davantage le besoin ralentir et vivre pleinement ce qui est, maintenant. Il n’y a pas de bons ou de mauvais bébés, juste des bébés. Je savoure les nuits à allaiter, les repas debout et les siestes en portage. Je ne suis pas moins fatiguée, mais j’apprécie ces moments, car je sais qu’ils nous fileront entre les doigts et que, lorsque ma fille aura 5-10-15 ans, je m’ennuierai de ces moments et de ce bébé imparfait. 

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Laissez-moi allaiter tranquille!

En tant que nouvelles mères, on essaye tant bien que mal de répondre à tous les standards et les exigences que la société nous impose; on ressent la pression de « reprendre notre forme » pré-grossesse, d’être toujours de bonne humeur et « bien mise », d’allaiter… mais pas trop longtemps. Aussi, dernièrement, un article est paru sur la pression exercée par les hôpitaux sur les parents afin de répondre à leurs propres standards en termes d’allaitement. Ce débat sur les pressions sociales exercées en misant sur les bienfaits de l’allaitement ne date pas d’hier et est assez connu, par contre, l’envers de la médaille est encore assez méconnu.

J’ai toujours su que je voulais allaiter. J’avais hâte de vivre cette expérience et cette relation de proximité avec mon bébé. J’ai été incroyablement chanceuse puisque dès sa naissance, mon petit Ange a tout de suite compris comment faire. Pour moi, ça été le coup de foudre; j’ai adoré l’expérience de l’allaitement, j’ai trouvé ça tellement simple et pratique, mais je suis consciente que ce n’est pas le cas pour tout le monde et c’est correct!

J’entame d’ailleurs aujourd’hui mon 9e mois d’allaitement exclusif (bon, d’accord, il mange également depuis qu’il a 6 mois) et encore aujourd’hui, je n’arrive pas à cacher ma stupeur lorsque quelqu’un décide que pour moi que c’est assez! Que j’ai allaité « suffisamment ». Qu’il est temps de le sevrer (tsé, il ne faudrait pas le « gâter »!). Pour la population en général, toutes les raisons sont bonnes. Il ne dort pas? Arrête d’allaiter. Il a commencé à manger? Arrête d’allaiter. Il a 6 mois? Arrête d’allaiter. Il a mal au ventre? Arrête d’allaiter. Imaginez la scène lorsqu’on apprend que je me « prive » de produits laitiers, de protéines bovines et de soya afin de poursuivre cet allaitement qui m’est si cher. « T’es folle! Arrête d’allaiter » et sincèrement, je les comprends.

Très honnêtement, avant d’accoucher, je m’étais dit que le régime d’éviction était ma limite. LA raison qui me ferait arrêter d’allaiter si j’avais le malheur de devoir m’y conformer. Mais je ne savais pas vraiment en quoi consistait ce régime. Un peu de lecture, de recherches et me voilà 4 mois post début de régime à continuer d’allaiter parce qu’on est bien, on aime ça et ça va bien. J’ai même pu réintégrer les produits laitiers et tout va bien! Il existe une tonne de produits de remplacement et honnêtement, même lorsque l’allaitement sera terminé je continuerai de les acheter.

Personne ne demande quand on va arrêter de donner des brocolis à notre enfant ou quand on va arrêter de boire du café le matin! Alors, pourquoi on me harcèle à savoir quand je vais cesser d’allaiter? Qu’est-ce que cette information va apporter dans leur vie? Quel niveau de satisfaction obtiendront ces personnes si je réponds que j’arrête demain? Qu’est-ce qui les dérange dans cette situation? Je ne montre jamais mes seins (et encore là, je respecte absolument celles qui le font), je ne me plains pas que c’est exigeant, ni quoi que ce soit! Alors?

Aussi, ma demande spéciale aux moms, est-ce qu’on peut essayer de se soutenir dans nos décisions, s’il vous plaît! La maternité est déjà remplie d’assez d’embûches sans avoir à rajouter le fameux « mom shaming » ?

Crédit: GIPHY

 

Bon, donc, si quelqu’un me demande  « Là, t’arrêtes quand!? », je répondrai: « On verra! »

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Disney sur glace : j’ai autant aimé ça que ma fille!

Mercredi passé, j’ai eu la chance d’aller voir le nouveau spectacle « Rêvez en grand ! » de Disney sur Glace à la Place Bell.

Mon conjoint et moi, étant de grands fans des chansons de films d’enfants, étions aussi excités d’y aller que notre fille.

Pour nous, aller entendre les plus grands hits de Disney tout en assistant à des performances spectaculaires de patinage artistique, c’est oui!

Nous sommes donc arrivés à la Place Bell – mon conjoint, moi, mon bébé de deux mois dans un porte-bébé, ma fille de deux ans et demi, puis la fille de six ans de mon amie – avec des attentes très élevées.

Laissez-moi vous dire que nous avons été satisfaits!

D’abord, le spectacle est tout simplement beau. Les costumes sont colorés et accrocheurs! J’ai eu un faible pour les personnages du film Coco, les squelettes dans des robes mexicaines sont du bonbon pour les yeux, et pour Maui, qui était aussi costaud qu’il semble l’être dans le film!

Ensuite, les athlètes étaient si souriants que ça rendait l’expérience conviviale. Les enfants sentaient que leurs personnages préférés les saluaient personnellement, ils sautaient de joie! Cet effet était d’ailleurs amplifié par le fait que, considérant que la Place Bell est assez intime, peu importe où l’on s’asseoit, on voit très bien la patinoire.

De plus, dès le début du spectacle, on est invités à se lever et à danser, ce que ma fille et sa grande amie ont fait avec joie, surtout quand la très attendue Reine des neiges est entrée sur scène!

Enfin, je ne peux passer à côté du fait que, pendant la première partie du spectacle, des problèmes techniques ont fait en sorte que le spectacle a été arrêté durant une dizaine de minutes. Or, à la fin, ce n’est pas de ça qu’on se rappelle. On se souvient plutôt du grand sourire des athlètes et de leurs performances impressionnantes; on sort de la salle avec nos chansons de Disney préférées qui résonnent dans nos oreilles.

C’était un moment inoubliable que je conseille à toutes les familles avec de jeunes enfants, simplement pour la joie de voir les grands yeux ronds des petits s’illuminer à la vue de leurs idoles du moment!

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Prendre soin de la santé mentale des jeunes, ça commence tôt!

Chez TPL Moms, on accorde beaucoup d’importance à tout ce qui touche à la santé mentale, particulièrement chez les jeunes. On trouve ça essentiel d’en parler ouvertement et aussi, de soutenir les organismes qui ?uvrent pour la cause.

Il faut savoir que plusieurs problèmes de santé mentale peuvent se déclencher chez les jeunes de 6 ans et plus et se poursuivre à l’adolescence. Parmi ceux-ci, on retrouve les troubles anxieux, le trouble de l’attachement, la dépression, le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) et d’autres troubles de comportement. C’est pour ça que c’est important de rester attentifs aux signes de détresse que votre enfant pourrait vous envoyer, comme de la tristesse, de l’anxiété, de la colère, une tendance à s’isoler ou des troubles du sommeil. 

La routine du bain: un moyen pour aider à prévenir les problèmes de santé mentale chez les jeunes.

Dans le but de favoriser la santé mentale des enfants, dès le plus jeune âge, il est conseillé de créer une routine quotidienne. Et vous le savez autant que nous, l’heure du bain est un moment vraiment important dans la routine des minis et de leur famille.

Prendre son bain, ça permet aux enfants de vivre un moment rassurant et de se sentir en sécurité, tout en prenant soin de leur corps et leur esprit.

En donnant l’envie aux enfants de se créer des moment doux et introspectifs, il y a de fortes chances qu’ils y prennent goût et qu’ils aient envie de maintenir cette habitude en grandissant. 

Parce qu’à tout âge, prendre soin de son corps et de son esprit, c’est sain et ça a énormément de bienfaits sur l’équilibre psychologique. 

Il existe des ressources pour favoriser la santé mentale chez les jeunes.

Quand une compagnie qu’on aime s’affiche comme une alliée de la cause de la santé mentale, on est vraiment touchées et on trouve ça important de vous parler des belles initiatives qui sont prises en ce sens.

Aujourd’hui, on est ravies de vous parler d’une association entre Caprina et la fondation Jeunes en tête, qui prévient la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. 

Caprina, une entreprise québécoise qui offre des produits de soins pour la peau éco responsables à base de lait de chèvre frais, soutient activement Jeunes en tête, qui a pour mission d’amasser des fonds afin d’aller faire de la prévention directement dans les écoles auprès des jeunes pour les aider à mieux comprendre leurs émotions et celles de leurs amis tout en les outillant par rapport aux actions à prendre.

De plus, Caprina fait partie des partenaires officiels du Gala annuel Let’s Bond qui aura lieu ce vendredi 18 octobre et qui amasse des fonds pour la maladie mentale. 

Concrètement, Caprina veut vraiment contribuer à aider et à soutenir les familles touchées de près ou de loin par la santé mentale. Bravo pour ça!

Donc, à l’occasion du mois pour la santé mentale, on vous encourage à accorder une attention particulière à la cause et à aller chercher des ressources si vous en avez besoin. 

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Une école de Longueuil prend une bonne décision pour la santé des ados

Ça a pris plusieurs années avant de prendre la décision, mais le Collège Charles-Lemoyne a choisi de retarder le début des classes de plus d’une heure afin de favoriser un meilleur sommeil chez les adolescents qui fréquentent l’établissement.

L’impact est quasi instantané : les jeunes sont plus éveillés et concentrés durant les cours. La motivation est aussi plus présente, ce qui laisse présager un impact positif sur les résultats scolaires. Une étude menée par l’Université de Washington a montré que les élèves du district de Seattle (qui avait repoussé le début des classes pour toutes les écoles) avaient vu leurs notes augmenter de 4,5% suite au changement.

Dans une vidéo partagée par TVA Nouvelles, plusieurs jeunes témoignent déjà positivement des retombées que cette décision a sur leur santé.

Quand on sait que les adolescents ont besoin d’au moins huit heures de sommeil et qu’ils se couchent souvent plus tard que tôt, c’est une bonne chose de pouvoir leur offrir un peu plus de repos le matin. Cet horaire est aussi plus adapté aux familles, comme le dit le directeur général du Collègue Charles-Lemoyne, David Bowles. Ce dernier a remarqué une augmentation des inscriptions pour les classes de première secondaire (l’école est passée de 8 à 10 groupes) suite au changement d’horaire.

Bravo pour cette décision! Et on espère voir d’autres écoles emboîter le pas!

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La malnutrition touche 1 enfant sur 3 selon l’UNICEF

On apprend via Radio-Canada qu’un nouveau rapport de l’UNICEF avance qu’un enfant sur trois de moins de cinq ans ne reçoit pas l’alimentation adéquate et est soit dénutri ou en surpoids. Ce rapport de grande ampleur a réussi à déterminer que sur les 676 millions d’enfants de moins de cinq ans vivant dans le monde en 2018, il y avait environ 227 millions qui étaient mal nourris ou en surpoids.

Et le rapport continue en montrant que sur ces 676 millions d’enfants, environ la moitié (340 millions) souffrait de carences alimentaires.

Ouf.

Le rapport de l’UNICEF met aussi en lumière différents visages de la malnutrition. Bien que le nombre d’enfants ne recevant pas assez de nourriture selon leurs besoins nutritionnels ait baissé (40% de moins entre 1990 et 2005), le problème reste présent. La sous-nutrition affecte encore trop d’enfants et nuit à leur développement. Outre le manque nutritionnel, un nouveau phénomène s’est dessiné dans les dernières années : la « faim cachée ». L’UNICEF le décrit comme le fait de recevoir un nombre suffisant de calories sans toutefois combler les besoins en minéraux et vitamines, donc d’ingérer des calories « vides ».

Les coupables? La malbouffe et les aliments ultra transformés. Étant de plus en plus accessible, ce genre de nourriture comble les besoins caloriques et la faim, sans venir apporter les nutriments nécessaires au bon développement physique et mental des enfants, entraînant parfois des déficiences du système immunitaire ou des problèmes de vue et d’audition.  

L’UNICEF trace un parallèle assez explicite entre la situation économique des personnes et les niveaux de nutrition. Les pays pauvres et les populations précaires des pays riches sont les plus touchés par les problèmes de malnutrition. Pour y remédier, l’UNICEF recommande aux gouvernements de promouvoir une alimentation complète et équilibrée et de rendre plus accessibles financièrement les aliments qui contribuent à une bonne nutrition.  

On espère que les gouvernements d’ici se pencheront sur cette question importante, car l’accès à la nourriture saine et équilibrée devrait être possible pour toutes les familles…