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Contrer les fausses nouvelles est maintenant possible grâce à cet outil!

Je vais commencer par vous raconter une anecdote qui, je crois, explique très bien la pertinence d’avoir des outils pour nous aider à combattre les fausses nouvelles qui circulent abondamment sur les réseaux sociaux.

Ça s’est passé ce weekend. Un ami Facebook a partagé la publication d’un homme qui « dénonce » l’état du Mont-Royal après le passage de la manifestation pour l’environnement. La publication de l’homme est en fait une photo d’un parc quelconque, rempli de déchets. Une rapide recherche nous apprend que la photo est en fait tirée d’un document de l’Observatoire sur la sécurité de la Ville de Lausanne publié en 2014?

Ouin.

J’ai enjoint mes amis Facebook et Instagram à dénoncer la publication comme fausse nouvelle et elle a finalement été retirée quelques heures plus tard? après avoir été partagée presque 2000 fois.

C’est stupéfiant de voir à quel point de la fausse information est propagée rapidement et sans grand questionnement sur les Internets. Sur Twitter, la situation est pire. Les Donald Trump de ce monde se donnent à c?ur joie lorsque vient le temps de rédiger 140 caractères pour dénigrer le mouvement pour l’environnement ou encore pour partager de la désinformation totale.

Crédit: Protect Our Winters via Twitter

L’organisation à but non lucratif Protect Our Winters (POW) a alors eu l’idée de créer une communauté de gens qui contre-attaquent à coup d’informations véridiques et d’études scientifiques. POW a créé l’outil The Fact Avalanche, qui est actif uniquement sur Twitter (pour le moment? on espère le voir être bientôt développé pour Facebook aussi). Le processus est simple : on s’inscrit sur The Fact Avalanche, on reçoit des notifications lorsque des politiciens et personnalités d’ici et d’ailleurs propagent de propos climatosceptiques, on réplique en masse avec des faits scientifiques proposés par l’outil et voilà! La vérification des faits scientifiques a été réalisée par des experts en changement climatique du Centre Interdisciplinaire sur le Changement Climatique de l’Université de Waterloo (IC3).

La vidéo ici-bas illustre bien le fonctionnement de The Fact Avalanche.

L’outil est, pour le moment, uniquement en anglais.

Vous pouvez vous inscrire à The Fact Avalanche juste ici.

Et si vous n’êtes pas utilisateurs de Twitter, sachez qu’on peut signaler une publication sur Facebook comme « fausse nouvelle » depuis quelque temps.

Bye bye, le fake news

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Les statistiques du calculateur de travail invisible enfin révélées

Il y a 6 mois, L’R des centres des femmes du Québec a lancé un calculateur de travail invisible, ouvert à tous.tes.  Pour celles et ceux qui ne sont pas familier.ère.s avec le travail invisible, cet article explique très bien le concept. 

Aujourd’hui, dans le cadre de la Journée nationale des centres de femmes, L’R dévoile les résultats du calculateur, basés sur plus de 5000 répondants. En tout, 4 995 femmes, 480 hommes et 14 personnes non binaires ont répondu au calculateur. Selon les résultats obtenus, L’R estime que les femmes effectuent 26,5 heures de travail invisible par semaine en moyenne? C’est presque un temps plein ça!

Que ce soit pour prendre soin des enfants, du couple, de la maison, des parents (en étant proche-aidant, par exemple), le travail invisible est réel et est un obstacle majeur à l’égalité des genres. Ce travail n’est pas comptabilisé dans la création de richesse au sein d’un pays, alors que dans les faits, il compte pour beaucoup dans une société.

Cette réalité amène des conséquences plus larges, car le temps et l’énergie investis dans le travail invisible peuvent limiter les femmes dans leurs loisirs, leur santé personnelle et le développement de leur carrière. Le travail invisible ne cessera pas d’exister, mais il y a vraiment moyen en tant que société de faire en sorte que la répartition de ce travail est plus équitable.

L’R a aussi produit une vidéo très intéressante sur la question, pour celles et ceux qui souhaitent creuser davantage la question du travail invisible.

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Le système d’éducation québécois est le moins égalitaire de tout le Canada!

Même si la société québécoise fait partie des sociétés les plus égalitaires au monde, il nous reste encore un bon bout de chemin à faire! Selon un rapport du mouvement L’école ensemble qui se fonde sur des chiffres inédits de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), nous possédons le système scolaire le plus inéquitable du Pays.

Mais qu’est-ce que ça veut dire exactement?

Le système d’éducation reproduit les inégalités sociales en n’offrant pas les mêmes chances aux élèves, chances qui varient donc selon leur statut socioéconomique.

« On a un système d’éducation qui ne fournit pas les mêmes chances d’apprendre à tous les élèves. Il reproduit en fait les inégalités sociales : vous arrivez les mains vides, vous allez sortir les mains vides. On dit souvent que l’éducation sociale est un ascenseur social. Au Québec, ce n’est absolument pas le cas. » a confié Stéphane Vigneault, coordonnateur du mouvement, dans Le Devoir.

À ce constat troublant vient s’ajouter des statistiques encore plus tristes sur l’état de l’éducation de notre province.

  • 49,6% des élèves québécois pauvres fréquentent une école « dévaforisée »
  • Au Québec, il y a une variation moyenne de 11,2% dans la performance d’un élève, variant en fonction du statut socio-économique de sa famille (8,6% au Canada)
  • Seulement 5,2% des élèves moins nantis ont accès aux écoles privilégiées (10,9% au Nouveau-Brunswick)

Pour redresser la situation, le mouvement L’école ensemble suggère, en plus d’autres alternatives, de couper le financement aux écoles privées et de cesser la mise en place de programmes dit « sélectifs » afin de ramener les élèves plus performants dans nos écoles publiques.

Saviez-vous que notre système scolaire « à trois vitesses » (voir l’entrevue de M. Vigneault dans Le Devoir) contribue autant à accentuer les inégalités chez nos jeunes?

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L’Occitane se mobilise pour protéger les ressources naturelles!

Vendredi dernier, plusieurs centaines de milliers de personnes ont marché dans les rues de Montréal pour demander aux gouvernements d’agir concernant la crise climatique qu’on est en train de vivre. Au même moment, plusieurs entreprises étaient réunies à l’Assemblée générale des Nations Unies pour le 9e Forum annuel du Business Call to Action.

Ce forum a été l’occasion pour plusieurs des entreprises participantes d’échanger sur les mesures à prendre en tant qu’acteur de société. Les actions individuelles sont importantes, certes, mais les grandes entreprises doivent faire leur part et ce genre de forum permet de voir ce qui est fait de bien ailleurs et l’adapter à son modèle d’affaires.

L’Occitane a profité du moment pour présenter un programme ambitieux qui permet de protéger les ressources naturelles, mais aussi de favoriser l’autonomie des femmes qui travaillent dans le commerce du beurre de karité.

Le programme s’appelle RESIST, qui est en fait l’acronyme de Resistance, Ecology, Strengthening, Independance, Structure et Training. Concrètement, le programme aidera à protéger les ressources naturelles en favorisant une production entièrement biologique du karité et renforcera la gouvernance des femmes au sein des syndicats en leur permettant d’acquérir plus de connaissances ainsi qu’un meilleur accès aux marchés.

L’Occitane s’engage donc à acheter directement le beurre de karité auprès des productrices locales et non auprès d’intermédiaires. C’est une très bonne initiative!

On le dit et on le répète : les entreprises font partie de la solution. En tant qu’individu, c’est sûr qu’on doit aussi revoir nos habitudes, mais le plus d’entreprises qui se conscientisent et posent des gestes concrets pour aider la planète, le mieux c’est!  

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Certains jours, je voudrais ne pas être maman

Juste l’idée d’avoir cette pensée dans ma tête me fait sentir tellement, mais tellement coupable. Honteuse. Mais c’est la vérité. Ça vient en vague, ça arrive et ça repart. Parfois, ça reste un peu plus longtemps, mais en général, ce n’est qu’un coup de vent. Je les ai tellement voulus, désirés. Et je sais à quel point je suis privilégiée d’avoir ce rôle. 

Ça n’a rien à voir avec eux. Ce n’est pas parce qu’ils sont tannants ou à cause de quelque chose qu’ils font. Ce n’est pas seulement à cause de la charge mentale qu’être maman occasionne, ni de l’angoisse que je ressens maintenant à tous les jours. 

Bien sûr, parfois, je jalouse mes amies sans enfants qui sont libres comme l’air de faire ce qu’elles veulent, quand elles veulent. De les voir se lever tard le weekend et écouter des séries en rafale les jours de pluie. De partir sur un coup de tête en roadtrip d’amoureux. De dépenser leur argent pour des affaires ben ben le fun. Mais ce n’est pas pour ça que parfois, je ne voudrais pas être maman.

La vérité, c’est que depuis que je suis maman, je suis une moins bonne version de moi-même. Voyez-vous, je suis vraiment une bonne mère, enfin je crois. Pas une mère parfaite, pas une mère indigne. Juste une maman qui fait vraiment de son mieux et qui croit donner le maximum d’amour, d’équilibre et d’autorité à ses enfants. 

Mais être cette maman prend toute mon énergie. Et du coup, je suis vraiment une moins bonne personne dans toutes les autres facettes de ma vie. Je ne suis plus l’amie que j’ai déjà été et qui est là pour les autres. J’écoute du coin de l’oreille et les problèmes des autres m’épuisent.  Je ne suis plus l’amoureuse généreuse que j’étais. L’employée efficace et dévouée. La voisine consciencieuse. La fille inquiète qui prend des nouvelles de ses parents. 

Je ferais tout pour mes enfants, mais je ne fais plus grand-chose pour le reste. Ma maison est à l’envers. J’achète des sacs Ziplocs même si c’est mauvais pour l’environnement. Mon hygiène personnelle est parfois douteuse. Je n’ai pas mis mon budget personnel à jour depuis 2017.

J’ai parfois l’impression d’être fragmentée, divisée. Et comme tout appartient à mes enfants, il ne reste que quelques miettes ici et là à répandre au reste. 

Et c’est pour ça que certains jours, je voudrais mettre ma vie de maman sur pause. Retrouver la personne que j’ai déjà été. Celle qui était excellente dans tout et qui avait encore de la place pour plus. Je suis nostalgique d’une vie où mes accomplissements étaient les miens et non pas ceux vécus par proxy de mes enfants. 

Et peut-être qu’un jour ça reviendra. Mes enfants vont grandir et devenir de plus en plus indépendants. Et au travers de cette indépendance, je retrouverai la mienne. Mais pas pour l’instant.

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Pourquoi je n’ai pas demandé de connaître le sexe durant mes grossesses

Pendant 9 mois, je n’ai pas su que ma fille était une fille. Elle n’était encore qu’un bébé pour moi. Sans genre.

Même chose pour mon garçon. Pendant 9 longs mois, il n’était que mon deuxième bébé.

Plusieurs choses nous ont amenés, mon conjoint et moi, à prendre la décision de ne pas nous informer sur le sexe de nos enfants durant mes grossesses. Pour moi, la principale raison était que je refusais qu’on se prononce sur la vie de mon enfant en ne prenant en considération que cette information: « Oh! Une fille! Je suis certaine qu’elle sera douce, jolie et gentille! Peut-être une enseignante, comme sa maman! » ou encore « Oh! Un garçon! Il sera costaud comme son papa! Il jouera au football! »

Comment peut-on imaginer la vie d’un enfant en se basant seulement sur le fait que c’est une fille ou un garçon? Je crois que c’est impossible de le faire sans tomber dans les stéréotypes. Je ne voulais pas ça. Bien sûr, mon enfant à venir subirait les stéréotypes sociaux qu’on subit tous, mais si je pouvais lui sauver 9 mois de ça, j’étais prête à le faire.

Je ne voulais pas non plus que mon enfant ne reçoive que des vêtements roses ou que des vêtements bleus parce qu’on lui aurait, avant même sa naissance, apposé une étiquette sociale. Je savais que peu importe le sexe de mon enfant, il aurait des vêtements de toutes les couleurs et des jouets pour différents intérêts.

Crédit : Unsplash

Finalement, j’ai eu le fameux « couple ». Une fille, puis un garçon. À la naissance de mon cadet, plusieurs m’ont fait la remarque « Tu as le couple! Tu dois être contente! » et on a dit à mon conjoint (et même à mon père !) « Un garçon! Tu dois être content! ». Pourtant, le sexe de ce nouvel humain nous laissait tous et toutes bien indifférent.e.s. Nous avions un magnifique bébé en santé! Voilà ce que nous célébrions!

Je suis contente de découvrir ce que c’est, avoir un petit bonhomme, mais j’aurais été tout aussi contente que ma plus grande ait une soeur, surtout que j’ai moi-même une soeur qui est aussi ma meilleure amie.

Crédit : Giphy

Bref, pour moi, un bébé n’a pas vraiment de sexe. Que ce soit un gars ou une fille, surtout à cet âge, ça ne change rien à mes yeux.

Quand j’entends des parents s’offusquer parce qu’une caissière à l’épicerie a pris leur garçon pour une fille, j’ai de la difficulté à comprendre. C’est difficile à deviner, à cet âge! Puis, comme mes deux enfants s’habillent de toutes les couleurs, je sais pertinemment qu’on ne peut pas assumer le sexe à l’aide des vêtements portés.

Il n’y a pas de mauvais choix entre demander ou non le sexe du bébé pendant la grossesse. Pour moi, l’important est de laisser à l’enfant l’opportunité d’être qui il est et d’aimer ce qu’il aime en lui présentant des options variées de couleurs, de jouets, d’avenir.

À ce sujet, j’adore suivre l’illustratrice et auteure Elise Gravel, qui conscientise les enfants et les parents au fait que les garçon et les filles peuvent tout faire, indépendamment de leur genre.

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Ma nouvelle tradition familiale: Les listes de souhaits saisonnières

Les changements de saison apportent toujours une certaine envie de renouveau chez moi. On pense à tout ce qu’on doit faire, mais je ne veux pas vous parler d’obligations. Non, non, on se met déjà tous assez de pression comme ça. On a commencé une tradition familiale toute simple il y a quelque temps. On se fait des listes de souhaits saisonnières.

La beauté du concept, c’est qu’on y écrit ce qu’on souhaite faire et non ce qu’on doit faire. On y met des activités familiales simples ou extravagantes, des idées sorties de saison, des repas particuliers ou des recettes à essayer. Si vous savez que vous avez une saison occupée devant vous, pas de stress, faites votre liste en conséquence. C’est long une saison; vous pourrez ajouter de nouvelles idées en cours de route au moindre éclair de génie. Et si vous n’arrivez pas à tout faire, aucun problème, vous remettrez certaines choses sur la liste de l’année suivante. Vous aurez peut-être encore plus envie de le faire!

Tout dépendant de l’âge de vos enfants, vous pouvez les impliquer dans l’élaboration de la liste. Il suffit de leur faire comprendre que vous n’aurez fort probablement pas la chance de tout faire. Si vous avez un certain talent artistique et des vieux trucs de scrapbooking qui traînent, transformez la création de la liste en activité bricolage. Personnellement, j’ai zéro talent pour ça, alors je change simplement la couleur de mon crayon chaque saison. Gros wow!

Vous êtes en manque d’idées? Je n’ai rien inventé, Pinterest regorge de listes pour chaque saison et il y en a pour les familles avec bébé, avec jeunes enfants, avec ados ou même pour personnes seules. Il y en a même de très belles à imprimer.

Je vais faire ma liste automnale. Ça va déborder de pommes et de citrouilles… J’ai le droit!

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Jean-François Breau s’implique pour la réduction des déchets

On le connait principalement pour son rôle dans la comédie musicale Don Juan, sa carrière de chanteur ET d’animateur ainsi que, bien sûr, sa belle relation avec Marie-Ève Janvier.

Il y mille raisons d’aimer Jean-François Breau et en voilà une de plus: il est désormais porte-parole officiel de la Semaine Québécoise de réduction des déchets (SQRD)!  Tout a commencé il y a un an, après une prise de conscience par rapport à la situation climatique:

« J’ai fait une promesse à ma fille, de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour lui léguer une planète en santé. Comme beaucoup d’autres sans doute, je me suis demandé par où commencer, quel serait le geste le plus efficace à poser? La réponse est venue avec un slogan : réduire, c’est agir! Réduire ses déchets est un geste à la portée de tous. Dans nos choix au quotidien, nous pouvons faire la différence et c’est pour cela que j’ai choisi d’appuyer cette campagne de sensibilisation », a déclaré Jean-François dans un communiqué.

Crédit: Campagne SQRD 2019

La campagne organisée par Zéro déchet Québec aura donc lieu du 19 au 27 octobre et elle sera en vigueur partout à travers la province afin d’encourager les gens à mieux consommer et à développer des réflexes moins polluants. Des centaines d’activités prendront place un peu partout dans les municipalités, les entreprises et les écoles afin de promouvoir le mouvement zéro déchet.

Dans le cadre du concours « défi de la réduction », les organisateurs du mouvement invitent également les citoyens à venir sur le site officiel SQRD.org afin de partager les petits et grands gestes qu’ils prendront dans leur quotidien pour mettre la main à la pâte!

Les participants les plus actifs auront la possibilité de réaliser un projet zéro déchet et de gagner des prix intéressants. Yééé! 

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La grève mondiale pour le climat, c’est aujourd’hui!

Montréal sera vraisemblablement une des plus grosses manifestations au monde! Si on se fie aux réseaux sociaux, on estime que la marche pour le climat pourrait rassembler jusqu’à 430 000 personnes! C’est exceptionnel.

Le rendez-vous est donné au monument George-Étienne Cartier, au pied du Mont-Royal, à midi. B

Plusieurs autres marches ont été organisées un peu partout au Québec, comme à Québec, Trois-Rivières, Sherbrooke et Gatineau.

Ce qui est incroyable, avec aujourd’hui, c’est qu’au-delà d’une marche, on parle réellement d’une grève pour le climat. Étudiants, travailleurs et même entreprises font fi de leurs « obligations » et se réunissent pour lancer un message clair aux dirigeants : il faut agir! D’ailleurs, plusieurs élus et représentants électoraux seront de la partie et on espère que cela ne sera pas uniquement par opportunisme politique.

On espère vraiment qu’il y aura un avant et un après le 27 septembre 2019. Et que cet après inclura de réelles mesures pour répondre à l’urgence climatique.

L’équipe de TPL Moms et de Ton Petit Look sera de la partie! Vous pourrez nous suivre sur nos stories Instagram de Ton Petit Look.

À tantôt!

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Les créateurs de Barbie lancent une collection de poupées non genrées

L’entreprise derrière la création de la très célèbre Barbie, Mattel, vient de sortir une nouvelle collection de poupées adaptées aux réalités de notre société! Autrefois connue pour ses poupées très sexy, pour ne pas dire hypersexualisées, la compagnie vient de mettre sur le marché une poupée beaucoup plus inclusive, la collection Creatable World, à notre plus grande surprise!

Cette version 2.0 de la Barbie qui s’éloigne d’une conception non-binaire de genres, fait également la promotion de la diversité en offrant des poupées présentant une multitude de styles, de teints de peau et de couleurs de cheveux. Chacune d’elles vient automatiquement avec deux options de coupes de cheveux (courte ou longue) et plusieurs looks différents pour que vous puissiez personnaliser la Creatable World au gré de votre imagination!

La vice présidente de l’entreprise, Kim Culmone s’est exprimé sur le sujet: « Nous avons senti qu’il était temps de créer une poupée sans label, pendant une période où le monde célèbre l’impact positif de l’inclusivité. En faisant des recherches, nous avons également compris que les enfants ne souhaitent plus avoir des jouets qui sont dictés par les normes des genres traditionnels » a-t-elle expliqué au magazine People.

On est contentes de constater une volonté de la part des grandes entreprises comme Mattel de s’adapter aux besoins et aux aspirations des consommateurs! On croit vraiment que les enfants devraient être libres de s’exprimer et de créer dans un cadre libre, dépourvu de stéréotypes, qui parfois, peuvent construire une vision très limitée de tout ce qu’on peut être en tant qu’être humain et en tant que société.