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Listes scolaires qui n’en finissent plus: les profs à la rescousse!

Des professeurs d’un peu partout à travers le Québec ont décidé de poser des actions concrètes contre le gaspillage et la surconsommation d’articles scolaires en réduisant la liste de chose à acheter pour le début des classes de leurs élèves, comme on peut le lire dans un article paru sur Un.Cinq.

Des pupitres et des manuels scolaires? Pas besoin de ça dans la classe de Martin Giard, enseignant à l’école du Phénix de Granby. Le professeur de deuxième année du primaire a décidé de mettre en commun le matériel de ses élèves afin de redistribuer également le tout, en plus de réutiliser un maximum d’items de ses cohortes précédentes.

« Nous visitons les locaux informatiques sur une base régulière, ce qui réduit encore plus notre consommation de papier et de papeterie?» explique M. Giard. La facture moyenne de sa liste de fournitures s’élève à environ 10$ alors qu’il en coûte habituellement 100$ pour les parents d’un élève de deuxième année, simplement pour acquitter les frais de manuels et de photocopies, dans bien des écoles du Québec!

Du côté de Lévis, Marie-Pierre Brulotte, prof de cinquième année du primaire, ne demande plus à ses élèves de se procurer les gros manuels scolaires officiels. Elle préfère les petits recueils faits maison, qu’elle fabrique avec les indétrônables cahiers Canada. Quant aux communications avec les parents, Marie-Pierre préconise les messages électroniques.

« Je leur envoie des fiches-suivi par l’entremise du portail de cours, puis ils me les retournent de la même manière. Peu sont réticents à mes méthodes d’apprentissage : ils adhèrent de gaieté de c?ur, même s’ils ont connu autre chose à leur époque?», remarque-t-elle.

Ces initiatives sont vraiment inspirantes et nous rappellent à quel point certains profs travaillent fort pour nos petits adultes de demain.

Un gros MERCI à ceux et celles à qui le chapeau fait!

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Où sont passés mes tout-petits?!

Au moment où j’écris ces lignes, mon « bébé » débute son parcours secondaire. Y rejoignant sa soeur qui y est déjà. La 4e pour elle.

Pour la première fois en 10 ans, je n’irai pas à l’école primaire. C’est un fait indéniable : mes héritiers ont franchi cette étape, ils sont des grands!

Tout ceci est, encore une fois, l’origine de beaux « sentiments partagés ». Ils me rendent immensément fière. Ils sont de bons élèves, talentueux, curieux, intéressés, impliqués. Je me dis que, au fond, je dois avoir fait une pas pire job.

Pour toutes ces fois où les ados dansent dans l’ingratitude, voir ce qu’ils deviennent compense largement!

En même temps… où sont passés mes bébés?!

Il me semble que c’est il y a un siècle que je me levais la nuit pour couver leur sommeil. Que je débarquais au parc, à 7h un samedi matin, parce qu’il y avait déjà 2 heures que nous étions levés.

Que je recevais des bricolages « très approximatifs », mais qui me faisaient fondre le coeur.

Que je faisais une millième « cabane en couvertures ».

Que je leur chantais notre berceuse préférée en me collant contre eux, avant qu’ils ne s’endorment.

Le rôle de parent se modifie. De soignants, nous devenons accompagnateurs.

Freinant parfois nos élans de tendresse, car ils ne sont pas « dans le mood » et que « quelqu’un pourrait nous voir », tsé.

Restant présent et à l’écoute… pour quand ils décideront de se confier. Questionnant de façon subtile pour ne pas se faire accuser d’enquêter.

C’est beaucoup de patience, de tact, d’astuces. Avec une dose d’humour essentielle.

Nous devons nous adapter au même rythme où eux se transforment, se découvrent, testent leurs limites, se définissent.

Une habile valse avec ces adultes en devenir.

Et c’est beau. Vraiment.

Même si parfois j’aurais encore envie de les tenir, tout-petits, bien blottis au creux de mes bras.

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Le café de Patricia Paquin et Louis-François Marcotte est enfin ouvert!

Ça faisait depuis fin juillet qu’on avait des petits aperçus de ce projet bien spécial que nous concoctaient les amoureux. L’attente est finie, car le duo a finalement ouvert leur café, Chez Cheval, lundi matin!

On s’attendait à une ouverture à la fin août, mais comme dans n’importe quel projet, quelques petits délais ont retardé le tout. L’attente en a valu la peine par contre, parce que le projet de Patricia Paquin et Louis-François Marcotte est beau et touchant.

Chez Cheval emploie des jeunes avec un trouble du spectre de l’autisme et leur donne, pour la plupart, une première chance professionnelle dans un milieu qui ne prend pas nécessairement le temps de les inclure. C’est tellement une belle initiative!

Le café, situé à Saint-Hilaire, propose des boissons, des salades, des sandwichs et même des déjeuners et des bouchées sucrées. Le logo a été conçu par le fils de Patricia Paquin, Benjamin, qui a lui-même un trouble du spectre de l’autisme.

Pour les intéressé.e.s, tout le développement du café et sa mission première seront présentés dans l’émission « On change d’air », disponible sur Vero.TV.

Bravo Patricia, Louis-François et Benjamin!

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L’événement parfait pour parler environnement avec vos minis!

On est d’avis que l’environnement est un sujet assez important à discuter avec les cocos. Mais parfois, on manque d’idées pour leur présenter de manière amusante! On a trouvé un événement trop cool pour en savoir plus sur l’environnement et les solutions qu’on peut prendre pour faire notre part et ça a lieu ce weekend!

Le 14 et 15 septembre, la Foire Écosphère se tiendra au Parc Jean-Drapeau. L’événement sera séparé en 5 « éco-zones » à découvrir selon différentes thématiques. Il y aura la zone éco-gourmande, la zone éco-bien-être, la zone éco-innovation, la zone éco-mode & design et la zone éco-engagée.

Posted by Foire Écosphère, Environnement et Écohabitation on Thursday, May 16, 2019

Tout une partie de la foire sera aussi 100% réservée aux jeunes, avec la première édition du Festival des insectes de Montréal. On vous en avait glissé un mot là-dessus la semaine dernière! Il y aura une volière à papillons, des ateliers, des jeux et des chasses au trésor, question de rendre le tout intéressant pour les minis!

Pour les parents, ce sera l’occasion de découvrir des véhicules électriques ou hybrides et même de faire des essais routiers!! Et si les mini-maisons sont quelque chose qui vous intéresse, quelques modèles seront présentés durant le weekend.

L’entrée est gratuite! Et l’événement propose de se déplacer de manière écoresponsable pour visiter la Foire. Des espaces surveillés pour les vélos seront installés! Vous trouverez toutes les infos ici

Pensez-vous y aller?

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BD LGBT censurée à Rio: la Cour suprême rend son verdict!

Une bande dessinée montrant deux jeunes hommes en train de s’embrasser est à nouveau disponible, après avoir été censurée par Marcelo Crivella, le maire ultraconservateur de Rio de Janeiro.

L’image tant controversée se retrouve dans la bande dessinée Avengers: The Children’s Crusade de la maison d’édition américaine Marvel et met en scène deux superhéros, Wiccan et Hulkling, en train d’échanger un baiser.

Après avoir obtenu un ordre judiciaire lui permettant de saisir les exemplaires de la BD en vente dans un salon du livre, Marcelo Crivella s’est vu forcé de mettre fin à cette censure par la Cour suprême du Brésil.

Le maire ultraconservateur avait auparavant qualifié l’oeuvre d’inappropriée dans une petite vidéo sur Twitter.

« De tels livres doivent être couverts de plastique noir, scellés et avec un avis concernant le contenu », s’était-il exclamé en montrant la couverture du livre et l’une des vignettes de la BD en question.

Le président de la Cour suprême, José Antonio Dias Toffoli, a rendu sa décision en expliquant que « les différentes convictions et visions du monde doivent pouvoir être exposées [dans une démocratie] » , tel qu’on peut le lire dans l’article du Figaro.

Il est important de souligner cette décision qui constitue un grand pas pour la communauté LBGT du Brésil.

Ce pays est en effet l’un des endroits du monde où le nombre d’assassinats de personnes de la communauté LGBT est le plus élevé.

En juin dernier, la Cour suprême a d’ailleurs décidé de criminaliser l’homophobie. 

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Mon coeur de mère

Ma propre maman m’en parlait souvent.  Ça avait l’air d’être souffrant. Je l’entendais dire des phrases du genre : « Ah, ça c’est dur pour un coeur de mère. » 

Ça me semblait, à l’époque, incompréhensible. Que cet organe, tout à coup, se mette à s’inquiéter pour deux, pour trois, pour des milliers d’enfants, parfois. Qu’il s’élargisse assez pour laisser la place et s’émouvoir de chaque larme versée, chaque blessure, chaque petit drame du quotidien. Qu’il pleure lorsque la tragédie s’abat sur une famille, comme s’il s’agissait de la sienne.

Puis, j’ai compris. Quand j’ai eu le mien. Mon coeur de maman. Je crois qu’il est né quelque part au milieu de la douleur. Dans ce moment sacré où je me suis fragmentée assez pour donner la vie. J’ai pensé mourir. Je renaissais plutôt avec cet organe à la force décuplée. 

Si je me lève nuit après nuit sans faillir, ou si peu. Si je trouve encore l’énergie pour nourrir, éduquer ou sourire malgré les tempêtes et les rivières maussades, c’est grâce à lui. Ce coeur est là quand je m’oublies, quand je verse une larme la première fois que mes enfants marchent main dans la main, quand il se gonfle de fierté pour un rien.

Tant de fois j’ai serré mes petits en pleurs contre lui pour qu’ils s’apaisent, se remémorent ce temps béni où son battement était leur trame sonore. Des petits corps fiévreux contre un coeur si lourd, d’une noirceur abyssale. 

Ce coeur de maman est exigeant. Il a souhaité que mon regard et mon esprit s’élargissent également.  Alors je suis sortie, les bras ouverts dans l’espace. J’ai tendu les mains pour trouver celles de mes semblables. D’autres coeurs. D’autres mères. J’ai grandis avec ces femmes et éventé mes idées, tissé une trame d’amitié, de solidarité.

Parce que ce coeur aime vibrer à l’unisson. J’ai trouvé des havres où la parole était libre et l’empathie, une habitude.

Et j’ai appris l’essentiel.

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Plus d’un enfant dans une chambre ?

Avoir plus d’un enfant dans la même chambre à coucher représente souvent un défi supplémentaire. Avec 4 enfants et seulement 2 chambres à coucher, je m’y connais. Voici mes petits trucs pour que l’endormissement se passe en douceur (et le plus rapidement possible, s’il vous plait!).

Bon, pour les enfants qui ne sont pas du même âge, le truc, c’est souvent de coucher le plus petit en premier et d’attendre qu’il dorme avant de coucher le suivant.
Mais quand l’écart d’âge n’est pas suffisamment grand, et qu’on veut les coucher en même temps, on essaye d’autres trucs.

1.La boite à musique; une alliée fiable!

Depuis que mes enfants sont bébés, ils ont leur boite à musique. J’adore ce modèle, il se programme pour s’éteindre automatiquement après 15, 30 ou 60 minutes. De plus, il s’allume tout seul la nuit lorsque l’enfant pleure. Depuis les débuts, je pars la musique, soit en donnant le biberon, soit avant de faire les câlins. Plus vieux, ça devient un repère de temps. À mes garçons de 3 ans, je leur dis que s’ils restent sagement dans leur lit, je viendrai leur refaire un câlin quand la musique sera éteinte, avant de la repartir. Les bons jours, après une ou 2 fois, tout le monde dort paisiblement.

2.Rester un moment dans la pièce

Quand mes 3 enfants étaient dans leur couchette, c’était facile, je les couchais, et je quittais la pièce. En vieillissant, dans les grands lits, la dynamique a changé. Un truc qui fonctionne bien, pour éviter que le party pogne dans la chambre, c’est de tout simplement rester dans celle-ci, soit en me couchant entre les 2 (les journées où ils veulent dormir dans le même lit), soit en m’installant dans la chaise berçante. Je peux alors intervenir s’ils deviennent trop excités.

3.Les laisser dormir seuls… avec des consignes

Les soirs où j’ai envie d’avoir une vie et que je les laisse seuls, j’avoue que nous intervenons souvent, en répétant les mêmes consignes: on chuchote, on reste couchés, on dépose les jouets. Mais je trouve aussi important de les laisser devenir autonome, Quelle fierté quand ils réussissent a s’endormis seuls!

4.Pour la sieste, c’est une autre histoire

Pour les siestes, c’est autre chose. J’ai toujours trouvé que mes trucs du soir ne fonctionnaient jamais pour la sieste. Je suis plus radicale pour ce moment de la journée. À une époque je les séparais automatiquement de chambre pour la sieste. Je me suis acheté un piqué imperméable pour mon lit (parce qu’on était en période d’apprentissage de la propreté) et l’un des 2 dormait systématiquement dans notre chambre. Morphée arrivait bien plus vite comme ça! Maintenant, comme le bébé est encore dans notre chambre, la sieste des plus vieux se fait souvent en auto! (J’apprécie tellement ces moments où je bois mon café CHAUD, pendant que tout le monde dort en arrière)

Malgré le fait que ça se passe bien, la plupart du temps, chaque soir où le niaisage s’éternise, je rêve que chacun de mes 4 enfants ait sa propre chambre.

Mais comme je dois renouveler mes trucs chaque 6 mois, donnez-moi donc les vôtres!

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4 astuces pour bien réussir son « cannage »!

Êtes-vous fan comme nous des conserve? Le « cannage », comme on le surnomme affectueusement, peut en rebuter plusieurs, mais avec la bonne technique on peut facilement vivre le rêve des conserves, en toute sécurité!

On ne s’improvisera pas spécialistes de la mise en conserve, alors sachez que tous ces petits trucs proviennent de sources culinaires fiables comme Ricardo et Fraichement Pressé

Bien choisir les fruits et légumes à mettre en conserve

Ça peut sembler être un truc de base, mais il ne faut pas négliger l’étape « réflexion » avant la mise en conserve! Si vous avez l’intention de mettre des légumes sans vinaigre ou encore de la viande ou du poisson en conserve, il est très possible que votre cuisine ne soit pas assez équipée. Pour ce genre de conserves, un autoclave sera nécessaire afin d’assurer la meilleure conservation possible, sans danger pour la santé.

Maintenant que vous savez que vous voulez faire un p’tit ketchup maison, c’est quoi les prochaines étapes?

Avoir les bons outils

Vous avez votre recette, vos ingrédients? mais avez-vous les bons outils? Pour faire des conserves, ça prend peu de choses, mais elles sont tout de même nécessaires. Des bocaux (évidemment, hihi), des pinces à embout en silicone (ça donne une meilleure poigne sur les bocaux lorsqu’on les sort de l’eau), une grosse marmite et un entonnoir à large ouverture (pour vous simplifier la vie lors du transfert de votre recette dans le bocal).

Petite note supplémentaire : bien vérifier que les bocaux ne sont pas fissurés et que le rebord est intact, sinon ils ne se scelleront pas bien!

Le jus de citron ou le vinaigre

Vos meilleurs amis!! Si vous ne passez pas vos conserves à l’autoclave, il est vraiment impératif de rajouter un élément acide dans votre préparation. Selon que vous préparez des fruits ou des légumes, vous avez le choix entre citron, lime et vinaigre. Il faut utiliser du jus de citron et de lime de commerce plutôt que du frais, puisque le frais est plus « instable » au niveau de son acidité.

Stériliser

L’étape importante. Il faut bien faire bouillir bocaux et couvercles avant de mettre la recette dedans et il faut aussi les traiter à l’eau chaude une fois le bocal rempli et fermé. Les temps de traitement diffèrent selon les recettes, mais il est important de bien les suivre!

À vos conserves!

Avez-vous d’autres conseils? Des recettes à nous proposer? 

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Québec annonce du financement pour les écoles

Ça, c’est clairement le genre de nouvelles qu’on aime lire! C’est via Le Devoir qu’on a su que le gouvernement du Québec a annoncé un beau 5 millions supplémentaires pour l’achat de livres dans les écoles. Cet argent-là, ça équivaut à 2 livres de plus PAR ÉLÈVE chaque année!

Vous le savez, on vous parle souvent de livres, de projets littéraires? On le sait que la lecture est une partie importante du développement des enfants et que c’est important de le favoriser, surtout dans le contexte scolaire. Pourtant, nos bibliothèques scolaires sont quasi à l’abandon depuis des années. On peut comprendre que l’intérêt est moins là pour les cocos quand les livres sont abîmés ou que l’offre n’est pas très complète.

Cet investissement de 5 millions s’ajoute aux 15 millions déjà prévus pour les bibliothèques scolaires. Le gouvernement a l’intention de répéter ce financement durant quatre ans, pour un gros total de 80 millions de dollars, juste pour les bibliothèques scolaires! Du côté de la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE), la nouvelle a été bien reçue, mais avec un bémol. Oui, c’est bien d’avoir plus de sous pour les livres, mais une grosse partie du problème réside aussi dans le fait que les bibliothèques en elles-mêmes sont parfois en piteux état, voire inexistantes. Cette situation doit être adressée avant toute chose, selon la FPPE.

Reste que c’est vraiment une bonne nouvelle et qu’on trouve ça rassurant de voir qu’il y a une attention qui est portée sur la situation culturelle dans les écoles.

Pis maintenant, à quand un investissement pour augmenter les salaires et les ressources des profs? Parce que ça aussi, ça urge.

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Montréal prend une décision importante pour la santé des enfants

On a appris via La Presse que l’herbicide glyphosate sera interdit sur tout le territoire montréalais, dès la fin de l’année? C’est vraiment une bonne nouvelle pour la santé des minis, mais aussi des adultes? Le glyphosate avait fait les manchettes récemment parce que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’a classé comme un agent « probablement » cancérigène.

L’herbicide est l’ingrédient actif d’un désherbant ultra commercial, le Round Up (distribué par nul autre que la charmante Mosanto Bayer?). C’est quand même vraiment choquant de se dire qu’on a pu côtoyer ce produit ultra néfaste depuis des années. À la base, on n’est pas vraiment fans des pesticides, herbicides ou autres, mais on peut comprendre qu’ils peuvent être utilisés dans certains contextes. Mais still, comment ça se fait qu’un agent possiblement cancérigène ait pu passer sous la loupe comme ça!

On accueille donc avec un bon soupir de soulagement la décision de la Ville de Montréal. Elle ne sera pas simple à appliquer, puisque la Ville n’a pas le pouvoir d’interdire la vente du produit Round Up (ou des autres produits qui contiennent le glyphosate en plus ou moins grosse concentration), mais puisqu’il y a déjà une interdiction d’utilisation de pesticide par les particuliers sur le territoire montréalais (sauf sur demande d’un permis temporaire), l’interdiction du glysophate sera simplement ajoutée de sorte qu’aucun permis ne sera donné pour cet herbicide.