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J’ai essayé l’entraînement pour femmes enceintes de Bougeotte et Placotine et j’ai adoré!

Les premiers mois de ma grossesse, je les ai passés à Tamarindo au Costa Rica. Vite de même, vous vous dites « chanceuse, vie de rêve, bord de mer, nature luxuriante, piscine et couchers de soleil »…oui oui c’est bien ça! Mais aussi une chaleur constante et absolument insupportable à laquelle mon corps de petite Québécoise n’est pas du tout adapté.. 45 degrés à l’ombre tous les jours, c’est très difficile à gérer enceinte, surtout les premiers mois. Ce qui fait que j’ai arrêté de travailler assez rapidement, car je travaillais dans un resto debout, dehors… des fois je manquais m’évanouir tellement j’avais chaud.

J’ai donc passé beaucoup, beaucoup de temps dans ma chambre allongée dans mon lit à l’air climatisé (seule pièce climatisée de notre appartement) pendant que mon chum suait à grosses gouttes pour faire rouler le resto. À la longue, je trouvais ça déprimant, ces longues heures à regarder Netflix entre 2 hauts le coeur et quelques biscuits soda. Je me suis donc inscrite à un cours de Hatha yoga histoire de bouger un peu.

Ce n’était pas un cours adapté pour femmes enceintes, mais je modifiais les pauses au besoin. C’est vite devenu un de mes moments préférés de la semaine. Une connexion avec mon corps en plein changement plus que nécessaire pour mon équilibre mental. Pour moi, bouger fait partie de mon bonheur au quotidien.

Dès mon retour au Québec, j’ai cherché des options d’entraînement pour femmes enceintes dans mon coin, Maisonneuve Rosemont, à Montréal. Ma soeur m’avait parlé de l’entreprise Bougeotte et Placotine et comme un heureux hasard, ça se trouve tout près de chez moi.

Crédit: Courtoisie Bougeotte et Placotine

Bougeotte et Placotine: en bref

C’est une entreprise qui se spécialise en soins prénataux et post-accouchement qui a vu le jour à Québec il y a 7 ans, mais qui ouvre tranquillement de nouvelles succursales dans différentes régions du Québec. Je me suis inscrite à 2 cours/ semaine: ballon bedaine et yoga prénatal 3e trimestre. Cet entraînement me permet de me préparer à l’accouchement tout en sociabilisant avec d’autres mamans. L’endroit est super joli, accueillant et neuf, car ils ont ouvert en janvier dernier.

La jeune propriétaire franchisée de l’établissement de mon quartier, Marie-Soleil Durand, est kinésiologue de formation, elle est passionnée et entièrement dévouée à son entreprise. Nous sommes super bien encadrées. Elle va discuter avec vous et vous proposer un entraînement adapté à vos besoins.

Honnêtement, quand je suis entrée pour la première fois dans le local, je me suis sentie super bien, comme un soulagement: enfin une place entièrement dédiée et adaptée aux mamans et futures mamans. Alléluia!! Car chez Bougeotte, on peut s’entraîner avant, mais aussi après la grossesse avec notre bébé si on le désire. Il y a des bébés partout chez Bougeotte, ça grouille de vie!

Voici quelques mots de Sarah Baribeau, la Fondatrice et PDG de Bougeotte et Placotine:

« Bougeotte et Placotine vient d’un besoin que j’avais moi-même perçu chez les femmes au Québec durant leur grossesse. Il ne semblait pas avoir de prise en charge des femmes en période de maternité. Une période que je considère comme étant charnière et durant laquelle, comme femme, on est très vulnérable. La relation avec notre corps change et le temps pour soi se fait de plus en plus rare avec un bébé. C’est ainsi que j’ai voulu approfondir mes connaissances en faisant une maîtrise dans le domaine. J’ai ensuite senti qu’un centre comme Bougeotte et Placotine me permettrait de véhiculer l’information que j’avais trouvée et qu’il pourrait vraiment changer les mentalités et donner une place aux femmes mères. Ça fait 7 ans que mon entreprise roule et je sais que notre équipe voit vraiment un changement dans la vie des mères. J’ai eu la chance d’avoir Marie-Soleil qui s’est présentée à moi avec la même passion et la même conviction et elle fait rayonner Bougeotte et Placotine à Montréal en plus de partager la même mission que la mienne, un vrai cadeau! »

Crédit: Courtoisie Bougeotte et Placotine

Mon expérience en quelques mots

Prendre contact avec son corps grâce à l’activité physique et pouvoir pratiquer toutes les activités que vous souhaitez sans restrictions pouvant être causées par la grossesse ou l’accouchement et être la meilleure version de vous-mêmes, c’est pas mal un des plus beaux cadeaux que vous pouvez vous offrir selon moi. Pour moi ça fait une différence en tous cas!

Bougeotte et Placotine offre même des certificats-cadeaux, super cadeau pour un shower de bébé honnêtement;-))

Allez visiter leur site web pour en savoir plus!

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Petits bonheurs aux Jardins Gamelin: la parfaite activité familiale du dimanche

Que vous soyez en vacances ou que vous n’ayez que vos fins de semaine de libres, l’été donne vraiment envie de faire des activités en famille. Cela dit, on n’a pas toujours le temps, l’argent ou l’occasion de quitter la ville. C’est pourquoi on a décidé de se mettre à la recherche d’activités familiales qui sortent de l’ordinaire mais sans sortir de la ville! Aujourd’hui, on vous parle des matinées Petits bonheurs aux Jardins Gamelin.

Les Jardins Gamelin, c’est le petit parc situé juste à côté de la station de métro Berri-UQAM, sur Ste-Catherine entre les rues St-Denis et Berri.

Tous les dimanches d’été, et ce, jusqu’au 8 septembre, Petits bonheurs donne rendez-vous aux familles de 10h à 12h, pour la quatrième édition des matinées familiales!

Crédit: Nicolas Achdjian

Au programme: des activités gratuites pour les enfants de 0 à 12 ans et leur famille pendant tout l’été.

Vous pourrez profiter d’activités autour du conte, du théâtre, de la musique, du bricolage, de l’écologie et plus encore.

Il y a aussi des ateliers et des spectacles, qui promettent de stimuler la créativité et l’imagination des minis. Et ce qui est génial, c’est que les activités changent toutes les semaines donc vous pouvez y aller souvent.

Pour découvrir la programmation complète et connaitre les activités des dimanches à venir, visitez le site des Jardins Gamelin.

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10 suggestions de livres jeunesse d’ici à se procurer le 12 août

L’initiative « Le 12 août, j’achète un livre québécois », lancée en 2013, est devenue une vraie tradition. Comme le stipule (pas mal clairement) le titre, le but est d’inciter les gens à se procurer un (ou plusieurs) livres québécois le 12 août.

C’est une belle manière de faire rayonner la littérature de chez nous, tous genre et styles confondus.

Bien sûr, le mouvement touche les romans, les essais, les recueils de poésie, mais concerne aussi la littérature jeunesse.

En prévision du 12 août, qui arrive assez vite merci, on a décidé de vous conseiller 10 livres jeunesse de chez nous pour inspirer vos achats.

Nos suggestions et coups de coeur québécois

LE PIRE LIVRE DU MONDE

Élise Gravel – 3 à 6 ans

L’ÉCLAT DE MA TRANSPARENCE

Simon Boulerice – À partir de 14 ans

TOMI ET SES AMIS POILUS

Nadine Robert – 2 ans et plus

LES ÉTOILES

Jacques Goldstyn – À partir de 9 ans

13e AVENUE, Tome 1

Geneviève Pettersen et François Vigneault – 10 ans et plus

JOYEUX ANNIVERSAIRE, HENRY

Alex A.

LA TRIBU QUI PUE

Élise Gravel, Magali Le huche – 3 à 6 ans

OBJET PERDU

Cécile Gariépy – 2 ans et plus

PLEINE LUNE

Camilla Pintonato – 3 ans et plus

LE CHEMIN DE LA MONTAGNE

Marianne Dubuc – Pour les 5-6 ans

Bon 12 août et surtout, bonne lecture!

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Des lunchs zéro déchet en prévision du retour à l’école

À chaque rentrée scolaire, on essaie d’être le plus prêtes possible! Et on veut vous partager quelques trucs afin que la rentrée se passe bien aussi de votre côté. Ça fait quelques années déjà qu’on essaie de s’approcher le plus possible du zéro déchet avec les fournitures scolaires, même si ce n’est pas toujours un défi facile à relever (et qu’on est loin d’être parfaites de notre côté, hein!). Avec les 5 essentiels suivants, vous pourrez vous aussi prendre le tournant durable et environnemental, sans vous casser la tête!

Nos essentiels low/zéro déchet pour les lunchs

Feuille de cire d’abeille réutilisable (chez Dans le sac)

Crédit: Dans le sac, danslesac.co

On adore le concept ultra simple et facile à utiliser des feuilles de cire d’abeille. En plus de limiter l’espace pris dans la boîte à lunch, les feuilles permettent d’emballer une tonne de produits alimentaires.

Sacs à collation, sandwichs et autres (chez Minuit Moins Cinq)

Crédit: Minuit Moins Cinq, minuitmoinscinq.co

Finis, les sacs Ziploc! Avec ses ingénieux sacs à collation et à sandwich en tissu recyclé, Minuit Moins Cinq révolutionne de manière très mignonne nos façons d’emballer les aliments pour les boîtes à lunch des enfants.

Une boîte à jus réutilisable (chez Mère Hélène)

Crédit: Mère Hélène, merehelene.com

En plus de limiter la consommation de jus en boîte, cette gourde réutilisable permet de mettre la boisson de votre choix (ou du choix de votre enfant) dans le lunch de votre petit.

Une boîte bento (chez Lunch à Porter)

Crédit: Lunch à Porter, lunchaporter.com

Plus besoin de mille Tupperware, la boîte bento se charge d’organiser les lunchs de vos enfants de la meilleure façon possible.

Un sac à lunch (chez Simons)

Crédit: Simons, simons.ca

L’essentiel #1. On priorise un sac durable, en coton bio. Le plus : un design coloré et amusant!

Des suggestions qui sont autant de preuves que les lunchs low/zéro déchet sont à notre portée (en plus de pouvoir être très cutes)!

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Rentrée scolaire : Les meilleurs sacs d’école!

Ah, la rentrée scolaire… On le sait bien que cette période peut parfois être un peu mouvementée. Avec les mille et une fournitures scolaires à acheter, on a souvent peur de passer à côté d’un item important.

Chez TPL Moms, on s’est pas mal toutes entendues pour dire qu’un des items les plus importants, c’est un bon sac à dos qui offre beaucoup de soutien et d’espace pour ranger tous les projets d’école de nos enfants. Il y a plusieurs bonnes marques sur le marché, mais une qui a retenu notre attention par son engagement à être toujours plus écoresponsable, c’est Parkland.

En plus des sacs à dos, la marque offre aussi des boîtes à lunch, des sacs de collations, des sacs de sport et des sacs à couches! Depuis 2018, tous leurs produits ont un revêtement extérieur fabriqué en polyester composé à 100% de bouteilles de plastique recyclées et pour sa nouvelle collection, Parkland pousse davantage son engagement écologique en remplaçant ses logos en cuir par des logos composés d’un matériel entièrement végétalien, à base de pommes.

Ce qui est aussi très bien, c’est que tous les sacs sont garantis à vie et l’entreprise s’assure d’offrir ses produits à des prix accessibles.

On aime beaucoup le vaste de choix d’imprimés et de couleurs de la nouvelle collection, il y en a vraiment pour tous les goûts!

Vous pouvez trouver les produits Parkland dans plusieurs magasins comme Sport Expert, DeSerres, Clément et Yellow. Les sacs s’achètent aussi en ligne, sur le site Web de Parkland et pour tout le mois d’août, l’entreprise offre gratuitement, avec tout achat, une paille réutilisable en acier inoxydable, une brosse nettoyante et un étui de transport!

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Mon désir inassouvi d’accoucher sans épidurale

J’ai toujours souhaité accoucher sans épidurale au moins une fois. J’admirais les femmes qui accouchent en accueillant leur douleur et en ne faisant qu’une avec elle. Je ne sais pas si je ressentais le besoin de me prouver que je n’étais pas si douillette que je le croyais, mais je souhaitais vivre cette expérience.

Mon premier accouchement a été long et pénible. Vingt-trois heures de douleur, dont dix-huit heures de travail non efficace. Après avoir passé la nuit à souffrir et à faire des allers-retours entre l’hôpital et mon appartement, j’ai enfin pu être admise en chambre de naissance. Je me sentais au bout de ma vie et la dilatation de mon col venait d’atteindre la fameuse mesure qui me permettait enfin de recevoir l’anesthésie péridurale! Je l’ai donc demandée sans hésiter. En fait, je ne l’ai pas demandée, je l’ai exigée. Après des heures de souffrance et une nuit blanche, l’idée de ne faire qu’une avec ma douleur ne m’enchantait plus du tout.

Mon second accouchement a eu lieu huit jours après le décès de mon aînée. Nous avions célébré ses funérailles la veille, j’avais dormi durant la nuit et j’avais commencé à ressentir des contractions peu après mon réveil. J’ai pris une douche, terminé la préparation de ma valise et demandé gentiment (puis moins gentiment) à mon mari de lâcher son iPad pour que nous puissions nous rendre à l’hôpital.

Lorsque mon médecin m’a examinée, j’étais prête à aller en chambre de naissance. Je gérais bien mes contractions, en serrant très fort la couverture de ma fille contre moi. Je lui demandais si elle pouvait, de son étoile, veiller sur nous et surtout sur son petit frère qui allait arriver d’une heure à l’autre. J’étais prête à tenter un accouchement naturel, puisque je me disais qu’aucune douleur physique ne pouvait surpasser la douleur émotionnelle que je ressentais face à la perte de ma fille.

Toutefois, sous les sages conseils de mon mari et de mon médecin, j’ai décidé de recevoir l’épidurale. Ils croyaient que j’avais déjà assez souffert dans les derniers jours, que je m’étais suffisamment épuisée et qu’il était préférable que je mette toutes les chances de mon côté pour que cet accouchement se déroule sans heurts. J’étais d’accord avec eux et j’ai donc décidé que l’accouchement sans épidurale serait pour bébé 3, s’il y avait un bébé 3.

Et bébé 3 il a eu. Mon col s’est d’abord dilaté sur une longue période, sans douleur. J’allais bientôt être à terme et c’était toujours le statu quo. Le soir de mon terme, mes contractions semblaient se rapprocher. La gynécologue et moi avons décidé de donner un coup de pouce à la nature et de crever mes eaux. J’étais convaincue que j’allais enfin vivre l’expérience d’un accouchement naturel, puisque mon col s’était déjà dilaté à 5 centimètres sans que je ne ressente le moindre inconfort.

En toute confiance, j’ai donc répondu à l’équipe médicale que l’anesthésiste pouvait retourner chez lui pour aller dormir. J’étais bien naïve, car quelques minutes plus tard, la douleur s’est intensifiée à une vitesse grand V. Jamais je n’avais ressenti une si grande douleur physique. Mes jambes claquaient, j’avais la nausée et je croyais bien que j’allais mourir. Mais où était donc passé l’anesthésiste!? Ah oui, il était parti chez lui puisque j’avais clairement nommé ne pas avoir besoin de lui! C’est presque en pleurs que j’ai demandé au personnel médical de l’implorer de revenir à l’hôpital pour me donner l’épidurale.

La douleur m’empêchait de m’étendre sur le lit et de laisser la médecin examiner mon col. Nous avons donc convenu que j’aurais l’épidurale, peu importe le niveau de dilatation de ce dernier. Lorsque j’ai enfin aperçu l’anesthésiste, j’ai cru voir un halo de lumière l’entourer. C’était mon sauveur. Il allait enfin me débarrasser de ce mal ingérable qui me donnait l’impression que j’allais perdre le bas de mon corps.

Moins de 20 minutes après avoir reçu l’épidurale, j’étais prête à pousser. J’implorais les médecins de me « donner du liquide, encore plus de liquide », afin qu’ils augmentent ma dose d’épidurale. La gynécologue, qui était revenue prêter main forte à l’équipe, disait qu’elle était heureuse que je n’aie pas accouché naturellement étant donné qu’elle avait ses deux bras bien entrés dans mon col pour repositionner mon bébé. 

Ma famille est maintenant terminée. Il n’y aura pas de bébé 4. Je ne connaîtrai donc jamais ce qu’est un accouchement naturel. Je réalise que je n’étais probablement pas suffisamment préparée pour utiliser les méthodes alternatives de gestion de la douleur de façon efficace. Heureusement, l’épidurale n’a jamais gelé mon corps à un point où je ne ressentais plus mes contractions. Néanmoins, j’aurais aimé avoir le courage de vaincre ma douleur jusqu’au bout.

Avez-vous accouché avec ou sans épidurale? Comment l’avez-vous vécu?

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3 enfants pour 2 chambres

Cette fin de semaine, on a fait le grand saut?! Bébé quitte la chambre de papa et maman pour la sienne… À ELLE, oui, mais pas seulement? Eh non?! Nos 2 bébés, qui ont 15 mois de différence, partageront aussi longtemps que possible la même chambre. Il s’agit d’abord et avant tout d’une question de logistique, puisqu’à l’étage, il n’y a que 3 chambres, dont la nôtre et celle du fils de mon chum.

Mais au-delà de la logistique, je suis contente de savoir qu’ils cohabiteront dans le même espace, apprendront à le partager et à se respecter mutuellement?! 

Plein de beaux mots remplis d’espoir me direz-vous?! Ne vous inquiétez pas, je ne vis pas seulement la tête dans les nuages! Je suis aussi consciente que ce choix amènera certainement son lot de côtés plus ou moins négatifs, mais je les trouve tout de même moins importants que le positif que ce partage pourrait leur procurer. 

Pour l’instant, c’est ma vision pour (peut-être changera-t-elle…!) et, ceci étant dit, je respecte totalement le fait que chaque enfant ait sa propre chambre dès la jeune enfance. Pour être franche, si le nombre de chambres avait été suffisant chez moi, les 3 enfants auraient eu chacun la leur et je n’aurais pas réfléchi plus loin à la question.

Bref, cette dernière fin de semaine, on a travaillé fort et longtemps pour faire le changement des chambres! Avec la petite qui pleurait, les deux frères qui se chamaillaient et mon chum qui, muni de très peu d’aucune patience, s’énervait trop rapidement, ce fut une fin de semaine très chaotique et pas trop glamour, disons-le?!  

En plus de l’organisation que ce remaniement exigeait, il a fallu user d’un peu de ruse pour convaincre le plus vieux d’adopter la plus petite chambre sans trop de rancoeur à l’endroit de ses cadets… Comme il occupait la plus grande des chambres et ne voulait pas la partager, on a dû lui faire comprendre que s’il voulait son espace à lui seul, il devait céder cette chambre à son petit frère et sa petite s?ur qui seraient 2 dans le même espace. Pas facile à comprendre et surtout à accepter pour un enfant de 7 ans déjà bien installé dans sa chambre! Gestion de crise et négociation ont été au programme! Sans oublier la fameuse sortie au IKEA? un samedi après-midi? avec les 3 enfants! Je vous laisse le loisir d’imaginer la scène et la « non » patience de mon chum ! Au final, la nouvelle chambre du plus vieux était pratiquement terminée dimanche. Pour les plus jeunes, il restait la peinture: chose que j’avais promis à mon chum de faire dans la semaine. 

Chose promise chose faite… ou presque?! Je me suis mise à la tâche et, en presque 3 heures, j’ai réussi à faire le découpage de toute la chambre et le rouleau sur un seul mur! Vous comprendrez donc que mon habileté à peinturer, combinée aux tâches constantes qu’exige un bébé de 7 mois rendaient ma promesse difficile à remplir de façon rapide et efficace!

J’y serais arrivée, c’est sur! Mais mon chum à bout de patience (!!!) a finalement, en moins de 20 minutes, terminé le rouleau sur tous les murs! Et le soir même, il a appliqué la 2e couche (découpage et rouleau) en moins d’une heure! Oh well! Heureusement, j’ai d’autres qualités que la peinture?!

Finalement, tout est fini?! Le plus vieux adore sa nouvelle chambre (ouf?!) et il ne nous reste plus qu’à gérer le dodo des deux plus jeunes dans la même chambre. Ce sera assurément le sujet d’un futur article! Histoire à suivre! 

Comment avez-vous arrangé les chambres de vos enfants à la maison ?

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Le Festival de littérature jeunesse de Montréal tiendra sa première édition ce samedi!

Nous vous en avions déjà parlé ici, lorsque nous avions appris que ce tout nouveau festival destiné uniquement et entièrement à la littérature jeunesse verrait le jour. Nous avons maintenant la programmation complète et croyez-nous, elle fait saliver n’importe quel amoureux et amoureuse des mots, livres, albums et illustrations pour enfants, de 0 à 17 ans.

Crédit : Page par Page

C’est ce samedi 11 août qu’aura lieu la première édition du Festival de littérature jeunesse de Montréal organisé par Page par Page. C’est donc un rendez-vous au Parc de la Marina d’Escale de Lachine, qui a été divisé en trois zones pour l’occasion: La Grande Scène (grands évènements), La zone Ateliers (où auront lieu les différentes formations et ateliers offerts aux enfants) et le Coin Famille (plus intime, notamment pour les heures du conte). Les tout petits sont aussi ciblés que les plus vieux, puisque des activités sont prévues pour tous les différents groupes d’âge tout au long de la journée.

Sur la Grande Scène

Animée dès 9h00 le matin par la pétillante Manal Drissi, la grande scène nous présentera la pièce de théâtre jeunesse pour les tout petits Au bout du conte dès 10h00, une discussion avec le porte-parole du festival, l’infatigable Simon Boulerice, à midi, une causerie avec l’illustrateur émérite Jacques Goldstyn à 14h00, une heure du conte rocambolesque avec l’inimitable poète Baron Marc-André Lévesque à 15h00 et, enfin, un concours de slam pour les ados à 16h00.

La Zone Ateliers

Comme le festival se veut aussi un endroit interactif où les jeunes pourront apprendre et mettre main à la pâte, la zone ateliers promet d’y voir. On pourra donc y retrouver dès 9h00 Projet Ikko qui propose un atelier de manga donné pour les enfants en bas de 7 ans et un autre à 11h00 dans lequel les enfants de plus de 8 ans pourront créer un personnage manga au complet! À 10h00 c’est au tour de l’écrivaine et éditrice Maude Nepveu-Villeneuve de proposer un atelier d’écriture pour les plus de 8 ans. Les ados ne seront pas en reste, puisque l’écrivaine Juliana Léveillé-Trudel promet un atelier d’écriture pour les 12 ans et plus à partir de 12h30 et à 13h30 tandis que Projet Ikko propose aux ados un atelier de Yonkoma (BD japonaise de 4 cases). Enfin, à partir de 15h00, c’est nul autre que le célèbre Élémo qui donnera un atelier de slam pour les 12 ans et plus!

Dans le Coin Famille

Finalement, ce n’est pas parce que c’est plus intime que c’est moins grandiose. En effet, le coin famille propose tant de magnifiques activités! À 9h00 les auteurs du livre pour les tout petits Comment attraper un ours qui aime lire viendront lire leur album. Nous attendons avec grande impatience la lecture du livre L’enfant de fourrure, d’écailles, de plumes et de paillettes par l’inoubliable Kama La Mackerel, superbe artiste queer qui promet d’en jeter. À 10h00, c’est au tour de la lumineuse Marianne Prairie d’animer une conférence pour les parents sur les sorties en famille, qui sera suivie par la légendaire Élise Gravel qui, à 11h00 viendra nous faire la lecture d’un de ses albums. Oui, oui, ÉLISE GRAVEL prend une pause de ses vacances juste pour venir lire à vos enfants! Une fois remis de nos émotions, les Bibliothèques de Montréal viendront lire des contes à 12h30. À 13h00 l’énergique Vincent Bolduc nous lira Derrière les yeux de Billy, qui sera suivi immédiatement après par une conférence pour les parents sur la littérature jeunesse LGBTQ+ animée par la Librairie L’Euguélionne. À 14h00, ce sera au tour de la Librairie Racines de nous présenter une conférence pour les parents et à 14h30 à la prodigieuse Julie Delporte de nous faire la lecture de son bel album Je suis un raton laveur. Enfin, Communication jeunesse présentera en fin de journée à 15h00 une dernière conférence pour les parents intitulée Un livre pour votre enfant, ça s’anime!

Crédit : Noémie Philibert-Brunet

Si vous pensez que la programmation donne des vertiges, n’oubliez pas qu’une panoplie de surprises vous attendent au courant de la journée. Des tables de maisons d’édition y seront bien sûr bien en vue, ainsi que des boîtes d’échanges de livres (prenez-en un, laissez-en un), une boîte à vox-pop et une murale collective réalisée en partenariat avec les élèves du Collège Ste-Anne. Des auteurs, autrices, illustrateurs et illustratrices seront présent.e.s tout au long de la journée pour des séances de dédicaces et signatures et une édition spéciale du magazine Grilled Cheese sera offerte gratuitement aux premiers enfants arrivés.

Entièrement prévu à l’extérieur (beau temps mauvais temps, puisque des tentes sont prévues en cas de pluie), le festival promet vraiment d’être l’évènement familial de l’été. Et on vous a dit que c’était gratuit?!

Le dimanche 11 août à partir de 9h00. Courez-y et amenez votre marmaille!

Le site web du festival : FLJMontreal

La programmation complète : Programmation du FLJM

Et pour ne rien manquer des dernières nouvelles, la page Facebook : Évènement FLJM ou le compte Instagram du Festival.

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Du cinéma gratuit ce vendredi avec les minis

Chez TPL Moms, on adore l’espace commun de La Fée Raille et Énamour pour plusieurs raisons. Tout d’abord parce que les deux entreprises locales offrent des produits trop biens, mais aussi parce qu’elles organisent fréquemment des activités vraiment sympas à faire avec nos enfants!

Ce vendredi 9 août, La Fée Raille et Énamour proposent une soirée gratuite de cinéma, à leur boutique sur Parc. C’est le classique film français La guerre des boutons, d’Yves Robert qui sera projeté pour l’occasion. Réalisé en 1962, le film raconte l’histoire d’une querelle ludique entre deux groupes d’enfants et les conséquences que celle-ci aura sur les protagonistes. Pendant la projection, tout le monde pourra se régaler de pop-corn à volonté, miam!

L’événement a lieu de 19h à 21h, au 3515 avenue du Parc. Le tout est entièrement gratuit, mais il faut réserver les places en écrivant sur la page Facebook de l’événement ou en envoyant un courriel au jouezici@gmail.com.

Merci Énamour et La Fée Raille pour cette chouette activité!

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Les livres, ça sert aussi à outiller ses enfants!

Quel parent n’a jamais l’impression de répéter ad nauseam des consignes et des choses déjà dites auparavant ? (Si c’est vous, j’ai un tas de questions!) Je trouve parfois que l’information passe mieux quand c’est dit par quelqu’un d’autre ou quand c’est traité dans un livre. Finalement, n’importe qui d’autre que les parents, hein!

Pour connaître l’importance du sommeil

Le sommeil

Texte : Sophie Dussaussois/ Illustrations : Thierry Manes/ Éditions Milan, collection « Mes p’tits pourquoi », mai 2019. 

Le dodo, cet éternel combat! Même si on réussit à mettre son enfant au lit, il y a toujours une envie de pipi qui surgit magiquement ou une soif incroyable qui se manifeste. Et si on démystifiait le sommeil et on en expliquait l’importance à notre curieux.se ? La collection Mes p’tits pourquoi de Milan propose plein de titres éclairants, dont Le sommeil. On y apprend notamment comment fonctionnent l’endormissement, les rêves et les cauchemars. Vous aurez de la sympathie pour les parents du petit Léonard, qui a très peu envie d’aller au lit!