Pendant plus d’une quinzaine d’années, la Lexus LS était synonyme de voiture ennuyante, au profil assez anonyme et dont l’agrément de conduite n’intéressait que les personnes qui n’étaient intéressées qu’au confort.
Cette fois, cette nouvelle génération conserve les qualités qui ont été toujours associées à ce modèle tout en ajoutant une silhouette spectaculaire, un habitacle quasiment futuriste et un comportement routier nettement plus dynamique que précédemment.
En fait, en conduisant, on se demande si on est vraiment à bord d’une Lexus.
Comme c’est maintenant le cas pour tous les modèles de cette marque, la principale est cette grille de calandre en forme de sablier dotée de grillages assez percutants. De plus, sur ce modèle, comme on n’avait pas l’intention de le faire paraître plus petit qu’il était, on a même poussé vers l’avant toute la calandre. De chaque côté de celle-ci, on retrouve des phares de route dont le bloc optique est en forme de la lettre « Z » et intégrant trois unités de phares. C’est à la fois pratique et élégant. La silhouette, comme le veut la mode actuelle, s’inspire de celle des coupés quatre portes et se prolonge sur un couvercle de coffre à bagages avec becquet intégré.
L’habitacle est spectaculaire à plusieurs points de vue, ne serait-ce que la garniture des portières, certains éléments métalliques très stylisés ainsi qu’une planche de bord ultramoderne mais pas nécessairement toujours facile à consulter. Soulignons au passage les places arrière composées de deux sièges individuels dotés de multiples réglages et pouvant s’incliner de façon assez spectaculaire.
Ce modèle ,maintenant disponible en une seule longueur, est plus long que précédemment, plus large et par le fait même offrant une meilleure habitabilité. Il partage sa plate-forme avec que le coupé LC 500 et représente ainsi ce qui est le plus moderne chez Lexus.
Le moteur V8 a été abandonné au profit d’un V6 3,5 litres à double turbo d’une puissance de 415 chevaux. Il est associé à une boîte automatique à 10 rapports. Comme le veut la logique de ce constructeur, une version hybride faisant appel au même V6 et à un moteur électrique produit une puissance totale de 354 chevaux.
Cette nouvelle LS est non seulement dynamique au chapitre de son allure, mais également en fait de conduite. C’est nettement plus relevé que précédemment et qui devrait plaire aux amateurs de conduite.
Pour :
- Silhouette spectaculaire
- Tableau de bord futuriste
- Tenue de route améliorée
Contre :
- Visibilité arrière perfectible
- Certaines commandes complexes
- Prix élevé
Souvent boudés au profit des voitures allemandes de la compétition, les coupés « RC« de la famille Lexus ont de la difficulté à se tailler une place sur le marché. Introduits il y a seulement 4 ans, ce sont pourtant des véhicules complets et ultras fiables. Pour 2018, ils sont de retour dans la gamme du manufacturier japonais sans aucun changement majeur.
D’un premier coup d’oeil, on peut certainement affirmer que le coupé RC est une des plus belles voitures à avoir été mise en marché par la marque de luxe de Toyota. Bien que dérangeante à première vue, on s’habitue rapidement à son immense grille en forme de sablier qu’elle partage maintenant avec l’ensemble des véhicules de la gamme. De profil, son design est homogène et ses lignes sont très ciselées.
La présentation intérieure du RC est impressionnante. On y retrouve des matériaux de bonne qualité aux quatre coins de son habitacle et sa finition est sans reproche. Un seul petit bémol concernant son fameux système multimédia et son système "touchpad" incorporé à la console centrale. Il est difficile d’utilisation et demande beaucoup d’attention de la part du conducteur pour naviguer entre les différents menus.
Tout dépendant de la version choisie, quelques choix de motorisations vous seront offerts. Pour débuter, un moteur V6 3,5 Litres d’une puissance de 255 ou de 307 chevaux. Le modèle le plus sportif nommé RC-F est muni d’une mécanique V8 d’une sonorité tout à fait mélodieuse. Bien qu’il est handicapé légèrement en raison du poids de cette grosse mécanique, le RC-F promet d’excellentes performances du haut de ses 467 chevaux.
À noter que le système de rouage intégral disponible rehausse beaucoup les capacités hivernales de ce joli coupé.
POUR :
- Excellente fiabilité
- Look moderne
- Habitacle de qualité
CONTRE :
- Système multimédia complexe
- Visibilité arrière difficile
- Prix élevé de certaines versions
En plus de cela, il pourrait avoir le premier bloc batterie nettement plus volumineux que celui utilisé par Tesla, le plus de puissance et de couple jamais atteint dans un camion léger de production normale, et le premier véhicule DC à charge-rapide pouvant être chargé à plus de 150 kW.
Les camions que Rivian a dévoilés cette semaine regorgent d’idées géniales et de conceptions apparemment efficaces, mais elles demeurent encore avec beaucoup de « si » et « peut-être », car elles sont encore loin d’être prêtes à la production. À environ deux ans des premières livraisons, tous ces points forts se retrouvent dans l’hypothétique – car ils dépendent de la capacité de Rivian à produire ses camions dans une ancienne usine Mitsubishi (et Chrysler) à Normal, dans l’Illinois, et à soutenir ces produits.
Le produit, s’il arrive avec l’apparence et la performance tel que promise, serait un moyen bienvenu pour les camionneurs de se passer du tuyau d’échappement. Le R1T mesure 215,6 pouces de long, soit à peu près la longueur des camionnettes de taille moyenne d’aujourd’hui. Mais sa largeur de 79,3 pouces et son empattement de 135,8 pouces sont plus en ligne avec les camions de grande taille. So on tient compte de la longueur du lit de 55 pouces (même que pour les camions de taille moyenne), on obtient une cabine très spacieuse pour les passagers.