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Mark Zuckerberg perd 30 milliards en un journée

Facebook CEO Mark Zuckerberg speaking at the Facebook Innovation Hub in Berlin, Germany, 25 February 2016. Zuckerberg presented studies on Artificial Intelligence inter alia. PHOTO: KAY NIETFELD/dpa Where: Berlin, Berlin, Germany When: 25 Feb 2016 Credit: Kay Nietfeld/picture-alliance/Cover Images

Mark Zuckerberg n’est plus l’une des 10 personnes les plus riches de la planète. Après la débâcle de Meta (Facebook) à la bourse, le fondateur du réseau social voit sa fortune fondre comme neige au soleil.

C’est ce que l’on pourrait qualifier de mauvaise journée au bureau… Hier (jeudi 3 février), le milliardaire a perdu 29,7 milliards de dollars (US) en 24 heures, selon le calculateur en temps réel des milliardaires du monde de Forbes.

Après cette rude journée, Mark Zuckerberg est maintenant la 12e fortune de la planète, avec une fortune estimée à 84,8 milliards.

Meta, la société qui possède Facebook et Instagram, entre autres, a perdu le 3 février 26% de sa valeur, soit 237,76 milliards de dollars. C’est la plus grande débâcle de l’histoire de la bourse américaine, rapporte le Dow Jones.

La principale raison de cette immense correction est la perte de popularité de Facebook. Pour la première fois de son histoire, le réseau social a vu son nombre d’utilisateurs reculer. Plus d’un million de personnes ont décidé d’abandonner la plateforme. Malgré tout, Facebook est utilisé encore aujourd’hui quotidiennement par 1,929 milliard de personnes.

C’est la seconde fois que Mark Zuckerberg essuie des pertes considérables depuis qu’il est à la tête de Facebook. En juin 2020, un boycottage publicitaire par de grandes corporations qui se montraient insatisfaites face à la façon dont le plus important réseau social de la planète gérait les propos raciaux et la désinformation lui avait coûté 7 milliards de dollars en une journée.

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Actualité Art de vivre

La station spatiale sera détruite en 2031

L’Agence spatiale américaine vient d’indiquer comment elle comptait se débarrasser de la station spatiale internationale (ISS) à la fin de sa vie utile.

La NASA a révélé dans les dernières heures son intention de faire s’écraser sur terre ISS dans une partie reculée de l’océan Pacifique, connue sous le nom de Point Nemo.

La station spatiale internationale fut lancée en 2000. Le grand laboratoire spatial est en orbite à 408 km au-dessus de la Terre. Au fil des ans, plus de 200 astronautes de 19 pays différents y ont séjourné, de même que quelques touristes de l’espace. On projette même d’y tourner une téléréalité.

En janvier 2031, la NASA souhaite que l’ISS retombe sur Terre dans une zone océanique inhabitée du Pacifique Sud, Point Nemo. Ce lieu, nommé ainsi d’après le roman de Jules Verne «Vingt mille lieues sous les mers», est le point de l’océan le plus éloigné de la terre.

Point Nemo se trouve à plus de 4800 km au large de la côte est de la Nouvelle-Zélande. On estime que les nations spatiales telles que les États-Unis, la Russie, le Japon et les pays européens y ont coulé plus de 263 débris spatiaux depuis 1971.

Si l’ISS en est à ses dernières orbites, d’autres stations spatiales vont lui succéder. Déjà, la Chine, dont les astronautes ont longtemps été exclus de l’ISS, a lancé l’année dernière le premier module de sa future station spatiale. Elle devrait être pleinement opérationnelle d’ici la fin de l’année.

La Russie de son côté a déclaré qu’elle abandonnerait le projet de l’ISS en 2025. Elle prévoit construire sa propre station spatiale qui pourrait être lancée en 2030.

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Actualité

Donald Trump a amassé un trésor de guerre de 122M$ (US)

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Donald Trump n’a pas encore annoncé s’il allait être candidat aux élections présidentielles américaines de 2024. Malgré tout, il accumule les millions pour une future campagne électorale.

L’organisation politique de l’ancien président a annoncé hier avoir amassé 122 millions de dollars. Ces chiffres confirment les rumeurs voulant que l’homme qui a quitté la Maison-Blanche en janvier 2021 engrange des millions chaque semaine.

«Il ne fait aucun doute que la vague MAKE AMERICA GREAT AGAIN (MAGA !) est prête à déferler sur les élections de mi-mandat et à se poursuivre jusqu’en 2024», a déclaré son porte-parole Taylor Budowich dans le communiqué.

Si Donald Trump n’a pas encore annoncé ses intentions publiquement sur les élections de 2024, peu de gens y voient un suspense. L’ancien président a lui-même vendu la mèche lors d’une partie de golf la semaine dernière.

Une autre indication que Donald Trump s’apprête à sauter à nouveau dans l’arène politique est le lancement dans les prochaines semaines de son propre réseau social, Truth.

Depuis un an, les autres réseaux sociaux, dont entre autres Twitter, le favori de l’ancien président, ont fermé son compte à la suite des événements survenus au Capitole de Washington le 6 janvier 2021.

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Le premier avion de passagers électrique au monde, bientôt une réalité

L’Alice, le premier avion de passagers entièrement électrique au monde s’apprête à prendre son envol.

Le monde de l’aviation vivra une révolution dans quelques semaines. Développé par la société israélienne Eviation, l’Alice a subi des essais de moteur la semaine dernière à l’aéroport municipal d’Arlington, au nord de Seattle. Il ne serait plus qu’à quelques semaines de son premier vol.

Contrairement aux avions qui volent en ce moment avec du kérosène, l’Alice est équipé d’une technologie de batterie similaire à celle d’une voiture électrique.

L’Alice est un petit avion qui peut accueillir neuf passagers. Il pourra voler pendant une heure et parcourir environ 815 km a une vitesse de croisière maximale de 462 km à l’heure.

Eviation a développé trois versions du prototype : une variante navetteur, une version exécutive et une version spécialisée dans le fret. La configuration de navette testée peut accueillir neuf passagers et deux pilotes, ainsi que 386 kg de fret. La version exécutive comporte six sièges passagers pour un vol plus spacieux, et l’avion-cargo a un volume de 12,7 mètres cubes.

Eviation croit que d’ici sept à dix ans, elle pourrait concevoir des avions plus volumineux, pouvant accueillir de 20 à 40 passagers.

Le monde de l’aviation cherche à devenir plus vert. L’avionneur Airbus a de présenter en septembre 2020 ses avions du futur propulsés par des moteurs fonctionnant à l’hydrogène.

Son concurrent Boeing a annoncé la semaine dernière avoir investi dans une start-up travaillant sur des taxis volants électriques autonomes.

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Une voiture volante obtient sa certification officielle

Une voiture volante appelée AirCar a obtenu un certificat officiel de navigabilité. Cette certification ouvre maintenant la porte à sa production de masse.

Dès juin dernier, les yeux se tournaient vers l’AirCar qui réussissait un premier vol de 35 minutes. Depuis, la voiture volante a subi de nombreux autres tests menés par les autorités slovaques et l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) avant d’obtenir son certificat.

Cette voiture capable de se transformer en petit avion a réussi avec succès 70 heures de tests, incluant plus de 200 décollages et atterrissages.

«Les tests de vol difficiles comprenaient toute la gamme des manœuvres de vol et de performance et ont démontré une étonnante stabilité statique et dynamique en mode avion», a déclaré Klein Vision, la société à l’origine de ce «véhicule bimode voiture-avion».

L’AirCar est alimentée par un moteur BMW de 1,6 litre et fonctionne avec du carburant ordinaire. Le véhicule peut voler à une altitude maximale de 18 000 pieds. Après un atterrissage, l’avion se transforme en voiture et peut être conduit sur les routes.

Klein Vision et son AirCar ne sont pas les seuls à se lancer dans le marché des voitures volantes. L’an dernier, le constructeur automobile Cadillac a dévoilé lors du Consumer Electronics Show (CES) sa propre voiture–avion.

Un autre constructeur automobile, Porsche, s’est associé en 2019 à l’avionneur Boeing pour lancer son propre prototype.

Selon Morgan Stanley, le marché des voitures volantes pourrait représenter 1,5 trillion de dollars (US) en 2040. De quoi faire rêver bien des industriels.

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Donald Trump se voit: «45e et 47e président américain»

EXCLUSIVE United States President Donald J. Trump speaks during the first of three scheduled 90 minute presidential debates with Democratic presidential nominee Joe Biden, in Cleveland, Ohio, on Tuesday, September 29, 2020. Credit: Kevin Dietsch / Pool via CNP Where: Cleveland, Ohio, United States When: 29 Sep 2020 Credit: Kevin Dietsch - Pool via CNP/DPA/Cover Images **ONLY AVAILABLE FOR PUBLICATION IN THE UK AND USA**

Donald Trump a affirmé hier (mardi 25 janvier) qu’il deviendra le 47e président des États-Unis.

L’homme d’affaires, qui n’a toujours pas annoncé s’il allait briguer les suffrages à la présidence en 2024, a fait cette déclaration alors qu’il jouait une partie de golf sur l’un de ses terrains.

Une vidéo a capté la déclaration et est vite devenue virale.

S’installant pour frapper un coup de départ, alors qu’un invité qui commente la scène le présente comme le 45e président des États-Unis, Donald Trump reprend l’homme et lui dit «45e et 47e président américain».

Donald Trump se laisse désirer par sa base électorale et le camp républicain. Depuis des mois, l’homme d’affaires entretient volontairement le flou autour de sa future candidature.

S’il devait se lancer à la course à la Maison-Blanche, l’homme de 75 ans remporterait facilement l’investiture démocrate. Dans un récent sondage Reuters/Ipsos, Donald Trump devançait le gouverneur de Floride Ron DeSantis par 43 points de pourcentage.

Celui qui a quitté Washington il y a un an à peine engrange une fortune en ce moment dans le but de se faire réélire en 2024, et ce, même s’il n’a pas encore annoncé ses intentions. Sa caisse électorale grossirait de près d’un million de dollars par semaine depuis des mois.

Autre bonne nouvelle pour Donald Trump, son propre réseau social, Truth, sera lancé dans quelques jours. Cette nouvelle plateforme lui permettra de discuter sans ambages avec ses électeurs.

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Boeing se lance dans les taxis volants

L’avionneur Boeing investit dans une start-up qui veut construire des taxis volants électriques autonomes.

La multinationale de Seattle offre 450 millions de dollars à Wisk Aero, qui développe sa technologie conjointement avec Kittyhawk, la société d’aviation autonome soutenue par Larry Page, cofondateur de Google.

Boeing n’est pas seule à croire en l’avenir des taxis volants autonomes. Depuis 2010, c’est 12,7 milliards de dollars qui ont été investis dans de nombreuses sociétés qui veulent créer ce nouveau moyen de transport du futur. Seulement l’an dernier, les investissements se sont élevés à 7 milliards (US).

Avec l’apport financier de Boeing, Wisk Aero espère effectuer 14 millions de vols commerciaux annuels dans 20 grandes villes du monde d’ici cinq ans.

Ce n’est pas le premier investissement de Boeing dans de nouveaux types de véhicules volants. En 2019, elle s’associait à Porsche pour fabriquer des voitures volantes.

Certains endroits dans le monde pensent déjà que les taxis volants seront très présents bientôt dans notre quotidien. Le gouvernement sud-coréen entame ces jours-ci la construction d’une infrastructure de mobilité aérienne urbaine (UAM). Les taxis ou voitures volantes sont présentés comme le mode de mobilité de nouvelle génération qui permettra de réduire le trafic routier de ce pays.

Selon Morgan Stanley, le marché du taxi aérien devrait croître de 1 700 trillions en 2040.

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Le télescope James Webb atteint sa destination finale

Près d’un mois après son lancement dans l’espace, le télescope James Webb est arrivé à son point d’observation où il pourra maintenant scruter les confins de l’univers.

Le 25 décembre dernier, la NASA lançait de la Guyane française un nouveau télescope d’une valeur de 10 milliards de dollars.

Le télescope se trouve aujourd’hui à près d’un million de kilomètres de la Terre et au-delà de la Lune, sur une orbite appelée Lagrange 2.

Alors que le télescope spatial Hubble est en orbite autour de la Terre, Webb est plutôt en orbite autour du soleil.

Avec maintenant son pare-soleil de la taille d’un court de tennis déployé et après avoir déplié un miroir doré massif, le télescope James Webb pourra étudier l’univers sous un angle nouveau et scruter l’atmosphère des exoplanètes.

La principale caractéristique de Webb par rapport à Hubble est qu’il observera l’univers en lumière infrarouge et détectera les signaux les plus faibles des objets de notre univers lointain.

Développé par l’Agence spatiale américaine en collaboration avec l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le télescope James Webb devrait renvoyer ses premières images vers la Terre l’été prochain.

D’ici là, les ingénieurs vont passer les cinq prochains mois à calibrer ses instruments.

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Microsoft dépense 68,7G$ dans les jeux vidéo

Microsoft met la main sur le géant des jeux vidéo Activision Blizzard en payant 68,7 milliards de dollars (US) comptant.

Cette transaction est la plus importante de l’histoire de Microsoft, surpassant aisément celle de LinkedIn en 2016 (26,2 milliards).

Cette acquisition démontre tout l’intérêt du géant américain pour le secteur des jeux vidéo. Microsoft a lancé sa plus récente console de jeux vidéo, les Xbox Series X et S en novembre 2020.

Pour Microsoft, l’achat de Activision Blizzard lui permet de mettre la main sur un catalogue de jeux populaires. Parmi les principaux jeux développés par Activision Blizzard, notons entre autres la série Call of Duty, la seconde plus populaire de l’histoire, ou encore Tony Hawk’s Pro Skater.

Cette stratégie devrait lui permettre d’augmenter ses parts de marché des ventes de consoles où elle tire de l’arrière. En date d’aujourd’hui, Nintendo détient 77,7% des parts de marché, devant Sony avec 13,4% et Microsoft avec 8,9%, selon le site spécialisé VGChartz.

Cette nouvelle acquisition de Microsoft survient après celles de Mojang en 2014 (2,5 milliards américains) et Bethesda, l’an passé pour 7,5 milliards (US).

Si tout se déroule comme prévu, Microsoft entend conclure l’acquisition de Activision Blizzard au cours de son exercice fiscal 2023.

Depuis le début de la pandémie, le secteur des jeux vidéo est en croissance. Dès mars 2020, les ventes de consoles et jeux ont explosé, une tendance qui ne s’est pas démentie depuis.

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Actualité Sport

Novak Djokovic encourt la prison

Newscom/Cover Images

Une déclaration du champion de tennis Novak Djokovic pourrait lui valoir la prison en Australie s’il est prouvé qu’il a menti.

Le Serbe Novak Djokovic n’en a pas fini avec la saga de sa participation à l’Open d’Australie. Après ses problèmes de visa d’entrée et sa détention dès son arrivée en sol australien, voilà maintenant que le numéro un mondial encourt une peine de prison d’un an.

L’Australian Border Force vient d’ouvrir une enquête concernant les documents d’entrée au pays que Novak Djokovic a remis à son arrivée en Australie.

Selon ces documents, le Serbe affirme ne pas avoir voyagé dans les deux semaines (14 jours) avant son arrivée en Australie, comme le demandent les autorités de ce pays. Cette déclaration est accompagnée d’un avertissement indiquant que le fait de donner des informations fausses ou trompeuses constitue une «infraction grave», également passible de sanctions civiles. En outre, il est indiqué : «En cas de condamnation, la peine maximale est un emprisonnement de 12 mois.»

Le hic pour Novak Djokovic provient de ses réseaux sociaux. Des publications semblent montrer le tennisman à Belgrade le jour de Noël et quelques jours plus tard en Espagne en compagnie de son frère, le 4 janvier dernier.

S’il s’avérait que ces photos sont véridiques, cela indiquerait que le Serbe aurait menti dans sa déclaration d’entrée en sol australien.

Novak Djokovic affirme aujourd’hui que ce serait Tennis Australia qui aurait rempli le formulaire d’entrée au pays pour lui. Si cela était vrai, cette affirmation pourrait elle aussi poser problème.

La situation est telle que plus tôt dans la journée, le premier ministre australien Scott Morrison et son homologue serbe Ana Brnabic ont échangé à propos de la situation du numéro 1 mondial.

Entre temps, l’Australian Border Force n’a pas rendu sa décision sur la situation de Novak Djokovic.

Le Serbe a tenu à remercier dans les dernières heures ses fans du monde entier qui l’appuie dans cette saga.

L’Open de tennis d’Australie débutera le 17 janvier prochain.