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Tesla achète pour 1,5 milliard (US) de Bitcoin

Elon Musk, le propriétaire de Tesla, a annoncé que son groupe avait acheté pour 1,5 milliard de dollars (US) de Bitcoin, poussant la valeur de la cryptomonnaie à un sommet historique.

Dans un communiqué, Tesla annonce qu’elle acceptera bientôt le paiement de ses véhicules en Bitcoin.

Après l’achat de Tesla, la valeur du Bitcoin s’est envolée, pour atteindre les 48 000 $ (US) l’unité. Rappelons qu’en avril dernier, le Bitcoin se négociait sous la barre des 10 000 $.

Le Bitcoin a été créé en janvier 2009. Dans la dernière année, sa progression fut fulgurante, sa valeur augmentant de 1250%.

La décision de Tesla d’investir dans la cryptomonnaie la plus connue du monde et de commencer à accepter ce mode de paiement pour ses véhicules électriques n’est pas anodine. Cela fait passer le Bitcoin au rang de monnaie grand public.

Certes, le geste de Tesla est spectaculaire. Mais la société n’est pas le seul investisseur institutionnel traditionnel à avoir diversifié ses actifs dans le Bitcoin. Selon Grayscale Investments, le plus gros gestionnaire d’actifs numérique du monde cité par CNN, 20 milliards (US) ont été investis dans ce secteur en 2020.

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«Black Lives Matter» en nomination pour le Nobel de la paix

Le mouvement Black Lives Matter vient d’être mis en nomination pour recevoir le prestigieux prix Nobel de la paix 2021.

Ce mouvement de révolte contre le racisme fondé en 2013 a pris de l’ampleur à la suite du décès tragique de George Floyd, tué par des policiers en service de Minneapolis en mai 2020.

L’avis de nomination présenté par le premier ministre de la Norvège, Petter Eide, indique que le mouvement mondial «combat le racisme et la violence motivée par le racisme».

«BLM demande des changements systémiques partout dans le monde, forçant les pays à agir contre le racisme dans leur société», ajoute le document.

Pour l’homme politique norvégien, «le comité Nobel norvégien a toujours reconnu les connexions entre la justice sociale et la paix».

La mise en nomination du mouvement Black Lives Matter au prix Nobel de la paix n’est pas sans rappeler ceux de gagnants qui ont combattus le racisme systémique tels le Dr. Martin Luther King Jr. en 1964 ou de Nelson Mandela et Frederik Willem de Klerk en 1993.

Le 1er février est la date limite pour recevoir les mises en nomination pour les différents prix Nobel.

Les gagnants seront annoncés en octobre prochain, alors que les prix seront remis le 10 décembre 2021.

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«Black Lives Matter» en nomination pour le Nobel de la paix

Le mouvement Black Lives Matter vient d’être mis en nomination pour recevoir le prestigieux prix Nobel de la paix 2021.

Ce mouvement de révolte contre le racisme fondé en 2013 a pris de l’ampleur à la suite du décès tragique de George Floyd, tué par des policiers en service de Minneapolis en mai 2020.

L’avis de nomination présenté par le premier ministre de la Norvège, Petter Eide, indique que le mouvement mondial «combat le racisme et la violence motivée par le racisme».

«BLM demande des changements systémiques partout dans le monde, forçant les pays à agir contre le racisme dans leur société», ajoute le document.

Pour l’homme politique norvégien, «le comité Nobel norvégien a toujours reconnu les connexions entre la justice sociale et la paix».

La mise en nomination du mouvement Black Lives Matter au prix Nobel de la paix n’est pas sans rappeler ceux de gagnants qui ont combattus le racisme systémique tels le Dr. Martin Luther King Jr. en 1964 ou de Nelson Mandela et Frederik Willem de Klerk en 1993.

Le 1er février est la date limite pour recevoir les mises en nomination pour les différents prix Nobel.

Les gagnants seront annoncés en octobre prochain, alors que les prix seront remis le 10 décembre 2021.

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Super Bowl: La pandémie aura eu raison des publicités de Budweiser

Décidément, la pandémie de coronavirus chamboule de nombreuses habitudes. Pour la première fois en près de 40 ans, Budweiser n’annoncera pas ses produits lors de l’ultime match de football de l’année.

Le 7 février prochain sera présenté le Super Bowl LV entre les Buccaneers de Tampa Bay et les champions défendant les Chiefs de Kansas City. Cet événement, l’un des plus suivis à la télé dans le monde, est l’occasion pour de nombreuses marques de faire connaitre leurs produits à des centaines de millions de téléspectateurs.

Cette année, chaque publicité télévisée de 30 secondes par CBS coûtera 5,6 millions de dollars (US)

Budweiser, présent à cette grande fête depuis 37 ans sans interruption, a annoncé lundi qu’elle avait décidé de passer son tour. La marque de bière américaine a choisi d’investir ces dollars différemment.

Selon CNN, Budweiser réoriente son argent pour appuyer «des initiatives pour la vaccination contre la Covid-19». Ces nouveaux engagements de la marque américaine prendront la forme de dons et de futures campagnes publicitaires dans ce sens, a expliqué la compagnie.

La fermeture de nombreux bars et restaurants, ainsi que l’annulation de nombreux grands événements en raison de la pandémie forcent la marque à se réinventer. 

Budweiser offre déjà depuis l’an dernier un million de dollars de son temps d’antenne prévu pour annoncer ses produits à la radio et à la télévision à l’organisme Ad Council and Covid Collaborative’s Vaccine Education Initiative. Ce partenariat permet d’éduquer le public à propos de la vaccination et de son efficacité.

Budweiser n’est pas la seule multinationale à retirer ses billes du Super Bowl. Coca-Cola et Pepsi ont déjà annoncé qu’elles n’annonceraient pas leurs produits. Pepsi demeure toutefois le présentateur du spectacle de la mi-temps.

CBS aurait par ailleurs de la difficulté à vendre tous les espaces publicitaires pour le match du 7 février. Encore ici, la faute serait imputable à la pandémie qui affecte les affaires de nombreuses marques dans le monde. 

L’an dernier, toutes les publicités du Super Bowl avaient été vendues dès novembre, plus de deux mois avant la tenue de l’événement.

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Super Bowl: La pandémie aura eu raison des publicités de Budweiser

Décidément, la pandémie de coronavirus chamboule de nombreuses habitudes. Pour la première fois en près de 40 ans, Budweiser n’annoncera pas ses produits lors de l’ultime match de football de l’année.

Le 7 février prochain sera présenté le Super Bowl LV entre les Buccaneers de Tampa Bay et les champions défendant les Chiefs de Kansas City. Cet événement, l’un des plus suivis à la télé dans le monde, est l’occasion pour de nombreuses marques de faire connaitre leurs produits à des centaines de millions de téléspectateurs.

Cette année, chaque publicité télévisée de 30 secondes par CBS coûtera 5,6 millions de dollars (US)

Budweiser, présent à cette grande fête depuis 37 ans sans interruption, a annoncé lundi qu’elle avait décidé de passer son tour. La marque de bière américaine a choisi d’investir ces dollars différemment.

Selon CNN, Budweiser réoriente son argent pour appuyer «des initiatives pour la vaccination contre la Covid-19». Ces nouveaux engagements de la marque américaine prendront la forme de dons et de futures campagnes publicitaires dans ce sens, a expliqué la compagnie.

La fermeture de nombreux bars et restaurants, ainsi que l’annulation de nombreux grands événements en raison de la pandémie forcent la marque à se réinventer. 

Budweiser offre déjà depuis l’an dernier un million de dollars de son temps d’antenne prévu pour annoncer ses produits à la radio et à la télévision à l’organisme Ad Council and Covid Collaborative’s Vaccine Education Initiative. Ce partenariat permet d’éduquer le public à propos de la vaccination et de son efficacité.

Budweiser n’est pas la seule multinationale à retirer ses billes du Super Bowl. Coca-Cola et Pepsi ont déjà annoncé qu’elles n’annonceraient pas leurs produits. Pepsi demeure toutefois le présentateur du spectacle de la mi-temps.

CBS aurait par ailleurs de la difficulté à vendre tous les espaces publicitaires pour le match du 7 février. Encore ici, la faute serait imputable à la pandémie qui affecte les affaires de nombreuses marques dans le monde. 

L’an dernier, toutes les publicités du Super Bowl avaient été vendues dès novembre, plus de deux mois avant la tenue de l’événement.

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Les plus riches de la planète pourraient vacciner le monde entier

Les 10 personnes les plus riches de la planète ont fait suffisamment d’argent dans la dernière année pour être en mesure d’acheter des vaccins afin d’immuniser l’humanité contre la Covid-19.

L’organisme Oxfam vient de publier une étude qui démontre hors de tous doutes l’écart qui s’accentue entre les plus riches et les plus pauvres du monde.

Malgré la pandémie qui affecte des millions de travailleurs dans le monde, certaines personnes les plus riches de la planète ont continué à s’enrichir en 2020. Plusieurs de ces milliardaires ont même vu la valeur de leur fortune s’envoler à des sommets inégalés depuis que le monde est frappé du nouveau coronavirus.

Les 10 milliardaires les plus riches du monde ont vu leurs fortunes augmenter de 540 milliards de dollars (US) entre le 18 mars (date où les économies mondiales ont été touchées) et le 31 décembre 2020, selon l’analyse d’Oxfam basée sur les chiffres publiés par Forbes.

Cette somme serait amplement suffisante pour couvrir les coûts de production, distribution et d’injection d’un vaccin contre la Covid-19 pour la population globale du monde, qui sont évalués à 141,2 milliards de dollars (US).

Oxfam ajoute que si ces 10 milliardaires le désiraient, en utilisant seulement le nouvel argent acquis en 2020, ils pourraient empêcher toutes les personnes touchées par la pandémie de sombrer dans la pauvreté. Une telle mesure coûterait 88 milliards de dollars (US) selon l’organisme.

Oxfam a dévoilé cette étude lors du Forum économique mondial de Davos qui se tient de façon virtuelle cette année.

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Bernie Sanders profite de son buzz

La présence du sénateur Bernie Sanders à l’assermentation du nouveau président Joe Biden n’est pas passée inaperçue. Son image sur une chaise est devenue virale. Le principal intéressé a décidé de profiter de la situation pour une bonne cause.

Mercredi dernier, alors que des millions de gens suivaient à la télé l’assermentation du 46e président américain, Bernie Sanders, vêtu d’un parka vert, de mitaines et d’un masque chirurgical, écoutait stoïquement la cérémonie seul sur une estrade.

Bernie Sanders a défendu son choix vestimentaire, soulignant qu’il préférait être au chaud plutôt que d’être à la mode.

«Au Vermont, nous nous habillons chaudement. Nous en savons quelque chose sur le froid, et nous ne sommes pas trop concernés par la mode. Nous voulons nous garder au chaud, et c’est ce que j’ai fait aujourd’hui», expliquait le principal intéressé au micro de CBS.

Alors que des centaines d’adaptations de cette photo ont été diffusées sur le web par des internautes, le sénateur démocrate a décidé de profiter de ce buzz soudain.

Twitter@kaarendu

Le politicien du Vermont a décidé de vendre un chandail à son effigie au coût de 45$ (US) pour la bonne cause. En effet, 100% des profits de la vente seront remis à l’organisme Meals on Wheels Vermont, annonce-t-on.

Bernie Campaign Store

Cet organisme vient en aide à la population dépourvue de cet État du nord des États-Unis en distribuant gratuitement de la nourriture et en accompagnant ceux qui sont dans le besoin.

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Alexei Navalny révèle l’existence d’un palace appartenant à Poutine

L’ennemi du Kremlin Alexei Navalny allègue dans une vidéo devenue virale que le président russe Vladimir Poutine possède un palace de plus d’un milliard de dollars.

Publiée il y a deux jours, la vidéo a obtenu à ce jour à plus de 43 millions de visionnements.

Capture d’écran YouTube

Alexei Navalny affirme, selon la BBC, que le palace fut construit près de la ville russe de Guélendjik, sur les rives de la mer Noire, au coût de 1,35 milliard (US) avec des fonds frauduleusement obtenus auprès de milliardaires du pays, dont des magnats du pétrole.

«Ils ont construit le palace pour leur patron avec cet argent, le plus grand pot-de-vin de l’histoire», explique le dissident russe.

Selon la vidéo, le palace inclurait un casino et une patinoire sous-terrain

«Il est protégé par une clôture impénétrable, possède son propre port, sa propre sécurité, ses propres points de contrôle, même une église», poursuit le délateur.

Alexei Navalny est cet opposant du pouvoir russe qui fut empoisonné en août 2020. Rentré dans son pays mardi dernier, il fut immédiatement emprisonné par Moscou pour une période de 30 jours.

Le Kremlin a démenti les allégations de Navalny voulant que le président Poutine soit le propriétaire de ce palace hors normes.

«Ces allégations sont non fondées. C’est un non-sens», a commenté le porte-parole de Vladimir Poutine.

Des laboratoires indépendants d’Allemagne, de France et de Suède ont établi que l’agent empoisonnant qui aurait été administré l’an dernier à Alexei Navalny est du Novichok, un agent nerveux créé lors de l’époque soviétique.

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Alexei Navalny révèle l’existence d’un palace appartenant à Poutine

L’ennemi du Kremlin Alexei Navalny allègue dans une vidéo devenue virale que le président russe Vladimir Poutine possède un palace de plus d’un milliard de dollars.

Publiée il y a deux jours, la vidéo a obtenu à ce jour à plus de 43 millions de visionnements.

Capture d’écran YouTube

Alexei Navalny affirme, selon la BBC, que le palace fut construit près de la ville russe de Guélendjik, sur les rives de la mer Noire, au coût de 1,35 milliard (US) avec des fonds frauduleusement obtenus auprès de milliardaires du pays, dont des magnats du pétrole.

«Ils ont construit le palace pour leur patron avec cet argent, le plus grand pot-de-vin de l’histoire», explique le dissident russe.

Selon la vidéo, le palace inclurait un casino et une patinoire sous-terrain

«Il est protégé par une clôture impénétrable, possède son propre port, sa propre sécurité, ses propres points de contrôle, même une église», poursuit le délateur.

Alexei Navalny est cet opposant du pouvoir russe qui fut empoisonné en août 2020. Rentré dans son pays mardi dernier, il fut immédiatement emprisonné par Moscou pour une période de 30 jours.

Le Kremlin a démenti les allégations de Navalny voulant que le président Poutine soit le propriétaire de ce palace hors normes.

«Ces allégations sont non fondées. C’est un non-sens», a commenté le porte-parole de Vladimir Poutine.

Des laboratoires indépendants d’Allemagne, de France et de Suède ont établi que l’agent empoisonnant qui aurait été administré l’an dernier à Alexei Navalny est du Novichok, un agent nerveux créé lors de l’époque soviétique.

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Covid-19: Des distributrices à tests arrivent dans les villes américaines

Plusieurs grandes villes américaines s’apprêtent à installer des distributrices à tests rapides de dépistage de la Covid-19.

Les villes de New York, Los Angeles, San Francisco, Boston et Dallas offriront ce service à leurs citoyens afin de plus facilement dépister les cas de coronavirus.

La société Wellness 4 Humanity va commencer à implanter ses distributrices dès dimanche prochain dans les villes. Cette firme fournit déjà des distributrices à tests dans les aéroports Oakland International en Californie et Hartsfield-Jackson International à Atlanta en Georgie.

Les tests de dépistage de la Covid-19, approuvés par les autorités de la santé publique américaine et efficace à 99%, sont des tests de salive de type RT-PCR. Ils pourront être achetés à un coût variant entre 130 et 149 $ (US).

Les consommateurs qui se procureront ces tests devront les retourner à un laboratoire dans une enveloppe pré-affranchie pour analyse dans les 48 heures.

Wellness 4 Humanity prévoit implanter des distributrices avec une seconde génération de tests. Ceux-ci n’auront pas besoin d’être retournés pour analyse, puisqu’ils pourront eux-mêmes fournir un résultat en 15 minutes. Dans ce cas, la précision de ces tests est de 97,4%.

Les distributrices à tests de dépistage de la Covid-19 sont un outil de plus pour les États-Unis pour freiner la pandémie. Le pays est le plus touché par le nombre de cas et de décès dans le monde.

Le président désigné Joe Biden a fait de la lutte à la Covid-19 sa première priorité. Il promet que 100 millions d’Américains seront vaccinés dans les 100 premiers jours de son mandat qui débute demain.