Selon Closer, il semblerait que le fils de la reine québécoise de la chanson épouserait son amoureuse de longue date, Angelique Weckenmann et ce, très bientôt.
Les tourtereaux se seraient rencontrés en 2016 à l’aréna. Elle faisait du patinage artistique et lui du hockey, tous deux à Las Vegas. Toutefois, leur parcours a été parsemé d’embûches…
Kamala Harris, alors en tournée de campagne à Savannah, en Georgie, a répondu aux questions lors d’une entrevue télévisée, alors que nombreux étaient ceux qui attendaient avec impatience de la voir dans ce format depuis sa nomination en tant que candidate du Parti démocrate à l’élection présidentielle.
Lors de son premier entretien télévisé, Kamala Harris était accompagnée de Tim Walz, son colistier pour l’investiture du Parti démocrate, Harris a fourni davantage de détails sur les politiques qu’elle souhaite mettre en place lorsqu’elle accédera à la présidence notamment en affirmant que sa priorité absolue était de renforcer la classe moyenne.
Lors de cette entrevue de moins d’une heure avec Dana Bash, diffusée sur CNN, Kamala Harris a aussi répondu à diverses critiques la concernant.
Kamala Harris a notamment été interrogée sur ses positions fluctuantes concernant des enjeux majeurs tels que le changement climatique, l’immigration et la fracturation hydraulique (fracking).
Harris a indiqué à Dana Bash qu’elle demeurait fidèle à ses valeurs fondamentales, mais que ses expériences en tant que vice-présidente l’avaient amenée à se concentrer davantage sur la recherche de consensus.
Cet entretien a clairement montré l’évolution de Kamala Harris, qui est passée d’une candidate progressiste lors de sa campagne présidentielle de 2019 à une position plus centriste en 2024, une évolution qui s’avérera essentielle pour remporter les États clés lors de l’élection de novembre.
Kamala Harris a insisté sur l’importance des répercussions des franchissements illégaux des frontières et a affirmé que ceux qui enfreignent ces règles doivent en subir les conséquences.
Harris a d’ailleurs refusé de donner de l’importance aux propos de Trump et de ses récents commentaires raciaux, voire carrément racistes.
Harris a décrit les propos de Trump comme étant le même vieux discours usé et a demandé gentiment la question suivante.
Kamala Harris, qui roule à toute vitesse depuis le début de sa candidature, se prépare maintenant pour une journée déterminante avec le débat très attendu face à Trump, prévu pour le 10 septembre sur ABC News.
J.D. Vance, colistier de Donald Trump, a provoqué une réaction marquante lors de son discours à l’Association internationale des pompiers à Boston.
En s’adressant au syndicat des pompiers, il a été accueilli par de vives huées, un accueil particulièrement bruyant qui a été largement diffusé dans une vidéo sur les réseaux sociaux.
Avant de commencer son discours, Vance a déclaré que son audience était composée de «fans» et de «détracteurs» alors qu’il semblait surpris par l’accueil tumultueux qu’il a reçu.
La réaction à l’égard de Vance contraste fortement avec celle réservée à Tim Walz, colistier de Kamala Harris, qui s’est exprimé devant la même union la veille.
Walz a été chaleureusement applaudi tout au long de son discours, au cours duquel il a évoqué son travail en tant que gouverneur du Minnesota et son engagement en faveur des droits des pompiers et des syndicats.
Vance a ensuite vanté sa campagne ainsi que celle de Trump comme étant en faveur des travailleurs, ce qui a provoqué une réaction de la foule: «Trump et moi sommes fiers d’être le parti républicain le plus favorable aux travailleurs de l’histoire.»
Cette déclaration de J.D. Vance a particulièrement suscité de vives huées de la part de l’auditoire.
Le compte Twitter officiel de la vice-présidente Kamala Harris a d’ailleurs raillé l’accueil réservé au candidat républicain sur les réseaux sociaux.
La compétition est intense entre les deux partis, chacun cherchant à obtenir le soutien des syndicats durant la campagne électorale.
Cependant, la réponse du syndicat de l’Union des pompiers de Boston à Vance indique que Trump et son colistier ont encore du chemin à parcourir.
Michael Sparks, âgé de 47 ans et résident de Cecilia, Kentucky, a été condamné à plus de quatre ans de prison (53 mois) pour avoir été le premier émeutier à pénétrer dans le Capitole lors des événements chaotiques du 6 janvier 2021.
Loin de montrer des remords pour ses actions, Sparks a été reconnu coupable de plusieurs accusations, dont trouble à l’ordre public et interférence avec la police durant les troubles civils.
Michael Sparks faisait partie d’une foule de partisans de Trump qui a pénétré dans le Capitole par une fenêtre brisée peu après 14 heures, le 6 janvier 2021, dans une tentative d’entraver la certification officielle des résultats du collège électoral de 2020, qui avait attribué la victoire à Joe Biden.
Sparks a été motivé pour se rendre à Washington, comme plusieurs milliers de personnes, par sa participation au rassemblement «Stop the Steal» organisé par le président Donald Trump, qui s’est tenu peu avant l’heure de la certification des résultats d’élection.
Sparks, qui avait publié des messages provocateurs appelant à la guerre civile dans les jours précédant le 6 janvier, est entré dans le Capitole en portant un gilet pare-balles, avec l’intention de perturber le processus en affirmant dans ses publications «qu’il est temps de les traîner hors du Congrès.»
Avant de recevoir sa condamnation, Sparks a montré peu de remords lorsqu’il s’est adressé au juge, tout en continuant de croire aux théories conspirationnistes infondées selon lesquelles les élections présidentielles de 2020 auraient été volées.
Dans sa déclaration, il a affirmé qu’il pense toujours que nous vivons sous une tyrannie et, bien qu’il ait exprimé des regrets sur le fait que les événements de ce jour-là n’aient servi à rien, il a surtout exprimé son désespoir face à la situation actuelle du pays.
Le juge a rejeté la demande de la défense visant à réduire la peine à une année de détention à domicile, tout en exprimant des critiques sévères envers l’accusé.
De leur côté, les procureurs ont mis en avant la préparation minutieuse de Sparks et ses intentions, notamment l’achat d’un fusil et d’un gilet pare-balles dans les jours précédant l’émeute, comme preuve de sa participation délibérée.
Le juge a également souligné que Sparks semblait ne pas comprendre pleinement la gravité des événements de ce jour-là et l’ampleur de ses actes.
Alors que l’on croyait qu’il ne pouvait avoir histoire plus étrange que celle de l’ourson mort laissé au beau milieu de Central Park, à New York, une vieille histoire sur Robert F. Kennedy Jr. a récemment refait surface. Cette fois, elle a provoqué la colère des écologistes, qui demandent une enquête fédérale sur un incident bizarre où RFK Jr. aurait décapité une baleine à l’aide d’une tronçonneuse.
Une fascination pour les crânes d’animaux aurait poussé RFK Jr. à décapiter une baleine qui s’était récemment échouée sur le rivage et à attacher sa tête au toit de sa voiture pour un trajet de cinq heures jusqu’à chez lui.
Cette histoire a refait surface sur une entrevue de la fille de RFK Jr., Katleen «Kick» Kennedy, publiée par le magazine Town & Country en 2012 dans laquelle elle raconte cette étrange histoire survenue près d’une de leur résidence dans le Massachusetts.
D’après Kick, qui avait six ans à l’époque, le «jus de baleine» aurait envahi la voiture durant le trajet de 5 heures. Les enfants de RFK Jr. auraient été contraints de porter des sacs en plastique sur le visage pour échapper à la matière biologique et à l’odeur qu’il décrivait comme étant «la chose la plus désagréable sur terre».
Une enquête sur d’éventuelles violations par RFK Jr. des lois fédérales concernant les espèces sauvages a été demandée à la National Oceanic and Atmospheric Administration.
Selon les écologistes, RFK Jr. pourrait avoir enfreint la loi sur la protection des mammifères marins et la loi sur les espèces menacées, ce qui pourrait compromettre les efforts de conservation et la recherche scientifique.
La récente visite de Donald Trump au cimetière national d’Arlington est au coeur d’une controverse alors que des informations ont fait état d’une confrontation verbale et physique survenue entre le personnel du cimetière national d’Arlington et des membres de la campagne électorale de Trump.
Cet incident a eu lieu lors d’une cérémonie marquant le troisième anniversaire de l’attentat suicide qui a tué 13 militaires américains à l’aéroport de Kaboul, en Afghanistan.
Le cimetière national d’Arlington a confirmé qu’un rapport a été établi concernant des altercations survenues après que des membres de l’équipe de campagne de Trump, dans la section 60 où reposent les anciens combattants américains, ont enfreint les règles du cimetière malgré plusieurs avertissements de la part du personnel.
Les responsables d’Arlington ont informé l’équipe de Trump que seule l’équipe du cimetière était autorisée à filmer ou à prendre des photos dans la section 60 pendant la visite de Trump, qui était prévue pour une séance photo.
D’après certaines sources, lorsqu’un responsable du cimetière a tenté de faire respecter cette règle, les membres de l’équipe de Trump l’auraient agressé verbalement et physiquement.
Selon NPR, le premier média à avoir couvert l’incident, une source anonyme aurait confirmé qu’une altercation a eu lieu lorsque des membres de l’équipe de campagne de Trump ont tenté de filmer dans la section 60, une zone du cimetière où reposent des militaires décédés en Afghanistan ou en Irak. Cette section est soumise à une politique très stricte concernant l’enregistrement.
Le porte-parole de la campagne Trump, Steven Cheung, a vigoureusement nié toute altercation, déclarant qu’aucun incident physique tel que décrit n’a eu lieu. Il a affirmé que le photographe privé de la campagne de Trump avait été autorisé à entrer sur le site.
Cependant, malgré ces explications, il semble que le véritable problème réside dans le fait que certains membres de l’équipe de Trump ont pris des photos et filmé sans autorisation, et non le photographe officiel.
Cette altercation jette certainement une ombre sur ce qui devait être une journée dédiée à l’honneur des familles Gold Star de l’Abbey Gate.
Jack Smith, le procureur spécial chargé de l’affaire d’ingérence fédérale contre Donald Trump dans les procédures électorales, a présenté un nouvel acte d’accusation qui remplace celui initial, surprenant ainsi tout le monde… Trump y compris.
Ce nouvel acte d’accusation détaille les charges criminelles portées contre Donald Trump, en tenant compte des récentes clarifications de la Cour suprême sur l’immunité présidentielle.
Après que Jack Smith l’ait soumis à un nouveau grand jury, ce dernier a choisi de réintroduire les accusations contre Trump.
L’acte d’accusation révisé contre Trump a été ajusté pour se conformer aux récentes décisions de la Cour suprême sur les activités couvertes par l’immunité présidentielle, ce qui a entraîné des modifications significatives tant au niveau des preuves que des chefs d’accusation.
Cette révision des charges démontre les efforts du procureur pour mettre en œuvre et se conformer aux décisions et instructions de la Cour suprême concernant l’immunité présidentielle que Trump pourrait invoquer pour des actions entreprises durant son mandat.
Selon le ministère de la Justice, l’acte d’accusation révisé de 36 pages (autrefois 45 pages), qui retire les accusations susceptibles de bénéficier de l’immunité présidentielle pour Trump, a été présenté à un Grand Jury entièrement nouveau qui n’avait pas encore examiné de preuves dans cette affaire.
Rappelons que le mois dernier, la Cour suprême a décidé que les présidents en fonction, dont et surtout Trump on le comprend, bénéficiait de l’immunité pour les actes accomplis pendant un mandat présidentiel.
Cette décision a conduit Jack Smith à éliminer toutes les accusations relatives à des actes que l’on considérait comme relevant des fonctions officielles de Trump. Le nouvel acte d’accusation ne comporte plus d’allégations concernant les interactions de Trump avec le ministère de la Justice, un aspect crucial de l’acte d’accusation initial.
Les accusations relatives à l’inaction de Trump lors de l’assaut du Capitole en janvier ont été abandonnées, car ces actions pourraient relever de l’immunité présidentielle. Les accusations abandonnées incluent également le fait que Trump aurait refusé d’envoyer un message clair pour stopper les émeutiers du 6 janvier 2021, qu’il aurait ignoré les appels de ses conseillers et persisté dans son opposition à la certification des votes électoraux.
Dans l’acte d’accusation révisé, Jack Smith précise que Trump n’avait «aucune responsabilité officielle» concernant la certification des résultats électoraux par un État et qu’il agissait «non pas en tant que président, mais en tant que candidat». Cette distinction cherche à écarter les protections juridiques dont Trump aurait pu bénéficier en raison de son statut présidentiel.
Les frères Kelce, Travis et Jason, ne passent clairement pas inaperçus ces dernières années. Le populaire duo de footballeurs, avec Jason maintenant à la retraite, connaît un véritable succès avec le podcastNew Heights.
Un très populaire balado… et ses têtes d’affiche ont de quoi célébrer, puisqu’elles viennent de signer un contrat de 100 millions de dollars sur trois ans avec Wondery, qui se trouve à être une filiale d’Amazon.
Cela implique évidemment que New Heights sera désormais distribué et promu par la multinationale bien connue de tous.
Un pas de plus vers la victoire, cette fois, dans le monde du web!
Une somme importante pour les frères Kelce, qui ne cessent de faire parler d’eux…
Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis et candidate démocrate à la présidence, a opéré un virage politique majeur en annonçant son soutien à la poursuite de la construction du mur frontalier.
Oui LE fameux mur!
Elle s’engage notamment à investir des centaines de millions de dollars dans le projet le long de la frontière avec le Mexique.
Alors que la Vice-Présidente présente son programme et ses politiques en vue des élections de novembre, un changement politique notable suscite des réactions: elle a annoncé son intention d’investir massivement dans la construction du mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, un projet autrefois associé à Donald Trump.
À la fin de la semaine de la convention démocrate, Kamala Harris a annoncé dans son discours qu’elle souhaitait renforcer la sécurité aux frontières et il semble qu’elle veuille livrer la marchandise avec cette nouvelle promesse électorale et, à la surprise de tous, y compris de la majorité des républicains.
Rappelons que dans son discours d’acceptation, elle avait également annoncé qu’elle signerait un projet de loi bipartisan sur la sécurité des frontières. Ce projet de loi, initialement proposé par les républicains à la demande de Trump, a néanmoins été soutenu par la majorité des acteurs clés du dossier.
Le changement de position de la vice-présidente, alors qu’elle dévoile ses propres positions politiques, vise à envoyer un message clair aux Américains: elle adoptera une approche plus agressive en matière de sécurité aux frontières, ce qui rassurera probablement les électeurs qui pourraient être préoccupés par le manque de fermeté des démocrates sur la question.
Teak Brockbank, un résident du Colorado de 45 ans, a été accusé d’avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de responsables électoraux du Colorado et de l’Arizona, de juges et d’agents des forces de l’ordre.
Brockbank a accusé les fonctionnaires du Colorado et de l’Arizona de «trahison», a appelé à leur mort et a spécifiquement ciblé les juges qui ont statué contre Donald Trump lors des affaires électorales.
Brockbank est accusé d’avoir publié des messages violents sur les médias sociaux en 2021 et en 2022 qui illustrent la rhétorique violente de Brockbank contre un juge.
Selon le FBI, l’individu, aurait exprimé par texto ou sur les réseaux sociaux incluant deux sites de médias sociaux de droite (Rumble et Gab), utilisant le pseudonyme Teakty4u, son intention de s’en prendre à un juge ayant statué contre Donald Trump, en déclarant qu’il voulait utiliser «son fusil» pour «l’envoyer au Créateur» et qu’il se sentirait «justifié» dans cette démarche.
Il aurait plus tard informé son beau-père qu’il avait ajouté quatre autres juges à sa liste, après que ceux-ci aient retiré le nom de Trump des bulletins de vote du Colorado pour l’élection 2024, une décision qui a ensuite été annulée par la Cour suprême.
Alors que les préoccupations grandissent concernant la sécurité des travailleurs lors des prochaines élections, Brockbank aurait aussi incité d’autres personnes à établir «leurs propres lois» pour combattre ce qu’il qualifie de «fraude électorale au Colorado», en affirmant sur les réseaux sociaux que le peuple doit «prendre les choses en main».
Toujours selon les documents du FBI, Brockbank aurait également déclaré que selon lui, il serait «tout à fait justifié», de tirer sur des agents fédéraux s’ils arrivaient chez lui.
Selon le FBI, l’homme qui a fait également de nombreuses références aux slogans associés au mouvement QAnon dans ses messages, est également accusé de possession illégale d’armes à feu.
Il risque une peine maximale de cinq ans d’emprisonnement.