D’ailleurs, Dakota n’a pas suivi le chanteur dans la partie européenne de sa tournée avec son band, sauf pour un spectacle à Glastonbury, en juin.
Elle aurait également été aperçue sans sa bague de fiançailles au début du mois d’août, ce qui laissait présager déjà à ce moment-là qu’ils n’étaient probablement plus ensemble à ce moment.
Un jury composé de 12 personnes au Colorado a reconnu Tina Peters, une fonctionnaire électorale républicaine, coupable de sept chefs d’accusation criminels, y compris celui de tentative d’influence sur un fonctionnaire public.
Cette affaire est directement associée aux théories du complot sur les élections de 2020, promues par Mike Lindell concernant les «Dominion Voting Systems».
Selon un communiqué de Jena Griswold, la secrétaire d’État du Colorado, Tina Peters a délibérément compromis son propre matériel électoral dans le but de soutenir les fausses allégations de Trump. Griswold a ajouté que le verdict du jury était sans équivoque: aucun effort visant à compromettre la sécurité de nos élections ne sera toléré.
Au terme d’un procès de près de deux semaines, Peters a été reconnue coupable de trois délits, incluant la tentative d’influence sur un fonctionnaire et l’association de malfaiteurs pour une imitation criminelle. Les infractions comprennent une faute officielle grave, le refus d’obéir à un ordre du secrétaire d’État et un manquement aux devoirs. Toutefois, elle a été acquittée des chefs d’accusation d’usurpation d’identité criminelle et de conspiration pour usurper une identité.
Il est important de noter que Tina Peters a plaidé non coupable après son inculpation en mars 2022. Elle est accusée d’avoir facilité l’accès non autorisé à des fichiers et des mots de passe des systèmes de vote, lesquels ont par la suite été divulgués en ligne, mettant sérieusement en péril la sécurité des systèmes électoraux.
Au cours du procès, l’accusation a affirmé que Peters avait utilisé le badge de sécurité d’un employé pour faciliter l’accès à une personne liée à Mike Lindell. Avec cette action elle avait permis à quelqu’un, se faisant passer pour un employé, de manipuler un disque dur du système de vote Dominion Voting Systems.
Les procureurs affirment que Peters était consciente de la gravité de ses actions et avait adopté des mesures discrètes, telles que l’extinction des caméras de surveillance et l’utilisation de téléphones portables jetables. Elle communiquait également via Signal, une application de messagerie cryptée, et avait exprimé des craintes d’être emprisonnée lorsqu’elle a appris l’ouverture d’une enquête.
Dans une déclaration publiée sur les réseaux sociaux après le verdict, Peters a continué à nier sa culpabilité, accusant Dominion Voting Systems et les procureurs de l’État de violer les droits des électeurs. Elle a réaffirmé son engagement à révéler la «vérité» et a promis de poursuivre sa résistance.
Peters pourrait être condamnée à plus de 20 ans de prison lors de sa sentence prévue pour le 3 octobre prochain.
Le président Biden, à l’approche de la fin de son mandat, et de sa carrière politique, s’investit pleinement dans un projet qui lui tient à cœur: la lutte contre le cancer.
Joe Biden et la première dame Jill Biden se sont rendus à la Nouvelle-Orléans pour annoncer l’octroi de subventions totalisant 150 millions de dollars destinées à l’avancement de la recherche sur le cancer.
Ce soutien financier souligne leur engagement profond à révolutionner les traitements contre le cancer et à diminuer la mortalité.
Cette cause est particulièrement chère au président, qui a perdu son fils Beau en 2015 des suites d’un cancer du cerveau, un événement qui a profondément marqué le président ainsi que la première dame.
Ces subventions de plusieurs millions de dollars pour les traitements avancés contre le cancer, visent à dynamiser la recherche à travers le pays, y compris à l’Université de Tulane, où l’annonce a été faite.
Biden s’est investi dans l’initiative nommé «Cancer Moonshot» motivé non seulement par sa tragédie familiale personnelle mais aussi par un sens du devoir public, sachant que le cancer est la deuxième cause de décès aux États-Unis. Il espère ainsi voir réduire de moitié les décès dus au cancer dans les vingt-cinq prochaines années.
Joe Biden souhaite que l’engagement dans la luttre contre le cancer aille bien au-delà de son mandat, soulignant l’importance de continuer à soutenir les progrès dans le traitement et la recherche contre le cancer.
Le juge Juan Merchan a, pour la troisième fois, refusé de se récuser du dossier pénal de Donald Trump à New York, un des dossiers judiciaires majeurs concernant l’ancien président. Trump, malgré ses récentes allégations accusant le juge d’avoir des liens avec Kamala Harris, sa rivale politique, n’a pas réussi à obtenir sa récusation.
Dans sa décision de mardi, le juge Merchan a une fois de plus rejeté les arguments de Donald Trump, les qualifiant de «vieilles allégations infondées».
Le juge Merchan a déclaré que l’avocat n’avait fait que répéter des arguments qui ont été rejetés par la Cour et d’autres tribunaux.
Le juge a aussi mentionné que la défense recourait à des allégations précédemment réfutées.
Merchan a également été particulièrement critique envers Todd Blanche, l’avocat de Trump et ses collègues, en soulignant l’importance du professionnalisme.
Trump, par l’intermédiaire de ses avocats, a soutenu qu’il existait un conflit d’intérêts impliquant le juge puisque la vice-présidente Kamala Harris, candidate démocrate à l’élection présidentielle et rivale de Trump, ainsi que la fille de Merchan, ont toutes deux participé à des campagnes politiques.
Le procureur au dossier, Alvin Bragg, et le juge Merchan ont tous deux jugé cet argument frivole et affirme que Trump n’avait pas identifié de faits nouveaux ou de changement de loi justifiant un résultat différent.
Trump tente d’échapper à sa condamnation fixée au 18 septembre, suite à sa reconnaissance de culpabilité par un jury le 30 mai pour 34 chefs d’accusation de falsification de documents commerciaux de premier degré.
Trump conserve cependant une lueur d’espoir suite à une récente décision de la Cour suprême accordant une vaste immunité aux présidents.
Le juge Merchan doit encore statuer sur une demande de la défense cherchant à annuler les verdicts de culpabilité de Trump dans cette affaire.
Récemment, la campagne de Donald Trump s’est déplacée au Montana, au Wyoming et au Colorado en utilisant l’avion qui appartenait à Jeffrey Epstein, le financier discrédité et condamné pour des crimes sexuels graves envers des mineures, maintenant décédé.
Trump a rencontré des problèmes mécaniques avec son avion Trump Force One, forçant sa campagne à chercher une alternative pour ses récents déplacements.
Ils se sont tournés vers Private Jet Services Group, un fournisseur régulièrement utilisé par Trump, qui leur a fourni un Gulfstream G-550… des utilisateurs de réseaux sociaux ont identifié un lien entre le numéro de série du Gulfstream Jet, N550GP, et Jeffrey Epstein, en utilisant les informations du registre public de l’Administration fédérale de l’aviation.
Jeffrey Epstein aurait utilisé cet avion pour la dernière fois en 2019, lors de son arrestation le 6 juillet 2019 par le FBI à l’aéroport de Teterboro, dans le New Jersey, sous des accusations de trafic sexuel.
Il faut précisé que le Gulfstream G-550 n’est pas l’infame Lolita Express d’Epstein, qui aurait été utilisé par Epstein pour transporter des filles de moins de 18 ans vers diverses destinations et qui était au centre des accusations d’Epstein pour trafic sexuel, mais un autre avion personnelle de l’infame milliardaire.
Après ces révélations, un responsable de la campagne a indiqué que l’équipe de Trump ignorait qu’Epstein était l’ancien propriétaire de l’avion et n’aurait pris connaissance de son passé qu’après avoir été contactée par des journalistes pour des commentaires.
L’avion aurait depuis changé de propriétaire à deux reprises.
Rappelons que cette coïncidence vient à nouveau raviver le souvenir de les liens passés visiblement étroits entre Epstein et Trump, en tout cas certainement plus étroits que l’ancien président veut bien l’admettre.
Trump avait même fait l’éloge d’Epstein par le passé, le qualifiant de «type formidable», car ils habitaient à proximité l’un de l’autre en Floride.
Selon le Washington Post, les deux hommes fréquentaient les mêmes soirées à Mar-a-Lago et à Manhattan, avant qu’une dispute concernant une propriété à Palm Beach ne refroidisse leur relation.
Disney soutient que l’acceptation des conditions d’abonnement à Disney+ interdit de les poursuivre en justice, pour n’importe quelle autre raison dans le futur, une affirmation qu’ils ont utilisée dans leur défense contre une plainte déposée par le mari d’une médecin de l’Université de New York, décédée suite à une réaction allergique lors d’un repas au Raglan Road Irish Pub & Restaurant à Disney Springs.
Jeffrey Piccolo a intenté un procès à la suite du décès de sa femme, Kanokporn Tangsuan, en octobre 2023. Elle est morte après une réaction fatale aux aliments servis au Raglan Road Irish Pub & Restaurant à Disney Springs, un établissement que le couple pensait sûr pour éviter les réactions allergiques.
Ils avaient sélectionné ce restaurant de Disney Springs, croyant que Disney avait pris les précautions nécessaires pour prévenir la contamination croisée. Malgré plusieurs signalements au personnel des allergies sévères de sa femme aux produits laitiers et aux noix, ils ont reçu des assurances erronées que les plats commandés seraient sécuritaires.
Piccolo attribue la mort de sa femme à une formation inadéquate du personnel de Disney concernant les allergies alimentaires. Peu après avoir quitté le restaurant, Tangsuan a souffert de graves problèmes respiratoires. Un Epipen lui a été administré immédiatement, mais elle a malheureusement succombé à ses symptômes à l’hôpital. Son décès a été causé par une anaphylaxie due à une forte présence de produits laitiers selon la poursuite.
Il affirme également que Disney, le Raglan Road Irish Pub et son personnel ont fait preuve de négligence. Le serveur du restaurant avait confirmé au chef que la nourriture était exempte d’allergènes, mais ce n’était pas le cas.
Disney a avancé une défense inattendue, affirmant que les conditions de service de Disney+, auxquelles Piccolo a souscrit lors de son essai gratuit en 2019 et lors de l’achat de billets pour Epcot en 2023 via «My Disney Experience», incluent une clause couvrant tous les litiges avec les entités affiliées à Disney, y compris Walt Disney Parks and Resorts. Selon Disney, ces conditions incluent également une clause d’arbitrage stipulant que l’inscription à un service de streaming équivaut à renoncer au droit à un procès devant jury en cas de litige.
Selon l’avocat de Piccolo, c’est la succession de Tangsuan qui a intenté ce procès, et non Piccolo lui-même.
Il soutient que Disney a renoncé à son droit à l’arbitrage en répondant à l’action en justice sans invoquer la convention d’arbitrage.
Cette poursuite révèle certainement l’impact préoccupant et significatif que les entreprises peuvent avoir via leurs contrats de services numériques.
Lors d’une conférence de presse le 15 août, des enquêteurs ont révélé que cinq personnes avaient été arrêtées en lien avec le décès de Matthew Perry, star de la série Friends, attribué aux effets aigus de la kétamine.
Parmi les personnes arrêtées lors d’un raid policier d’envergure, on compte deux médecins.
Depuis le tragique décès de l’acteur, la DEA et la police de Los Angeles ont enquêté sur la possible origine de la kétamine liée à sa mort.
Il semble que ces mois d’investigations aient finalement abouti, avec l’annonce inattendue de plusieurs arrestations dans ce dossier qui avait suscité une grande attention médiatique.
Rappelons que Matthew Perry a été retrouvé inconscient dans sa résidence de Los Angeles le 28 octobre 2023, et que sa mort prématurée a été attribuée aux effets aigus de la kétamine.
L’autopsie a révélé que l’acteur avait des niveaux élevés de kétamine dans son système, équivalents à ceux administrés lors d’une anesthésie générale. Cela a provoqué une perte de conscience, entraînant l’accident de noyade de Perry.
Selon les détails confirmés lors de la conférence de presse, les deux médecins auraient failli à leur devoir de protéger leur patient en lui fournissant de la kétamine, susbtance à laquelle il était fortement dépendant.
D’après les informations de l’enquête, les médecins Jasveen Sangha et Salvador Plasencia, arrêtés dans cette affaire, ont échangé des textos au sujet de Matthew Perry, se demandant combien «ce moron» serait prêt à payer pour de la kétamine.
La peine la plus sévère dans cette affaire peut atteindre jusqu’à 120 ans de prison.
Cette nouvelle apportera sans doute un soulagement à la famille, aux proches et aux fans de l’acteur.
Une telle sentence offrirait sans doute un soulagement aussi aux personnes ayant souffert, de près ou de loin, des ravages causés par une addiction grave aux médicaments sur ordonnance.
L’affiche de la nouvelle comédie romantique We Live in Time mettant en vedette Florence Pugh et Andrew Garfield attire l’attention et prend la planète meme d’assaut… pour une raison pour le moins surprenante!
Bien que l’affiche mette en scène les stars du cinéma Florence Pugh et Andrew Garfield en train de s’amuser sur un carrousel, c’est en réalité la tête du cheval à leurs côtés qui a attiré l’attention sur les réseaux sociaux, suscitant un véritable buzz!
L’expression hilarante du cheval est devenue virale, et sa tête a rapidement fait son apparition dans une série de photomontages de plus en plus amusants, allant de scènes de The Shining au cheval de Zelda, en passant par Scooby-Doo et finalement de l’affiche du film Alien.
Chacun semble s’être beaucoup amusé en y ajoutant sa propre touche humoristique.
C’est indéniablement aussi un coup de publicité inédit pour la comédie romantique, dont la sortie est prévue pour le 1er janvier 2025.
La récente conversation entre Elon Musk et Donald Trump sur le réseau social X, présentée par Trump comme un événement historique, s’est révélée être un désastre complet pour la campagne électorale de l’ancien président.
Tandis qu’Elon Musk invoquait de façon suspecte «une attaque DDoS» contre X pour justifier un retard de plus de 45 minutes par rapport à l’horaire prévu, le discours incohérent de Trump, ponctué de graves problèmes d’élocution, ses commentaires déplacés sur la beauté de Kamala Harris, et ses affirmations nébuleuses sur une fuite éventuelle au Venezuela en cas de défaite électorale, ont contribué à l’échec monumental de cette entrevue, exacerbant le désordre d’une campagne déjà en crise pour l’ancien président.
On pourrait penser que la campagne de Donald Trump ne pouvait pas être plus en difficulté après le retrait de Joe Biden et l’ascension fulgurante de Kamala Harris, sa nouvelle adversaire.
Cependant, l’entretien entre Trump et Musk sur X lundi soir, initialement présenté comme un point fort pour sa campagne de réélection, s’est révélé être un désastre supplémentaire pour l’ancien président.
L’événement de lundi soir avait été annoncé comme une opportunité pour Trump de discuter de sujets cruciaux devant un vaste auditoire en ligne. Toutefois, l’expérience s’est transformée en un véritable cauchemar, tant sur le plan technique, évoquant le lancement raté de la campagne présidentielle du gouverneur de Floride Ron DeSantis sur cette même plateforme, que sur celui de l’entrevue elle-même, durant laquelle Trump semblait physiquement peiner à s’exprimer normalement.
Dès le départ, le livestream sur X a été marqué par d’importants problèmes techniques, empêchant de nombreux utilisateurs d’accéder à l’entretien pendant plus de 45 minutes.
Ce chaos a rapidement été moqué et critiqué sur les réseaux sociaux, suscitant colère et frustration. Elon Musk a attribué ces dysfonctionnements à «une cyberattaque DDoS» ciblant la plateforme.
Toutefois, cette explication a été accueillie avec scepticisme par beaucoup, qui ont souligné qu’une telle attaque aurait probablement eu des répercussions sur l’ensemble de la plateforme X, et pas seulement sur le livestream.
Une fois les «problèmes techniques» résolus, l’entrevue entre les deux milliardaires a commencé. Trump a rencontré de sérieuses difficultés d’élocution, alors qu’il discutait de son expérience sur sa tentative d’assasination et de ses sujets habituels. Ses problèmes de communication ont conduit certains auditeurs à le comparer à «Daffy Duck».
D’autres ont mentionné qu’il semblait parler sans son dentier, et beaucoup se sont interrogés s’il était sous influence de drogues. Certains ont même speculé si cela pouvait être la cause des retards techniques au début du livestream.
Par la suite, Trump a formulé une remarque étrange en évoquant la beauté de Kamala Harris sur la couverture du TIME, en la comparant à celle de son épouse, l’ancienne première dame Melania Trump.
«J’ai vu une photo dans le magazine TIME aujourd’hui. Elle ressemble à la plus belle actrice qui ait jamais vécu. En fait, elle ressemblait beaucoup à notre grande première dame, Melania», a-t-il dit à Musk, avant d’ajouter que finalement elle ne lui ressemblait pas mais qu’elle était évidemment une belle femme, et qu’il allait en rester là dans ses commentaires.
Au cours de cette étrange conversation plutôt à sens unique avec Elon Musk, l’ancien président a également déclaré vouloir déménager au Venezuela s’il perdait les élections, arguant que le Venezuela serait beaucoup plus sûr que les États-Unis.
Il a insisté auprès de Musk, affirmant que la prochaine fois qu’ils se rencontreraient, ce serait au Venezuela.
Manifestement, ce n’est pas un bon moment d’histoire pour les deux hommes.
Grok, le chatbot «intelligent» conçu pour le réseau social X d’Elon Musk, a relayé des informations incorrectes concernant l’éligibilité de la vice-présidente Kamala Harris à se présenter aux élections de 2024. Après la propagation de ces informations erronées sur la plateforme, cinq secrétaires d’État ont adressé une lettre à Elon Musk lui demandant de reprogrammer immédiatement Grok pour rectifier ces informations inexactes.
Grok aurait communiqué aux utilisateurs de X que les délais de dépôt de candidature aux élections présidentielles avaient expiré dans neuf états, suggérant ainsi que les nouveaux prétendants à la présidence ne pouvaient pas s’inscrire en Alabama, en Indiana, au Michigan, au Minnesota, au Nouveau-Mexique, en Ohio, en Pennsylvanie, au Texas et dans l’état de Washington.
Ces déclarations sont incorrectes, et la vice-présidente Kamala Harris, comme toute autre personne, peut encore se présenter aux élections dans ces états.
Le secrétaire d’État du Minnesota, Steve Simon, a mis en évidence l’impact étendu de la diffusion de ces informations erronées. Il a exprimé une vive préoccupation concernant les faussetés émises par Grok sur la plateforme X. Simon a souligné l’urgence pour Elon Musk d’agir rapidement afin de rectifier les informations inexactes.
Dans la lettre adressée à Musk, Steve Simon, rejoint par les secrétaires d’État du Michigan, du Nouveau-Mexique, de Pennsylvanie et de Washington, a exprimé sa préoccupation face à la désinformation diffusée, soulignant l’importance de la traiter rapidement.
Selon Simon, X aurait réagi avec indifférence à ces préoccupations.
En vigueur depuis novembre 2023, Grok a été décrit comme une intelligence artificielle rebelle, conçue pour répondre à des questions non conventionnelles. Cet incident récent met en lumière des préoccupations sérieuses concernant l’engagement de la plateforme envers l’exactitude et la fiabilité de l’information qui y est diffusée.
Ces erreurs sur l’éligibilité électorale et les délais de candidature montrent une faille potentielle dans le système, questionnant la capacité de l’IA à fournir des informations fiables et vérifiées, surtout dans des domaines aussi sensibles que la politique.