Catégorie : Sport

Le capitaine des Canadiens de Montréal Nick Suzuki et ses acolytes ont visité les enfants malades de l’Hôpital de Montréal, du CHU Sainte-Justine et de l’Hôpital Shriners, jeudi (8 décembre).

À l’aube du temps des Fêtes, c’est une tradition depuis plus de 50 ans, soit la visite des joueurs du Tricolore dans les hôpitaux. C’est d’ailleurs la 56e édition cette année pour cette magnifique tradition de la période des réjouissances.

Rappelons que les Canadiens renouaient avec cette tradition cette année, alors que c’est la première fois depuis 2019 que les joueurs se présentaient devant les enfants afin de soutirer un sourire.

Évidemment, Nick Suzuki et Cole Caufield ont été les favoris des enfants. D’ailleurs, Caufield est d’avis que les joueurs devraient faire ce genre d’activités plus régulièrement.

À noter que Sean Monahan était présent avec sa botte orthopédique, tout comme Mike Hoffman, Jonathan Drouin, David Savard et Carey Price, qui portait fièrement son chapeau de cowboy.

Bravo!

Pour faire des dons à l’un de ces trois hôpitaux, voici quelques liens, soit pour le Children’s de Montréal, pour la Fondation du CHU Ste-Justine ou encore pour le Shriners.

Lors du match de basketball universitaire féminin de lundi soir qui opposait TCU à George Washington, une bagarre sauvage s’est déclenchée, amenant pas moins de huit expulsions!

L’action se déroulait à l’aréna Schollmaier de Fort Worth au Texas, quand une ailière de TCU, Bella Cravens, a perdu les boules à cause de la meneuse de GW, Essence Brown. Cravens a commencé à tirer les cheveux de son adversaire et de lui prendre le ballon, avant que ça crée l’explosion générale.

Brown a réagi vivement et en quelques secondes, les partisans assistaient à une bagarre royale.

On peut voir à travers les images, une pluie de coups de poing de part et d’autre, et une joueuse adverse qui a fini par pousser Brown par derrière…

L’entraîneur en chef de TCU était d’ailleurs très mal à l’aise face à une telle scène:

«Nous ne voulons jamais faire partie de quelque chose comme ça.»

Sur le coup, les arbitres ont fait un excellent travail.

Le restant appartient à la ligue, qui devra fort probablement sanctionner davantage quelques joueuses.

Pour celles et ceux qui l’ont oublié, rappelons que les fans qui se retrouvent à la Coupe du Monde au Qatar peuvent louer une chambre, dans un conteneur, dans le village des fans.

Ces conteneurs se retrouvent sur un terrain conçu à cet effet, et disons que ce n’est pas le grand luxe à tous les niveaux.

L’expérience client des amateurs qui ont opté pour cette avenue n’est pas très reluisante, selon ce qui circule en provenance du Qatar.

À l’intérieur de chaque conteneur, au coût de 200 dollars US, on retrouve deux lits, une petite salle de bain et surtout une chaleur insupportable.

Plusieurs histoires désastreuses ont été rapportées depuis une semaine…

Le village des conteneurs (Free Zone) se situe à 15 minutes de la ville de Doha, si vous empruntez le métro. Puis, après la traversée d’un grand stationnement, on débarque au village, qui est décoré de conteneurs aux couleurs variées.

Au premier regard, selon un rapport du Journal de Montréal, c’est très propre, mais les longues marches pour atteindre sa chambre en dérangent plus d’un, dont deux Canadiens qui séjournent là-bas.

En plus de ça, puisque le village se retrouve en plein centre du désert, les espaces à l’ombre sont introuvables.

Outre cette chaleur, certaines personnes ont vécu l’horreur avec des toilettes brisées, causant des dégâts d’eau, sans omettre le manque d’eau pour se laver.

Mais le pire, malgré les nombreuses options pour la nourriture et une pharmacie directement sur place, le temps d’attente pour obtenir la clé de son logement est dérisoire. Certains ont même abandonné et quitté les lieux.

Soulignons que les employés qui œuvrent au village des conteneurs indiquent aux gens d’aller séjourner ailleurs, ce qui en dit beaucoup sur la situation à la Free Zone.

Voici une tournée de ce village en question.

Après son récent départ du Manchester United, Cristiano Ronaldo a reçu une offre monstrueuse de 173 millions de livres (279M$ canadiens) par an en provenance du club saoudien d’Al Nassr.

Cette proposition offre la possibilité au nouvel agent libre de devenir le sportif le mieux rémunéré de l’histoire du sport.

Par contre, selon des informations livrées par SunSport, Ronaldo aurait décliné cette proposition puisqu’il souhaite toujours évoluer au sein de la Ligue des champions. Il aurait donc craché sur cette montagne de cash!

Ronaldo a d’ailleurs révélé son refus de rejoindre une équipe de l’Arabie Saoudite, qui lui offrait 3 millions de livres par semaine, l’été dernier. On peut donc certifier qu’il n’y a pas que l’argent qui motive la star de 37 ans.

L’Inter Miami, un club de la MLS qui appartient à David Beckham, souhaiterait également embaucher Ronaldo. On sait que la MLS est une ligue qui accueille des joueurs de cette trempe une fois que leur carrière en Europe est ralentie en raison du facteur «âge».

Peu importe. Pour l’instant, la priorité de Cristiano Ronaldo était de participer à la Coupe du Monde de la FIFA au Qatar avec le Portugal.

Lors des compétitions internationales, les fanatiques du Royaume-Uni portent un déguisement de chevalier croisé, mais au Qatar, ce déguisement est désormais interdit.

S’il a été interdit par les organisateurs, c’est que ceux-ci jugent que c’est une insulte pour les populations locales musulmanes. Si jamais un amateur se présente en chevalier, il sera automatiquement expulsé du stade.

Ce n’est pas la première fois que ce costume fait jaser, puisqu’à l’Euro de 2016, celui-ci a été également dénoncé.

Ces uniformes, qui sont décorés d’épées et de croix, sont offensants à cause du chapitre historique des croisés…

Un chapitre qui s’est passé pendant la conquête de Jérusalem de 1035 à 1291. Les chevaliers se sont donc présentés avec cette tenue métallisée pour envahir le village, violer et tuer les musulmans qui s’y retrouvaient, pour ensuite occuper les terres.

Disons que cette interdiction est plus logique que celle du refus de vendre de la bière dans les stades…