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Blake Lively : « Les voix des femmes sont plus entendues »

Si Blake Lively n’a pas peur de verbaliser ses observations et revendications en matière de droits et d’égalité des femmes, elle souhaite aussi prendre le temps de reconnaître les avancées effectuées au cours des dernières années en la matière.

Cela n’empêche tout de même pas la star de souhaiter voir les choses s’améliorer encore davantage.

« On a besoin de plus… je pense qu’on a plusieurs patronnes et les voix des femmes sont plus entendues maintenant et d’une plus grosse manière qu’il y a quelques années, ce qui est super », estime Blake Lively lorsque questionnée lors d’un entretien avec talkRADIO.

L’actrice effectue la promotion de son film A Simple Favor aux côtés d’une autre voix féminine forte à Hollywood; Anna Kendrick.

Blake Lively sera aussi d’au moins deux autres projets en 2019, soit The Rhythm Section et The Husband’s Secret.

Crédit photo : BANG/BIG

 

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Le pire cauchemar de Drew Barrymore

Si Drew Barrymore continue de « prendre un verre » malgré ses combats antérieurs avec la dépendance à la drogue, l’actrice de maintenant 43 ans n’est pas prête de retrouver l’un de ses anciens démons, la cocaïne, qu’elle décrit désormais comme son « pire cauchemar » lorsque questionnée sur le sujet par Norm MacDonald sur Netflix.

« Ça fait très longtemps, mais non. Rien ne me ferait plus avoir une crise de panique ou ne serait un plus gros cauchemar. Je bois et j’apprécie la vie (…) ce n’est pas comme si j’étais cette militante de la sobriété (…) mais ça (la cocaïne), c’est comme mon pire cauchemar en ce moment », explique Drew Barrymore.

L’iconique star depuis quelques décennies maintenant estime cependant s’en être bien sortie malgré les événements de sa vie et sa relation avec sa mère, notamment, et se dit reconnaissante d’avoir pu « régler tout ça » à un jeune âge, elle qui a dû faire face à de sérieuses dépendances dès l’âge de 14 ans.

Crédit photo : BANG/BIG/WENN

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Jamie Lee Curtis : « Halloween est un film sur les traumatismes »

Le plus récent épisode de la saga Halloween surprend bien des critiques, ce qui enchante bien sûr les fans au passage, mais la pierre angulaire de la franchise depuis ses débuts, Jamie Lee Curtis, croit que la nouvelle mouture du film s’attarde davantage aux conséquences des traumatismes et de la violence faite aux femmes.

« C’est un film sur les traumatismes. C’est un film à propos de ce qui arrive à quelqu’un de 17 ans qui subit cet horrible traumatisme, et qui n’a pas d’aide. C’est une femme qui a transporté pour 40 ans, sa vie entière d’adulte, ce traumatisme. Et comme on voit dans le monde aujourd’hui, toutes ces femmes, principalement des femmes, qui ont été traumatisées de toutes sortes de manières, de la violence physique, de la violence émotionnelle, de la violence sexuelle et, dans le cas de Laurie (Strode, son personnage), de la violence d’une attaque au couteau… toutes ces femmes vivent un moment où elles n’acceptent plus que ce soit le narratif (de leurs vies) », explique avec beaucoup de lucidité Jamie Lee Curtis en entrevue avec Empire.

Voilà qui ajoute à l’intérêt déjà très grand pour le film réalisé par David Gordon Green.

La sortie d’Halloween est prévue pour le 19 octobre 2018.

Crédit photo : BANG/BIG

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Anna Faris : un lien fort avec son fils grâce à la cuisine

Si Anna Faris est bien au fait des bienfaits de cuisiner en famille, et qu’elle utilise cette technique pour se rapprocher de son fils Jack, c’est qu’elle a eu le privilège de vivre l’expérience avec sa propre mère.

La star, qui partage la garde de son garçon de maintenant six ans avec son ex Chris Pratt, peut donc compter sur la cuisine pour garder un lien fort malgré les tempêtes familiales et les aléas de la vie.

« J’ai commencé à cuisiner avec Jack à un très jeune âge, et il aime ça. C’est une activité que l’on peut faire ensemble qui me fait me sentir très proche de lui. J’ai aussi remarqué que quand il aide à cuisiner un truc, il le mange (…) Le temps en famille est juste si important », explique Anna Faris à Us Weekly.

Les choses semblent donc bien se passer pour la star de 41 ans, à la suite de sa séparation avec Chris Pratt confirmée à l’été 2017 après huit ans de mariage.

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Nicolas Cage dérangé par les mèmes et le « Cage Rage »

Si vous vous demandiez comment Nicolas Cage apprécie le fait d’être l’un des acteurs les plus populaires chez les utilisateurs de mèmes en ligne, sachez qu’il commence en fait à en avoir un peu marre.

Nicolas Cage ne semble pas dérangé sur le plan personnel outre mesure par la chose, mais ce qui le dérange davantage est l’impact que ce genre de buzz hors contexte pourrait avoir sur un de ses films, en l’occurrence en ce qui concerne l’un des récents phénomènes le mettant en vedette, soit le « Cage Rage », en lien avec son film tourné sous la direction de Panos Cosmatos; Mandy.

« Le problème est, avec l’avènement d’Internet, de faire ces montages, où ils sortent des moments de choix sans le contexte du film en entier pour les supporter, ça crée une espèce de mème-ification, si vous voulez. Ça a été baptisé Cage Rage et c’est frustrant. Je suis certain que c’est frustrant pour Panos, qui a fait ce que je considère une œuvre d’art très interne, lyrique et poétique. C’est une chose pour moi, parce que j’aime penser que je pourrais continuer à travailler avec Panos, mais l’Internet a un peu comme rendu un mauvais service au film », lance notamment Nicolas Cage lors d’une entrevue avec IndieWire.

Malgré tout, Nicolas Cage peut se rassurer. Les critiques de Mandy sont excellentes et l’accueil du public friand du style de Panos Cosmatos l’est également.

Crédit photo : Magellan Pictures 

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Milo Ventimiglia inspiré par Will Smith

S’il n’avait que 18 ans lorsqu’il a mis les pieds sur le plateau de Fresh Prince of Bel-Air mettant en vedette un certain Will Smith, ce dernier aura rapidement inspiré Milo Ventimiglia.

La gentillesse de celui qui allait devenir une superstar du cinéma peu de temps après aura notamment eu un effet monstre sur Ventimiglia, qui se décrit maintenant comme « un agent de l’amour et de la gentillesse ».

« Je n’étais qu’un jeune avec une seule réplique à son émission, mais j’ai observé Will et ce que je l’ai vu faire a été de traiter tout le monde avec gentillesse et respect. À 18 ans, j’ai vu l’une des plus grandes stars de la télé et du cinéma être gentille avec les gens. J’ai pensé : Je veux être comme lui. Je veux être comme Will Smith », lance avec passion Milo Ventimiglia au micro de E!.

La star de This Is Us retrouve lui aussi le grand écran avec des présences aux génériques de Second Act, avec Jennifer Lopez, et The Art of Racing in the Rain, avec Amanda Seyfried.

Crédit photo : Capture NBC, Today

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Keira Knightley veut plus de femmes dans son industrie

Keira Knightley en appelle à davantage de support pour les femmes de son industrie, particulièrement celles qui oeuvrent derrière la caméra et dans différentes sphères du monde du cinéma.

L’actrice souhaite du même coup voir plus de femmes réalisatrices, directrices photo, productrices et scénaristes piloter des projets importants à Hollywood.

« Je pense qu’elles doivent être supportées. Je pense que le point de vue féminin est très important. Je pense qu’on en a besoin de plus, plus de productrices, plus de scénaristes, alors je pense qu’on doit vraiment pousser pour la représentation », lance Knightley à The Hollywood Reporter.

À noter que la star britannique ne croit pas qu’elle passera un jour elle-même derrière la caméra, mais elle tient cependant à se faire vocale pour ses compatriotes de l’industrie, elle qui estime qu’il y a « beaucoup de réalisatrices talentueuses ».

Crédit photo : BANG/BIG

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Anne Hathaway « secouée par ce qu’elle voit chaque jour »

Conscientisée et vocale sur divers enjeux, Anne Hathaway a semblé accueillir avec beaucoup de bonheur le retour de Barack Obama et de son acolyte Joe Biden au-devant de la scène politique américaine, afin de s’attaquer à Donald Trump et contribuer à la campagne démocrate en vue des élections de mi-mandat aux États-Unis prévues pour novembre.

Anne Hathaway a pu voir et écouter l’ancien vice-président Joe Biden lors du repas annuel de HRC (Human Rights Campaign), où elle recevait un prix, et l’actrice s’est dite rassurée et moins anxieuse par rapport à l’état du monde après avoir entendu les discours de celui-ci et du président de l’HRC, Chad Griffin.

« Je suis un peu secouée par ce que je vois chaque jour, ce que j’entends chaque jour. Ils (Biden et Griffin) m’ont redonné mon coeur », explique notamment Anne Hathaway au New York Post, affirmant du même coup avoir parfois « peur » de la suite des choses.

Anne Hathaway a reçu lors de l’événement le prix National Equality Award pour ses efforts caritatifs, et son implication auprès de la communauté LGBTQ.

Crédit photo : WENN/COVER/BANG/BIG

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Kristen Stewart promet un Charlie’s Angels « éveillé »

Ayant eu sa part de différends avec les médias, Kristen Stewart sait pertinemment qu’elle ne doit pas trop s’avancer en entrevue.

L’actrice semble cependant si confiante et enthousiaste de l’un de ses nouveaux projets, soit le reboot de Charlie’s Angels, qu’elle y va d’une prédiction lors d’un entretien avec le Variety.

« Regardez bien. Je vais dire tout ça, et vous allez être ensuite genre : Vous n’avez rien fait de tout cela. Mon Dieu, c’est si amusant. Je sais que si je dis cela d’une certaine manière, je sais que ce sera écrit, mais ce n’est pas une si mauvaise chose. Je pense que ce sera genre une version éveillée », lance Kristen Stewart, en référence à l’expression anglophone « woke », qui signifie être éveillé et conscient sur le plan social, politique ou spirituel.

« Ce sera quand même amusant et Charlie’s Angels-esque », ajoute Stewart, comme pour rassurer les fans de la première heure ou de la version mettant à l’époque en vedette Cameron Diaz, Lucy Liu et Drew Barrymore.

Rappelons que la nouvelle mouture de Charlie’s Angels met également en vedette Naomi Scott, Ella Balinska et Elizabeth Banks.

Cette dernière assure également la réalisation du film, dont la sortie est prévue pour septembre 2019.

Crédit photo : WENN/COVER/BIG/BANG

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Lindsay Lohan veut son « Lindsayland »

Lindsay Lohan est en train de restructurer sa carrière en immobilier et événementiel à la suite d’une prodigieuse carrière au cinéma au cours de sa jeunesse.

L’actrice a déjà les mains de nombreux projets de stations touristiques et de fêtes endiablées, mais aurait cette fois jeté son dévolu sur un plan d’affaires à Dubai, aux Émirats Arabes Unis, qu’elle surnomme « Lindsayland », selon ce que rapporte BANG Media International.

Rappelons que Lindsay Lohan s’est entendu avec MTV sur l’élaboration d’une nouvelle émission de télé-réalité qui la suivra dans ses faits et gestes alors qu’elle s’occupe de ses projets comme promotrice, notamment en Grèce, où elle possède un « beach club » à Mykonos, et où elle souhaite ouvrir plusieurs boîtes de nuit sur son passage.

L’émission devrait s’installer sur les ondes de l’iconique chaîne musicale au cours de l’année prochaine, soit en 2019.

Crédit photo : BANG/BIG