C’est ce que révèle la plus récente enquête NetTendances publiée la semaine dernière par l’Académie de la transformation numérique de l’Université Laval. Les internautes québécois achètent toujours plus de biens sur Internet, mais ils le font aussi de plus en plus auprès de marchands ou de fabricants québécois.
D’ailleurs, l’enquête NetTendances indique que 60% des internautes québécois qui magasinent en ligne affirment qu’il est facile d’identifier les produits québécois vendus sur Internet. C’est une hausse de 10 % sur un an.
Toujours selon NetTendances, au cours des premiers mois de 2023, les internautes québécois ont d’ailleurs commencé à acheter des produits directement à partir du fameux Panier bleu. Le site de magasinage qui met en vitrine les produits et services de commerçant et de fabricants québécois a lancé son volet transactionnel juste avant les Fêtes.
L’enquête révèle que 55% des adultes québécois disent connaître le Panier bleu. C’est une légère progression de 3% par rapport à l’an dernier. 16% des répondants disent avoir acheté un bien ou un service sur le Panier bleu au cours de 2022, et 35% des adultes québécois disent qu’ils prévoient magasiner et acheter sur le site du Panier bleu au cours de l’année à venir.
En tout, l’enquête NetTendances calcule que 7% du montant total des achats faits en ligne par les internautes québécois ont été réalisés sur le site du Panier bleu. C’est presque le quart de tous les achats faits par les cyberacheteurs québécois auprès de marchands québécois.
En tout, 26% du montant dépensé sur Internet par les adultes québécois l’a été pour des achats auprès de marchands d’ici.
Bref, l’achat local semble avoir la cote. Remarquez que c’est encore loin de menacer la position très dominante d’Amazon dans le magasinage en ligne au Québec. Le géant américain accapare 46% des achats faits par les internautes québécois soit directement sur Internet, soit à partir d’une application mobile.
Il faut dire qu’Amazon a tout un as dans sa manche : son programme de fidélisation Amazon Prime est extrêmement populaire partout en Amérique du Nord, et le Québec n’y échappe pas. 39% des adultes québécois et 52% des cyberacheteurs sondés dans le cadre de l’enqête NetTendances disent être membres d’Amazon Prime.Si on veut continuer d’encourager l’achat local, peut-être qu’il faudrait songer à créer un programme de fidélisation similaire à Amazon Prime, mais pour les produits québécois. Un «Prime du panier bleu», ou quelque chose dans le genre…
Lancer de manettes ou de souris, coups de poings dans l’écran ou dans le mur, quels sont les jeux capables de vous faire péter une coche ?
Les jeux vidéo peuvent être incroyables, mais parfois la difficulté ou un adversaire en ligne peuvent littéralement faire exploser certains joueurs. J’ai même un camarade qui dans son adolescence avait un sac de ciment dans sa chambre prêt à l’emploi lorsqu’il faisait des trous dans les murs. Un autre de mes amis, grand joueur de CS-Go, magasine ses souris toujours par quatre comme il arrive qu’elles volent à travers la pièce…
Le site australien Compare The Market a donc réalisé une enquête auprès de 1000 joueurs américains et australiens afin de savoir quels jeux étaient les plus à même de déclencher ce type de réaction, dont voici le résultat.
1. Call of Duty- 33.90%
2. Fortnite- 29.80%
3. Indoor ball games – 25.60%
4. Minecraft- 25.30%
5. Outdoor ball games – 24.50%
6. Hide and Seek- 23.60%
7. Grand Theft Auto (any edition) / Super Mario Kart – 22.70%
8. Pillow fight- 22.10%
9. Virtual reality games- 21.00%
10. Monopoly / games played on Nintendo Wii – 20.4%
Sans grande surprise, on retrouve aux trois premières places des jeux compétitifs. Il est tout de même surprenant de ne pas voir y figurer League of Legend et de voir Minecraft à la quatrième place. À la neuvième place, il est intéressant de relever qu’aucun titre VR n’est mentionné, mais que tous sont mis dans le même panier. Par contre, le jeu arrivé dixième position pose des interrogations, la Wii ser5ait encore aussi populaire ? Et il semblerait bien que Monopoly continu de se vendre et de réunir des joueurs, on trouve plusieurs streamer jouant à ce jeu tandis qu’ il réalise de bonnes ventes sur Amazon.
La marque OnePlus est peu connue du grand public. Traditionnellement, elle se spécialise dans la vente de téléphones Android très performants et très nichés, vendus à un prix quand même raisonnable. Elle a un peu dévié de sa mission depuis 4-5 ans avec des téléphones vendus au même prix qu’un iPhone ou qu’un téléphone haut de gamme de Samsung, mais on sent que le naturel est en train de revenir, en tout cas du côté des accessoires à tout le moins.
C’est l’impression qu’on a quand on jette un coup d’œil à ses nouveaux écouteurs Bluetooth, les OnePlus Nord Buds 2. Leur fiche technique est comparable à celle d’une paire d’écouteurs AirPods Pro d’Apple. Ce sont donc des écouteurs qui devraient être très performants. Sauf que là où les AirPods Pro coûtent actuellement 329 $ au Canada, les OnePlus Nord Buds 2 sont vendus pour seulement 85$. C’est toute une aubaine!
Et leur fiche technique est très prometteuse. On parle d’écouteurs très compacts, mais dont l’autonomie entre deux charges est de 7 heures de lecture musicale. Cette autonomie atteint 36 heures si on les remet de temps en temps dans leur étui, qui fait aussi office de chargeur.
Et même s’ils sont petits, les Nord Buds 2 ont des composants audio qui semblent de très bonne qualité. Le petit haut-parleur intégré est composé entre autres de titane, ce qui promet une bonne durabilité. La taille de ce haut-parleur est de 12,4 mm, ce qui permet de générer des graves plus puissantes que celle produits par d’autres écouteurs similaires, où les haut-parleurs ont généralement une taille de 10 mm.
Ces Nord Buds 2 ont aussi une insonorisation active plus puissante que la moyenne, capable d’éliminer les bruits ambiants dans un spectre sonore de 25 décibels. Les bruits de ventilation, les bruits de moteur et même les bruits de construction disparaissent quand on les porte.
Évidemment, les écouteurs viennent avec une IA qui améliore la musique qu’on écoute, et comme pour d’autres marques, cette IA est conçue pour mieux fonctionner si on jumelle les écouteurs avec un téléphone OnePlus. Mais ils demeurent compatibles avec tous les appareils Bluetooth sur le marché, alors ce n’est pas une si grosse affaire.Et ils sont en vente depuis le 4 avril. Il suffit de visiter le site de OnePlus si ça vous intéresse, et honnêtement, si vous cherchez des écouteurs pas cher et de bonne qualité, ça devrait vous intéresser.
Il paraît que le nec plus ultra des applications de rencontre ces jours-ci sont des applications qui permettent de rencontrer l’IA de vos rêves, pour dialoguer avec elle, et plus, si affinités… Une de ces applications là s’appelle Replika AI et elle connaît ces jours-ci un niveau de popularité exceptionnel, probablement propulsé par l’engouement plus général entourant ChatGPT et les autres systèmes du genre.
Car Replika AI propose une interface assez similaire à ChatGPT, excepté que le but du dialogue qu’on entretient avec l’IA de son choix est de s’en faire soit une amie, soit carrément son éventuelle douce moitié. Et comme le modèle d’affaires de l’application repose sur des abonnements payants, disons que Replika pousse fort pour que ses utilisateurs embarquent dans une discussion au minimum romantique avec ses IA.
Cela dit, cet abonnement qui équivaut à environ 100$ par année n’empêche pas des gens de carrément tomber en amour, pour vrai, avec l’avatar qui se présente à l’écran de leur téléphone grâce à cette application. Et c’est là où ça se complique, étant donné que bien des abonnés à Replika demandent à leur partenaire virtuel de passer du stade d’un simple flirt plus ou moins inoffensif à une relation plus sérieuse.
Il est d’ailleurs possible de demander son IA en mariage, dans cette application. Il y a évidemment des gens que ça intéresse. Il y en a d’autres qui vont plus loin et qui tentent d’avoir des conversations et même des jeux à caractères érotique avec l’avatar.
Et c’est là où, pour le moment, les créateurs de Replika tracent une ligne. Ils ont récemment éliminé toute forme de conversation qui peut dériver vers le sexe ou l’érotisme. Quand les avatars sentent que ça commence à chauffer, leur réplique se résume simplement à «faisons quelque chose qui nous convient à tous les deux».Bref, on essaie de garder dans le domaine de la discussion légère et somme toute inoffensive ces relations entre des humains et des intelligences artificielles, mais on sent quand même une tenance émerger qui pourrait finir par être durable : des gens qui tombent amoureux d’une IA pour vrai.
On parle beaucoup depuis des mois des intelligences artificielles comme ChatGPT pour une raison simple : à peu près tout le monde qui joue avec cet outil de génération de langage naturel est immédiatement impressionné par le potentiel et surtout l’impact qu’il pourrait avoir dans leur quotidien. On ne compte plus les professions et les entreprises qui pourraient voir leur routine complètement transformée par cette IA.
Et justement, un peu pour prouver qu’on n’est pas en train de vivre une espèce de bulle collective passagère, la firme américaine Goldman Sachs s’est prêtée au jeu de calculer l’impact réel qu’auront sur l’économie mondiale les systèmes d’intelligence artificielle générative comme ChatGPT, qu’on appelle aussi des «LLM», pour «Large Language Model», ou en français, des «modèles de langages élargis».
Et ce que dit Goldman Sachs est à la fois réjouissant et très inquiétant. Commençons par l’inquiétude : la banque américaine prédit que 300 millions d’emplois dans le monde sont menacés par des IA comme ChatGPT. Des emplois qui sont essentiellement concentrés dans les économies avancées comme le Canada, les États-Unis et l’Europe.
Si vous pensez à des tâches dans votre travail qui sont répétitives et qui peuvent être automatisées, sachez que les chances sont bonnes qu’elles finissent par être automatisées au cours des prochaines années.
Mais ce n’est pas nécessairement mauvais : Goldman Sachs ne parle pas de «perte d’emplois», mais de la transformation de ces emplois pour devenir plus productifs et probablement aussi plus gratifiants. Les tâches qui resteront à accomplir par les humains seront plus importantes, plus «critiques» et moins routinières.
Et tout ça devrait finir par profiter à l’économie mondiale. Goldman Sachs prédit que les IA génératives, les LLM, ajouteront avant la fin de la décennie 6650 milliards de dollars US à l’économie mondiale. C’est une croissance de 7% de la productivité mondiale qui est donc promise par ces nouvelles technologies.Espérons seulement que tout le monde en profitera, et pas seulement une poignée de milliardaires…
Le téléphone cellulaire fête ces 50 ans cette année. C’est le 3 avril 1973 que le premier appel public à partir d’un téléphone portable a eu lieu. Signe des temps, c’est un ingénieur de la société américaine Motorola qui a passé ce premier appel.
On ne peut pas dire que Motorola a su profiter des 50 dernières années pour conserver son rôle de leader du marché de la mobilité. Et d’ailleurs, si vous voulez une image qui illustre bien comment la téléphonie mobile a évolué depuis 50 ans, dites-vous que le premier téléphone cellulaire, qui s’appelait le DynaTAC, avait à peu près la taille d’une brique, pesait 1 kilo et demi et coûtait, pour les rares curieux pressés d’adopter la plus récente technologie de l’époque, 4000 dollars.
D’ailleurs, peu de gens étaient réellement pressés de passer au cellulaire. Ça a pris dix ans à Motorola et aux premiers opérateurs de réseaux sans fil, dont AT&T aux États-Unis, avant de voir le marché du cellulaire réellement prendre son envol.
Entre temps, évidemment, le téléphone cellulaire a beaucoup changé. Il a beaucoup rapetissé, puis il s’est connecté à Internet, et de nos jours, un simple iPhone est plus puissant que les supercalculateurs les plus puissants du 20e siècle.
Ce n’est pas tout bon. Martin Cooper, l’ingénieur de Motorola qui a passé ce fameux premier coup de fil il y a 50 ans, déplore la trop grande dépendance que nous avons ces jours-ci envers notre téléphone. On le regarde sans cesse, et ça provoque des gestes très imprudents.
On voit beaucoup de gens traverser la rue sans trop regarder devant eux, trop absorbés par ce qui s’affiche sur leur téléphone.C’est évidemment un enjeu plus important aujourd’hui qu’en 1973. Mais en même temps, ça soulève la question suivante : peut-on imaginer où en sera la téléphonie mobile dans un autre 50 ans?
La pandémie, le contexte mondial actuel, les insécurités liées au futur: disons que les sources d’angoisse sont multiples pour les jeunes d’aujourd’hui. Afin de contrer leur détresse ainsi que leur isolement, une nouvelle plateforme numérique destinée aux jeunes de 14 à 25 ans voit le jour grâce à la collaboration de plusieurs partenaires.
Intitulée Quartier.Québec et soutenue par le Gouvernement du Québec ainsi que Desjardins, cette plateforme est une initiative de la Fondation des Gardiens Virtuels, un organisme promouvant les saines habitudes virtuelles et se voulant être un rempart contre la détresse en impliquant des travailleurs de rue dans l’univers numérique. En s’inscrivant gratuitement sur le portail, un jeune âgé entre 14 et 25 ans peut facilement avoir accès à une foule d’activités comprenant notamment les arts, les jeux vidéo, la création de contenu et le journalisme. Mieux encore, les jeunes seront encouragés à s’investir dans la vie politique de Quartier.Québec afin d’être directement impliqué dans le développement de la plateforme.
Concrètement, Quartier.Québec se présente comme un quartier au sein duquel les passions ainsi que les intérêts de la clientèle cible sont divisés dans des bâtiments distincts. Par exemple, dans le Stade, les jeunes peuvent participer à des compétitions, s’inscrire à des tournois de sports électroniques et pratiquer des sports. La Scène permettra aux créateurs de contenu en herbe de partager leurs créations et d’échanger tandis que l’Agora sera un endroit où les jeunes pourront débattre et assister à des conférences afin d’enrichir leurs connaissances.
La Rue des Ateliers permettra quant à elle de découvrir une variété de hobbys afin d’élargir les horizons des adolescents ainsi que des jeunes adultes, incluant le yoga, la cuisine, la robotique, la méditation et la couture. Enfin, l’Arcade réunira les amateurs de jeux vidéo afin qu’ils puissent échanger des stratégies, participer à des tournois et plus encore.
Quartier.Québec vise donc à faire socialiser les jeunes d’aujourd’hui tout en leur permettant d’en apprendre davantage sur une foule de sujets. De plus, un bottin de ressources leur donnera accès à une gamme de services d’aide. À cet effet, un bouton Batman sera ajouté sous peu afin que n’importe quel utilisateur de la plateforme puisse rejoindre en direct un professionnel s’il a besoin d’aide ou si une situation urgente se présente.
Enfin, Quartier.Québec viendra soutenir les jeunes grâce au soutien de plusieurs experts. Ces derniers offriront notamment des vidéos et des textes sur des sujets les touchant directement. Parmi les premiers sujets qui seront couverts, on peut notamment penser aux relations parents/enfants, la cyberdépendance et la cybersécurité.
Bref, une belle et nouvelle plateforme désirant rejoindre les jeunes, mais qui pourrait également donner un coup de main à leurs parents !
Le mois d’avril est déjà arrivé et, avec un printemps qui tarde à se montrer le bout du nez, quoi de mieux que de se lancer dans des nouveaux jeux ! Ce mois-ci, des titres de tous les horizons débarqueront afin de vous divertir. Ainsi, vous pourrez aussi bien jouer au golf que massacrer du zombie ou retourner sur des champs de guerre dans une compilation de vieux jeux remis au goût du jour. Et tout cela, ce sera sans oublier la suite des aventures d’un Jedi qu’on a appris à connaître et aimer dans Star Wars Jedi: Fallen Order !
Meet Your Maker
Date de sortie: 4 avril 2023
Sur: PlayStation 4 et 5, Xbox One et Xbox Series S/X, PC
Provenant des créateurs de Dead by Daylight, Meet Your Maker est un jeu de tir à la première personne plutôt unique en son genre. En effet, il vous demande de piller des avant-postes créés par d’autres joueurs afin de mettre la main sur différentes ressources.
Or, vous-même pourrez édifier votre avant-poste en y installant une variété de pièges destinés à freiner la progression des autres joueurs. Pour cela, vous aurez l’occasion d’utiliser les items pillés au sein des avant-postes des joueurs de la communauté. Ainsi, Meet Your Maker s’avère être à la fois un jeu de tir à la première personne et un jeu de construction dans un univers post-apocalyptique.
À noter que les abonnés du service PlayStation Plus peuvent télécharger le jeu sans frais.
EA Sports PGA Tour
Date de sortie: 24 mars 2023
Sur: PlayStation 5, Xbox Series S/X, PC
Repoussé peu de temps avant sa date de sortie initiale, EA Sports PGA Tour débarquera alors que la neige commence finalement à fondre.
Ce nouvel opus vous permettra de créer votre propre golfeur afin de participer aux quatre grands tournois de ce sport. Au total, 30 parcours réalistes seront mis de l’avant afin que vous puissiez peaufiner vos coups tout en tirant profit des habiletés que vous débloquerez en progressant dans votre carrière.
Mega Man Battle Network Legacy Collection
Date de sortie: 14 avril 2023
Sur: Nintendo Switch, PlayStation 4, PC
Dérivée originale de la franchise Mega Man, la série Mega Man Battle Network sera bientôt de retour dans une compilation qui vous en donnera pour votre argent. En effet, ce seront les dix jeux de la série que vous retrouverez dans cet ensemble, bien que plusieurs d’entre eux soient simplement deux éditions du même jeu comprenant à peine quelques différences entre elles.
Quoi qu’il en soit, les nostalgiques pourront replonger dans ces aventures technologiques en compagnie de Lan Hikari et son héros virtuel MegaMan.EXE. En équipant ce dernier de puces, vous devrez libérer le monde virtuel de toutes sortes de menaces. Pour cela, il vous faudra combattre sur des grilles où votre personnage bougera de case en case.
À noter que cette compilation proposera quelques nouveautés, dont une nouvelle galerie d’illustrations, une compilation musicale des jeux et la possibilité de jouer en ligne dans certains d’entre eux.
Minecraft Legends
Date de sortie: 18 avril 2023
Sur: PlayStation 4 et 5, Xbox One et Xbox Series S/X, Nintendo Switch, PC
Après avoir été plongée dans le jeu de survie et le jeu de rôle, la série Minecraft se transportera vers le genre des jeux de stratégie. En fait, Minecraft Legends sera un jeu d’action à la troisième personne, mais dont les mécaniques de base seront inspirés par les jeux de stratégie en temps réel. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien si d’anciens développeurs de la franchise Homeworld se sont greffés à ce projet.
Minecraft Legends vous permettra d’explorer différents biomes afin de repousser l’attaque de créatures provenant du monde des ténèbres. Bien que vous pourrez y jouer en solo, le jeu proposera à la fois un mode coopératif ainsi qu’un mode compétitif.
À noter que les membres Xbox Game Pass pourront télécharger le jeu sans frais dès sa sortie.
Horizon Forbidden West: Burning Shores
Date de sortie: 19 avril 2023
Sur: PlayStation 5
La seconde aventure d’Aloy se poursuivra sous peu avec l’ensemble téléchargeable Horizon Forbidden West: Burning Shores. Celui-ci vous transportera dans les ruines de Los Angeles, qui fut transformée en un dangereux archipel après des millénaires d’activités volcaniques et sismiques.
En plus de nouveaux personnages et d’une série de nouvelles quêtes, Burning Shores vous permettra d’explorer cette ancienne grande ville américaine de différentes façons. En outre, vous pourrez y naviguer à pied, à la nage ou bien par les airs sur le dos d’un gros Sunwing. Cela vous donnera notamment l’occasion de repérer les points d’intérêt ainsi que les nouveaux types d’ennemis que vous devrez affronter.
À noter que pour pouvoir accéder au contenu de l’ensemble, vous devrez avoir préalablement terminé la quête principale de Horizon Forbidden West. Une fois cela fait, vous recevrez un signal du Focus d’Aloy qui entamera votre nouvelle quête.
Advance Wars 1+2: Re-Boot Camp
Date de sortie: 20 avril 2023
Sur: Nintendo Switch
Repoussée en raison de la guerre faisant rage en Ukraine, la compilation Advance Wars 1+2: Re-BootCamp nous permettra de revivre les conflits présentés dans les deux premiers jeux de cette série à succès.
Or, ces deux titres ne seront pas que des ports des éditions originales parues sur Game Boy Advance. En outre, grâce à une collaboration avec le studio WayForward, Nintendo a complètement refait le visuel des titres d’antan. Ainsi, bien que vous devrez toujours attaquer sur des grilles avec des unités ayant leurs forces et faiblesses, vous bénéficierez d’un graphisme beaucoup plus léché se rapprochant du dessin animé. Qui plus est, les dialogues des personnages seront doublés, accentuant ainsi l’humour présent dans les campagnes.
Dead Island 2
Date de sortie: 21 avril 2023
Sur: PlayStation 4 et 5, Xbox One et Xbox Series S/X, PC
Attendu depuis très longtemps et repoussé à plusieurs reprises, Dead Island 2 nous donnera bientôt une autre occasion de massacrer du zombie !
Prenant place dans les villes de Los Angeles et San Francisco, la suite de Dead Island vous placera aux commandes d’un survivant coincé en Californie. En fait, en raison d’une résurgence plus grave qu’anticipée de la menace zombie, le gouvernement américain a mis en quarantaine cet état autrefois prospère.
Bien qu’il reprendra plusieurs mécaniques de son prédécesseur, Dead Island 2 étendra ses possibilités. En outre, vous pourrez sélectionner votre survivant parmi six classes puis massacrer du zombie de plusieurs façons brutales. Vous pourrez également y jouer en solo ou bien dans un mode coopératif supportant trois joueurs à la fois.
Star Wars Jedi Survivor
Date de sortie: 28 avril 2023
Sur: PlayStation 5, Xbox Series S/X, PC
L’un des jeux les plus attendus de l’année nous permettra de poursuivre l’excellente aventure de Cal Kestis entamée dans Star Wars Jedi: Fallen Order.
Le studio Respawn Entertainment affirme avoir entendu les doléances des joueurs par rapport au premier jeu. Ainsi, il a notamment intégré un système de voyage rapide afin que les traversées entre les planètes soient plus fluides. Il sera également possible d’ajouter des balises sur des points d’intérêt afin d’y revenir plus facilement.
De plus, nous devrions avoir des expériences différentes dans les nouveaux mondes proposés. En outre, certains d’entre eux offriront une expérience similaire à Fallen Order tandis que d’autres vous transformeront en héros qui viendra en aide à des habitants en nettoyant des villages de hors-la-loi.
Par ailleurs, le jeu offrira beaucoup plus d’options de personnalisation, ce qui vous permettra notamment de modifier les cheveux et la barbe de Kestis. Qui plus est, l’environnement réagira à vos actions de sorte que certains personnages feront leur arrivée ou certains villages se garniront en fonction des gestes que vous poserez.
Enfin, Respawn promet qu’on aura davantage l’impression d’incarner un Jedi que dans Fallen Order. Par exemple, les pouvoirs de Kestis pourront être utilisés plus rapidement que dans le premier jeu tandis que le Jedi pourra adopter plusieurs positions de combat afin de faire face à ses adversaires.
Ce n’était qu’une question de temps, mais c’est désormais officiel: le E3 2023 n’aura pas lieu. En fait, considérant les défis auxquels l’Entertainment Software Association (ESA) a fait face dans l’organisation de cette édition, des doutes sont même soulevés quant à une itération future du salon du jeu vidéo.
Alors que les annulations fusaient de toutes parts depuis quelques jours, le site IGN a pu mettre la main sur un courriel de l’ESA destiné à ses membres. Dans ce dernier, l’association informe ses membres que l’édition 2023 du E3 a finalement été annulée puisqu’elle n’a pu susciter un niveau d’intérêt suffisant pour refléter l’importance de l’industrie du jeu vidéo.
La question demeure la suivante: le E3 reviendra-t-il un jour ? En fait, il est difficile de voir comment ce salon pourra se relever de cette annulation, d’autant plus que le E3 n’a jamais réellement su s’adapter aux avancées technologiques depuis plus d’une décennie. Or, tant l’ESA que la firme ReedPop ne jettent pas l’éponge. En effet, dans un communiqué, les organisateurs affirment qu’ils continueront à travailler sur de futures itérations du salon.
Or, bien que cette réponse puisse paraître positive, le PDG de l’ESA s’est montré beaucoup moins optimiste. Effectivement, dans une entrevue accordée au site GamesIndustry.biz, Stanley Pierre-Louis a expliqué l’annulation de l’édition 2023 par des défis auxquels l’industrie du jeu vidéo est présentement confrontée et qui étaient trop difficiles à surmonter. Le directeur de l’ESA a poursuivi en pointant du doigt la pandémie de COVID-19, spécifiant que le temps de développement des jeux fut fortement perturbé par cette pandémie ayant stoppé pratiquement au complet la planète entière pendant près de deux ans. De plus, la conjoncture économique actuelle a forcé les compagnies à revoir le montant qu’elles allouaient aux événements de grande envergure. Enfin, monsieur Pierre-Louis a déclaré que les firmes de jeux vidéo ont commencé à jongler entre les événements en personne et les présentations numériques afin de trouver le bon équilibre pour rejoindre le grand public.
Bref, bien que personne ne puisse prédire l’avenir, il serait étonnant que le E3 revienne, du moins dans la forme par laquelle nous le connaissions depuis les années ’90.
On en parlait depuis quelques semaines déjà et voilà qu’elle a été lancée officiellement mardi de cette semaine. La fameuse application de musique classique d’Apple s’appelle Classique, tout simplement, et elle est téléchargeable gratuitement sur les iPhone. Il s’agit d’un autre service musical par abonnement, mais qui est inclus dans l’abonnement au service Apple Music.
Apple essaie ainsi d’attirer une clientèle qui se tient généralement loin des services en streaming les plus populaires, dont le sien, mais aussi celui de son principal concurrent, soit Spotify. Les amateurs les plus férus de musique classique préfèrent des services plus nichés, s’ils ne sont pas exclusivement tournés vers des supports plus traditionnels comme le bon vieux disque.
Pour les attirer, Apple propose notamment une bonne dose de contenu exclusif, comme par exemple des concerts récents donnés par l’Orchestre symphonique de Vienne. Il y aussi du contenu offert en avant-première, donc qui sera diffusé sur Apple Classique avant d’être disponible ailleurs.
L’autre particularité est au niveau de la qualité sonore. Apple mise fort sur le son spatialisé, ou l’Audio spatial, pour rendre plus divertissante, ou plus captivante, l’écoute de musique classique sur sa plateforme.
Le son spatialisé permet de créer l’impression qu’on se trouve au milieu de l’orchestre. Ou en tout cas, dans la même pièce que lui. Ça ne veut pas nécessairement dire que le son est de la meilleure qualité, mais pour ça aussi, Apple a une solution : elle promet une diffusion numérique dans un format sonore sans perte, ou «lossless» comme on dit en anglais, dont l’échantillonnage est supérieur à celui d’un disque compact.
On va laisser les experts en musique classique déterminer si ça suffit pour rendre justice à un type de musique qui demande une grande diversité d’ambiances sonores.
Apple a aussi revu la façon dont on cherche dans sa collection musicale pour mieux s’adapter aux besoins spécifiques de la musique classique. On peut trouver la pièce désirée à partir de plusieurs critères, comme son nom, évidemment, mais aussi selon l’orchestre, le compositeur, le soliste, et ainsi de suite.
Cela dit, ce n’est pas parfait. D’abord, c’est seulement disponible sur iPhone. Ensuite, l’écoute sur un casque Bluetooth réduit grandement la qualité sonore obtenue. Et là-dessus, plusieurs amateurs ont déjà une solution de rechange : un service concurrent sur leur ordinateur personnel.
Mais pour ceux que ça intrigue, ça vaut la peine d’essayer : le premier mois est gratuit.