En mai dernier, la vedette de Stranger Things, Millie Bobby Brown, et le fils de Jon Bon Jovi, Jake, se sont mariés en Italie. Ensemble depuis 2021, ils se sont fiancés en 2023, filant le parfait bonheur depuis.
La nouvelle mariée a partagé plusieurs clichés dans un carrousel sur Instagram et sur le dernier d’entre eux, il est possible de déduire que l’ambiance de la réception était à la fête.
«Forever and always, your wife», écrivait-elle en description.
À son tour, le nouvel époux a aussi partagé un carrousel de photo portant une mention similaire: «Forever and always, your husband».
Pour la cérémonie, Millie portait un corset et une doublure en dentelle. Elle avait aussi un très long voile avec une bordure de dentelle à la base. Jake, quant à lui, portait un veston couleur crème, un nœud papillon ainsi que des pantalons noirs.
Papa Bon Jovi portait les mêmes couleurs que son fils.
Sur la dernière photo du carrousel, vous verrez que la cérémonie a pris place à l’extérieur, entre les arbres, sous une immense arche florale.
Avez-vous reconnu le célébrant? C’est Matthew Modine, le papa d’Eleven (Millie) dans Stranger Things!
Ils ont choisi de célébrer leur amour à la VillaCetinale, en Toscane.
Cette villa, construite au XVIIe siècle, est encerclée d’un immense jardin.
«À Xavier et Jules. Nous ne dirigerons jamais le vent, mais alignerons toujours nos voiles.»
C’est ainsi que se lit la dédicace aux premières pages de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour, nouveau livre de Jonathan Roberge, qui contient le texte du spectacle Bisou, que l’humoriste et animateur devait originalement lancer en 2020. La maladie de son fils aîné et la pandémie auront eu raison de cette tournée qui a sans cesse été annulée, puis reportée, pendant plus de deux ans.
L’artiste avait donné une quarantaine de représentations de rodage, mais n’a jamais pu atteindre le grand soir de la première médiatique. Son garçon Xavier, alors âgé de 10 ans, a reçu son diagnostic de cancer du cerveau, puis la COVID-19 a forcé la fermeture des salles de spectacle.
«Quand on a voulu repartir, Xa est retombé malade. On a réannulé. Déplacé toutes les dates. J’ai ensuite voulu recommencer; j’ai fait un ou deux soirs. Xa a eu une autre récidive. On est arrêtés encore! Puis, il y a eu la deuxième vague de confinement. Une fois déconfinés, j’allais repartir… Et Xa est tombé malade une autre fois…. Je n’étais pas capable de monter sur scène en sachant que mon gars était en train de récupérer d’une opération au cerveau», nous raconte Jonathan Roberge.
La succession d’événements est résumée à l’endos de son petit bouquin bleu, mais pas exactement de cette façon. On comprend que les souvenirs s’emmêlent peut-être un peu dans l’esprit du papa toujours souriant malgré les épreuves, mais l’essentiel y est : les astres n’étaient résolument pas alignés pour que Bisou voie le jour sur les planches. Alors en ondes quotidiennement à CKOI, Jonathan s’est fait conseiller par ses collègues de radio de mettre le projet de one man show comique sur la glace. Il aura toute la vie, après tout, pour sillonner les routes et les salles. Et, plus tard, Adib Alkhalidey, qui venait lui-même de consigner en un ouvrage littéraire le scénario de son très plébiscité opus Québécois Tabarnak (lancé en 2022), lui a glissé l’idée d’imprimer son contenu pour le grand public.
Réponse de Jonathan?
«Tellement!»
«J’ai mis beaucoup d’huile de coude dans ce projet-là. J’ai travaillé très fort dans les derniers mois», soutient Jonathan Roberge au sujet du livre publié aux Éditions Stanké, déjà disponible en librairie. «Je suis retourné dans mes textes écrits entre 2016 et 2019, je les ai remis au goût du jour. Il y a des numéros que j’avais ajoutés quand Xa est tombé malade. J’ai aussi écrit toute l’histoire derrière ce show-là, pourquoi ç’a été annulé. Ç’a été très thérapeutique de travailler ce livre-là. Je pense qu’il va faire rire, pleurer et faire du bien aux gens.»
Comment va Xavier?
Marie-Annick Lépine signe la préface de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour. Il faut savoir que (et la musicienne le relate dans son touchant message) Jonathan Roberge et elle se connaissent depuis l’adolescence. «Parce qu’on vient du même coin. C’est une bonne amie de longue date», signale ce dernier. Tous deux se souviennent que Marie-Annick a d’ailleurs bercé Xavier lorsqu’il était bébé.
«Karl (Tremblay) a eu son diagnostic [de cancer] trois mois après Xa. Et on a réalisé, Marie-Annick et moi, qu’on était mutuellement la seule personne qu’on connaissait qui avait vécu la même chose que nous, c’est-à-dire de monter sur scène et faire comme si tout allait bien, comme si on était heureux. On sait tous les deux ce que c’est, de monter sur une scène après avoir pleuré dans les coulisses parce que la personne qu’on aime le plus au monde est malade… Quand Marie-Annick a dit oui, ça m’a vraiment flatté. Et le texte est beau. C’est difficile de ne pas pleurer!»,
Aujourd’hui, Xavier a 15 ans. «Le petit bonhomme de 6 ans qu’on voyait dans la série Papa est rendu à 15 ans», s’enorgueillit son attentionné géniteur, le torse presque bombé de fierté. Xavier a subi quatre récidives de la maladie et, donc, cinq cancers en cinq ans. Il a traversé cinq opérations, 69 traitements de radiothérapie et de la chimiothérapie palliative.
«On en a fait, du chemin!», siffle Jonathan, en précisant que son adolescent guerrier a eu une autre opération en juillet dernier. «Au cerveau, encore, réalisée avec succès par le même docteur. En ce moment, on dit qu’il va bien dans les circonstances. C’est un cancer avancé. Xa continue le combat, un jour à la fois. Il est beau à voir aller : il joue au hockey, il va à l’école. Il n’abandonne jamais, cet enfant-là. Il est incroyable! Il a une urgence de vivre que peu de gens ont. Il est inspirant! Et tellement mature. Quand tu parles avec lui, tu as l’impression qu’il est un monsieur de 85 ans…»
Or, la dédicace qu’on mentionnait au début de cet article, elle est certes adressée à Xavier, mais aussi à son petit frère Jules, qui a 6 ans.
«On parle souvent du combat de Xavier, mais il ne faut pas oublier Jules, à côté, qui voit son idole avoir une maladie. Il a vu ses parents se séparer [Xavier et Jules n’ont pas la même maman, NDLR], il a vécu la pandémie, il a vécu un déménagement. Il est la victime collatérale de tout ce qui brasse! Il est dans l’ombre, à côté. Son frère est son idole et, à 6 ans, il commence à comprendre que ses bobos à la tête ont l’air sérieux. Alors, le livre est dédié à mes deux fils.»
Steak, blé d’Inde, patates : Bon appétit!
Jonathan Roberge connait par ailleurs un automne professionnel du tonnerre, alors qu’il est à la barre de trois émissions : Au-delà du sexe, à Télé-Québec, La guerre du web, à Unis TV,et Steak, blé d’Inde, patates, à Historia.
Au sujet de cette excellente série documentaire retraçant l’histoire culinaire de la Belle Province, Jonathan Roberge indique qu’elle répond presque à un fantasme qu’il entretenait!
«Moi, dans la vie, je voulais être artiste, humoriste, mais si ça n’avait pas fonctionné, mon plan B était de devenir professeur d’histoire. C’est une passion pour moi. Des émissions de cuisine, il y en a en simonac, mais ce show-là, c’est plus que de la cuisine. C’est de la fierté canadienne française, québécoise! En regardant cette émission-là, on est « une coche » plus fiers de vivres ici!», dépeint celui qui a pris goût à organiser de grandes tablées avec ses amis et leurs familles depuis le tournage de Steak, blé d’Inde, patates, où sont abordés plusieurs aspects de l’évolution de l’assiette des Québécois (Expo 67, la bouffe de nos grand-mères, les émissions et les livres de cuisine, la tradition de l’érable, etc).
Lara a partagé en stories quelques clichés du couple, que son amoureux a ensuite partagés à son tour, où ils semblent très heureux.
«1 an – Un beau chiffre rond, mais je me rappelle à tous les jours la chance que j’ai. Je me sens à la fois à la maison et au tout début d’une belle aventure», écrivait-elle, sur chacune des photos.
Ils avaient de très beaux matching outfits lors du Igloofest!
À travers les saisons, leur amour a continué de grandir.
À son tour, Vincent a partagé une publication et un long texte où il exprime la grandeur de ses sentiments pour sa douce.
«Lara, mon amour, ma bine, amor de mi vida, comme le temps passe vite à tes côtés. Ça fait aujourd’hui un an jour pour jour qu’on s’est dit je t’aime et je crois encore que c’est la meilleure décision que j’ai prise de ma vie. Si tu m’avais dit que dans un show de télévision de dating j’allais rencontrer la perle rare, la fille de mes rêves, jamais de ma vie je ne l’aurais cru! Et pourtant, chanceux comme je suis dans la vie, te voilà sur mon chemin, au moment où je m’y attendais le moins. (…) Bien vite, les mots je t’aime m’ont brûlé les lèvres, moi qui avais perdu espoir des les donner à nouveau à quelqu’un qui les mériterait. Je n’étais pas pressé de te les donner, mais tu avais déjà volé mon cœur et je savais déjà à ce moment que j’allais tout faire pour me réveiller à tes côtés, tous les matins de ma vie. Quand ton chemin croise une personne aussi spéciale que toi, tu ne peux pas laisser passer ça! (…)», écrivait Vincent, se remémorant leurs premiers moments.
C’est tellement romantique!
Nous leur souhaitons encore beaucoup d’années de bonheur.
Celle qui a aidé à démystifier de nombreux tabous et qui n’a jamais eu peur des mots s’est confiée sur de nombreux sujets, mais est également revenue sur une histoire avec Dominique Michel, en plus d’une avec Guy A. Lepage.
À l’époque, Janette a souvent été l’objet de blagues dans le milieu, ce qui l’a parfois blessée. Ce fut notamment le cas avec RBO. Elle a donc tenu à appeler Guy pour comprendre l’intention derrière ces messages humoristiques, mais blessants.
«J’appelle et je lui dis: Je veux comprendre, qu’est-ce que c’est un baveux? Et c’est là que j’ai trouvé qu’il était tellement tendre. Guy A., c’est un tendre», témoigne Janette, qui visiblement ne lui en a pas voulu longtemps.
Elle a aussi avoué avoir également passé un coup de fil à Dominique Michel, et là, les émotions étaient encore plus vives. En effet, à l’époque où Dodo caricaturait Janette dans les Bye Bye, cette dernière traversait une épreuve difficile, soit son divorce d’avec son ancien amoureux.
«(…) Le soir du jour de l’An, on regarde et là, ils font une parodie de moi où j’ai l’air de la plus niaiseuse du monde. Ça, par-dessus le divorce. J’ai tellement pleuré… alors j’appelle Dodo, puis je dis: Tu sais, tu m’as fait tellement de peine. C’est parce que ça tombait mal, là, dans un moment où je n’étais pas prête à vivre ça», dévoile Mme Bertrand, qui n’a pas peur d’exprimer ce qu’elle ressent.
Un moment très intéressant en compagnie de la talentueuse et unique Janette Bertrand!
De passage au balado Audré dans l’entrée, l’ex du chanteur Claude Bégin s’est ouverte sur le monde du mannequinat ainsi que sur le trouble alimentaire qu’elle a vécu.
Étant mannequin à temps plein depuis 15 ans, Clodelle a affirmé que ce domaine lui avait amené une grande ouverture d’esprit, mais que malheureusement, il y avait plus de points négatifs.
«Je ne vais pas mentir, c’est un métier très demandant. Il faut tout le temps que tu fit dans un moule. Ce n’est pas les vêtements qui vont fitter la mannequin, c’est la mannequin qui doit fitter dans les vêtements, donc tu es constamment sous pression d’être très maigre. Il faut que tu sois très disciplinée, c’est vraiment un peu comme être un athlète dans un certain sens (…). C’est beaucoup de pression, autant que c’est le fun et que c’est enrichissant et que tu apprends plein de choses, mais ton plaisir est souvent mis de côté (…). Moi, avec le temps, sous pression, j’étais beaucoup plus jeune, j’étais très en demande, j’avais une grosse carrière et I was struggling avec le fait de toujours rester une image parfaite. J’ai développé de la boulimie assez jeune, de l’anorexie, c’était vraiment sous pression à cause du métier, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté», racontait Clodelle en s’ouvrant sur le milieu du mannequinat.
Elle a continué en disant qu’elle est contente de revenir dans le métier maintenant âgée de 30 ans et qu’elle a envie de développer une relation saine avec le mannequinat pour guérir quelque chose à l’intérieur d’elle.
«J’avais besoin de me retrouver, de me poser certaines questions: Qu’est-ce que je veux dans la vie? Et comment je veux être dans mon corps ? Ça m’a vraiment fait du bien de prendre une pause, mais je suis contente de recommencer. Je trouve qu’à 30 ans, c’est un bel âge, je me connais maintenant, je connais mes limites. J’ai guéri ce côté-là de moi qui avait des troubles alimentaires et même quand j’ai arrêté, j’ai viré de l’autre bord des troubles alimentaires dans le sens que j’ai commencé à beaucoup manger, mais je pense que ça m’a vraiment fait du bien, j’avais besoin de ça», continue-t-elle en expliquant ce qui l’a amenée à reprendre ce métier, maintenant plus âgée.
Caroline Néron était de passage au podcast Golf Le Monde animé par Daniel Melançon, un épisode dans lequel ils ont ensemble parlé de golf, comme le veut le principe du balado.
Daniel, qui désirait justement aborder ce sujet, a alors demandé à Néron ce qu’elle pensait de la mode féminine de 2024 dans le monde du golf.
«(…) J’aime quand même le look un peu conservateur, je trouve ça respectueux pour un sport qui le mérite (…)», lançait-elle, en ajoutant qu’elle devait cependant retourner en magasin afin de s’équiper à nouveau et de voir ce qui était maintenant en vente.
Daniel a donc renchéri en expliquant à Néron que la mode vestimentaire du golf n’est plus ce qu’elle était, surtout du côté féminin.
«(…) Actuellement, en 2024, il y a beaucoup, beaucoup de filles sur les réseaux sociaux qui utilisent le golf pour bien se vendre, mais de façon très sexy (…)», affirmait-il à la grande surprise de Néron.
L’animateur a donc donné quelques noms en exemples, (Grace Charis, Paige Spiranac) voyant que Caroline n’était pas du tout au courant de ce qu’il avançait.
«(…) C’est des filles qui jouent bien au golf, mais qui mettent tous leurs attributs physiques de l’avant (…)», continuait-il, en disant que plusieurs terrains de golf ne les accepteraient pas à cause de leurs petits shorts et de leurs décolletés très plongeants.
Caroline est restée bouche bée devant les propos de Daniel.
L’animateur lui a lors demandé si elle pouvait s’imaginer être comme plusieurs golfeuses connues, en «golfeuse sexy», sur les réseaux sociaux, lorsqu’elle était plus jeune.
«(…) J’avais vraiment beaucoup de respect pour ce sport, mais ça reste que je pense que d’emblée là dans ma jeunesse, ma vingtaine, j’aimais ça m’habiller sexy, mais pas trop là. Donc peut-être que oui, mais c’est sûr que mon chandail était souvent trop court (…) trop sexy, non, je ne pense pas que ça a sa place sur un terrain de golf, mais encore là si c’est assumé! (…)», répondait-elle.
«(…) L’exemple que je te donne, c’est que c’est des filles assurément talentueuses en affaires, talentueuses au golf et elles utilisent leur corps littéralement pour vendre une image et elles sont vues par des millions (…)», lançait Daniel, attisant une réaction positive de Néron qui affirmait, à ce moment-là, que la tactique était très bonne, alors pourquoi pas?
Alors là, un technicien a apporté un téléphone à Daniel pour qu’il puisse montrer à Caroline un exemple de ce qu’il expliquait.
Lorsqu’elle a eu la photo entre les mains, elle a semblé avoir immédiatement changé d’idée.
«(…) Non, non, ça c’est intense! Elle n’est pas en top de maillot sur le terrain de golf là quand même? Ce n’est pas son habit de golf ça là? (…)», s’interrogeait-elle en semblant être découragée.
Daniel lui a donc répondu que oui, il pouvait s’agir d’un haut de maillot.
«(…) Ben voyons! Ah oui? Tout à fait?», répondait-elle choquée par ce qu’elle venait de voir.
L’animateur lui a ensuite montré une autre golfeuse.
«(…) Hein? Tu as le droit de t’habiller de même? (…) c’est un peu intense, non, moi je trouve ça intense (…)», réfléchissait-elle, alors que de son côté Daniel affirmait qu’il ne croyait pas que la golfeuse en question serait invitée à Laval-sur-le-lac.
«(…) Non, mais moi ça je trouve ça trop intense, elle joue en brassière! (…)», lançait-elle.
Daniel a alors affirmé, une fois de plus, que ce phénomène faisait maintenant partie du golf en 2024.
«(…) Non! Ah! Ben non! Ben là, non! Non! (…)», laissait-elle échapper, visiblement découragée.
Daniel lui a donc demandé comment elle réagirait si sa fille Emanuelle lui disait qu’elle désirait jouer au golf en étant habillée ainsi
«Ben, non. (rires) Bien, c’est-à-dire, j’ai encore le droit de lui dire quoi faire, mais à un moment donné, je n’aurai plus le droit. Je trouve que c’est un peu (…) non, c’est un peu too much, ça n’a même pas rapport avec le golf d’être en grosse craque (…), mais camisole, moi j’aurais apprécié moi porter la camisole. (…)», lançait-elle, en affirmant qu’il ne s’agirait cependant pas d’une camisole décolletée.
Et vous, qu’en pensez-vous?
Les femmes devraient-elles pouvoir s’habiller comme elles le désirent lorsqu’elles pratiquent le golf ou devrait-il y avoir de la réglementation?
Chacun des passages de Mariana Mazza à Tout le monde en parle, ou à peu près, fait du bruit et crée controverse.
On se souvient, par exemple, de la vague d’indignation suscitée par son interaction avec le regretté Guy Lafleur, en 2020, quand l’humoriste avait lancé un «Mon tab*rnak!» bien senti au hockeyeur chouchou des Québécois. Une photo de Mariana et M. Lafleur, très complices dans un fou rire, avait eu beau circuler abondamment sur la Toile, la jeune femme avait dû composer avec des insultes (ironiquement, encore plus violentes que ses propos) et des accusations de non-respect à la légende qu’incarnait Guy Lafleur, voire de profanation de symbole.
Ce à quoi Mariana a répliqué: «Attends, laisse-moi terminer ma phrase!»
Un ordre qui a résonné sèchement à nos oreilles, mais qui a surtout jailli rapidement de la bouche de Mariana. Dans le feu de la discussion, celle-ci n’a, disons, pas eu le temps d’enfiler de gants blancs. De son côté, Pénélope McQuade a elle aussi reçu des commentaires sévères pour avoir coupé la parole de Mariana.
«Les gens ont pensé que j’étais fâchée, mais pas du tout», a expliqué Mariana Mazza à Hollywood PQ au surlendemain de la diffusion de Tout le monde en parle.
«On est des amies. On se parlait du même sujet dans la loge. Et Pénélope n’a pas mérité les critiques qu’il y a eu à son égard. C’est juste poche pour elle, parce qu’elle était là de bonne foi. J’ai trouvé ça vraiment plate.»
«Les gens aiment basher, des fois. Je pense que les gens ne vont pas bien. On dirait que les gens sont vraiment impatients, et je ne sais pas pourquoi. Mais, bon, on ne peut rien faire…», a calmement ajouté l’artiste.
Cet énième épisode de tempête dans le grand verre d’eau des réseaux sociaux n’a pas empêché Mariana d’aller s’amuser à la première du nouveau spectacle de son grand ami Simon Delisle, Tache, qui se tenait mardi, à la Place des Arts. Celui-ci a été scripteur sur les deux premiers spectacles de Mariana, Femme ta gueule (2016) et Impolie: Pardonne-moi si je t’aime (2022), et collaborera également à son troisième, dont les détails seront dévoilés la semaine prochaine.
Gildor Roy était de passage à Tout le monde en parle dimanche dernier pour parler de plusieurs sujets, de sa transition de District 31 à la nouvelle série de Luc Dionne, Dumas, à son plus récent projet de séries d’entrevues, en passant par son dernier film, La petite et le vieux.
Un nom revenait toutefois dans plusieurs de ces discussions… soit celui de Vincent-Guillaume Otis, son complice de District 31, mais aussi de La petite et le vieux, alors que les deux acteurs partagent la vedette avec Juliette Bharucha.
C’est d’ailleurs cette dernière qui devait parfois les ramener à l’ordre, alors que la réunion de Roy et Otis post-District 31 excitait les deux stars au plus haut point!
Un segment qui a permis de comprendre que la complicité de Gildor Roy et Vincent-Guillaume Otis s’étend bien au-delà de l’écran.
«Je l’aime moi Vincent-Guillaume, c’est quelqu’un de très estimable, c’est un pilier formidable. C’est comme un petit frère», va même jusqu’à dire l’ancien Commandant Chiasson.
Un compliment qui fera sans aucun doute plaisir au principal intéressé!
Simon Delisle est de ces intrépides qui se sont faufilés dans l’écosystème humoristique par la porte de côté, peut-être la plus authentique.
Pas assez médiatiquement présent pour qu’on se lasse de lui. Pas imbu de lui-même au point de rechercher la lumière à tout prix. Souvent scripteur pour ses collègues (Jeremy Demay, Laurent Paquin, Mariana Mazza). Intelligent et sûr de lui (du moins, il paraît).
Et il est vivement apprécié dans son milieu, à en constater le nombre de personnalités qui s’étaient déplacées à la Cinquième Salle de la Place des Arts, mardi, pour la première médiatique de son deuxième one man show, Tache. Celui-ci succède à Invincible, son premier effort entamé au printemps 2022. Si Simon Delisle constitue encore pour vous un secret bien gardé, tendez l’oreille, il y a là une jolie perle à découvrir.
Seulement, votre oreille, elle devra s’habituer au débit trépidant de ses paroles. Était-ce le stress du baptême devant les pairs, mardi, ou la simple impatience de nous balancer un contenu dont il aurait raison d’être fier, mais on en perdait des bouts tant les mots se bousculaient dans la bouche de Simon. Ce dernier tire tellement à gauche et à droite, avec des observations souvent si savoureuses, qu’il est dommage d’en échapper des parcelles.
Du Windex intellectuel!
Le titre Tache prend son sens à la fin de l’heure-et-des-poussières de la représentation, son explication fermant un récit «d’accident» de jeunesse honteux qui a permis au petit Simon Delisle de jadis d’apprivoiser timidement la notion de deuil, apprentissage semblant se poursuivre aujourd’hui.
Mais les taches de son existence, notre hôte les éponge à grands coups de Windex intellectuel tout au long de ce deuxième spectacle. Car Simon Delisle décrie, surtout, dans ce monologue ininterrompu, davantage qu’il n’encense. C’est subtil au début, puis le ton s’affirme au rythme où la tirade progresse: Simon Delisle est chialeux! Mais son chialage est de bon goût et souvent très drôle.
Parce que la pression est grande sur les épaules d’un humoriste qui rapplique avec une deuxième tournée, Delisle déjoue le mauvais sort en remémorant, d’emblée, deux de ses pires shows en carrière. Délectables anecdotes, parfois dures pour l’ego de notre homme.
Celui-ci décrète ensuite une vérité peut-être inéluctable (discutez?): si vous aimez l’hiver, vous êtes atteints du syndrome de Stockholm. Qu’on soit d’accord ou pas, ses explications sont pertinentes. Le seul sport enneigé qui fait du sens pour Simon Delisle est le biathlon, parce que déambuler en ski de fond lui donne véritablement des envies de tirer à la carabine. Preuve de la singularité du style du nouveau quadragénaire: parvenir à réinventer, en 2024, le grommelage envers la saison froide, alors que Dominique Michel entonnait Hiver maudit (J’haïs l’hiver) à la fin des années 1970, il faut le faire.
L’une des grandes forces de Simon Delisle réside dans sa capacité à fondre les sujets les uns dans les autres avec la fluidité du beurre s’éteignant dans la poêle. On glisse sur ses propos, et pouf! Soudainement, on est ailleurs. Sans l’avoir réalisé. La transition a été tellement naturelle qu’on ne l’a nullement décelée. La rapidité de son phrasé y est peut-être pour quelque chose, mais Delisle possède indéniablement le talent de parler d’Old Orchard, de paresse, d’hyper-positivité, de ChatGPT, de Dixie Lee (chaîne de restaurants apparemment pas tout à fait végane où peut s’incarner le symbolisme profond de la surutilisée expression «YOLO») et du mantra «Merci la vie» (qu’il abhorre) dans un même seul et long trait, sans qu’on ne sache où tout a commencé et où tout se terminera. Bref, il nous envoûte. Comme si, dans sa tête, toutes ces réflexions étaient tangiblement interreliées. Et l’ensemble demeure digeste.
Au cœur de Tache, l’autodérision, l’une des armes de séduction massive de Simon Delisle. Celle-ci point un peu partout, comme dans ce segment médical brodé autour de sa passion des hôpitaux (la cuisson du poulet y est plus à point que dans un tout-inclus, soutient-il). Aussi, lorsqu’il est question de son alopécie, de son vitiligo, de son diabète (Simon Delisle est atteint de polyendocrinopathie et a reçu son diagnostic à l’âge de 9 ans, comme il l’explique à sa manière dans son texte).
Mais l’autodérision en elle-même est aussi l’objet d’un très habile numéro, dans le même souffle que cette «résilience» qu’on célèbre tant, à tort, observe Delisle. Sa propension à savoir rire de lui-même ne devrait pas ouvrir la porte aux commentaires méchants d’autrui. Le message, transmis façon Simon Delisle, frappe dans le mille.
Mat Lévesque, un dur à cuire
En première partie de Tache, Mathieu «Mat» Lévesque est arrivé sur scène comme un coup de poing avec sa carrure respectable, son autorité naturelle, sa voix tonitruante et son vocabulaire de taverne.
La comparaison est à-propos; le jeune sosie (physiquement) du défunt comédien Robert Gravel nous raconte justement, entre autres, sa plus grosse «brosse» à vie, expérimentée pendant la pandémie. Un épisode où il était vraiment «en feu», au propre comme au figuré!
Aussi bon orateur que son complice de coulisses (et aussi vite à déballer son sac), Lévesque, avec «[sa] face de chips Yum Yum au vinaigre», tourne beaucoup dans le rayon des paradis artificiels, avec un ultime jab aigre-doux à la paternité.
Pas pour les bambins, mais on a entendu pire.
Simon Delisle présente Tache en tournée. Visitez son site web (simondelisle.ca) pour plus d’informations.
Julie Deslauriers se trouvait sur le plateau de Les enfants de la télé en raison du spécialChambres en ville où elle interprétait, à l’époque de la série culte, le rôle de la petite sœur de Pete (Francis Reddy), Caroline.
Après avoir revu certaines scènes de l’émission, une en particulier a fait l’objet de grandes émotions pour la comédienne.
Rappelons que son personnage était atteint du sida et que ses derniers moments ont été très touchants. C’est en voyant la scène où elle part dans les bras de Pete que Julie a fondu en larmes face à ce souvenir.
«C’est vraiment chargé; c’est émouvant. Qu’est-ce qui te revient de tout ça, toi?», lui demande l’animateur André Robitaille.
«Bien, je suis touchée de revoir ça; de revivre ça. Je me rappelle que ça avait été fait avec beaucoup de respect et d’amour. Puis, c’était comme la dernière scène de mon personnage», témoigne Julie avec beaucoup d’émotion.
Elle a d’ailleurs ajouté que, dès le départ, elle savait que son personnage allait être atteinte du sida et qu’elle allait mourir.
Un moment très touchant sur le plateau, qui rappelait beaucoup de vieux souvenirs tant pour les comédiens, l’autrice Sylvie Payette, que pour le public!