Nathalie Simard était présente sur le plateau de Ça finit bien la semaine, aux côtés de Gino Chouinard, qui lui, y était pour parler de son livre 3800 matins. C’est au cours de cette émission que l’ancien animateur de Salut Bonjour a fait une révélation des plus surprenantes.
«Vous saviez qu’on a déjà failli sortir ensemble?», témoigne tout à coup Chouinard entre deux discussions.
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Une confidence à laquelle Nathalie a acquiescé, en ajoutant avec humour que c’était une chance pour Gino que cela ne se soit pas concrétisé.
«Mais, une chance pour toi, parce que ma vie a été l’enfer. Aujourd’hui, ça serait mieux, tu sais», répond l’animatrice de Ma mère, ton père.
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C’est ensuite que les animateurs Julie Bélanger et Jean-Michel Anctil ont voulu en savoir plus, tout en se demandant si les deux faisaient une blague.
«Non, non, c’est vrai, je n’ai juste pas choisi le bon… épaisse», témoigne la chanteuse qui est célibataire depuis peu et qui a vécu quelques ruptures au cours de sa vie.
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«C’est à l’époque de Double Défi, en 1989, je commence à la télé. Nathalie est déjà une star, puis il y a un gars de mon équipe qui tourne autour d’elle. Moi, mon père aurait été fier, je veux dire (…) Mais, moi, j’étais un peu plus discret dans mes approches…», raconte Gino.
«Trop…», spécifie Nathalie.
«L’autre candidat était plus démonstratif, alors ça a été…», continue-t-il.
«Non, non, ça n’a pas…», rectifie la chanteuse avec humour.
Ainsi, quand ils se croisent, les deux se rappellent qu’ils auraient pu être ensemble!
Gino est aujourd’hui en amour depuis de nombreuses années avec Isabelle, avec qui il a deux enfants.
Nathalie, quant à elle, se trouve bien célibataire pour le moment, comme elle le dévoilait lors de ce même épisode de Ça finit bien la semaine.
Dans la garde rapprochée de l’humoriste, on retrouve également (au moins) un autre comique, Simon Delisle. Et Mariana et Simon sont très liés; non seulement ils font équipe professionnellement depuis une quinzaine d’années (Delisle a été scripteur sur les deux premiers one woman show de Mariana, et cosignera son troisième, qui se mettra très bientôt en branle), mais ils se côtoient aussi de près dans leur vie privée.
Tellement que Mariana a été nommée marraine de la fille de Simon.
«Clémence a 7 ans et Victor a 9 ans», a glissé Mariana au sujet de la progéniture de son vieux complice, lorsqu’on l’a croisée, justement, à la première médiatique du nouveau spectacle de ce dernier, intitulé Tache.
Simon Delisle, grand ami de Mariana Mazza / Crédit : Serge Cloutier
«On est très proches, je suis une grande fan et je l’aime. C’est un très bon ami. Il a toujours été là pour moi quand je faisais En route vers mon premier gala [en 2013, NDLR]. Il est pris avec moi!», a continué la jeune femme en guise d’éloges envers Simon Delilsle.
Mariana Mazza, qui était saluée et sollicitée de toutes parts sur le tapis rouge de Tache, a encore mille projets à son agenda. Outre le nouveau spectacle qu’elle s’apprête à lancer, elle entame la promotion de son nouveau roman, Rivière-des-Prairies, joue dans la deuxième saison de L’aréna, à Noovo (date de diffusion à confirmer) et sera l’une des têtes d’affiche d’ICI ARTV en janvier, avec le magazine littéraire Livre ouvert, qui comportera huit rendez-vous d’une demi-heure. Une deuxième saison est déjà en chantier.
«Il y aura autant des intervenants en littérature, que des artistes dont je vais visiter la bibliothèque et parler avec eux de leurs livres préférés. Je vais faire une recommandation express de livre à la fin de chaque épisode», a détaillé l’animatrice, précisant que Livre ouvert s’intéressera à tous les aspects des bouquins, de leur production à leur promotion. Mariana Mazza se rendra aussi dans une prison pour s’intéresser aux lectures des détenus, se renseignera sur le caractère «somnolent» des livres, questionnera l’attraction des enfants vers les pages couvertures, fouillera les montants de droits d’auteurs, etc.
«C’est vraiment l’univers du livre!», a résumé la grande lectrice assumée, qui, depuis quelques étés, présente justement des chroniques littéraires au talk-show Bonsoir Bonsoir, à ICI TÉLÉ.
En mai dernier, la vedette de Stranger Things, Millie Bobby Brown, et le fils de Jon Bon Jovi, Jake, se sont mariés en Italie. Ensemble depuis 2021, ils se sont fiancés en 2023, filant le parfait bonheur depuis.
La nouvelle mariée a partagé plusieurs clichés dans un carrousel sur Instagram et sur le dernier d’entre eux, il est possible de déduire que l’ambiance de la réception était à la fête.
«Forever and always, your wife», écrivait-elle en description.
À son tour, le nouvel époux a aussi partagé un carrousel de photo portant une mention similaire: «Forever and always, your husband».
Instagram @jakebongiov
Pour la cérémonie, Millie portait un corset et une doublure en dentelle. Elle avait aussi un très long voile avec une bordure de dentelle à la base. Jake, quant à lui, portait un veston couleur crème, un nœud papillon ainsi que des pantalons noirs.
Papa Bon Jovi portait les mêmes couleurs que son fils.
Sur la dernière photo du carrousel, vous verrez que la cérémonie a pris place à l’extérieur, entre les arbres, sous une immense arche florale.
Instagram @jakebongiov
Avez-vous reconnu le célébrant? C’est Matthew Modine, le papa d’Eleven (Millie) dans Stranger Things!
Ils ont choisi de célébrer leur amour à la VillaCetinale, en Toscane.
Jonathan Roberge photographié au lancement de la série documentaire Steak, blé d'Inde, patates, dont il est l'animateur sur la chaîne Historia.
«À Xavier et Jules. Nous ne dirigerons jamais le vent, mais alignerons toujours nos voiles.»
C’est ainsi que se lit la dédicace aux premières pages de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour, nouveau livre de Jonathan Roberge, qui contient le texte du spectacle Bisou, que l’humoriste et animateur devait originalement lancer en 2020. La maladie de son fils aîné et la pandémie auront eu raison de cette tournée qui a sans cesse été annulée, puis reportée, pendant plus de deux ans.
L’artiste avait donné une quarantaine de représentations de rodage, mais n’a jamais pu atteindre le grand soir de la première médiatique. Son garçon Xavier, alors âgé de 10 ans, a reçu son diagnostic de cancer du cerveau, puis la COVID-19 a forcé la fermeture des salles de spectacle.
«Quand on a voulu repartir, Xa est retombé malade. On a réannulé. Déplacé toutes les dates. J’ai ensuite voulu recommencer; j’ai fait un ou deux soirs. Xa a eu une autre récidive. On est arrêtés encore! Puis, il y a eu la deuxième vague de confinement. Une fois déconfinés, j’allais repartir… Et Xa est tombé malade une autre fois…. Je n’étais pas capable de monter sur scène en sachant que mon gars était en train de récupérer d’une opération au cerveau», nous raconte Jonathan Roberge.
La succession d’événements est résumée à l’endos de son petit bouquin bleu, mais pas exactement de cette façon. On comprend que les souvenirs s’emmêlent peut-être un peu dans l’esprit du papa toujours souriant malgré les épreuves, mais l’essentiel y est : les astres n’étaient résolument pas alignés pour que Bisou voie le jour sur les planches. Alors en ondes quotidiennement à CKOI, Jonathan s’est fait conseiller par ses collègues de radio de mettre le projet de one man show comique sur la glace. Il aura toute la vie, après tout, pour sillonner les routes et les salles. Et, plus tard, Adib Alkhalidey, qui venait lui-même de consigner en un ouvrage littéraire le scénario de son très plébiscité opus Québécois Tabarnak (lancé en 2022), lui a glissé l’idée d’imprimer son contenu pour le grand public.
Réponse de Jonathan?
«Tellement!»
«J’ai mis beaucoup d’huile de coude dans ce projet-là. J’ai travaillé très fort dans les derniers mois», soutient Jonathan Roberge au sujet du livre publié aux Éditions Stanké, déjà disponible en librairie. «Je suis retourné dans mes textes écrits entre 2016 et 2019, je les ai remis au goût du jour. Il y a des numéros que j’avais ajoutés quand Xa est tombé malade. J’ai aussi écrit toute l’histoire derrière ce show-là, pourquoi ç’a été annulé. Ç’a été très thérapeutique de travailler ce livre-là. Je pense qu’il va faire rire, pleurer et faire du bien aux gens.»
La couverture du nouveau livre de Jonathan Roberge, Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour / Courtoisie Groupe Livre Québecor
Comment va Xavier?
Marie-Annick Lépine signe la préface de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour. Il faut savoir que (et la musicienne le relate dans son touchant message) Jonathan Roberge et elle se connaissent depuis l’adolescence. «Parce qu’on vient du même coin. C’est une bonne amie de longue date», signale ce dernier. Tous deux se souviennent que Marie-Annick a d’ailleurs bercé Xavier lorsqu’il était bébé.
«Karl (Tremblay) a eu son diagnostic [de cancer] trois mois après Xa. Et on a réalisé, Marie-Annick et moi, qu’on était mutuellement la seule personne qu’on connaissait qui avait vécu la même chose que nous, c’est-à-dire de monter sur scène et faire comme si tout allait bien, comme si on était heureux. On sait tous les deux ce que c’est, de monter sur une scène après avoir pleuré dans les coulisses parce que la personne qu’on aime le plus au monde est malade… Quand Marie-Annick a dit oui, ça m’a vraiment flatté. Et le texte est beau. C’est difficile de ne pas pleurer!»,
Aujourd’hui, Xavier a 15 ans. «Le petit bonhomme de 6 ans qu’on voyait dans la série Papa est rendu à 15 ans», s’enorgueillit son attentionné géniteur, le torse presque bombé de fierté. Xavier a subi quatre récidives de la maladie et, donc, cinq cancers en cinq ans. Il a traversé cinq opérations, 69 traitements de radiothérapie et de la chimiothérapie palliative.
«On en a fait, du chemin!», siffle Jonathan, en précisant que son adolescent guerrier a eu une autre opération en juillet dernier. «Au cerveau, encore, réalisée avec succès par le même docteur. En ce moment, on dit qu’il va bien dans les circonstances. C’est un cancer avancé. Xa continue le combat, un jour à la fois. Il est beau à voir aller : il joue au hockey, il va à l’école. Il n’abandonne jamais, cet enfant-là. Il est incroyable! Il a une urgence de vivre que peu de gens ont. Il est inspirant! Et tellement mature. Quand tu parles avec lui, tu as l’impression qu’il est un monsieur de 85 ans…»
Or, la dédicace qu’on mentionnait au début de cet article, elle est certes adressée à Xavier, mais aussi à son petit frère Jules, qui a 6 ans.
«On parle souvent du combat de Xavier, mais il ne faut pas oublier Jules, à côté, qui voit son idole avoir une maladie. Il a vu ses parents se séparer [Xavier et Jules n’ont pas la même maman, NDLR], il a vécu la pandémie, il a vécu un déménagement. Il est la victime collatérale de tout ce qui brasse! Il est dans l’ombre, à côté. Son frère est son idole et, à 6 ans, il commence à comprendre que ses bobos à la tête ont l’air sérieux. Alors, le livre est dédié à mes deux fils.»
Steak, blé d’Inde, patates : Bon appétit!
Jonathan Roberge connait par ailleurs un automne professionnel du tonnerre, alors qu’il est à la barre de trois émissions : Au-delà du sexe, à Télé-Québec, La guerre du web, à Unis TV,et Steak, blé d’Inde, patates, à Historia.
Au sujet de cette excellente série documentaire retraçant l’histoire culinaire de la Belle Province, Jonathan Roberge indique qu’elle répond presque à un fantasme qu’il entretenait!
Jonathan Roberge combine ses passions pour l’histoire et la gastronomie en animant Steak, blé d’Inde, patates, sur la chaîne Historia / Courtoisie Corus Média
«Moi, dans la vie, je voulais être artiste, humoriste, mais si ça n’avait pas fonctionné, mon plan B était de devenir professeur d’histoire. C’est une passion pour moi. Des émissions de cuisine, il y en a en simonac, mais ce show-là, c’est plus que de la cuisine. C’est de la fierté canadienne française, québécoise! En regardant cette émission-là, on est « une coche » plus fiers de vivres ici!», dépeint celui qui a pris goût à organiser de grandes tablées avec ses amis et leurs familles depuis le tournage de Steak, blé d’Inde, patates, où sont abordés plusieurs aspects de l’évolution de l’assiette des Québécois (Expo 67, la bouffe de nos grand-mères, les émissions et les livres de cuisine, la tradition de l’érable, etc).
Lara a partagé en stories quelques clichés du couple, que son amoureux a ensuite partagés à son tour, où ils semblent très heureux.
«1 an – Un beau chiffre rond, mais je me rappelle à tous les jours la chance que j’ai. Je me sens à la fois à la maison et au tout début d’une belle aventure», écrivait-elle, sur chacune des photos.
Ils avaient de très beaux matching outfits lors du Igloofest!
À travers les saisons, leur amour a continué de grandir.
À son tour, Vincent a partagé une publication et un long texte où il exprime la grandeur de ses sentiments pour sa douce.
«Lara, mon amour, ma bine, amor de mi vida, comme le temps passe vite à tes côtés. Ça fait aujourd’hui un an jour pour jour qu’on s’est dit je t’aime et je crois encore que c’est la meilleure décision que j’ai prise de ma vie. Si tu m’avais dit que dans un show de télévision de dating j’allais rencontrer la perle rare, la fille de mes rêves, jamais de ma vie je ne l’aurais cru! Et pourtant, chanceux comme je suis dans la vie, te voilà sur mon chemin, au moment où je m’y attendais le moins. (…) Bien vite, les mots je t’aime m’ont brûlé les lèvres, moi qui avais perdu espoir des les donner à nouveau à quelqu’un qui les mériterait. Je n’étais pas pressé de te les donner, mais tu avais déjà volé mon cœur et je savais déjà à ce moment que j’allais tout faire pour me réveiller à tes côtés, tous les matins de ma vie. Quand ton chemin croise une personne aussi spéciale que toi, tu ne peux pas laisser passer ça! (…)», écrivait Vincent, se remémorant leurs premiers moments.
Celle qui a aidé à démystifier de nombreux tabous et qui n’a jamais eu peur des mots s’est confiée sur de nombreux sujets, mais est également revenue sur une histoire avec Dominique Michel, en plus d’une avec Guy A. Lepage.
À l’époque, Janette a souvent été l’objet de blagues dans le milieu, ce qui l’a parfois blessée. Ce fut notamment le cas avec RBO. Elle a donc tenu à appeler Guy pour comprendre l’intention derrière ces messages humoristiques, mais blessants.
«J’appelle et je lui dis: Je veux comprendre, qu’est-ce que c’est un baveux? Et c’est là que j’ai trouvé qu’il était tellement tendre. Guy A., c’est un tendre», témoigne Janette, qui visiblement ne lui en a pas voulu longtemps.
Elle a aussi avoué avoir également passé un coup de fil à Dominique Michel, et là, les émotions étaient encore plus vives. En effet, à l’époque où Dodo caricaturait Janette dans les Bye Bye, cette dernière traversait une épreuve difficile, soit son divorce d’avec son ancien amoureux.
«(…) Le soir du jour de l’An, on regarde et là, ils font une parodie de moi où j’ai l’air de la plus niaiseuse du monde. Ça, par-dessus le divorce. J’ai tellement pleuré… alors j’appelle Dodo, puis je dis: Tu sais, tu m’as fait tellement de peine. C’est parce que ça tombait mal, là, dans un moment où je n’étais pas prête à vivre ça», dévoile Mme Bertrand, qui n’a pas peur d’exprimer ce qu’elle ressent.
Captuer ICI ARTV
Un moment très intéressant en compagnie de la talentueuse et unique Janette Bertrand!
De passage au balado Audré dans l’entrée, l’ex du chanteur Claude Bégin s’est ouverte sur le monde du mannequinat ainsi que sur le trouble alimentaire qu’elle a vécu.
Étant mannequin à temps plein depuis 15 ans, Clodelle a affirmé que ce domaine lui avait amené une grande ouverture d’esprit, mais que malheureusement, il y avait plus de points négatifs.
«Je ne vais pas mentir, c’est un métier très demandant. Il faut tout le temps que tu fit dans un moule. Ce n’est pas les vêtements qui vont fitter la mannequin, c’est la mannequin qui doit fitter dans les vêtements, donc tu es constamment sous pression d’être très maigre. Il faut que tu sois très disciplinée, c’est vraiment un peu comme être un athlète dans un certain sens (…). C’est beaucoup de pression, autant que c’est le fun et que c’est enrichissant et que tu apprends plein de choses, mais ton plaisir est souvent mis de côté (…). Moi, avec le temps, sous pression, j’étais beaucoup plus jeune, j’étais très en demande, j’avais une grosse carrière et I was struggling avec le fait de toujours rester une image parfaite. J’ai développé de la boulimie assez jeune, de l’anorexie, c’était vraiment sous pression à cause du métier, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté», racontait Clodelle en s’ouvrant sur le milieu du mannequinat.
Elle a continué en disant qu’elle est contente de revenir dans le métier maintenant âgée de 30 ans et qu’elle a envie de développer une relation saine avec le mannequinat pour guérir quelque chose à l’intérieur d’elle.
«J’avais besoin de me retrouver, de me poser certaines questions: Qu’est-ce que je veux dans la vie? Et comment je veux être dans mon corps ? Ça m’a vraiment fait du bien de prendre une pause, mais je suis contente de recommencer. Je trouve qu’à 30 ans, c’est un bel âge, je me connais maintenant, je connais mes limites. J’ai guéri ce côté-là de moi qui avait des troubles alimentaires et même quand j’ai arrêté, j’ai viré de l’autre bord des troubles alimentaires dans le sens que j’ai commencé à beaucoup manger, mais je pense que ça m’a vraiment fait du bien, j’avais besoin de ça», continue-t-elle en expliquant ce qui l’a amenée à reprendre ce métier, maintenant plus âgée.
Caroline Néron était de passage au podcast Golf Le Monde animé par Daniel Melançon, un épisode dans lequel ils ont ensemble parlé de golf, comme le veut le principe du balado.
Daniel, qui désirait justement aborder ce sujet, a alors demandé à Néron ce qu’elle pensait de la mode féminine de 2024 dans le monde du golf.
«(…) J’aime quand même le look un peu conservateur, je trouve ça respectueux pour un sport qui le mérite (…)», lançait-elle, en ajoutant qu’elle devait cependant retourner en magasin afin de s’équiper à nouveau et de voir ce qui était maintenant en vente.
Daniel a donc renchéri en expliquant à Néron que la mode vestimentaire du golf n’est plus ce qu’elle était, surtout du côté féminin.
«(…) Actuellement, en 2024, il y a beaucoup, beaucoup de filles sur les réseaux sociaux qui utilisent le golf pour bien se vendre, mais de façon très sexy (…)», affirmait-il à la grande surprise de Néron.
L’animateur a donc donné quelques noms en exemples, (Grace Charis, Paige Spiranac) voyant que Caroline n’était pas du tout au courant de ce qu’il avançait.
«(…) C’est des filles qui jouent bien au golf, mais qui mettent tous leurs attributs physiques de l’avant (…)», continuait-il, en disant que plusieurs terrains de golf ne les accepteraient pas à cause de leurs petits shorts et de leurs décolletés très plongeants.
Caroline est restée bouche bée devant les propos de Daniel.
L’animateur lui a lors demandé si elle pouvait s’imaginer être comme plusieurs golfeuses connues, en «golfeuse sexy», sur les réseaux sociaux, lorsqu’elle était plus jeune.
«(…) J’avais vraiment beaucoup de respect pour ce sport, mais ça reste que je pense que d’emblée là dans ma jeunesse, ma vingtaine, j’aimais ça m’habiller sexy, mais pas trop là. Donc peut-être que oui, mais c’est sûr que mon chandail était souvent trop court (…) trop sexy, non, je ne pense pas que ça a sa place sur un terrain de golf, mais encore là si c’est assumé! (…)», répondait-elle.
«(…) L’exemple que je te donne, c’est que c’est des filles assurément talentueuses en affaires, talentueuses au golf et elles utilisent leur corps littéralement pour vendre une image et elles sont vues par des millions (…)», lançait Daniel, attisant une réaction positive de Néron qui affirmait, à ce moment-là, que la tactique était très bonne, alors pourquoi pas?
Alors là, un technicien a apporté un téléphone à Daniel pour qu’il puisse montrer à Caroline un exemple de ce qu’il expliquait.
Capture YouTube @Golf Le Monde
Lorsqu’elle a eu la photo entre les mains, elle a semblé avoir immédiatement changé d’idée.
«(…) Non, non, ça c’est intense! Elle n’est pas en top de maillot sur le terrain de golf là quand même? Ce n’est pas son habit de golf ça là? (…)», s’interrogeait-elle en semblant être découragée.
Capture YouTube @Golf Le Monde
Daniel lui a donc répondu que oui, il pouvait s’agir d’un haut de maillot.
«(…) Ben voyons! Ah oui? Tout à fait?», répondait-elle choquée par ce qu’elle venait de voir.
L’animateur lui a ensuite montré une autre golfeuse.
«(…) Hein? Tu as le droit de t’habiller de même? (…) c’est un peu intense, non, moi je trouve ça intense (…)», réfléchissait-elle, alors que de son côté Daniel affirmait qu’il ne croyait pas que la golfeuse en question serait invitée à Laval-sur-le-lac.
Capture YouTube @Golf Le Monde
«(…) Non, mais moi ça je trouve ça trop intense, elle joue en brassière! (…)», lançait-elle.
Daniel a alors affirmé, une fois de plus, que ce phénomène faisait maintenant partie du golf en 2024.
«(…) Non! Ah! Ben non! Ben là, non! Non! (…)», laissait-elle échapper, visiblement découragée.
Daniel lui a donc demandé comment elle réagirait si sa fille Emanuelle lui disait qu’elle désirait jouer au golf en étant habillée ainsi
«Ben, non. (rires) Bien, c’est-à-dire, j’ai encore le droit de lui dire quoi faire, mais à un moment donné, je n’aurai plus le droit. Je trouve que c’est un peu (…) non, c’est un peu too much, ça n’a même pas rapport avec le golf d’être en grosse craque (…), mais camisole, moi j’aurais apprécié moi porter la camisole. (…)», lançait-elle, en affirmant qu’il ne s’agirait cependant pas d’une camisole décolletée.
Et vous, qu’en pensez-vous?
Les femmes devraient-elles pouvoir s’habiller comme elles le désirent lorsqu’elles pratiquent le golf ou devrait-il y avoir de la réglementation?
Chacun des passages de Mariana Mazza à Tout le monde en parle, ou à peu près, fait du bruit et crée controverse.
On se souvient, par exemple, de la vague d’indignation suscitée par son interaction avec le regretté Guy Lafleur, en 2020, quand l’humoriste avait lancé un «Mon tab*rnak!» bien senti au hockeyeur chouchou des Québécois. Une photo de Mariana et M. Lafleur, très complices dans un fou rire, avait eu beau circuler abondamment sur la Toile, la jeune femme avait dû composer avec des insultes (ironiquement, encore plus violentes que ses propos) et des accusations de non-respect à la légende qu’incarnait Guy Lafleur, voire de profanation de symbole.
Ce à quoi Mariana a répliqué: «Attends, laisse-moi terminer ma phrase!»
Un ordre qui a résonné sèchement à nos oreilles, mais qui a surtout jailli rapidement de la bouche de Mariana. Dans le feu de la discussion, celle-ci n’a, disons, pas eu le temps d’enfiler de gants blancs. De son côté, Pénélope McQuade a elle aussi reçu des commentaires sévères pour avoir coupé la parole de Mariana.
Mariana Mazza assure actuellement la promotion de son nouveau roman, intitulé Rivière-des-Prairies / Montage photo – Courtoisie Productions J / Éditions Québec Amérique
«Les gens ont pensé que j’étais fâchée, mais pas du tout», a expliqué Mariana Mazza à Hollywood PQ au surlendemain de la diffusion de Tout le monde en parle.
«On est des amies. On se parlait du même sujet dans la loge. Et Pénélope n’a pas mérité les critiques qu’il y a eu à son égard. C’est juste poche pour elle, parce qu’elle était là de bonne foi. J’ai trouvé ça vraiment plate.»
«Les gens aiment basher, des fois. Je pense que les gens ne vont pas bien. On dirait que les gens sont vraiment impatients, et je ne sais pas pourquoi. Mais, bon, on ne peut rien faire…», a calmement ajouté l’artiste.
Cet énième épisode de tempête dans le grand verre d’eau des réseaux sociaux n’a pas empêché Mariana d’aller s’amuser à la première du nouveau spectacle de son grand ami Simon Delisle, Tache, qui se tenait mardi, à la Place des Arts. Celui-ci a été scripteur sur les deux premiers spectacles de Mariana, Femme ta gueule (2016) et Impolie: Pardonne-moi si je t’aime (2022), et collaborera également à son troisième, dont les détails seront dévoilés la semaine prochaine.
Gildor Roy était de passage à Tout le monde en parle dimanche dernier pour parler de plusieurs sujets, de sa transition de District 31 à la nouvelle série de Luc Dionne, Dumas, à son plus récent projet de séries d’entrevues, en passant par son dernier film, La petite et le vieux.
Notre premier invité de la soirée, Gildor Roy, est en vedette dans la série Dumas et dans le film La petite et le vieux. #TLMEPpic.twitter.com/MXxakFVz8x
Un nom revenait toutefois dans plusieurs de ces discussions… soit celui de Vincent-Guillaume Otis, son complice de District 31, mais aussi de La petite et le vieux, alors que les deux acteurs partagent la vedette avec Juliette Bharucha.
C’est d’ailleurs cette dernière qui devait parfois les ramener à l’ordre, alors que la réunion de Roy et Otis post-District 31 excitait les deux stars au plus haut point!
Un segment qui a permis de comprendre que la complicité de Gildor Roy et Vincent-Guillaume Otis s’étend bien au-delà de l’écran.
«Je l’aime moi Vincent-Guillaume, c’est quelqu’un de très estimable, c’est un pilier formidable. C’est comme un petit frère», va même jusqu’à dire l’ancien Commandant Chiasson.
Un compliment qui fera sans aucun doute plaisir au principal intéressé!