Boom Desjardins était de passage à Ça finit bien la semaine en compagnie de son groupe La Chicane, où il s’est confié sur le tout nouveau rôle qu’il interprétera bientôt.
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Celui qui est papa de quatre enfants, dont trois issus de sa relation avec Tania, sa conjointe des dernières années, va jouer le rôle de grand-papa. C’est sa fille aînée, issue d’une précédente relation, qui s’apprête à devenir maman.
«Tu vas devenir grand-papa très bientôt! C’est fou! T’es un jeune grand-papa», souligne la coanimatrice Julie Bélanger.
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«Bien, je suis un vieux papa aussi parce que j’ai un enfant de huit ans; on en a fait un flambant neuf dernièrement. Non, mais c’était voulu (…) Mais, sérieusement, oui, c’est spécial! Ça va être la première fois que je vais vivre ça, de voir un petit être qui, finalement, va me ressembler. Dans le fond, je peux le dire, c’est une petite fille (…). Je vais souvent en Abitibi (…) Ma fille est en Abitibi, que j’ai eue d’une autre union, qui a 28 ans (…). Ça va être encore plus le fun d’aller en Abitibi», dévoile Boom sur ce futur rôle qu’il semble attendre avec impatience.
Mariana Mazza était de passage à Tout le monde en parle dimanche et abordait plusieurs thèmes, dont celui de l’intransigeance et du rejet, en marge de la promotion de son nouveau livre, Rivière-des-Prairies.
Après nous avoir parlé de son enfance dans le livre Montréal-Nord, Mariana Mazza raconte son adolescence dans Rivière-des-Prairies. On la reçoit dans quelques minutes #TLMEPpic.twitter.com/leceoAjGmF
«J’ai rejeté les gens et aujourd’hui, ça me renvoie en plein visage ce que je faisais, parce que j’ai vécu beaucoup de rejet à l’âge adulte et je sais que c’est souvent de ma faute, parce que je suis très exigeante et j’ai toujours l’espoir que les gens deviennent comme moi je veux qu’ils deviennent, parce que c’est la bonne façon d’être, mais les gens peuvent pas être (…) tu ne peux pas désirer plus que les autres. Moi, je veux plus pour les autres. Moi, je te regarde, puis je te dis: Non, non Guy, tu comprends pas, ce show-là, on peut l’emmener ailleurs (…) Moi, je suis crinquée, ça fait que si t’es pas prêt à ça, moi ça va me décevoir, puis je ne vais plus vouloir être ton amie», lance Mazza, ce qui permet de mieux comprendre la femme qu’elle est.
Êtes-vous ou connaissez-vous de ce type de personnes?
Le lancement de Rivière-des-Prairies, de Mariana Mazza, est prévu pour le 1er octobre.
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop, avec Elizabeth Duperré, David Savard et Sylvain Marcel
Elle est plus que venue, l’heure de célébrer dignement les immuables accomplissements du papa de nos humoristes, du grand Deschamps. Il a 89 ans. Il faut le remercier pendant que résonne encore à nos oreilles son rire aussi sonore que candide, ses gloussements uniques, rien qu’à lui, reconnaissables entre mille.
Plus que jamais, on prend collectivement conscience de sa valeur, à ce trésor comique-philosophe-critique de l’ordinaire et de ses contemporains comme seul le Québec a su en créer ou à peu près. On dirait qu’actuellement l’urgence se presse, on réalise que Deschamps n’est pas plus immortel que Ferland ou qu’un autre, les projets d’hommages s’accumulent et s’entrecroisent: le recueil Vraiment tout Deschamps… au complet vient de paraître en librairie, une série télévisée se mitonne sous le parrainage d’Alexis Durand-Brault (rapportait le quotidien La Presse l’an dernier), Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques offre son coup de chapeau dans le balado Les mots d’Yvon Deschamps, sur OHdio, et d’autres rumeurs de spectacles en gestation se murmurent ça et là. Le Deschamps des beaux jours nous aurait probablement taquiné avec son sourire moqueur qu’il était temps qu’on se réveille.
Yvon Deschamps et Judi Richards à la première d’Yvon Deschamps raconte la shop, le mardi 24 septembre, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Et il y a cette fresque, Yvon Deschamps raconte la shop, qui se dévoilait au Théâtre Maisonneuve, à Montréal. Qui ne constitue peut-être pas «l’hommage des hommages», mais qui s’avère incontestablement digne de la grandeur de son sujet. Une magnifique production, inventive, respectueuse, articulée autour de l’œuvre brute d’Yvon Deschamps, de ses textes marquants. Sur papier, Yvon Deschamps raconte la shop laissait craindre le pire: on présentait le tout comme un amalgame de jeu, de chanson, de danse, de cirque, dans un univers «rétrofuturiste» (ce dernier n’étant finalement pas si palpable). Mais, qu’est-ce que cet objet disparate allait bien pouvoir manger en hiver?, redoutions-nous.
C’était toutefois de sous-estimer la vision du concepteur et metteur en scène Jean-François Blais (En direct de l’univers, La Voix, galas ComediHa!) et, sans doute aussi, sa passion pour l’héritage de Deschamps, que de douter ainsi. La pièce de théâtre qu’il nous propose illumine les monologues du maître de brillante façon en les supportant de musiques (variées), de chorégraphies (soignées) et d’acrobaties (réussies). On ne se tanne jamais de les réentendre, ces numéros d’Yvon Deschamps, ces Unions, qu’ossa donne? et autres Le bonheur, mais ils sont ici mis en valeur autrement et superbement… et nous font réaliser que bien peu de choses ont changé depuis l’époque où Deschamps maniait encore sa plume.
Une scène acrobatique du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Sur scène, un décor d’usine. Celui de la shop. Des blocs et des tonneaux blancs, d’immenses pièces de machinerie, une clôture, qui disparaîtra, puis reviendra. Et les travailleurs, tout en blanc aussi. Il y a le frondeur (David Savard), la rêveuse (Elizabeth Duperré), le mouton (Stéphane Archambault), le syndicaliste (Sylvain Marcel) et le contremaître (David-Alexandre Després, dans un rôle muet). Chacun aura, dans les deux heures trente suivantes, sa partition de Deschamps à réciter, selon la personnalité de son personnage, dans une habile distribution des mots. Les travailleurs racontent leurs splendeurs et leurs misères. Les monologues, ici, se répondent et deviennent parfois dialogues. Autour du noyau de protagonistes se meuvent les autres ouvriers, alias huit danseurs et deux acrobates, et trois musiciens par-dessus le marché.
Yvon Deschamps lui-même n’est pas dans le spectacle… Ou, plutôt, oui. Il apparait dans son écran en médaillon, un peu plus haut que l’action, dans des petits bouts de narration récemment filmés, où il brasse encore la cage de ses observations et de la douce ironie qui est la sienne, liant ainsi les tableaux entre eux. On n’a heureusement pas abusé du procédé; ce n’est pas un one-man-show d’Yvon Deschamps comme tel, après tout, mais on a ainsi une idée de ce que dirait l’homme s’il devait monter au micro du Bordel en 2024.
On a aussi trouvé façon d’insérer des références à l’univers de Charlie Chaplin, l’une des idoles de Deschamps, surtout au début, avec des directives adressées aux spectateurs en noir et blanc: «Applaudissez!»; «Êtes-vous en forme?»; «Plus fort que ça!»
Une scène d’Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
La première vignette est celle du dur labeur. Celle d’Une job steady pis un bon boss et des Unions, qu’ossa donne?,où on se réjouit de la semaine de 54 heures de travail et d’une unique semaine de vacances par année, sans sécurité physique, sans sécurité d’emploi. Les artistes se déplacent en mouvements militaires dans une union – justement! – de gestes étudiés. Puis, il y aura Les filles, La noce de la fille du boss, L’argent, La paternité, Papa, Le boss est mort, Lock Out et l’inévitable Bonheur en fermeture. Avec tous ces bouts de phrases mémorables d’Yvon Deschamps qui ont imprégné notre mémoire collective.
À eux seuls, les acteurs, tous excellents, constituent une immense force d’Yvon Deschamps raconte la shop. David Savard insuffle un aplomb imposant à son séducteur frondeur qui se questionne sur le consentement dans Les filles (d’actualité, Deschamps, vous avez dit?) Mention spéciale à Elizabeth Duperré, dont la voix magnifie un peu tous les segments. En grande contemplative qui rêve d’un mariage fastueux comme La noce de la fille du boss, la comédienne des Moments parfaits et d’Avant le crash allie vulnérabilité et caractère. Elle est sans contredit la révélation du spectacle.
Yvon Deschamps entouré de Sylvain Marcel, Elizabeth Duperré et David Savard à la fin de la première médiatique d’Yvon Deschamps raconte la shop, le 24 septembre 2024, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Dans chacune des parenthèses, une ou des chanson(s). Pas nécessairement de Deschamps. Yvon Deschamps raconte la shop est également, à petite échelle, une fleur à tous nos grands auteurs-compositeurs. Travailler, de Pagliaro, et Comme un million de gens, de Dubois, accompagnent le flot Dans ma cour. Il y aura aussi La vie de factrie (Clémence Desrochers), À hauteur d’homme (Vincent Vallières), La maudite machine (Pierre Flynn)… La prouesse circassienne romantique de main à main sur Sous les cheminées, de Richard Séguin, avec, encore, le timbre de Duperré pour rehausser le tout, est émouvante. La relecture de Cash City, du répertoire de De Larochellière, sonne un peu douteuse en filigrane de la diatribe sur l’argent, mais la plupart des arrangements sont harmonieux. Et on entend aussi, bien sûr, les On est content, Les fesses, Papa, Seul, Boum Boum, Le bonheur et Aimons-nous, toutes signées ou cosignées Deschamps.
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Yvon Deschamps raconte la shop incarne en somme l’illustre décret de jadis d’Yvon Deschamps (qui jaillit bien sûr rapidement dans l’enchaînement): «On veut pas le sawoère, on veut le woère!». Sous les ordres de Jean-François Blais, le petit monde d’Yvon Deschamps prend corps en chair et en os, réinventé, mais fidèle à l’original. C’est de toute beauté. Et on se surprend à réaliser, en écoutant ces doléances d’une maudite machine qui aurait avalé les salariés, en recevant les autoritaires: «Moé pis ma sœur, on veut de l’industrialisation!», aujourd’hui, à l’heure où l’intelligence artificielle nous fait craindre le pire, que les observations d’Yvon Deschamps étaient réellement, cruellement, et resteront, intemporelles.
Le spectacle Yvon Deschamps raconte la shop est présentement en tournée.
Des supplémentaires ont déjà été annoncées dans plusieurs villes.
Consultez le yvondeschamps.com pour plus d’informations!
«Oui. J’aimerais ça. Bien là, j’ai 36 ans, ma femme a 36, donc il faudrait qu’on fasse ça au plus cr*sse, mais chaque chose en son temps», avouait-il dans un premier temps.
Il semblerait d’ailleurs que ce ne soit pas seulement un projet prévu pour le futur mais que le couple soit présentement en tentative.
«On fait bing bing et je viens dedans et c’est good, là, mais on va voir… oups!», lançait-il, s’apercevant des mots qu’il avait employés pour parler du sujet.
Capture YouTube @HugoGirardSansLimite
Hugo a donc fait la même conclusion que nous et lui a demandé si ça allait arriver et s’ils travaillaient sur le projet.
«(…) Espérons-le (…) mais imagine que je suis… je ne sais pas moi (…)», lançait-il en voulant probablement parler d’infertilité.
Hugo lui a alors demandé si ça faisait longtemps qu’ils essayaient.
«Non, ça ne fait pas longtemps, donc je ne suis pas inquiet (…)», affirmait-il.
Nous souhaitons donc à Adamo et à sa conjointe que leur désir d’avoir un enfant se réalise si tel est le cas.
En décembre 2019, l’ex-candidate d’OD Bali, Alanis Désilets a dévoilé que son conjoint, Joël Giguère, lui avait fait sa demande en mariage. Deux enfants plus tard, le mariage aura finalement lieu le 12 octobre 2024.
En vue de cet événement tant attendu, Alanis a réalisé une séance photo avec son fiancé et a partagé les magnifiques clichés sur son compte Instagram.
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Vêtue d’une magnifique robe blanche courte ainsi que de bottes de cowboy de la même couleur, tandis que Joël porte un ensemble noir avec un chapeau de cowboy, les parents de Méo et Béa ont pris la pose dans un champ aux couleurs de l’automne.
Un peu plus tard, Alanis a partagé d’autres photos encore plus adorables, où leurs enfants, vêtus d’une robe blanche et d’un costard noir, les ont rejoints dans le champ.
Il y a quelques semaines déjà, l’ancienne candidate de la deuxième saison de Survivor QC, Audrey Morissette, annonçait un changement de carrière en revenant à ses premiers amours: l’enseignement.
Celle qui est également la fondatrice de la marque Essentiels est une amoureuse de la mode, et elle en a profité pour partager ses looks préférés d’automne d’enseignante.
@audrey.survivorqc
Selon un article mis en ligne sur le site Internet de Salut Bonjour, la jupe, qu’elle soit longue ou courte, est un must pour la saison automnale 2024. Sur la photo de gauche, Audrey porte notamment une jupe de sa marque. Sur celle de droite, elle a opté pour un look un peu plus chic avec de shorts noires, des bas résilles de la même couleur, ainsi que des souliers en cuir verni.
@audrey.survivorqc
Clin d’œil a dévoilé que les couleurs automnales ne se limitent pas aux rouges et aux oranges, car le rose pastel sera très à la mode pour la saison cocooning de 2024, et Audrey l’a bien compris. Sur la première photo, elle a jumelé un cardigan rose à une jupe noire courte, tandis que sur celle de droite, elle a opté pour un look plus décontracté avec une chemise rose, des jeans et une paire de souliers jaune fluo.
@audrey.survivorqc
Vogue France a annoncé que pour l’automne et l’hiver, le style preppy serait très à la mode. Audrey a ainsi associé un cardigan à une jupe grise ainsi qu’une veste à motifs et des shorts noirs. Les petits souliers noirs viennent bien compléter les deux looks.
Il s’agissait d’ailleurs d’une première importante pour celle qui, rappelons-le, a subi un AVC il y a quelques années et qui, bien qu’elle aille mieux, fait toujours face à certaines difficultés de langage.
Capture Télé-Québec
En effet, Josée allait vivre un beau moment télé, cette fois sans son mari Louis-Philippe pour l’aider, puisque, rappelons-le, ce dernier est toujours à ses côtés lors des conférences qu’elle donne, mais aussi des entrevues qu’elle accorde, afin de lui apporter un soutien.
C’est lorsque Véro a vu son amie arriver sur le plateau, avec qui elle aurait droit à un tête-à-tête, qu’elle a été agréablement surprise.
«Hey, attends, je pogne de quoi là. Je suis contente pour toi», lançait Cloutier, fière de voir le courage de Josée.
«Ben, j’ai rien fait encore», renchérit Boudreault avec humour.
Capture Télé-Québec
C’est par la suite que Josée a dévoilé avoir, en premier lieu, refusé cette offre, mais que pour Véro, elle a accepté puisqu’elle la trouve super avec tout le monde.
Capture Télé-Québec
Une entrevue qui s’est d’ailleurs déroulée à merveille en partie grâce à sa répartie hors du commun.
«Pour moi, c’est vraiment spécial et je suis vraiment contente», témoignait Josée en coulisses.
Béatrice Martin, ou Cœur de pirate, s’est fait connaître grâce à son titre Comme des enfants. Depuis, elle rayonne à travers le monde, mais travaille aussi à faire rayonner les talents québécois grâce à sa maison de disques Bravomusique.
Eh oui, Coeur de pirate s’est mariée lors d’une cérémonie extérieure intime, seulement quelques jours après son 35e anniversaire.
Béatrice portait une jolie robe blanche courte, ainsi que des gants et une très longue écharpe pouvant faire office de voile. Ses chaussures rouges offraient un bel accent de couleur. Son amoureux Marc portait, quant à lui, un bel ensemble classique noir, une chemise blanche et une cravate noire.
À la suite de la cérémonie, les invités se sont déplacés vers un chapiteau abritant une longue table pouvant les accueillir pour la réception. Les décorations de la table et les arrangements floraux semblaient simplement magnifiques.
D’ailleurs, les fleurs blanches et aubergines ne sont pas le type que l’on a l’habitude voir lors des mariages. Une belle touche unique!
Le repas s’est suivi d’une soirée dansante sous le joli chapiteau orange, la même couleur qui ornait les lieux de la cérémonie joliment éclairés. Vous remarquerez que c’est Anne-Marie Withenshaw qui a partagé cette story sur son compte Instagram. L’animatrice et sa famille étaient parmi les invités du mariage.
C’est sur sa page Facebook qu’il a partagé une vieille photo de lui et son frère lorsqu’ils étaient jeunes, accompagnée d’un message percutant sur les détails du décès de son frère qui a été happé par une voiture en 1984.
«Posée sur une étagère de mon bureau, cette photo fait partie de mon quotidien. On m’y voit aux côtés de mon frère François et de notre chienne Cléo, probablement au moment où nous regardions la télé en 1974 (Six Million Dollar Man? Daniel Boone? La Petite Patrie?). Aujourd’hui, 28 septembre 2024, François aurait eu 61 ans. Sa vie s’est interrompue au printemps 1984. Il avait 20 ans. Il s’est fait faucher sur un trottoir de la rue St-Laurent par un conducteur en état d’ébriété. Ça a fait 40 ans cette année. Que je pose un regard à cette photo ou non, je pense à lui tous les jours. Mais le 28 septembre, jour de son anniversaire, il y a toujours un regain d’émotions: une cicatrice qui s’échauffe, un cœur qui se rebrise, une tête qui se rebiffe. Un véhicule peut devenir une arme létale. Conduit par une personne intoxiquée, ou accaparée par son téléphone, cette probabilité augmente de façon exponentielle. Au volant, faisons attention aux autres. Prenons soin de nous.»
Posée sur une étagère de mon bureau, cette photo fait partie de mon quotidien. On m’y voit aux côtés de mon frère…
Véronique Cloutier était l’artiste invitée à l’émission Pour une fois,où elle a eu droit à de courtes entrevues avec quatre personnalités québécoises différentes. Un moment télé en compagnie de l’artiste aux multiples talents, qui a discuté de divers sujets, tant sur le plan personnel que professionnel.
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Celle, qui partage sa vie avec son mari Louis Morissette depuis de nombreuses années, s’est confiée sur la manière dont elle se comportait dans ses anciennes relations amoureuses et sur un comportement qu’elle avait du mal à contrôler.
C’est dans le cadre de son entrevue avec Nicolas Ouellet qu’elle a avoué avoir longtemps ressenti le besoin que son entourage lui dise à quel point elle était talentueuse et qu’on l’aimait, ce qui pouvait, selon ses dires, devenir lourd.
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Une jalousie était également bien présente!
«J’ai été une blonde, moi, vraiment rushante, très possessive, jalouse. Qui ne pouvait tolérer… là, je parle, admettons, de 18-19 jusqu’à 22-23 ans, tu sais, cet âge-là. Je ne pouvais pas tolérer que mon chum ou mes amies aient du plaisir sans moi. Puis ça a été très dur à vivre pour les autres, puis c’est dur à vivre pour toi aussi, parce qu’à un moment donné, tu ne peux pas vivre tout le temps dans le regard des autres», dévoile Véro avec une belle vulnérabilité sur cette phase de sa vie.
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Un moment très intéressant avec Véronique Cloutier!