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13Hz, de Messmer: Qui sommes-nous pour juger?

Quand un artiste lance une nouvelle œuvre, il n’est pas rare qu’il définisse celle-ci comme sa «plus personnelle à ce jour».

Ou sa «plus mature».

Sa «plus aboutie».

Ou quelconque autre cliché surutilisé du genre.

Pas toujours. Pas systématiquement. Mais avouez que vous l’avez déjà entendue. Qu’il s’agisse d’un one-man-(woman)-show pour un humoriste, d’un album pour un chanteur, d’un roman pour un écrivain, le dernier-né est toujours le chouchou, le meilleur à nos propres yeux. Et ce n’est souvent pas faux. Bien sûr qu’on s’améliore avec le temps. Il faut bien que l’expérience acquise d’un projet à l’autre, au fil des années, serve un brin.

Maintenant… Messmer pourrait-il en affirmer autant de son quatrième spectacle, 13Hz, parti pour une longue virée d’au moins un an, ici comme en Europe?

S’agit-il du joyau le plus poli et peaufiné de son répertoire?

Messmer en action lors de la première montréalaise de son quatrième spectacle, 13Hz, au Cabaret du Casino de Montréal / Crédit : Serge Cloutier

Hélas, non. Loin de là.

Jugez-en par vous-mêmes. En janvier 2012, au Centre Bell, alors qu’il battait un record d’hypnose de 422 spectateurs au Centre Bell, Messmer avait demandé à ses «victimes» d’interagir avec des martiens. L’auteure de ces lignes y était, 12 ans plus jeune d’âge et de naïveté devant les prouesses du même amuseur.

En 2024, les complices momentanés de l’hypnotiseur se sont à nouveau transformés en martiens. Pour l’auteure de ces lignes, la deuxième fois, plus d’une décennie (et une pandémie) plus tard, c’était un peu moins drôle.

Dans ses précédents opus – Fascinateur (2007), Intemporel (2012) et Hypersensoriel (2017) –, Messmer envoyait ses «magnétisés» dans de faux voyages vers l’espace, leur faisait croire qu’ils étaient empêtrés dans un nid d’abeilles, simulait avec eux un tour de l’Exposition universelle de Paris, les enjoignait de donner des câlins ou d’entonner My Heart Will Go On.

Dans 13Hz (dont le titre évoque la fréquence à laquelle circulent les ondes alpha du cerveau à l’état de relaxation), Messmer les incite à se tortiller dans une serviette sur la plage ou à personnifier des pompiers. Il convainc une dame mature qu’elle est incapable de solutionner un innocent casse-tête pour enfants (et en profite pour appeler ses propres filles de 7 et 3 ans à la rescousse; «C’est facile!», s’exclame la cadette). Il persuade ensuite un petit groupe d’une victoire à la loterie («F*ck You, patron!»), avant d’y créer la bisbille en annonçant que le billet gagnant était invalide. Après un (faux, évidemment) accident de voiture, la fête se termine dans un dj set, avec Messmer aux platines, comme à Ibiza.

Messmer en train d’hypnotiser des sujets à la première montréalaise de son quatrième spectacle, 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Rien qui ne soit destiné aux personnes enceintes, en convalescence ou sous l’effet de drogues ou d’alcool, répétera l’hôte à maintes reprises.

Le tout, sans grande mise en scène ou scénographie. Des projections (jolies) sur panneaux rectangulaires, des éclairages colorés à thématique fleurie (sympas), la sempiternelle rangée de chaises accueillant les «réceptifs» au fatidique «compte de 3», l’incontournable écran retransmettant les faits et gestes incriminants, la musique tout droit sortie de n’importe quel film de science-fiction… Le show réside surtout dans les réactions de l’humain «possédé».

Non, Messmer n’a jamais offert l’élite du divertissement.

Arrivé à son quatrième spectacle, il aurait pu approfondir ses numéros.

Plus substantiel que, grosso modo, les faire se tortiller…

On entend L’Incendie à Rio trois fois dans 13Hz.

Bien sûr que c’est redondant, répétitif et, finalement, peu recherché. D’autant plus que, souvenons-nous, l’homme a longtemps officié à la télé en plus de mystifier les salles. Il fut un temps où TVA nous beurrait du Messmer (L’expérience Messmer, Messmer fascine les stars, Lâchés lousses…) autant que de publicités de Vidéotron.

Quelques « cobayes » à la merci de Messmer à la première du spectacle 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Mais, après toutes ces années, alors qu’on pourrait croire son art épuisé, sa méthode, dépassée, que les nouvelles générations d’humoristes pourraient le talonner, voire l’évincer, on se pointe au Cabaret du Casino de Montréal un bon lundi soir d’octobre pour la première médiatique de 13Hz, et on s’ébahit de constater à quel point l’assistance –  à pleine capacité –  est captivée, hilare, passionnée par les singeries des «cobayes» de Messmer.

Ce dernier a vendu plus de deux millions de billets en carrière, indique son site officiel. Il est une mégastar en Europe. Encore bien davantage qu’ici, nous souffle son équipe.

«Méfiez-vous des gens qui disent aimer le peuple, mais qui détestent tout ce que le peuple aime…», décrétait un respecté politicien.

Messmer pourrait résolument investir un effort pour élever l’originalité et la qualité générale de son contenu. Mais impossible de nier que les gens adorent le personnage. Les vedettes cachées qui se prêtent à un numéro musical très loin de leur zone de confort sous un costume infantilisant à Chanteurs masqués, les stars grimaçant de terreur ou de dégoût à Sortez-moi d’ici!, les participants d’Occupation double ou Ma mère, ton père qui pleurent à qui mieux mieux, de sincérité ou pour la postérité: l’être humain se plaît à compatir avec ses semblables en position de vulnérabilité, à frissonner à la même cadence.

Messmer place ses sujets dans un état d’extrême, excessive fragilité, en s’emparant même de zones méconnues de leur cerveau. Et quoi de mieux, pour attirer les masses et engendrer un rire contagieux, que de taquiner gentiment des inconnus, de les humilier sans malice.

Messmer sur le point de faire des siennes avec ses « victimes » à la première du spectacle 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Pour peu que son procédé soit authentique, bien sûr. On ne relancera pas ici le débat qui a souvent fait rage autour de Messmer, à savoir si ses techniques sont bien réelles (et éthiques), si des acteurs sont impliqués dans le fatras.

Le running gag concernant un certain Jay Maloney, lundi (un homme «endormi» dont l’identité temporaire l’a suivi jusque pendant l’entracte) aurait très bien pu avoir été orchestré à l’avance, puis interprété par un bon comédien. Un quidam aurait aussi pu décider d’embarquer et de jouer le jeu pleinement, d’en rajouter plus que la demande du client, même, pour la cause.

Peut-être aussi que tout était vrai. Qui sait?

Après tout, il y avait encore quelques personnes – dont l’animatrice Isabelle Maréchal – endormies sur leur siège à la fin de la prestation…

Lundi soir, au Cabaret du Casino, il n’y avait que les cascades répétées de rires, les visages ahuris, les yeux ronds, obnubilés (mais pas toujours hypnotisés) par les pitreries de Messmer et ses invités d’un jour. Les tapements de mains endiablés quand ceux-ci descendaient «faire le train» au parterre, aux notes du foutu Incendie à Rio.

Qui serions-nous pour les snober?

Messmer présente son spectacle 13Hz en tournée. Consultez son site Web (messmer.ca) pour toutes les dates.

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Serge Denoncourt en larmes à Quel talent!

Serge Denoncourt est l’un des juges de l’émission Quel Talent! et, depuis le début, il nous a surpris. Bien qu’il conserve son côté très direct, nous avons également découvert un Serge plus doux et plus empathique.

Lors du dernier épisode, il a même versé des larmes tout en lançant de nombreux éloges!

C’est lorsque le chanteur Ian Sabourin est monté sur scène et a livré une performance complètement époustouflante que le metteur en scène a été submergé par de vives émotions.

Capture Noovo

«Ça a marché sur moi complètement, j’ai versé une petite larme», témoignait Serge, avec émotion dans la voix, tout en ajoutant à l’endroit du candidat qu’il avait fait un très bon choix musical.

Capture Noovo

Un peu plus tard dans l’émission, Serge a de nouveau eu un coup de cœur pour la troupe de danse Stardust. Ce groupe de jeunes danseurs a ébloui autant le public que les juges, en réinventant leur style. Après avoir incarné des personnes âgées dans des numéros précédents, ils sont cette fois devenus de jeunes enfants dans une cour d’école, dansant sur la chanson Les étoiles filantes de Les Cowboys Fringants, lors du dernier épisode.

«Moi je pense, pour vrai, être le fan numéro un de Stardust», dévoilait Serge.

Capture Noovo

Au finale de cette soirée des quarts de finale, trois groupes ou personnes allaient passer aux demi-finales et c’est avec grand bonheur que les juges on choisi Stardust, Ian Sabourin et TäBï Yösha pour cette prochaine étape.

Nous leur souhaitons le meilleur pour la suite des choses!

Pour ne rien manquer des prochaines étapes, rendez-vous sur les ondes de Noovo et Noovo.ca, dès 19h30, du lundi au jeudi!

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Yvon Deschamps: «J’ai fait des crises d’angoisse toute ma vie»

Yvon Deschamps était invité à l’émission Ça finit bien la semaine, où il a abordé différentes sphères de sa vie, y compris ses crises d’angoisse.

C’est après que la coanimatrice Julie Bélanger ait évoqué que le rapport qu’entretient Yvon, maintenant âgé de 89 ans, avec la mort, avait changé, qu’il s’est confié sur le sujet.

Capture TVA

«Quand j’ai réalisé que j’allais mourir un jour, je ne l’ai pas pris. Je n’ai pas aimé ça du tout! J’avais sept ans, à peu près. J’ai fait des crises d’angoisse toute ma vie (…) tout à coup je vivais ma mort. Pas la peur de mourir un jour… mais je vivais ma mort… c’est quelque chose (…) À mesure que ça approche, c’est moins épouvantable. Admettons que ça devient normal», témoigne avec transparence l’humoriste pionnier sur l’idée de quitter ce monde un jour.

Capture TVA

Il dévoilait aussi qu’autour de l’adolescence, il croyait être éternel.

«Je me disais qu’ils vont trouver quelque chose… Non, je ne mourrai pas, les autres vont mourir, mais pas moi. Ceux avant nous vont mourir, mais pas nous (…) Jusqu’au jour où, moi, je me tanne vite de pas mal tout… Sauf Judi (…) Alors, imagine-toi si on ne mourait pas», ajoute le grand Deschamps.

Capture TVA

Un autre moment fort intéressant en sa compagnie!

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Non, Julie Le Breton ne veut pas de vos rendez-vous amoureux!

Julie Le Breton était de passage à Tout le monde en parle en compagnie d’Élise Guilbault pour parler de la toute nouvelle série les mettant en vedette: Le retour d’Anna Brodeur.

L’animateur Guy A. Lepage, qui n’en manque pas une, a profité de la présence de Julie pour évoquer sa récente entrevue avec les animateurs du podcast Tout le monde s’haït.

«Julie, tu étais récemment invité au balado Tout le monde s’haït…», lance Lepage, surprenant de son invité.

«Ah, mon Dieu! (…)», s’exclame la star.

Alors que Guy A. s’apprêtait à lancer un extrait du passage où celle-ci constate que les hommes aiment désormais être avec des femmes plus jeunes, elle intervient visiblement découragée que cet extrait se soit rendu jusqu’à l’émission.

«Ah bien, non, bien, là, voyons dont! (…)», lance-t-elle, faisant réagir Guy A., qui semblait ne pas comprendre pourquoi Julie a eu cette réaction dramatique!

«On dirait qu’on est à HollywoodPQ!», continue Julie, faisant référence à notre article sur le sujet.

Capture Radio-Canada

Guy A. a continué et a lancé, malgré que Julie ne le désirait visiblement pas, l’extrait où elle affirme qu’elle est challengée par le fait que des hommes soient en amour avec des femmes vraiment plus jeunes.

«Bon, premièrement, je ne comprends pas ces hommes qui ne veulent pas être avec toi. Mais, depuis ça…», affirme-t-il après l’écoute des propos de son invité, se faisant aussitôt couper par Julie.

«(…) J’ai dit ça en toute intimité dans un podcast», lance-t-elle, un brin naïvement.

Capture Radio-Canada

«Ce n’est pas intime, un podcast!», rappelle Guy A.

Julie a donc renchéri en expliquant que le fait de parler pendant presque deux heures fait disparaître le filtre et les barrières qu’elle se met.

«Bien, c’est surtout que probablement que tu le vis et que tu le penses», affirme Élise Guilbault, qui analysait la situation de près.

Capture Radio-Canada

Guy A., qui sait tout, a ensuite révélé que, depuis qu’elle a exprimé son ressentiment au podcast, plusieurs hommes lui écrivent pour lui proposer des rendez-vous amoureux.

«Mais, depuis (…) son Instagram est inondé de propositions d’hommes de son âge et même plus vieux!», lance Guy A. très amusé par la situation.

Capture Radio-Canada

Il lui a donc demandé si elle profitait de ce vent de popularité auprès des hommes.

«Pas vraiment, c’est pas tout à fait comme ça que ça fonctionne. Donc, j’inviterais tout le monde qui regarde ce soir, à ne pas me faire de propositions de date en canots (…)», répond-elle, faisant éclater de rire le public ainsi que ceux qui se trouvaient sur le plateau.

Capture Radio-Canada

Voyant son malaise, Alexandre Barrette, présent en tant que fou du roi, a saisi l’opportunité de demander à Julie ce qu’elle n’assume pas.

«Je n’assume pas de parler de ma vie privée à Tout le monde en parle, je trouve ça bien gênant (…)», répond-elle, en mentionnant toutefois que ses propos sont bien réels quant aux différences d’âge dans les couples.

«Tout est possible, vive l’amour!», conclut-elle.

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Un souper presque parfait OD Andalousie qui s’annonce croustillant!

Un souper presque parfait est un rendez-vous quotidien incontournable pour de nombreux téléspectateurs depuis des années et, cette semaine, des invités très spéciaux seront de la partie.

C’est avec bonheur que nous retrouverons d’anciens candidats de la saison précédente d’Occupation Double: OD Andalousie.

Parmi les invités, nous retrouverons Céline, Marie-Andrée, Rebecca, Antoine, ainsi que Simon, grand gagnant de l’émission.

D’après l’aperçu, on peut déjà s’attendre à du divertissement à souhait et, sans aucun doute, de nombreux moments croustillants!

Peut-on aussi s’attendre à quelques potins? Et pourquoi peut-on voir Antoine en ambulance?

Pour le découvrir, ne manquez pas l’émission dès ce soir, 21 octobre, à 18h00 sur les ondes de Noovo, ou en rattrapage sur Noovo.ca.

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Marie-Mai: «J’ai fait une fausse couche»

En marge de ses 20 ans de carrières, Marie-Mai s’est entretenue avec l’animatrice Isabelle Maréchal sur les ondes de QUB radio au 99,5 FM Montréal.

C’est à son micro que la chanteuse et animatrice a évoqué un moment difficile de sa vie: son deuil périnatal. Elle met ce sujet en lumière dans sa chanson Combien de temps, tirée de son nouvel album intitulé Sept.

«(…) J’ai fait une fausse couche dans les dernières années (…)», s’ouvre-t-elle, en affirmant que plusieurs lui réclamaient une chanson sur le sujet et qu’au moment venu elle avait trouvé le processus particulièrement difficile.

Après avoir écouté un extrait de la chanson, qui a suscité beaucoup d’émotion dans le studio, l’animatrice a demandé à Marie-Mai à quel moment ce triste événement s’était produit.

«Ça va faire un an et demi environ», se remémore-t-elle.

«Ça va bien, parce que, comme je le dis dans la chanson (…) c’est vrai qu’on a juste une vie à vivre… le moment que j’ai eu avec… avec cette petite fille-là, c’était parfait. (…) la vie est bien faite et depuis ce temps-là, la vie me prouve constamment que je suis à la bonne place (…), explique-t-elle avec la voix tremblante, rendant le moment encore plus poignant.

La chanteuse ajoute que peut-être elles se retrouveront…

«Je n’ai pas abandonné cette idée-là (…)», affirme Marie-Mai, ajoutant que, pour elle, la musique est une façon de rejoindre des gens qui ont passé à travers des périodes difficiles et soulignant ainsi l’importance de partager ses émotions à travers son art.

«Ça donne un sens à des émotions…», lance-t-elle, venant toucher droit au coeur Isabelle Maréchal, qui affirme avoir vécu la même chose il y a longtemps, mais ne pas s’en être remise complètement.

«On pense des fois à: Qu’est-ce que ça aurait été? (…) on évite d’y penser et, en même temps, je regarde dans les yeux de ma fille et je me trouve tellement chanceuse d’être une maman aussi», conclut-elle avec de belles et touchantes paroles.

Un témoignage et une chanson des plus émouvants… qui en aideront probablement plusieurs à traverser des périodes difficiles.

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Guy Jodoin «crashe» le spectacle de Rosalie Vaillancourt

Guy Jodoin et Rosalie Vaillancourt animeront la prochaine saison de Sortez-moi d’ici!, succédant ainsi à Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette. Guy a réservé une belle surprise à sa nouvelle collègue, qu’il a dû lui remettre sur scène lors de l’un de ses spectacles d’humour.

C’est lors de la présentation de son one-woman-show MILF au Théâtre du Vieux-Terrebonne qu’il a interrompu l’humoriste pour lui révéler qu’elle avait accompli un bel exploit!

Jodoin est arrivé avec un énorme billet d’or sur lui, symbolisant plus de 50 000 billets vendus pour Rosalie. Il portait d’ailleurs un costume doré, qui complétait bien ce magnifique cadeau.

Courtoisie

«Merci, merci. Vraiment, ça me touche tellement, je ne sais plus quoi dire», témoignait Rosalie, visiblement heureuse.

Capture vidéo de Courtoisie

Une belle complicité s’est déjà installée entre le duo et nous avons hâte de les voir à l’œuvre cet hiver dans la très attendue prochaine saison de Sortez-moi d’ici!.

Capture vidéo de Courtoisie

Toutes nos félicitations à Rosalie!

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Virginie Fortin dévoile enfin qui est son amoureux

Virginie Fortin, qui est récemment devenue maman d’une petite fille, a finalement révélé l’identité de son amoureux lors de son passage à l’émission Véronique et les Fantastiques.

L’humoriste, qui gardait sa relation amoureuse bien secrète depuis quelque temps, nous a surpris en révélant le nom de celui qui fait battre son cœur lors de la chronique radio de son collègue Alexandre (alias la pétillante Mona de Grenoble). Lors de celle-ci, ils discutaient jusqu’où les gens se sentaient à l’aise en couple.

Il s’agit de l’ancien professionnel et champion de MMA Olivier Aubin-Mercier!

Son amoureux est d’ailleurs très connu dans le monde du sport!

«Je fais pipi devant Olivier Aubin-Mercier (…) Parce que je trouvais ça drôle, l’image de faire pipi devant mon chum (…)», déclare-t-elle sans, désormais, aucune cachotterie pour le public.


Nous avons également récemment pu le voir à l’émission Je viens vers toi, où il agissait en tant que chakra, avec un humour bien aiguisé.

Longue vie aux amoureux!

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Chanteurs masqués: Cathy Gauthier démasquée et voici qui pourrait se cacher sous Jack Spi-Rat!

Une soirée de plus en compagnie de Chanteurs masqués, qui allait offrir un divertissement hors du commun, comme on l’aime.

Ce soir, quatre personnalités cachées ont monté sur scène pour performer: le Soleil, Miss Maïs, le Rhino et le Cygne.

Oui, la compétition offre de belles performances, mais n’oublions pas celui qui nous intrigue depuis quelques semaines déjà: Jack Spi-Rat. Ce candidat masqué ne fait pas partie des chanteurs officiels, mais il vient brouiller les cartes en fournissant des indices aux enquêteurs. Plusieurs noms ont été avancés, dont Guy Jodoin, Robert Lepage, Dominic Paquet et Yannick Nézet-Séguin.

Capture TVA

Celui qui, selon nous, fait le plus de sens est sans contredit Guy Jodoin, notamment grâce à son indice d’équipage dévoilé ce soir, qui nous ramène à Dans une galaxie près de chez vous.

Sur une toute autre note, une personnalité allait, bien évidemment, faire ses adieux dans cette compétition savoureuse, et c’est avec tristesse que le Soleil allait quitter, mais pas avant de dévoiler son véritable visage.

C’est avec grande surprise que l’humoriste Cathy Gauthier se trouvait sous ce masque qui brillait de mille feux, bien que Sam Breton l’avait deviné!

Capture TVA

Aviez-vous devinez qui s’y cachait?

Pour ne rien manquer de l’émission la plus regardée au Canada, rendez-vous tous les dimanches à 18 h 30 sur les ondes de TVA!

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Sansdrick d’OD: «Le dating, en ce moment, me fait capoter (…)»

Dans le cadre d’un épisode du podcast On s’connait pas tant que ça, animé par les deux anciens candidats d’OD Sansdrick et Pézie, les animateurs ainsi que leur invitée Marina Bastarache ont discuté ensemble des applications de rencontre, entre autres choses.

Marina expliquait que, de son côté, elle ne serait pas capable d’utiliser Tinder, puisqu’elle est beaucoup plus attirée par les personnalités des hommes que par leur physique.

C’est à ce moment que Sansdrick a avoué qu’il trouvait difficile de faire des rencontres amoureuses.

«(…) Moi, je suis célibataire (…) j’ai 35 ans (…) ça ne me tente plus de sortir dans les clubs, j’aime ça une fois de temps en temps, mais de faire ça quotidiennement, d’aller dans les restos, dans un 5 à 7. Moi, j’aime ça être à la maison avec mon chien, être avec mes amis, être relax, donc le dating, en ce moment, me fait capoter (…)», explique Sansdrick, qui affirme qu’il n’est pas bon pour écrire et donc que les applications de rencontres ne sont pas faites pour lui.

«(…) Je trouve ça vraiment tragique parce que là, je me vois vieillir et je n’ai pas envie d’être en couple pour être en couple, je veux être en couple avec la bonne personne (…)», continue-t-il.

Capture YouTube @On s’connait pas tant que ça

Marina a donc demandé où il est possible de nos jours de faire la rencontre de personnes de nos jours.

Pézie, de son côté, a affirmé qu’elle trouve qu’ils sont très chanceux d’avoir accès à plusieurs événements sociaux dans le cadre de leur métier et qu’il s’agit d’endroits où il est possible de faire de belles rencontres.

Cependant, il semblerait que l’argument à Pézie n’ait pas convaincu Marina et Sansdrick, qui affirment que, de leur côté, ils ne croient pas que ce soient des moments propices aux découvertes amoureuses.

Alors qu’ils discutaient du sujet et argumentaient, Marina a eu une idée d’où il pourrait être possible de rencontrer des gens.

«(…) Je viens de trouver où tu pourrais rencontrer des gens que ce n’est pas nécessairement des gens du milieu et que c’est probablement des amis d’amis. Il faudrait que tu crash tous les birthday party des gens que tu connais! (…)», lance-t-elle, fière de son idée.

Toutefois, Sansdrick a exprimé qu’il trouvait cette idée compliquée et, découragé, il a fait appel à l’aide au public.

«Public (…) si vous avez quelqu’un à présenter, n’importe qui, je suis ouvert, mais aidez moi gang s’il vous plaît!», demande-t-il, visiblement désespéré.

Capture YouTube @On s’connait pas tant que ça

«Gang, si vous avez une amie d’une amie que vous voulez me présenter, écrivez-moi, envoyez-moi des photos (…) des vidéos, n’importe quoi!», conclut-il.

C’est votre chance de tenter une approche envers Sansdrick!

Seriez-vous intéressée à faire sa rencontre ou connaissez-vous quelqu’un qui le serait?