Lors de ce party qui risque d’être mouvementé et où on aura peut-être droit aux premiers baisés de la saison, Alicia et Fred annonceront une grande nouvelle aux candidats, qui fera probablement le bonheur des uns mais le malheur des autres.
Ce sera la fin des… maisons mixtes.
Fini les amitiés et la colocation, laissons place à la romance et au papillonnage!
En plus d’assister à cette annonce, nous pourrons aussi découvrir le voyage d’Aleksa et de Fanny qui se dirigeront vers Bacalar et sa lagune aux sept couleurs.
Certains candidats ont été bien écorchés lors du jeu vérité ou conséquence…
Melek a pris un grand plaisir à casser un oeuf sur la tête de Raphaël lors d’une conséquence. En effet, la candidate a été très refroidie de Raphaël dans les derniers jours et a choisi d’aller davantage vers Félix même si elle n’est pas très à l’aise avec le fait qu’il ait le même nom que son frère. On peut donc dire que cette conséquence lui a servie de revanche envers Raphaël…
Aussi, lors d’une vérité, Félix a mentionné que, pour lui, une personne qui fume n’est pas un deal breaker, mais qu’il s’agit définitivement d’un point négatif s’il souhaite entrer en relation plus intime avec la personne. Rappelons que son intérêt principal est Melek et qu’elle est la seule candidate qui fume la cigarette dans l’aventure!
Afin de finir le jeu en beauté, il y a Catherine L qui a sauté dans la piscine toute habillée ainsi que Carl qui a fait 10 push up sur Raphaël. Des conséquences qui les ont bien amusés…
Suite au jeu de vérité ou conséquence, certains candidats ont mentionné qu’ils trouvaient que Kristina prenait les choses très personnelles. Pourtant, celle-ci a refusé de reconnaître qu’elle était susceptible.
De son côté, Catherine L a eu droit à une date avec le garçon de son choix. Elle a donc décidé de prendre Raphaël. Celui-ci a d’ailleurs utilisé sa technique de drague préférée: faire semblant d’être très gêné par son regard. Il faut croire que ça a marché, puisque Catherine L semblait bien attendrie. Elle voulait même lui donner un bec vers la fin, mais elle s’est retenue…
Pourtant, Raphaël semble toujours indécis alors qu’il a encore de l’intérêt pour trois candidates: Melek, Anna et Catherine L.
Eh oui! Même s’ils ne veulent pas tous l’avouer, les candidats semblent de plus en plus penser à leur avenir dans le jeu et aux décisions qui pourraient les avantager.
Qui selon vous est le candidat le plus stratégique jusqu’à maintenant?
Le chef du Parti Québécois, Paul St-Pierre Plamondon, a pris part à la grande célébration des Prix Gémeaux tout récemment, en compagnie de sa conjointe, Alexandra Tremblay.
Nous avons profité de l’occasion pour demander au politicien quel a été son coup de cœur télévisuel québécois dans la dernière année, parmi les séries en nomination.
Paul St-Pierre Plamondon n’a pas hésité une seconde avant de lancer qu’il a craqué pour La candidate, plus récent opus de l’excellente autrice Isabelle Langlois.
La prestation tout en nuances de Catherine Chabot dans le rôle-titre, celui d’une mère monoparentale et technicienne en pose d’ongles, passée du jour au lendemain de «candidate poteau» lors d’une élection à élue de son comté, sans bagage ni expérience pertinente, a valu à l’actrice le Gémeaux du Meilleur premier rôle féminin dans une comédie ou comédie dramatique la semaine dernière.
«Le fait qu’il n’y ait pas de deuxième saison, on trouve ça difficile, parce qu’on avait vraiment du plaisir [à la regarder]», a expliqué Monsieur St-Pierre Plamondon, en parlant de sa compagne et lui, avant d’ajouter qu’il reconnaissait des bribes de sa réalité dans le portrait de la politique dépeint dans La candidate.
«On est dedans, on fait ça de notre vie, et c’était juste. C’était quand même réaliste. Et, en même temps, c’était juste assez exagéré pour que l’émission soit bonne! C’est un coup de cœur pour lequel on espère qu’il y aura un jour une suite… peut-être tournée dans l’Assemblée nationale elle-même!»
«Dans le courage du personnage principal, il y avait la nécessité de faire cette job-là dans une société, de départager ceux qui disent vrai, de ceux qui ne sont pas là pour les bonnes raisons», a enchaîné l’homme public, au sujet de la Alix Mongeau au bon cœur, maladroite mais bien intentionnée, personnifiée par Catherine Chabot.
Encore la Pat’Patrouille?
Parlant télévision québécoise, on se souvient que Paul St-Pierre Plamondon avait réclamé, en septembre 2022, davantage d’émissions jeunesse originales sur nos ondes et moins de répliques de la célébrissime Pat’Patrouille, qui tablent sur la passion des jeunes enfants pour les superhéros.
Le papa de Laurette (6 ans), Maurice (4 ans) et Henri (un an et deux mois) – qui n’ont un accès que très, très restreint aux écrans, compte tenu de leur jeune âge, ont assuré leurs fiers parents –, a-t-il perçu une différence depuis son appel? Certes, le gouvernement Legault a octroyé à Télé-Québec, en 2023, une enveloppe de 101 millions de dollars étalés sur cinq ans pour revitaliser son contenu destiné aux petits téléspectateurs, mais Paul St-Pierre Plamondon soutient ne pas encore voir de changement de façon tangible.
«Le gouvernement, suite à notre intervention, a bel et bien trouvé des fonds pour qu’on développe des émissions jeunesse au Québec. Ça, c’est une avancée. Mais on n’a pas encore vu la différence le matin. Je le saurais, parce que je le vois, le samedi et le dimanche! Ce sont toujours des trains qui parlent et des Pat’Patrouille», a ironisé Paul St-Pierre Plamondon en fin d’entrevue avec notre journaliste, sous les rires de son amoureuse.
«Mais, ça va évoluer dans la bonne direction. Et si ce n’est pas le cas, on espère pouvoir s’en charger nous-mêmes en 2026», a complété le député de Camille-Laurin.
En effet, elle explique que l’infirmière de sa mère lui a demandé pour quand était dû le bébé et qu’elle lui aurait répondu qu’elle n’était pas enceinte.
Cependant, à la place de s’excuser, celle-ci aurait continué d’insister en riant.
«Qui a continué d’insister en riant comme si c’était impossible puisque je devais certainement accoucher d’une journée à l’autre…», lançait-elle.
Elle aurait ensuite rectifié une fois de plus la situation, en affirmant toujours ne pas être enceinte, à la grande surprise de l’infirmière qui lui aurait, en réaction, demandé de se lever.
Après avoir refusé de prouver quoi que ce soit et avoir expliqué qu’il était mieux de ne pas insister quand quelqu’un affirme ne pas être enceinte, il semblerait que la femme se soit offusquée.
Il est à noter que la campagne La grossophobie, ça suffit!, d’ÉquiLibre est présentement en cours et qu’elle se déroulera jusqu’au 4 octobre prochain.
Vers la fin du balado, comme le veut la tradition, l’invitée devait poser une question aux animateurs, Emi leur a donc demandé quelle chose ils n’avaient jamais réalisée dans leur vie et qu’ils aimeraient faire cette année.
Sansdrick a alors répondu qu’il désirait voyager plus sans aller dans des tout-inclus et a révélé qu’il partait à Bali pendant trois semaines, au mois d’octobre, avec son meilleur ami.
Un moment où les animateurs et leurs invités se sont remémoré de bons souvenirs des saisons précédentes animées parJay Du Temple.
Emi a d’ailleurs affirmé que Bali est, selon elle, la OG saison de la téléréalité et a ensuite demandé aux animateurs s’ils avaient eu la chance de voyager lors de leur participation.
«(…) Moi j’étais en Grèce (…) c’était tellement le fun et j’ai fait des voyages; je suis allée en Slovénie (…)», répondait Pézie, se rappelant un moment incroyable de sa vie.
«Moi ça fait 7 ans que j’ai fait OD et ça fait 7 ans que je suis comme juste… ça ne m’intéresse pas pantoute! Et là, c’est la première année que je suis comme: Oh! (…)», lançait-il, en expliquant être pour la première fois curieux et que selon ce qu’il avait vu, cette saison avait l’air intéressante.
«(…) Moi je l’ai écouté, c’est la première année aussi et je les regardais et j’étais jalouse, je me disais: Wow (…) on dirait que durant un bout j’avais oublié que j’avais fait OD et là je l’écoutais et je me disais: Oh mon Dieu, je suis dont ben jalouse, j’aimerais ça être à leur place, et je me suis dit: Ta yeule tu l’as fait genre! (…)», racontait Pézie, en riant un peu d’elle-même et de ses pensées.
Suite à cette déclaration, Sansdrick a fait une révélation surprenante.
«(…) Moi je pense que je ne l’écoutais pas dans les dernières années à cause que ça me faisait un peu chier que ce n’était plus moi, mettons (…) ce n’était plus moi, donc là je suis comme: Ahhh pas intéressant! (…)», avouait-il, faisant bien rire les deux filles.
Selon vous, quelle a été la meilleure saison d’Occupation Double?
En français, la série s’intitule À Marianne de Leonard. Le titre en anglais est davantage romantique, musical, à l’image des mots envoûtants de Leonard Cohen: So Long, Marianne.
Débarquant sur Crave à compter de ce vendredi, 27 septembre, cette ambitieuse coproduction Canada – Norvège – Grèce raconte l’histoire du chanteur montréalais devenu légende, mais surtout l’entrecroisement de son destin avec celui de sa Marianne Ihlen, celle de la chanson, oui. Cet amour aussi fou que pur, un peu malsain, comprend-on rapidement à demi-ton, et inconstant. Leonard et Marianne se sont aimés, puis laissés, ont fondé des familles ailleurs, puis se sont re-aimés, toute leur vie, jusqu’à leur trépas, survenu à quelques mois d’intervalle en 2016 (juillet pour elle, novembre pour lui).
Déjà, les balbutiements de leur histoire sont compliqués. Quand le jeune et – très! – tourmenté Leonard Cohen (interprété par un très ressemblant Alex Wolff, vu notamment dans Oppenheimer et Jumanji : Bienvenue dans la jungle), aperçoit pour la première fois la belle Marianne (Thea Sofie Loch Næss) dans son gîte de l’île d’Hydra, en Grèce, l’échange de quelques mots est courtois, sans plus. Le coup de cœur se développera plus longuement, plus tard, petit à petit. Dans les deux premières heures de So Long, Marianne, la jeune dame en découd avec un conjoint infidèle, à tendances violentes, l’arrogant Axel (Jonas Strand Gravli), jeune écrivain émergent controversé, qui ne peut même s’empêcher de se retourner au passage des infirmières alors que sa compagne vient d’accoucher. Qui de surcroît ne cesse de reprocher à sa dulcinée son manque d’ambition. Marianne tombera quand même enceinte de ce détestable personnage. La tempête n’ira qu’en s’accentuant.
À Hydra, où Leonard Cohen se réfugie pour calmer – sans succès – ses angoisses, des peintres et des auteurs bambochent joyeusement. Une femme plus âgée, Charmian (Anna Torv) le prendra sous son aile dans tous les sens du terme, au vu et au su de son mari, George Johnston (Noah Taylor).
Il faut être un tantinet visionnaire, aux deux premiers épisodes de So Long, Marianne, pour anticiper la grandiose carrière que connaîtra le héros de l’histoire, alors éternel nomade parce qu’heureux nulle part, pourtant renforcé dans ses convictions de devoir de création par un professeur, Irving Layton (Peter Stormare). Celui-ci décèle rapidement que la poésie de son protégé aura le pouvoir de panser les abymes de l’âme humaine («There Is a Crack in Everything, That’s How The Light Gets In»… ça vous rappelle quelque chose?) Sa Marianne lui insufflera une certaine confiance en lui. L’essentiel de la série se concentrera dans les années 1960; on n’a donc pas droit ici à un biopic total et complet sur l’existence entière de Cohen, mais surtout aux fondements de son grand amour avec Marianne… et tous les excès qui viennent avec.
Leonard Cohen a beau être né à Montréal, dans Westmount, et bien qu’une partie des tournages ait été campée ici (ainsi qu’à Hydra, Athènes et Oslo, dans certains endroits réellement fréquentés par l’icône), So Long, Marianne ne sent pas beaucoup la Belle Province. On s’y promènera, à l’écran, de Montréal à l’Europe, en passant par New York. Qui plus est, son rythme langoureux, suave, presque pompeux, comme si on avait voulu que l’entièreté des huit épisodes respire la même dégaine vaporeuse que son protagoniste principal, exaspérera peut-être les plus impatients.
Cela dit, la trame de l’évolution de la relation entre Leonard et Marianne intrigue, et tout l’aspect visuel de So Long, Marianne est splendide: les paysages de la Grèce et de la Norvège ont de quoi faire rêver en cette fin septembre pluvieuse!
Bell Média s’enorgueillit vivement de ce projet coûteux, déjà assuré de rayonner à l’étranger (parce que vendu au Royaume-Uni, en Allemagne, en Grèce, en Belgique, en Suède, au Danemark, en Finlande, en Islande et à Chypre), dont le budget s’élève au-dessus des cagnottes moyennes des fictions québécoises habituelles, mais en-dessous des productions canadiennes anglaises. Comme Québecor avec La nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé (Club illico, 2022), Bell Média mise sur cette nouvelle offrande pour aller chercher un public plus large, et ne cache pas son intention de développer d’autres partenariats avec d’autres pays. La collaboration est apparemment très fluide avec la Scandinavie pour les questions de contenu, a laissé savoir Sophie Parizeau, directrice générale Fictions, chez Bell Média.
Marianne Ihlen étant native de la Norvège, la mouture diffusée là-bas, et surtout son premier épisode, seront différents de ceux d’ici, et plus axés sur cette dernière. D’ailleurs, c’est beaucoup la famille Ihlen qui a fourni les archives nécessaires (comme de la correspondance entre les amoureux) aux auteurs Øystein Karlsen et Jo Nesbø, qui ont bien sûr dû réinterpréter certains faits pour les besoins du récit.
Tout a été tourné en anglais. Sur Crave, trois versions de So Long, Marianne seront disponibles : en anglais avec ou sans sous-titres, et doublée en français (avec les voix d’Alexandre Bacon et de Rachel Graton dans les rôles-titres).
Les acteurs québécois Macha Grenon (Masha Cohen, la mère de Leonard, devenue veuve jeune, qui reconnait la fibre artistique de son garçon, mais le pousse à aller travailler à l’usine de son oncle pour lui assurer une stabilité), Éric Bruneau (Robert Hershorn, un ami de Cohen), Kim Lévesque-Lizotte (une femme inspirée de Monique Mercure, qui avait croisé le chemin du couple à Montréal), Robin Lhoumeau (un dealer) et Patrick Watson (dans le rôle d’un chanteur, qui a aussi fignolé la musique de l’émission) apparaissent dans des rôles secondaires et ont prêté leur propre voix pour la surimpression française.
Les deux premiers épisodes d’À Marianne de Leonard (So Long, Marianne) seront disponibles sur Crave ce vendredi, 27 septembre.
Les six suivants y seront déposés à raison d’un par semaine.
L’humoriste avait retrouvé l’amour depuis quelque temps, comme elle le révélait à la radio cet été, et a profité d’un échange avec Échos Vedettes pour en dire davantage.
Elle révèle qu’après sa séparation, elle a eu une période où le flirt était à l’honneur, mais qu’elle ne souhaitait pas du tout se remettre en couple.
Mais, le vent a finalement changé de bord, puisque Cathy est maintenant bien heureuse en amour (avec Dany), une rencontre faite par l’entremise d’un ami.
C’est lors d’un segment parents-enfants que la comédienne s’est fait présenter d’anciennes archives où l’on voit ses parents, qui ont tous les deux travaillé dans le domaine des médias, plus particulièrement en radio.
Un moment qui a grandement surpris Magalie, dont la maman était d’ailleurs enceinte de sa sœur sur l’extrait. Ce qui a ajouté une dimension particulière, puisque sa sœur, Eugénie, vient de devenir maman à son tour.
Lépine-Blondeau est alors devenue très émotive face à cette projection du passé, en voyant ses parents, qu’elle a également qualifiés de magnifiques!
«Je les trouve beaux. Je me sens choyée de venir d’un milieu familial aimant, qui l’est toujours. Et ils sont toujours là… », témoigne-t-elle, les larmes aux yeux.
C’est sur sa page Instagram que l’animatrice a partagé un touchant message dans lequel elle s’ouvre sur la perte de son compagnon à quatre pattes, sa petite chienne Margaux.
«Aujourd’hui, j’ai laissé partir Margaux. Après presque 16 ans ensemble, elle était fatiguée. Et maganée. Elle est partie doucement dans mes bras avant de trop souffrir, je lui avais promis. Je lui devais bien ça. Mon petit chien de sacoche qui se prenait pour un chien de garde, ma mini moi, tu vas gros me manquer. Et pas juste à moi. À tout mon clan. C’est la première fois que t’es pas là pour lécher les larmes sur mes joues. Ça fait chier. Merci pour tout», lançait-elle, en étant visiblement très émotive.
En commentaire, plusieurs de ses amis et collègues du milieu tels que Marina Orsini et Guy A. Lepage ont tenu à lui offrir leurs condoléances.
Nous lui souhaitons nos plus sincères sympathies et lui envoyons beaucoup d’amour.
Il y a plusieurs années, soit en 1988, à Samedi de rire, la chanteuse est montée sur scène pour faire une version parodiée de Bye Bye Mon Cowboy dont les paroles avaient été modifiées pour: «On me dit que mes chansons sont nounounes, ça rime toujours avec foufounes. Et si mon disque arrêtait de tourner, j’irais finir ma cinquième année. Bye Bye ma Barbie, Bye Bye ma poupée Boutchou».
En plus, à la toute fin de ce moment humoristique, elle clôt en chantant: «Ce que je veux dans la vie, c’est de montrer que je n’ai rien de Mitsou»
C’est suite à la présentation de cet extrait que Nathalie avoue être déçue d’avoir fait cela à l’époque. Elle explique d’abord que, à ce moment-là, elle était comme un petit robot et faisait majoritairement ce qu’on lui demandait.
«Je ne voyais pas l’étendue des répercussions. Mitsou est une femme hyper intelligente (…) Une de nos bonnes femmes d’affaires. Mais elle a longtemps été ridiculisée et c’est ça qui me fait de la peine. Quand j’ai revu ça, j’ai fait: ça n’a pas de bon sens. Avoir eu la tête que j’ai aujourd’hui…», témoigne Nathalie sur une imitation qu’elle n’accepterait assurément plus de faire aujourd’hui.
L’animateur André Robitaille a toutefois tenu à la rassurer en lui disant que Mitsou avait un bon sens de l’humour. Elle terminait toutefois en avouant qu’elle est sensible.