Au-delà du sexe est une émission abordant la sexualité humaine et qui a pour objectif de normaliser les discussions entourant certains sujets comme l’éducation et la démystification de divers tabous. L’animation est assurée par Rose-Aimée Automne T. Morin et Jonathan Roberge qui n’ont pas peur d’attaquer tous les sujets avec beaucoup d’ouverture.
Dans le plus récent épisode de la deuxième saison, un segment était voué aux jeux de rôles. Rose-Aimée Automne mentionne qu’elle ne serait vraiment pas à l’aise de l’expérimenter, tandis que Jonathan avoue qu’il a déjà essayé et qu’il a aimé son expérience. Puis, ensemble, ils accueillent leur invité: Normand D’Amour.
Le comédien de STAT se livre sans détour, avec humour et humilité. Il répond à toutes les questions en toute transparence, comme celles qui abordent la sexualité dans la soixantaine.
«(…) Il y a des moments où le p’tit gars suit pas et c’est comme: Voyons c’est quoi l’affaire? Mais, c’est des périodes de ma vie, puis ma douce qui est tellement formidable et qui me dit toujours: Bien là, tu viens de tourner quatre jours cette semaine, tu t’es levé à six heures du matin, tu bois un petit verre de vin le soir, tu fumes trois cigarettes. Ça se pourrait que tu sois pas tout le temps dans le mood. Fait que c’est pas grave. T’as pas à prendre ça jamais personnel (…)», dit Normand D’Amour appréciant la compréhension de sa douce.
L’animatrice poursuit en lui demandant ce qui peut influencer sa libido à l’heure actuelle.
«Elle, vraiment beaucoup. Ses seins. Des fois, ça me tente fuck all, j’y pense pas pentoute pis là elle rentre, les seins nus et elle me trigger total. Elle a les plus beaux seins du monde (…)», poursuit Normand avec amour.
Vient alors la fameuse question: Normand a-t-il déjà fait des jeux de rôles?
«Ah mes est* (rires), oui! Mike the plumber. (…) Je le joue très bien mon Mike the plumber, mais mettons que mon anglais n’est pas parfait. Je mets un kit: bottes de travail, une chienne bleue, il parle anglais et arrive avec le coffre à outils. Qu’est-ce qu’il y a dans le coffre à outils? (…) Mike, il va vraiment sous le lavabo. Il enlève toutes les affaires en-dessous du lavabo. Il s’installe en-dessous du lavabo. Puis, celle qui reçoit Mike the plumber, des fois elle a besoin d’utiliser le lavabo», racontait l’amoureux des jeux de société et visiblement, aussi, des jeux de rôles.
Force est d’admettre qu’il est agréable de voir qu’il n’y a pas d’âge pour s’aimer et profiter des petits plaisirs de la vie!
Lors du dernier épisode, nous avons d’ailleurs assisté à un moment extrêmement émouvant lorsque Martin s’est présenté sur scène juste après avoir raconté son histoire touchante.
Sa femme, Chantal, à qui on a diagnostiqué un cancer grave il y a quelques années, n’avait pratiquement aucune chance de survie, mais elle a finalement déjoué les statistiques et s’en est remise. Un miracle, comme le qualifie le participant!
Avant la maladie, c’était elle qui chantait pour lui tous les soirs. Ne pouvant plus le faire, il a décidé d’apprendre à chanter pour faire plaisir à sa douce. Martin, qui chante maintenant depuis six ans, nous a offert une performance éblouissante et émouvante en interprétant une composition personnelle qu’il a écrite pour celle qui partage sa vie.
Sa voix, son talent et son histoire ont définitivement bouleversé les quatre juges, qui lui ont tous donné un grand OUI pour passer à l’étape suivante.
D’ailleurs, Serge Denoncourta surpris tout le monde par son absence de mots.
«Je ne sais pas quoi dire. Ça fait que je vais juste dire merci; merci!», lance Serge, visiblement ému par cette performance.
Quel moment touchant!
Nous souhaitons à Martin un long parcours dans la compétition Quel Talent!, pour le grand bonheur de sa douce Chantal.
Pour ne rien manquer de l’émission, rendez-vous du lundi au jeudi dès 19h30 sur les ondes de Noovo.
Lors du premier épisode de la nouvelle saison de Tout le monde en parle, la dernière campagne de la Fondation CHU Sainte-Justine, Voir grand, a été diffusée.
La vidéo, toute de dessin animé, suit le destin de Juliette, 11 ans, atteinte d’une tumeur au cerveau qu’elle compare à une orange. S’en suit tout le parcours de cette dernière accompagné de la chanson Si fragile de Luc De Larochellière, interprétée par la jeune fille.
Guy A. Lepage, l’animateur de Tout le monde en parle, a aussi partagé la vidéo sur ses réseaux sociaux afin d’amener ses abonnés à faire de même.
«Voici la vidéo très touchante diffusée pendant Tout le monde en parle dimanche. Les équipes de Sainte-Justine entrent dans l’ère de la santé de précision pour réaliser le plus grand rêve de chaque enfant: guérir. Ensemble, voyons grand et permettons à tous les enfants de pouvoir grandir en santé dans un monde où l’avenir va de soi et l’impossible n’existe pas. Prenez part au mouvement en partageant cette vidéo», écrivait-il, en légende.
En visitant le site web de la fondation, nous comprenons que Juliette a pu guérir grâce aux dons recueillis qui ont permis l’acquisition d’un laser neurochirurgical: «Cet équipement allait révolutionner la manière de traiter les enfants vivant avec des tumeurs non opérables ou de l’épilepsie réfractaire et ce, d’une manière non invasive».
Juliette avait fait de nombreuses crises d’épilepsie, entre sa naissance et l’âge de six ans. C’est grâce à ce nouvel équipement que les équipes de Sainte-Justine ont sauver la jeune Juliette.
Évidemment, plusieurs autres enfants ont pu bénéficier de prouesses médicales grâce à la générosité des donateurs.
Si vous souhaitez, à votre tour, faire un don, c’est par ici.
L’année 2024 est saillante pour la grande Diane Dufresne. Elle y célébrera ses 80 ans, le 30 septembre. Elle y a aussi commémoré, il y a quelques jours, à la mi-août, les 40 ans de son grandiose spectacle Magie rose, au Stade olympique.
Point d’orgue de ces symboliques anniversaires, l’installation biographique Aujourd’hui, hier et pour toujours, inaugurée mardi à Arsenal Art Contemporain, dans Griffintown, à Montréal, constitue l’exposition d’une vie pour la chanteuse et ses admirateurs, une cerise délicieuse sur le gâteau d’une carrière déjà ô combien goûteux.
Sur 15 000 pieds carrés, Aujourd’hui, hier et pour toujours exhibe œuvres d’art, costumes, photos, vidéos, notes manuscrites (d’une élégante main d’écriture), articles de journaux et magazines et autres archives et artefacts témoignant du riche parcours de la diva la plus extravagante du Québec.
Un carrousel tournoyant ses robes les plus flyées designées par des créateurs de renom comme Michel Robidas ou Marie Saint-Pierre (une trentaine de tenues sont en fait dispersées tout au long du trajet), un long vidéoclip immersif à 180 degrés ressuscitant quelques-uns de ses moments de scène iconiques, un étalage de ses disques, une salle consacrée à ses sculptures, sa statue du défunt Musée Grévin, une voiture Bentley offerte par Yvon Deschamps et, ici et là, des mises en scène représentatives de l’univers Dufresne, balançoire en forme de cercueil fleuri ou mannequin au piano et ses ballons : l’artiste multidisciplinaires n’aurait pu espérer plus magnifique album-souvenir pour graver son héritage dans le temps.
Diane Dufresne n’était toutefois pas très attendrie de se replonger ainsi dans le temps devant les journalistes, mardi. La dame a plutôt rappelé à plusieurs reprises que son émotion, à elle, c’est le public qui la lui crée.
«Ça m’émeut toujours de voir le public. Je suis émue, quand le public est ému…»
«C’est comme quand on a été en amour. Quand ce n’est plus là, qu’est-ce que ça nous fait? On ne peut pas toujours rester là-dessus. Ça appartient au public. Les robes, tout ça, ça ne m’appartient pas; ça appartient au public», a complété Diane Dufresne, qualifiant le projet de «grande dose d’amour».
Cette reine de notre show-business n’a pas non plus manqué de fréquemment souligner l’apport de son conjoint, Richard Langevin, idéateur, commissaire et directeur artistique de l’exposition. Ce beau rendez-vous à l’Arsenal, a expliqué ce dernier, arrive aujourd’hui après 27 ans de voiturage de housses, de boîtes et d’archives, dont certaines ont échappé à un violent incendie dans leur appartement en 1994. C’était dans le quartier Petite-Bourgogne ou Griffintown, le couple n’en est plus trop certain. Diane Dufresne, elle, s’étonne que les mites n’aient pas grignoté ces joyaux de son passé. Madame Dufresne a rencontré Monsieur Langevin à 50 ans, il y a donc 30 ans, et depuis, l’amoureux n’a jamais vidé son bureau des trésors de sa muse plus géante que nature.
De son œuvre en général, que devrait-on – et plus particulièrement les jeunes femmes – retenir?, a demandé Hollywood PQ à Diane Dufresne en fin de conférence de presse.
«Il faut faire bien attention aux bons défauts qu’on a. Moi, je criais trop fort. J’avais le caractère que j’avais. Je disais ce que je pensais. J’étais aussi très timide. Mais la timidité emmenait ailleurs…»
«Et j’écrivais. Ce qui est important, c’est de toujours créer. Il faut être en état de créativité, pas de performance. J’ai toujours voulu toucher les tabous. Il faut être une bonne personne et ne pas oublier son âme», a avancé l’auteure-compositrice, qui doit lancer un nouvel album le 11 octobre.
Le producteur de l’exposition, Paul Dupont-Hébert, de la maison de production Tandem, qui met sur pied ce genre de concept immersif depuis cinq ans (jusqu’ici consacrés à des artistes visuels comme Van Gogh, Monet, Dali ou Picasso) aspirait depuis longtemps à en façonner un autour d’une vedette locale. Le choix de Diane Dufresne, dont le legs éclaté touche à sensiblement tous les créneaux, s’est imposé d’emblée pour cette première tentative.
«C’est l’exposition d’une vie, d’une époque, d’un pays. On a beaucoup de grands, mais on n’a pas beaucoup de grandes, malheureusement. Les femmes sont rares. Diane Dufresne est notre plus grande diva. Diane Dufresne, c’est la folie, son amitié avec les arts, les designers, son amitié avec l’extravagance et la folie, avec l’audace… Elle ose tout le temps, surprend, va toujours plus loin. Elle n’a pas peur et brasse les cages tout le temps», a souligné Paul Dupont-Hébert, qui espère vivement organiser d’autres expositions du genre sur d’autres personnalités québécoises éventuellement.
Hâtez-vous de profiter de l’événement: Aujourd’hui, hier et pour toujours, l’exposition immersive sur Diane Dufresne, n’est en place à Arsenal Art Contemporain que jusqu’au 13 octobre. Elle pourrait toutefois être prolongée si le succès est au rendez-vous.
Rien ne va plus pour le créateur de contenu PL Cloutier, il semble vraiment en mauvais état.
Mardi, PL est apparu dans une story publiée sur Instagram vêtu d’un hoodie, particulièrement pâle et toussant atrocement.
En majuscules, il a avisé ses abonnés de ne pas paniquer, puisque malgré les apparences, il mentionne bien se porter.
Il a tout de même tenu à expliquer la situation dans laquelle il se trouve.
«C’est la première fois en 15 ans que j’annule un tournage, mais je viens de passer au travers d’une crise de tremblements incontrôlables. Je me suis même mordu la langue et j’ai échappé mon thermomètre dans une craque de comptoir. Ça va mieux et c’est passé. Je me repose. J’ai filmé pour montrer au médecin. On sait ce que j’ai et j’attends mon rendez-vous prévu jeudi avec impatience. Vraiment désolé de manquer Les débatteurs ce soir. J’étais en pleine forme toute la journée et c’est arrivé soudainement en sortant de la douche», a-t-il expliqué dans sa vidéo où on le voit trembler intensément.
Dans la story suivante, il est installé dans son lit avec Marcel Lebœuf, son bulldog français. Il mentionne qu’il donnera des nouvelles après son rendez-vous.
C’est maintenant le grand jour où la production d’OD envoie Fanny et Aleksa en voyage dans un endroit paradisiaque du Mexique.
Comme prévu, Kristina est bien affectée par cette nouvelle et a peur que son prince développe des sentiments envers Fanny. Malgré tout, Kristina essaie de se convaincre qu’il choisira de rester avec elle et qu’il ne développera pas de sentiments amoureux avec l’autre candidate.
Également, Maude se retrouve prise dans un triangle amoureux alors que Mamadou n’a de yeux que pour elle et Carl aussi. Rappelons nous que Carl avait mentionné que c’était «Maude ou rien» lors d’une récente soirée.
Lors de son activité d’apiculture avec celui-ci, il lui a mentionné qu’il n’avait finalement pas vraiment d’affinités avec Fanny et qu’il souhaitait poursuivre l’aventure avec elle. Maude, qui semble avoir un peu peur de l’engagement, s’est sentie à la fois heureuse et déstabilisée.
En effet, Mamadou a confirmé à la caméra qu’il se sentait un peu gêné avec Maude. Selon lui, cela est un très bon signe et il ne ressent pas cela avec les autres filles.
On peut donc comprendre tranquillement que Carl se retrouvera en danger d’élimination s’il ne trouve pas un plan B…
Du côté de Bilal, celui-ci a dit à Catherine F qu’elle n’a pas de compétition. Il n’est pas intéressé envers personne d’autre qu’elle et cela mérite d’être clair! Cependant, la caméra a surpris Catherine F à draguer Raphaël dans la cuisine… Elle ne change peut-être pas de top 1, mais elle n’aime pas non plus être affichée! Il semble qu’elle prenne davantage de plaisir à draguer les garçons qu’à apprendre à connaître Bilal.
Ensuite, Félix a embrassé l’oreille de Melek et Kristina s’est fâchée alors que deux candidats l’ont nommée comme la personne qui mine l’ambiance de la maison et qui est négative.
Le jeu continuera demain soir et ça promet pour la suite…
C’est suite à une question de l’animatrice Marie-Louise Arsenault que celui qui mène Tout le monde en parle depuis 21 saisons s’est confié sur celui qui est parfois son coanimateur.
Marie-Louise a voulu savoir ce que Guy pensait de l’opinion du public sur les médias sociaux, qui réagit fortement à certains commentaires fait sur le talk-show du dimanche, contrairement à avant, comme dans le cas de MC.
«Moi, j’aime beaucoup MC, j’aime ça quand il fait ça…», débute Lepage sur le sujet.
«Ça, c’est vous, mais est-ce que le public réagit plus violemment face à des questions un peu tough ou face à des commentaires qu’auparavant, Guy?», demande Marie-Louise.
«Bien, oui, parce que Dany Turcotte a subi ça, lui, quand il a commencé à faire des commentaires ou des cartes un peu… il a trouvé ça dur. Puis, je lui disais: C’est ça ton travail, il faut que tu continues, il faut que tu acceptes ça (…) Mais, ce que je veux dire, c’est que oui, peut-être que le public a changé ou est plus frileux. Mais moi, je continue à penser que c’est comme ça qu’il faut faire cette émission-là», lance l’humoriste et animateur chevronné.
Des controverses qui ne semblent d’ailleurs pas avoir d’impact sur la popularité de l’émission, comme le souligne Guy A. Lepage.
En effet, c’est sur TikTok que l’ex-candidate d’OD Afrique du Sud, qui a elle aussi été très controversée lors de son aventure, a tenu à dire quelques mots au sujet deBilal.
«Le fameux drapeau rouge d’Occupation Double! Moi je le trouve divertissant!!», affirmait-elle en marge de sa prise de parole.
«Je vois énormément de hate sur Bilal: Bilal c’est un red flag!Bilal, il est juste vraiment amoureux et insécure de perdre Catherine. Tout le reste, c’est accentué par le montage et je pense qu’il doit en donner pas mal à la production aussi. S’il part, c’est qui qu’on va adorer détester?», lançait-elle, se rappelant fort probablement des souvenirs de sa propre saison.
Dans les commentaires, elle a tenu à affirmer, une fois de plus, qu’elle croit que la production est probablement un peu responsable des opinions négatives qui sont émises sur Bilal.
Cependant, il semblerait que son opinion et sa prise de parole n’aient pas réussi à convaincre tout le monde.
Patrice Godin qui remue votre paysage télévisuel depuis plusieurs années déjà, était de passage à l’émission On va se le dire, animée par Sébastien Diaz.
L’entrevue s’ouvre sur le titre suivant: Patrice Godincombat les feux. Après une rapide mise en contexte de l’animateur, Patrice explique ce qui l’a mené à faire le saut vers le métier de pompier.
C’était l’été 2023. Il revenait du tournage de Détective Surprenant et le ciel était orangé à cause des nombreux feux de forêt qui sévissaient.
«J’étais en remise en question, je n’étais pas tellement heureux dans mon métier à ce moment-là, je me cherchais un peu», dévoile en premier lieu Patrice en ajoutant qu’il se demandait comme il pourrait aider à combattre ce problème et c’est ainsi qu’il a découvert la SOPFEU.
«Ouais, honnêtement, j’ai vraiment beaucoup de plaisir à faire ça», a-t-il répondu, du tac au tac.
Sébastien Diaz a alors enchaîné en lui demandant s’il allait disparaître de nos écrans.
«Écoute, c’est sûr que je mets un peu la carrière sur pause entre le mois d’avril et le mois de septembre, parce que le gros des tournages se font là. Mais ça fait deux ans qu’on ne m’appelle pas en mars pour me dire que je vais travailler en avril ou en mai. Alors, à un moment donné (…) Je vais quand même continuer. Puis moi, ce que j’ai aimé faire ces dernières années, c’est du documentaire (…) J’ai ce besoin-là d’être dans la réalité; d’être dans le vrai», a expliqué Patrice, mentionnant qu’il avait beaucoup vécu dans la fiction étant plus jeune.
Le comédien termine en disant qu’il est très heureux qu’à 56 ans, il puisse encore apprendre.
Comme l’a dit Dave Morissette durant le segment, ça prend du courage pour changer de carrière à 56 ans et il n’a pas tort!
C’est sur sa page Instagram qu’elle a souligné l’anniversaire de l’icône de l’humour, qui vient tout juste de souffler ses 92 chandelles.
Les deux femmes qui ont fait rire le public au fil des années prennent la pose, alors que Cathy propose un touchant message.
«Aujourd’hui c’est le 92e anniversaire de la belle Dominique! Quel privilège de pouvoir manger du gâteau avec elle! Aucun mot n’existe pour décrire toute l’affection et l’admiration que j’ai pour cette femme remarquable! Je t’aime.»
Wow, le temps passe incroyablement vite!
Tout nos souhaits d’anniversaire à l’incroyable Dodo!