Bianca Gervais, Mel Charlot et Maxime Le Flaguais incarnent les juges impitoyables de la compétition, où les candidats devront tout donner pour se démarquer.
Nous suivrons le parcours de personnages touchants, dont Marco (Jeremyah Mogni), un jeune homme talentueux, qui vit des problèmes en dehors du concours, notamment des moments familiaux et amoureux qui ne sont pas évidents. Il formera d’ailleurs un tout nouveau duo avec Rémi (Xavier Malo), qui aura lui aussi ses propres problèmes, pouvant peut-être même le conduire à ne plus pouvoir danser.
Capture Club illico
On y retrouve un autre duo soit Kiki (Vanessa Boudrias), l’ancienne copine de Marco, qui dansera aux côté de son nouvel amoureux Clément (Tommy Tremblay alias PETiTOM).
Un univers à la fois savoureux, bouleversant et touchant! En plus du fait que ce soit rafraîchissant, notamment grâce à la présence de jeunes nouveaux visages sur nos écrans, qui ont d’ailleurs tous un talent remarquable.
La série, qui peut compter sur l’excellente Sarah-Maude Beauchesne à l’écriture, comprend six épisodes d’environ 20 minutes.
Elle s’écoute d’ailleurs rapidement et touchera certainement le cœur de nombreux téléspectateurs.
De passage au balado La vie sociale, la femme d’affaires Élisabeth Rioux était présente pour parler de sa série sur Amazon Prime Video: Élisabeth Rioux: sans filtre, mais elle en a aussi profité pour se confier sur ses relations amoureuses.
L’ayant elle-même avoué dans sa série, les gens la critiquent beaucoup lorsqu’elle annonce une nouvelle relation. Un des animateurs, Karl Hardy, l’a d’ailleurs questionnée sur le sujet. Il lui a demandé pourquoi c’était si difficile pour elle de dater?
Élisabeth a répondu en toute transparence en disant que c’est parce que les gens ont tendance à profiter d’elle.
«Si je me fie, mettons, aux façons que ça s’est finies dernièrement, je dirais que c’est parce que c’est souvent des personnes qui ne vont pas dater pour moi, mais plus pour qu’est-ce que je pourrais leur apporter. Je pense qu’en ce moment, je suis un peu là-dedans. C’est tough de faire la différence», expliquait-elle.
Elle a continué en disant qu’à la suite d’une situation récente s’étant déroulée cet été, elle est écœurée et rendue au point qu’en ce moment, elle n’est aucunement ouverte. Élisabeth n’a pas donné de nom, mais la dernière relation qu’elle a affichée était avec un courtier immobilier du nom d’Andy Misischia.
Vers la fin du balado, elle a dévoilé à Cam et Karl qu’après le tournage, elle avait une première rencontre avec un garçon rencontré sur Hinge.
Marie-Chantal Perron lors du lancement de son livre L'autre moi
L’imagination débordante de Marie-Chantal Perron se sublime bien sûr dans son métier d’actrice, mais également dans la création au sens large: en plus de coudre des vêtements pour elle et son entourage – elle a même déjà eu sa propre ligne, Dandine, de 2005 à 2017 – , l’artiste possède une plume vivante et sympathique, dont elle a usé dans trois bouquins signés de sa main.
Copine et Copine, un roman graphique qu’elle a coconçu avec ses collègues Tammy Verge et Kim Nunès, est sorti en 2019 et a été finaliste un an plus tard au Prix littéraire du Gouverneur général. En 2022, elle rappliquait avec un ouvrage plus costaud, Les douze mois de Marie, une autofiction (inspirée de faits réels, mais pas totalement calquée), dans laquelle le personnage central, son alter ego, devait apprivoiser avec douleur la perte de l’enfant de son conjoint au moment de la rupture avec celui-ci.
Marie-Chantal Perron en séance de dédicace / Crédit : Serge Cloutier
Et la voilà qui lance aujourd’hui L’autre moi, son troisième livre, une «fiction totale», dit-elle, donc une histoire purement fantasmée, qui aborde elle aussi le thème du deuil, d’une autre façon. Par le biais du lien unissant des jumelles aux personnalités très différentes, l’une écrivaine, tourmentée et excessive, l’autre propriétaire d’une galerie d’art, rationnelle et réconfortante.
«J’avais le goût de parler de relations toxiques à travers une famille dysfonctionnelle… et son chat», a raconté Marie-Chantal Perron, en entrevue avec notre journaliste.
«Le déséquilibre familial fait qu’il y a toujours une sœur qui doit s’occuper de l’autre, mais l’autre la nourrit. C’est toute la complexité des relations familiales, qui ne sont pas toujours évidentes, mais qui perdurent à travers les années parce que ce sont des liens de sang…»
Mais encore… Quel est le rôle du félin dans cette chronique familiale contemporaine? Il faudra lire L’autre moi pour le savoir!
«Depuis que je suis jeune, j’ai toujours aimé le côté du réalisme magique dans la littérature. De savoir qu’il y a des fantômes et des esprits dans une maison, par exemple. L’arrivée d’un chat dans l’histoire me permettait d’aller là-dedans», s’est bornée à répondre l’autrice, qui n’a pas de sœur et qui n’a jamais vécu de situation semblable.
L’autre moi plonge directement ses lecteurs au cœur de l’intrigue, sans fioritures inutiles, dans un chapitre intitulé «L’innommable»: un téléphone sonne, une mauvaise nouvelle, un taxi en direction du CHUM. Jade vit des heures d’angoisse terrifiante.
Qu’est-il arrivé à Mia?
Sauts dans le temps et synchronicités se succèdent au gré des 183 pages au ton très accessible.
Anick Lemay et Shirley Théroux au lancement du livre L’autre moi, de Marie-Chantal Perron / Crédit : Serge Cloutier
C’est au début de la trentaine que Marie-Chantal Perron, maintenant âgée de 57 ans, a entendu l’appel de son clavier d’ordinateur. Ses premières tentatives d’écriture se sont soldées par un demi-échec: elle passait plus de temps à inventer des détails aux vêtements que ses personnages de designers fignolaient, qu’à faire vivre lesdits personnages! Des tonnes de pièces d’habits cousus et une adorable belle-fille plus tard (avec laquelle la relation a été enrichissante au point de lui inspirer ses deux premiers livres), l’autrice en elle a repris ses droits, au grand bonheur des souris de bibliothèque. N’était-ce pas d’ailleurs la Mademoiselle C qu’elle incarnait dans les films du même nom qui prônait l’amour de la lecture…?
«J’écris beaucoup le matin, puis je me force à aller m’entraîner, sinon le temps passe sans que je m’en rende compte! J’écris tous les jours», a dépeint Marie-Chantal, qui partage désormais son temps entre Montréal et la Gaspésie.
«C’est vraiment inspirant, de travailler là. J’ai écrit une grosse partie du roman en Gaspésie…»
Une belle tranche de la colonie artistique s’était déplacée mardi, à la Buvette Faisan, dans le Quartier des Spectacles, à Montréal, pour célébrer avec Marie-Chantal la publication de ses nouveaux écrits, la féliciter d’un bon mot et d’un câlin et, bien sûr, s’en procurer un précieux exemplaire.
Les amis de Marie-Chantal Perron étaient nombreux à s’être déplacés pour célébrer avec elle la sortie de son nouveau roman, le mardi 17 septembre, à la Buvette Faisan / Crédit : Serge Cloutier
D’affirmer que la comédienne est adorée de ses pairs serait d’ailleurs un euphémisme: d’Anick Lemay à Mireille Deyglun, en passant par Bianca Gervais, Céline Bonnier, Shirley Théroux, Ingrid Falaise, Mylène St-Sauveur, Louise Portal, Brigitte Lafleur, Dominique Pétin, Chantal Fontaine, Marie-Ève Perron et d’autres encore, les personnalités qui tenaient à festoyer avec Marie-Chantal étaient très nombreuses.
Le roman L’autre moi, de Marie-Chantal Perron, publié aux Éditions Robert Laffont, est déjà en vente depuis quelques jours. On peut aussi voir la comédienne dans la troisième et dernière saison de Cerebrum, disponible sur ICI TOU.TV EXTRA.
Rappelons que Marie-Chantal a remporté dimanche un trophée Gémeaux pour sa prestation dans la série Alertes.
Lors de ce moment en tête-à-tête, le producteur invité a répondu aux questions en rafales d’Étienne et il nous a parfois surpris par ses réponses.
Dès le début de cet amusant moment et entre deux bouchées de ramen, l’animateur a rappelé que Jean-Philippe avait fait ses débuts dans le domaine auprès de Julie Snyder et lui a demandé ce qui avait fait en sorte qu’il ait continué.
Vous comprendrez qu’à ce moment, Jean-Philippe a éclaté de rire.
«Non, mais, tu sais, elle m’a appris vraiment beaucoup de choses et honnêtement je vais toujours, toujours, toujours me sentir redevable parce qu’elle m’a donné des rôles dans des projets qui n’avaient pas de bon sens, elle me donnait des titres, des mandats (…)», affirmait-il, visiblement reconnaissant d’avoir eu cette chance qui a définitivement donné un coup d’envoi à sa grande carrière.
L’animateur a ensuite lancé une flèche à Julie, à la blague (ou pas), en affirmant qu’elle faisait ce qu’elle fait le mieux, c’est-à-dire, presser le citron.
«(Rires) non, mais au contraire! Mais, après ça, est-ce qu’en vieillissant, j’avais les mêmes valeurs au travail qu’elle? Peut-être pas! Mais ce que j’ai vécu avec elle, c’est la base de ma carrière», affirmait-il.
On peut donc en déduire qu’il s’agit d’une manière léchée et polie pour dire qu’il n’est pas nécessairement en accord avec l’éthique de travail de la grande productrice québécoise.
La nouvelle mariée a d’ailleurs tenu à remercier ceux qui les avaient aidé à faire de cette journée un succès, tout en partageant des photos inédites sur son compte Instagram.
«Le oui le plus facile de ma vie – Je revivrais cette journée encore et encore – Merci à tous les gens qui ont travaillé avec nous pour rendre cette journée plus que parfaite», écrivait-elle, visiblement encore sur un nuage depuis le grand jour.
Sur la seconde photo du carrousel, vous pouvez voir un Carl profondément ému d’enfin avoir la chance de prendre pour épouse, la femme de sa vie et mère de ses enfants.
Luc Poirier, que nous avons notamment connu il y a plusieurs années à Occupation Double en 2008, est comme nous le savons désormais un riche et très habile promoteur et homme d’affaires.
Il pourrait bientôt ajouter une nouvelle corde à son arc, cette fois en politique, à la tête du parti Ensemble Montréal, rapporte Radio-Canada.
L'entrepreneur Luc Poirier songe « sérieusement » à se présenter à la tête du parti Ensemble Montréal, pour être candidat aux élections municipales de l’automne 2025 contre Valérie Plante. https://t.co/3ptR96DDC4
Poirier se serait confié sur son intérêt potentiel à se présenter à la course de chefferie du parti d’opposition à l’Hôtel de Ville de Montréal, un sujet auquel il semble réfléchir sérieusement.
Après avoir vendu des terrains dans le cadre du projet Northvolt pour la somme impressionnante de 240 millions de dollars, plus rien ne semble arrêter l’homme d’affaires. Il considère notamment que Montréal devrait être géré par des entrepreneurs du secteur privé et que la ville doit être sauvée, car elle ne peut plus «dépérir» de la sorte, selon lui.
Il a d’ailleurs un slogan en tête, qui en dit long: «Sauvons Montréal!», rapporte également Radio-Canada.
Ce dernier ne réside cependant pas à Montréal… ce qui ne constitue pas nécessairement un obstacle pour poser sa candidature, puisque la loi n’exige plus une d’avoir une résidence permanente 12 mois avant la campagne. Son principal doute pourrait toutefois provenir de sa famille, lui qui ne souhaiterait pas s’éloigner de ses enfants, selon cette même source.
Après avoir passé quelques jours à l’hôpital, Camille a su qu’elle devait changer son mode de vie et est devenue sobre. De passage au balado animé par sa bonne amie, Ophélia Nagar, One of the Boyz, mais One of the Girlz cette fois, l’ancienne candidate a donné plus de détails sur sa sobriété.
Elle a dévoilé, au moment du tournage, que ça faisait dix semaines qu’elle n’avait pas bu une goutte d’alcool.
« (…) je n’appellerais pas ça une victoire encore, je pense que c’est un cheminement qui se fait un jour à la fois. Je trouve aussi que c’est très compliqué de me mettre dans des situations où les gens ne comprennent pas et ils me disent: comment ça se fait que tu ne vas plus jamais reboire? Mais je ne le sais pas et je ne veux pas me mettre ce genre de pression là (…). Avant que j’aie mon accident et ma pancréatite, je voulais arrêter de boire, c’était dans mes plans d’arrêter de boire. Je trouvais que je consommais trop, sans modération», expliquait Camille, avec transparence.
«Je buvais genre au moins vingt verres de vin par soir, pis j’étais capable d’en prendre. Ce qui s’est passé, c’est que je n’arrivais pas à arrêter et j’ai eu ma pancréatite, donc j’ai été obligée d’arrêter. J’ai été obligée de me demander Camille, pourquoi tu buvais? Et je me suis rendu compte que je buvais parce que je pensais que les gens aimaient juste la version saoule de Camille (…). Le jour où j’ai eu le déclic: Hey, Camille, tu n’as pas besoin de divertir tes amis, tu n’as pas besoin d’être la plus drôle de la gang, tu peux être toi, pis les gens qui t’aiment, ils vont rester (…)», continuait-elle.
Camille a ensuite mentionné en être au point où elle doit apprendre définir qui elle est, dans sa sobriété.
« (…) ça va être difficile pour moi de laisser quelqu’un entrer dans ma vie actuellement alors que je ne sais pas exactement qui je suis sobre, mais je pense que si la bonne personne arrive, je vais être prête. Je pense qu’il faut faire confiance à la vie (…). Dans mon cercle vicieux, j’étais rendue à sortir jeudi, vendredi, samedi, et dimanche dans le jour. Ça n’a pas de bon sens quand j’y pense. Là, ça ne fait pas tant longtemps, mais maintenant je me dis: ben voyons Camille, tu l’échappais donc bien, qu’est-ce que tu faisais? Maintenant, le jeudi, je fais autre chose, je lis un livre, je me couche à 21h (…)», mentionnait Camille, en expliquant que pour avoir le succès qu’elle souhaite dans la sobriété, elle doit faire des changements dans ses habitudes de vie.
L’ancienne candidate d’OD a aussi expliqué que tout son mode de vie a changé, notamment elle se lève plus tôt, se couche également plus tôt et voit le futur très positivement.
Nous la félicitons et lui souhaitons une belle continuité!
À un moment, l’animateur a demandé au couple s’il désirait depuis longtemps passer à l’acte ou si le tout avait été fait un peu plus sur un coup de tête.
C’est à ce moment que Vincent a affirmé qu’ils en parlaient depuis longtemps et qu’ils s’étaient même déjà chicanés à ce sujet.
«Bin oui, on s’est même déjà chicane à cause de ça (…)», avouait-il, en riant.
Capture YouTube @Entre Elle et Lui Podcast
Un peu plus tard, les animateurs sont revenus sur le sujet et ont demandé la cause derrière cette chicane.
«(…) Je pense que je lui demandais quand ça va arriver. Ça fait quatre ans qu’on est ensemble, je pense que j’avais plus hâte que d’autre chose et on dirait que je voulais savoir c’était quand, pour être préparée (…)», lançait Noémie, en avouant maintenant savoir que ce n’est pas la bonne façon de faire.
Vincent a continué en ajoutant qu’il ne s’agissait pas d’une grosse chicane, mais plus d’une petite prise de bec entre les deux.
«(…) Je crois vraiment, malheureusement, qu’aujourd’hui dans la génération qu’on est, avec les réseaux sociaux et l’influence de tous les gens qu’on voit chaque jour, je pense que le fait de se faire demander en mariage, la bague et tout, je pense que (…) il y a des gens qui se mentent peut-être à eux même. Je pense qu’il y a beaucoup de pression sociale de genre: Ah elle, pourquoi elle, elle a sa bague et pas moi? Elle, elle s’est fait demander en mariage et pas moi (…) dans ton subconscient, c’est sur que ça a un impact. Je pense qu’elle, à un certain point ça l’atteignait (…)», expliquait-il, en ajoutant qu’il pense aussi que puisqu’elle est plus vieille que lui elle se fixait un âge auquel elle désirait que ce soit fait.
Vincent raconte d’ailleurs que ce soir-là, quand ils se sont chicanés, il a argumenté en lui disant qu’elle désirait une belle bague et qu’il voulait le lui offrir, alors qu’il devait économiser et qu’elle devait donc lui donner du temps.
Noémie a renchéri en expliquant qu’elle n’avait jamais ressenti le besoin de franchir ce cap dans ses anciennes relations et que c’est l’excitation qui la rendait impatiente.
La pression sociale a-t-elle joué un rôle dans votre envie de vous marier?
Stéphane Fallu était de passage au podcastSexe Oral animé par Joanie Grenier et Lysandre Nadeau, un épisode dans lequel nous en avons appris énormément sur la vie intime de l’humoriste.
Stéphane Fallu s’est ouvert sur la période de sa vie où il a été le plus actif sexuellement, soit le moment où il était infirmier c’est-à-dire avant d’être connu et de devenir un humoriste à l’âge de 30 ans.
«(…) Ma plus grosse époque c’est quand j’étais zéro connu, je pense que… c’est quand j’ai commencé là, j’en ai profité, bien j’en ai profité (…) j’ai eu du fun (…)», dévoilait-il.
«(…) J’étais une petite sl*t quand j’étais infirmier, quand j’étais habillé en blanc, je suis une infirmière cochonne (…)», lançait-il en expliquant avoir eu une période où il était plus longtemps célibataire à cette époque.
Il affirme d’ailleurs avoir beaucoup exploré et en être heureux puisque selon lui, c’est important d’apprendre à se découvrir à ce niveau avant d’être en couple.
Joanie lui a demandé quels fantasmes il avait réalisés.
«(…) deux filles, là c’était… bien c’est quand même (…) c’est le fun mais c’est beaucoup de job (…) OK, là, il faut que tu donnes deux fois de l’attention, c’est quatre seins, mais tu sais, tu es en gestion. Là, à un moment donné, ils sont trois ensembles, c’est comme: qu’est-ce que je fais? Et là, il ne faut pas que tu finisses trop vite (…) tu vas en décevoir deux (…)», lançait-il, en expliquant que le après est toujours moins plaisant, puisqu’il y a comme un malaise.
Capture YouTube @Sexe Oral Podcast
Lysandre qui l’a elle aussi vécu, a mentionné qu’elle, lorsque ça lui était arrivé, elle était toujours en consommation et Fallu a affirmé que lui aussi et que sans avoir consommé, ce genre de choses n’arrivaient pas.
«(…) Moi je pense que c’est quand que j’ai arrêté beaucoup de boire que j’ai arrêté aussi de faire des niaiseries aussi (…)», lançait-il.
Alors que Stéphane affirmait qu’il n’avait pas du tout l’air d’une bête sexuelle, les filles lui ont demandé si le sexe était un sujet qu’il abordait souvent et ouvertement.
Stéphane a répondu que non, parce qu’il trouvait le sujet gênant, mais qu’en même temps, non, et on a pu ressentir un malaise dans la livraison de son message.
Il a ensuite expliqué que, selon lui, le but des podcasts est justement de dire aux autres que oui, ça se peut d’avoir du plaisir, mais qu’à certaines périodes, il est aussi normal d’être moins actif.
Il a enchainé en abordant la vague de scandales qu’il y a eu dans le milieu artistique.
«(…) Quand je me suis réveillé, il y a eu tous les scandales (…) il y a en eu beaucoup parce que beaucoup de monde exagérait… tsé à un moment donné tu le vois quand ce n’est pas… moi je pense qu’être toxique, tu ne veux pas être ça dans la vie là (…) et on a été tout croche parce que quand tu consommes, tu es tout croche, tu ne sais pas trop ce que tu fais tsé (…) je ne pense pas, mais tsé des fois avec le recul tu fais: ouin peut-être que… (…)», expliquait-il.
Lysandre lui a donc demandé s’il avait eu une petite frousse lorsqu’il avait vu une vague d’humoristes se faire dénoncer.
«(…) On a tous la frousse, je pense que tout le monde a eu… mais en même temps (…) tsé moi je crois, il y a peut-être eu des moments de maladresse plus que des moments… mais ce n’est pas dans… tsé l’insistance, tsé de profiter (…)», avouait-il, en affirmant avoir même déjà dit à des amis de se calmer.
Capture YouTube @Sexe Oral Podcast
«(…) J’ai déjà dit à un gars dans une occasion, si tu continues je vais appeler la police man parce que là ce n’est pas fin là! (…)», racontait-il en spécifiant qu’il ne s’agissait pas d’un humoriste.
«Un moment donné c’est que tu penses que tu es le roi du monde là-dedans là (…)», continuait-il.
Lysandre a renchéri en lui demandant s’il y avait déjà eu un moment où il avait pris la grosse tête et se disait qu’il pourrait avoir n’importe qui dans une foule, cependant, Fallu a affirmé que non, pas vraiment.
C’est dans le cadre d’une entrevue accordée à Radio-Canada Info que Pierre s’est confié sur la personne qui partage sa vie au quotidien. Une femme, dont le nom reste secret, qu’il a rencontrée il y a un an et demi par l’entremise d’amis.
Sa douce moitié exerce le métier d’avocate et elle est âgée de 57 ans.
Une femme qui, selon ses dires lors de cette entrevue, est capable de venir le chercher personnellement et de le faire parler, lui qui se qualifie d’introverti.
Pour faire de la place dans sa vie personnelle, ne voulant d’ailleurs pas brimer la carrière de cette dernière, il a choisi de quitter la politique avant la fin de son mandat, soit en décembre. Cependant, les choses se sont passées autrement, comme on le sait.
Aujourd’hui, nous saluons les accomplissements et l’ardeur au travail de Pierre Fitzgibbon, député de Terrebonne à l'…