Un moment où les animateurs revenaient sur des moments marquants de cette série culte, mais aussi sur des instants de carrière des vedettes de l’émission qui jouait sur nos écrans de 1994 à 2001.
C’est lors du segment publicitaire qu’on a présenté la vidéo d’une publicité qu’Isabelle a faite par le passé en étant l’égérie d’Olay, où elle joue une femme coquette qui prend bien soin de sa peau.
Une offre à laquelle elle ne croyait pas du tout et a même ri lors de son annonce pensant qu’il s’agissait d’une blague.
«Ça, cette pub-là… dans ce temps-là, je savais que… (…) l’émission Surprise Surprise, me cherchait. Je savais qu’ils voulaient me prendre quelque part. Et quand j’ai reçu cette proposition-là, j’étais avec mon agent. On prend l’avion, on s’en va à Toronto rencontrer les gens de Procter & Gamble, moi, je suis sûre que c’est une joke (…) Ils ont dit: on cherche l’effigie de Love Olay (…) On a fait un sondage pour savoir laquelle représentait la santé. Moi, je pars à rire, mon agent me pinçait. J’étais là: Claudia Schiffer n’était pas disponible, hahahaha? Je te jure là! Mon agent était là: mais tais-toi, Isabelle. Moi, j’étais sûre que c’était une joke! (…) », dévoile Isabelle sur ce moment de carrière.
Un moment très divertissant qui a bien fait rire les artistes et le public présent sur le plateau!
C’est lors de sa présence qu’il s’est confié sur un moment fort surprenant et cocasse qui s’est déroulé lors d’une scène en compagnie de France Castel.
Une confidence faite suite à la présentation d’un extrait vidéo d’une scène avec la comédienne provenant du film Karmina.
Avant le tournage de la scène où les comédiens se trouvaient dans un lit, ils ont dû patienter dans cet élément de décor afin que la production puisse installer un rail. Un moment qui a peut-être été un peu trop long pour Robert, qui s’est endormi dans un endroit plus que particulier.
«Moi, je me suis endormi entre ses deux seins… comme un petit oiseau», dévoile Brouillette.
Un moment télé qui a suscité de vives réactions et beaucoup de fous rires sur le plateau!
Emmanuelle Balmori, âgée de 51 ans, gagne sa vie en pratiquant le cerceau aérien, un fait que nous avons découvert suite à la question d’Anne sur son âge, ce qui a d’ailleurs grandement impressionné la juge.
«Ayayaye…Vous êtes jeune en même temps… là bon, on va revenir de ça», souligne Anne.
«Hey, c’est toi qui lui as demandé son âge», fait remarquer Serge Denoncourt.
«Oui, non, mais c’est parce que je suis impressionnée. Je voulais que tout le monde l’entende, surtout, et beaucoup d’hommes qui pensent qu’on est passée date à 40 ans. C’est tout ce que je veux dire, c’est mon petit commentaire», ajoute Anne, qui tenait à passer un message.
Emmanuelle tient d’ailleurs à inspirer les femmes en leur montrant qu’elles peuvent poursuivre leur passion sans date limite!
Finalement, la candidate a bien impressionné les juges et passe à la prochaine étape.
Un moment important et une performance remarquable d’Emmanuelle!
Puisqu’elle est immunisée de l’élimination de fille de cette semaine, elle devait également choisir deux filles qu’elle souhaitait protéger. Elle a donc décidé de sauver Stephany et Catherine L. Ces choix ont été basés sur le fait qu’elle savait que ces filles étaient le plus à risque de partir, puisqu’elles ne sont pas les top 1 de personne pour l’instant.
C’était finalement Aleksa et Michaël qui ont dû trancher. Les deux garçons avaient la responsabilité d’éliminer l’une des filles restantes… La décision s’est donc jouée entre Melek et Shaïna.
Melek, qui a eu une très belle connexion avec Raphaël lors d’une activité, n’est pas actuellement considérée comme le top 1 de personne même si elle aurait éventuellement une possibilité de développer une relation avec celui-ci.
Du côté de Shaïna, elle a bien apprécié son activité de moto-marine avec Bilal, mais celui-ci est déjà très affiché avec Catherine F. ce qui rend les choses bien compliquées. En effet, Bilal a mentionné plusieurs fois ne pas vouloir jouer sur plusieurs tableaux.
Est-ce Shaïna qui va malheureusement quitter l’aventure? C’est demain que nous en saurons davantage!
Julie Perreault était l’invitée de marque à l’émissionPour une fois, où elle s’est confiée sur plusieurs aspects de sa vie, y compris son rapport à la mort après avoir perdu des personnes importantes au cours de la dernière année.
Un moment particulièrement touchant avec l’une de ses intervieweuses de la soirée, la journaliste Isabelle Richer, qui a frôlé la mort avant d’être réanimée. Après une brève discussion sur l’expérience de la journaliste, nous en avons découvert davantage sur la façon dont Julie perçoit les choses face à la fin d’une vie.
«Alors parlant de mort, est-ce que tu y penses? C’est quoi ton rapport avec la mort? Est-ce que tu penses à la tienne, à celle des autres, à celle des gens que tu aimes? Qu’est-ce que tu entretien comme rapport avec la mort?»
«Étonnamment, c’est une bonne question parce que cette année, il y a deux personnes qui sont mortes près de moi, qui avaient mon âge ou même moins, puis ça a changé ma vie. Je vais t’expliquer pourquoi (…) Eh bien, c’est que moi je ne pense pas à ça, la mort, parce c’est comme je suis vivante, je suis jeune, je suis en santé, mais de perdre, comme mon ancien beau-frère de 50 ans dans une mort d’accident tragique ou un ami photographe qui est mort subitement, très jeune, avec de jeunes enfants… C’est comme si là, tout à coup, il y a comme un message qui m’indique que je peux mourir demain (…) Il y a deux choses que je me dis depuis ce temps-là: règle ce que tu as à régler, parce que je trouverais ça bien plate de laisser des situations ou des relations désagréables ou détestables. Puis profite dont de tout parce que tu ne le sais pas», témoigne Julie sur la mort, qui peut parfois arriver plus vite qu’on le pense.
Un moment en compagnie de Julie et Isabelle qui pousse à la réflexion, tout en étant profondément touchant.
À un moment, l’entrepreneur a parlé de comment elle vivait ses relations amicales et a expliqué que ces dernières avaient changé avec certaines personnes depuis qu’elle était maman.
Il s’agit d’un enjeu qu’elle affirme comprendre et accepter puisqu’elle pense qu’un jour, elle sera peut-être plus en phase avec quelques-unes de ses amies qui, pour l’instant, ne vivent pas les mêmes choses qu’elle.
Elle a d’ailleurs tenu à spécifier que ce n’est pas parce qu’on ne la voit pas en compagnie de certaines amies pendant un moment qu’elles ne se parlent plus.
«Moi, il y a full de monde qui me dit: Ah! Élisabeth, celle qui change d’amis! Et je suis comme: Mais de quoi tu parles?», lançait-elle tout juste avant que l’animatrice lui demande quelle est la plus grande rumeur à son sujet.
Élisabeth a répondu qu’elle pensait que c’était ça, que les gens pensent qu’elle change souvent d’amis.
«(…) Là le monde vont dire, Emy (Emy-Jade Greaves), Milay (Milaydie Bujold) blablabla (…) la dernière fois que j’ai texté Emy, Milay c’était hier au pire (…) c’est parce que je ne le montre pas tout le temps sur mes réseaux (…)», affirmait-elle.
Élisabeth a ensuite donné l’exemple de son amitié avec ClaudiaTihan, qu’elle dit voir très souvent, mais ne jamais rien publier en sa compagnie.
«(…) Moi et Clau on se voit probablement deux fois par semaine depuis la dernière… peut-être deux ans genre. Deux fois par semaine, même quand on est au Québec et tout. Quand on est au Québec, on le post jamais! (…)», lançait-elle en mentionnant que lorsqu’elles se voient, elles font des choses simples telles que des soirées pyjama devant la télé.
Elle a d’ailleurs tenu à expliquer que puisque beaucoup de ses amis sont, comme elle, influenceuses, leurs métiers sont les réseaux, donc qu’elles travaillent parfois ensemble en partageant des photos, mais que lorsqu’elles sont en congé, elles ne partagent pas.
C’est donc un mystère résolu pour tous ceux qui se demandaient si elle était toujours en contact avec ces personnes.
En effet, le créateur de contenu explique avoir pris la décision de subir une rhinoplastie due à un complexe et suite à une blessure survenue lors de son passage à Big Brother Célébrités.
«Story time: j’ai manqué mourir en me faisant opérer! OK, il n’y a personne qui le sait, mais il y a quelques mois j’ai pris la décision de passer sous le bistouri (…)», dévoilait-il, en affirmant qu’il ne recommandait pas de le faire, au contraire.
Le créateur de contenu continue son histoire et explique qu’il a fait son opération, que tout s’est bien déroulé et que tout allait super bien lorsqu’il était sous médication.
Cependant, lorsqu’il a arrêté de la prendre, il s’est rendu compte qu’il y avait un problème puisqu’il avait de grosses douleurs à la gorge.
Il a alors contacté son chirurgien et son infirmière qui l’ont rassuré en lui disant que tout était normal… Toutefois, comme la douleur persistait, Zoé a décidé d’appeler à nouveau.
Une fois de plus, son chirurgien et son infirmière l’ont rassuré en lui mentionnant que peut-être que le tube placé dans sa gorge lors de l’intubation l’avait irrité.
«Même si j’ai payé une somme astronomique pour ce beau petit nez de lutin, ça a l’air qu’il n’y avait pas de services aftercare (…)», affirmait-il en expliquant n’avoir pas mangé pendant 72 heures à cause de la douleur.
Après quelques heures, Zoé explique avoir réussi à passer des tests qui lui permettaient de savoir ce qui se passait.
Peu de temps après, il a eu la visite du médecin qui avait une bien mauvaise nouvelle: l’équipe médicale lui avait déchiré la trachée!
«Le tube m’avait comme lacéré à trois endroits dans ma gorge et c’est pour ça que je n’étais pas capable d’avaler ni de boire (…)», racontait-il, en ajoutant que la médecin lui avait mentionné à ce moment qu’il aurait dû se faire prendre en charge plus rapidement.
Après coup, le créateur de contenu a repris rendez-vous avec le chirurgien pour qu’il lui enlève les morceaux de plastique qui étaient toujours dans son nez.
Alors que l’infirmière s’apprêtait à retirer ou plutôt à couper les morceaux de son nez, le chirurgien est entré dans la salle, paniqué.
«Le chirurgien entre et crie: What the fuck! (…) il est genre: tu ne vas pas le couper avec ça? Elle est comme: Bien oui, j’allais le couper avec ça. Il est genre: C’est un scalpel pour les tummy tucks (…)», racontait-il, toujours visiblement traumatisé et découragé, en ajoutant que si elle avait fait ça, elle aurait transpercé son nez.
Zoé a ensuite tenu à souligner que le chirurgien en charge de son dossier est l’un des plus chers et des plus réputés du pays.
«Donc si ça peut vous motiver à ne jamais faire ça! (…)», concluait-il en faisant un clin d’œil à la caméra.
Le pro de l’économie, Pierre-Yves McSween, était l’invité spécial de l’émissionJe viens vers toi, où il a jasé un tantinet de politique et de la possibilité de se lancer dans le milieu.
Lors de sa discussion sur la fin de son contrat radio, il a sous-entendu qu’il pourrait être intéressé à remplacer l’ancien ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie du Québec, Pierre Fitzgibbon. Une confidence faite à la suite d’un commentaire de l’ancien maire Régis Labeaume.
«Tu es vraiment fait pour la politique… je t’écoute», souligne Régis, envoûté par le discours de Pierre-Yves.
«Il y a un monsieur Fitzgibbon qui est parti, et puis là je suis un agent libre. Je ne veux pas lancer de rumeur, mais ministre…», répond McSween avec un geste de tête qui laissait sous-entendre un pourquoi pas.
Cependant, il a précisé qu’il n’était pas intéressé à devenir superministre, en réponse à une question de l’animateur Marc Labrèche, qui lui demandait s’il serait prêt à occuper ce poste, mentionnant au passage qu’un poste de député du NPD à l’opposition au fédéral était aussi payant que celui de ministre au provincial.
«Et c’est bien moins de travail!», termine McSween, qui sait bien compter son temps et son argent.
Plus tard dans l’émission, il a également mentionné qu’il avait toujours affirmé haut et fort qu’il ne se lancerait jamais en politique, et qu’il devrait maintenant passer outre cette promesse si tel était le cas dans le futur.
Tout en ajoutant qu’au moment de ses promesses il avait un emploi, mais les choses ont changé et il ne semble plus fermé à cette potentielle future carrière.
Celle qui réussit toujours à nous surprendre par ses grivoiseries a fait une confidence surprenante sur la manière dont elle aimerait que le monde embrasse le sexe.
Ce moment a eu lieu après une question de l’animateur, Marc Labrèche, qui souhaitait savoir si ses invités pensaient que l’argent dominait davantage le monde que le sexe.
«Non, mais si… je me dis, tout le monde, s’adonnait à des expériences comme ça, sexuelles, soit seul ou en groupe ou à deux, le monde irait tellement mieux. On pourrait mener le monde d’une manière (…) Mais ça mène le monde effectivement parce que ça reste quelqu’un de frustré qui nous met en danger (…) Donc si ça se met à aller mal, souvent c’est des frustrés probablement qui n’ont pas assez exulté, puis assez joué du bassin», témoigne Élise qui considère que la vie serait mieux ainsi.
On ne sait toutefois pas si elle applique elle-même cette vision.
Lors d’un Q&A publié sur son compte Instagram, une personne lui a demandé si elle se sentait toujours épanouie dans son travail et Claudie a répondu avec transparence.
Elle a commencé sa réponse en affirmant qu’elle adorait son travail, mais qu’elle se sentait quelque peu perdue par rapport à sa pertinence sur les réseaux sociaux.
«Par contre, je ne vous cacherai pas que je me sens perdue présentement quant aux réseaux sociaux. Pas parce que je ne suis pas passionnée, mais je me remets en question sur la place que j’ai sur les réseaux. Je vieillis, et j’ai peur que mon contenu ne soit plus aussi pertinent (en passant, je ne dis pas ça pour chercher de la validation). Aussi, j’ai des phases plus créatives que d’autres, et ça fait partie du travail d’avoir moins d’inspiration de temps en temps. Mais ça peut jouer sur le moral quand ça fait un long moment que ton inspiration est bof. Comme dans tous les métiers, c’est normal de se remettre en question, et je trouve que ça mène toujours à du positif de le faire. Je ne sais pas où l’avenir me mènera, mais j’espère que je pourrai vivre des réseaux pour longtemps, car je me sens heureuse et sur mon X», écrivait-elle en semblant toujours être heureuse d’où sa carrière la mène.
Dans ses réponses aux questions, Claudie a aussi évoqué son anxiété, disant qu’elle traversait encore des moments difficiles, mais qu’elle travaillait à les surmonter en prenant soin de sa santé mentale.
Quant à Occupation Double Mexique, elle s’est dite enthousiaste pour la nouvelle saison et curieuse de voir l’évolution des candidats.