Ce spectacle vise à célébrer la musique québécoise tout en amassant des dons afin de soutenir les jeunes du Centre Yvon Deschamps Centre-Sud, qui a comme mission d’améliorer la situation des jeunes vivant dans ce quartier, notamment en luttant contre la pauvreté et en rendant les loisirs plus accessibles.
Lors de la soirée-bénéfice, les spectateurs auront la chance de voir rassembler sur scène de nombreux artistes légendaires de la chanson québécoise, dont Robert Charlebois, Gilles Vigneault, Michel Rivard, Louise Forestier, Richard Séguin, Isabelle Boulay, Bruno Pelletier, Marie-Denise Pelletier, Daniel Lavoie, Judi Richards, Guylaine Tanguay et ClaudeMeunier.
Sachez que 100% des profits seront remis à la Fondation Yvon Deschamps Centre-Sud et que le spectacle est ouvert à tous.
Cependant, les places sont limitées! Faites vite avant qu’il ne soit trop tard!
C’est lors du dernier épisode qu’une candidate, Nelka Pelletier, a surpris les juges de justesse, à un cheveux de devoir arrêter son numéro.
Cette dernière a commencé de manière chaotique en chantant faux, et aussitôt, trois juges ont appuyé sur leur bouton rouge pour mettre fin à ce massacre. Rappelons qu’à l’émission, après quatre X durant la performance, l’artiste doit automatiquement cesser sa performance.
Mais quelques secondes plus tard, elle a laissé tout le monde sans voix en commençant à chanter réellement cette fois, de manière spectaculaire.
C’était une manière originale qu’elle a trouvée pour passer au niveau suivant, en dissimulant son véritable talent dès le départ. Heureusement que Rachid Badouri n’avait pas appuyé sur son bouton rouge.
«Pourquoi tu fais ça? Pourquoi tu chantes comme Anne Dorval? Puis tout à coup, oupelaï! (…) Non mais, c’était dangereux parce que si on avait mis quatre X, ton numéro aurait été arrêté», soulignait Serge Denoucourt, qui avait appuyé sur son bouton avant de découvrir la beauté de sa voix.
Finalement, les quatre juges lui ont donné un grand oui avec plaisir pour qu’elle passe à la prochaine étape.
Récemment, Maude a dû prendre la dure décision de partir vivre dans l’autre maison mixte en espérant y trouver un potentiel amoureux.
En effet, c’est Bilal qui lui avait vendu de se mettre en couple avec Aleksa puisqu’elle est physiquement son genre.
Juste avant d’aller habiter dans l’autre maison mixte, Maude a eu l’occasion de profiter d’une dateavec le garçon de son choix et c’est bien sûr Aleksa qu’elle a choisi afin d’apprendre à mieux le connaître.
Cependant, il faut savoir qu’Aleksa a déjà de l’intérêt envers deux filles dans sa maison, soit Kristina et Catherine. Kristina était d’ailleurs pas très à l’aise avec cette date entre Aleksa et Maude… surtout qu’elles n’ont pas encore eu la chance de rencontrer les garçons l’autre côté
Pourtant, il n’y a pas d’inquiétudes qu’elle soit éliminée dans les prochains jours alors que les animateurs ont annoncé l’élimination surprise d’une fille. Effectivement, Maude a l’immunité cette semaine.
Qui sera donc éliminée parmi les filles sachant qu’elles sont toutes en danger excluant Maude, Catherine F. et Fanny?
La Cour supérieure aurait refusé d’entendre l’appel de la compagnie de produits «aux formules 100% naturelles et véganes» créée par la comédienne Jacynthe René à travers sa compagnie Maison Jacynthe.
En effet, selon ce que rapporte Le Journal de Montréal, la juge Geeta Narang aurait refusé d’intervenir et d’accueillir l’appel d’un jugement, puisqu’elle considérait le motif non fondé.
Lors de sa demande d’appel, Jacynthe aurait aussi tenté de dénoncer la manière dont sa crédibilité aurait été traitée lors de son audience de première instance.
Un motif qui aurait été de nouveau considéré sans fondement par la juge.
La propriétaire aurait aussi souligné que le verdict de culpabilité était déraisonnable vu la mission première de sa compagnie, qui est de «prodiguer des conseils de beauté et de maquillage», un argument qui aurait lui aussi été jugé comme non fondé.
Rappelons que Maison Jacynthe avait été condamnée en 2021 à payer une amende de 19 000$ pour exercice illégal de la médecine, en donnant, entre autres, des conseils sur «l’irrigation du côlon» alors qu’il s’agit d’une pratique réservée au membre de l’Ordre des médecins.
Ce sont d’ailleurs deux vidéos publiées en 2018 sur la page Facebook de Maison Jacynthe qui avaient donné matière au procès. Dans les vidéos en question, la propriétaire de la compagnie, accompagnée du naturopathe Christian Limoges, s’étaient semble-t-il donnés comme mission de diagnostiquer des conditions de l’intestin.
Lors du procès, la comédienne avait tenté de se défendre en affirmant qu’elle ne se présentait en aucun cas comme un médecin dans les deux vidéos partagées sur sa page, que le mot «clinique» ne figurait pas dans le nom de l’entreprise et qu’elle «ne portait pas de stéthoscope ni de sarrau blanc»…
Nouvelle image de marque
L’entreprise, qui est active depuis maintenant 10 ans, a d’ailleurs lancé une nouvelle image de marque en juillet 2024.
Selon un témoignage rédigé sur leur site, l’équipe trouvait que leur ambiance et leur décor n’étaient pas à la hauteur de leurs produits. Ils ont donc procédé à un renouveau du visuel de leurs boutiques, leur site et leurs étiquettes.
«Vous nous avez demandé au fil des années de vous aider à vous retrouver. Nous ne savions par où commencer», peut-on lire.
Mais la question se pose. Est-ce suffisant pour faire oublier l’erreur de jugement dont a fait preuve la propriétaire en partageant des vidéos ayant comme sujet un enjeux aussi sérieux que la santé?
Il semblerait que plusieurs influenceurs et personnalités publiques aient décidé de passer outre cet «incident» survenu en 2018, puisque plusieurs d’entre eux font la promotion de la compagnie ou collabore avec celle-ci.
Camille Dufresne
Véro Magazine
Amanda Boily
Noemy Petit
Qu’en pensez-vous, Maison Jacynthe mérite-t-elle une deuxième chance?
C’est alors que le couple parlait de leur vie commune, de leur ambition et de leur métier que les amoureux ont déclaré avoir le désir de fonder une famille.
À ce moment, surexcité, Vincent a levé un bras haut dans les airs et s’est mis à crier: «On a essayé avant-hier, on a essayé avant-hier!».
L’animateur a alors demandé à Vincent si cette affirmation voulait réellement dire ce qu’il pensait.
«Oui! On a commencé à essayer!», lançait-il, en parlant visiblement d’avoir un enfant.
Noémie, qui avait refusé de boire un verre d’alcool au début du balado, a alors expliqué qu’elle avait décliné, car elle désirait mettre toutes les chances de son côté.
De son côté, Noémie semble n’être certaine de rien.
«(…) c’est quand même une grosse pression pour la femme. Il faut que tu portes l’enfant, ton corps change (…) moi, j’ai comme peur (…) tout est nouveau, on dirait que c’est comme tout sur moi. C’est comme là, le mariage, j’ai aucune idée, mais je sais qu’avoir mes enfants au mariage ça serait le fun (…)», répondait à son tour Noémie.
Elle explique d’ailleurs qu’elle ne s’empêchera pas de vivre ce beau moment, même si des femmes lui diront peut-être que son corps changera.
«(…) je ne vais pas m’empêcher d’avoir le goût en ce moment et de le vivre. Donc, je vais le vivre et ça va être ma première grossesse (…)», continuait-elle en ajoutant ne pas être certaine qu’elle est prête, mais en se rassurant que personne n’est vraiment prêt à ça.
Noémie a ensuite affirmé qu’elle pense avoir le meilleur partenaire pour accomplir cette aventure d’une vie.
Vincent, qui semble être très bon pour rassurer sa conjointe dans ses inquiétudes, a ensuite affirmé qu’il la comprenait là-dedans, mais qu’au fond, ce que les autres pensent par rapport au corps n’a pas d’importance.
«Vous donnez la vie (…) c’est genre le superpower qu’on n’aura jamais, on s’en fout tu que tu aies un ventre mou après (…)», lançait-il en, affirmant cependant la comprendre.
Noémie a alors expliqué qu’il pouvait être confrontant de voir des mamans, après avoir été enceinte, s’afficher sur les réseaux en étant de retour au sport et à leur corps d’avant en peu de temps.
Elle a continué en révélant ne pas être certaine qu’elle serait à l’aise de parler de sa grossesse sur les réseaux sociaux.
«Tout ce mom Instagram, souvent c’est troublant tsé. Elles ont toutes les réponses: Ça il faut que tu fasses ça comme ça (…)», lançait-elle, en se mettant visiblement déjà une grande pression sur les épaules.
Vincent, de son côté, affirme qu’il ne faut pas se concentrer sur les réseaux, mais plutôt sur les conseils de sa propre mère.
«F*ck les réseaux, qu’ils aillent perdre leur temps les autres là!», lançait-il dans tout son naturel.
Curieux, les animateurs ont donc demandé comment le processus s’était enclenché.
«Ça fait une couple de semaines qu’on fait du sexe et qu’on est comme…(…) je bust in or out, là qu’est-ce qu’on fait? (…)», lançait Vincent, en affirmant qu’il demande la permission à chaque fois, pour être certain du plan.
Noémie révèle d’ailleurs qu’elle a pleuré à chaque fois dû à la surcharge d’émotions ressentie à la pensée de créer un enfant.
«Moi, j’ai le feeling qu’elle va être enceinte direct (…)», a ajouté Vincent.
«Quand on est arrivé au mariage et ils ont signé les papiers, il y avait leurs deux enfants avec eux et je pense que j’ai braillé pendant deux minutes, j’étais genre: c’est tellement beau (…)», avouait-elle.
L’ex-candidate d’OD affirme qu’elle pense au fait d’avoir un enfant depuis deux ans et que le couple sent qu’il s’agit maintenant d’un bon moment puisqu’il se sent en sécurité dans la plupart des sphères de leur vie.
Nous leur souhaitons beaucoup de bonheur et… un bébé?
Un départ qui a commencé en force avec la dynamique nouvelle animation de Sébastien Benoit, l’énergie de la nouvelle enquêtrice Mélissa Bédard, mais aussi, et surtout, grâce aux numéros spectaculaires auxquels nous avons eu droit!
Une émission qui gagne le cœur du public depuis quatre saisons maintenant et les cotes d’écoute préliminaires du tout premier épisode dévoilées par Richard Therrien prouvent que ce show fait, une fois de plus, des ravages!
Un chiffre impressionnant de 1 320 000 téléspectateurs était au rendez-vous, ce qui les place largement au sommet du rendez-vous dominical.
Suivi par Révolution avec plus de 929 000 curieux!
En ce qui concerne la téléréalité Occupation double, qui débute aux mêmes heures que Chanteurs masqués, elle a eu droit à 292 000 fidèles.
Rappelons qu’il s’agit de chiffres préliminaires et qu’ils ne comprennent pas les écoutes sur les plateformes telles que Noovo.ca et TVA+!
Cette tendance se maintiendra-t-elle?
Pour ne rien manquer de Chanteurs masqués rendez-vous les dimanches dès 18h30 sur les ondes de TVA!
Tout cela à la suite de la demande de son interlocutrice, qui voulait savoir comment elle se reconnaissait dans chacun de ses enfants.
Une interrogation qui a immédiatement émue Julie.
«Thomas, c’est… Ah seigneur… J’ai comme un lien particulier avec cet enfant-là parce que, je ne sais pas, je l’ai eu jeune. Je pense que c’est l’une des plus belles personnes que j’ai vues de ma vie. C’est tellement une belle personne, avec un grand cœur, puis j’enlève rien à Élisabeth, parce que je vais y revenir. Mais Thomas, il a comme… Je pense que je l’admire. Je pense que j’admire sa grandeur d’âme (…) sa maturité émotive. Ça me rend fière, je le trouve digne. Puis, il ne fait pas de compromis et il est tellement authentique», répond Julie à propos de son fils, Thomas Delorme, qui suit d’ailleurs les traces de ses parents dans le milieu artistique.
C’est par la suite que la comédienne a également témoigné de son lien avec sa fille.
«Élisabeth me touche et je la reconnais dans son besoin de se trouver, de se chercher. Puis, c’est vraiment ma poupée Élisabeth, ça fait qu’elle réclame sa mère. Puis, je suis toujours là pour elle. J’ai un lien affectif très, très fort aussi avec elle», poursuivait-elle.
Julie a continué en ajoutant que son lien avec chacun d’eux était différent.
«Elle a quand même sept ans de moins que Thomas. Je connais vraiment plus Thomas parce que ça fait sept ans de plus que je l’ai; que je le connais ! Ça existe pour cette affaire-là. Je connais beaucoup plus Thomas, donc je connais plus de nuances. Il a traversé plus de choses, il est plus vieux. Je ne l’aime pas plus, parce que l’amour, ça ne se divise pas comme ça. Ça ne se soustrait surtout pas, mais le lien est différent aussi parce que ce n’est pas de mes enfants dont je suis la plus fière. C’est du lien que j’ai avec mes enfants», concluait la comédienne et photographe.
Un instant intéressant en compagnie de Julie Perreault qui a visiblement beaucoup d’amour pour sa famille!
L’auteur-compositeur-interprète Luc De Larochellière est en couple avec Andrea Lindsay depuis plusieurs années déjà.
Un amour qui ne cesse d’ailleurs de grandir pour les tourtereaux qui sont également parents d’un jeune garçon, Louis!
Le couple a récemment décidé d’officialiser leur amour par un mariage au Manoir Beechmore en Estrie. Les nouveaux mariés en ont d’ailleurs fait l’annonce sur les réseaux sociaux avec un joli portrait de famille.
«Alors. Voilà, en bref. Andrea Lindsay et moi, on s’est mariés. Sur la photo, ma fille Claudel, Andrea, notre fils Louis et moi», annonçait Luc, en toute simplicité.
Il semblerait que la réception intime se soit terminée sur un jam musical. Pas surprenant pour un couple de musiciens!
Lors du dernier épisode, une candidate s’est particulièrement démarquée de ses compétiteurs, non seulement par ses talents musicaux, mais aussi par son histoire.
Elle était de retour, cette fois à Quel Talent!, où elle nous a offert une prestation époustouflante. Cette jeune femme, atteinte d’un léger trouble de l’autisme et d’un trouble du langage, défie de nombreux tabous grâce à son amour pour la musique.
C’est en interprétant la chanson This Is Me, tout en jouant du piano, qu’elle a réussi à éblouir, non seulement le public, mais aussi les juges.
Inutile de préciser qu’elle a obtenu quatre grands OUI pour passer à la prochaine étape, sans toutefois recevoir de Golden Buzzer de la part des juges.
Comme le veut le principe du balado, au début de l’épisode, Caroline a pigé plusieurs cartes vertes sur lesquelles étaient inscrites des questions. Elle a choisi de répondre à celle qui lui demandait quelle personne avait fait une différence dans sa vie.
Un peu plus tard, Marie-Claude pouvait, à son tour, choisir une question verte à laquelle son invitée devrait répondre et elle a décidé de lui demander sur quel trait de caractère elle avait dû travailler.
La vedette a donc avoué être impatiente, et ce, de façon générale.
«(…) Je suis impatiente dans tout (…)», avouait-elle, en mentionnant se l’être fait dire à de nombreuses reprises, lorsqu’elle était plus jeune.
Elle explique que son impatience lui a parfois fait prendre des décisions sans vraiment y réfléchir et qui lui ont malheureusement causé des problèmes.
Caroline a ensuite affirmé avoir travaillé sur ce côté de sa personnalité en se démarrant une compagnie.
«(…) De la famille, tu peux te fâcher, tu peux te fâcher contre ta mère, tu sais qu’elle va rester ta mère, tu peux te fâcher contre ton père, mais ton employé si tu te fâche après, et qu’il décide qu’il s’en va, tu te retrouve avec un poste de moins (…)», lançait-elle.
Une belle conversation qui l’a amenée à s’ouvrir sur la faillite qu’elle a traversée en 2019.
«Moi le lâcher-prise, je l’ai tu appris avec la faillite! (…) le premier mot que j’ai lu, c’était lâcher-prise et c’était ça qui m’avait menée à prendre ma décision (…)»,lance-t-elle.
Marie-Claude a alors saisi la balle au bond et lui a demandé si avec la faillite, elle avait l’impression d’être à la croisée entre lâcher-prise et acharnement.
«(…) Ah bien oui, c’est sûr! En fait, je pense que tout entrepreneur qui passe par là, même ceux qui le frôle, parce qu’on s’entend, tu te lances en affaires, tu vas avoir des ups and downs, ça, c’est sur, mais… moi en fait, ça été ça à la fin. C’était de l’acharnement. Je devais faire faillite et je ne voulais pas lâcher. Je continuais à essayer de trouver des idées, des idées, des idées, je patinais, c’était débile (…)», se remémorait-elle.
L’animatrice, se mettant visiblement à sa place, lui a demandé de lui expliquer dans quel état elle se trouvait à ce moment.
«(…) J’étais en dépression contrôlée, premièrement parce que j’avais un enfant, donc j’avais une semaine sur deux que j’avais une dépression (…)», lançait-elle, en ajoutant que la faillite l’avait libérée.
Elle a affirmé que le jour où elle avait pris la décision d’abandonner, un poids énorme lui était enlevé de sur les épaules.
«Ça a fait: Je ne peux plus là, quand même que je voudrais, je ne peux pas rentrer au bureau, je ne peux pas… je ne peux pas continuer, je ne peux pas travailler, je ne peux pas… c’est fini, fini, c’est fini», lançait-elle, en expliquant que derrière cette épreuve se cachait un énorme soulagement.
Ce moment difficile a d’ailleurs été accompagné de son divorce, qui a eu lieu dans le même laps de temps.
«(…) Quelque part, je me suis mis dans une double situation, en même temps que je sentais que mon entreprise allait tomber, j’ai décidé aussi de faire tomber ma vie personnelle (…)», explique Néron, en comparant ce moment à un saut en parachute.
Pendant cette étape difficile, Caroline a tout de même reçu un magnifique cadeau, qui tombait pile au bon moment: la proposition d’un projet incroyable.
«Pendant que j’étais en boule chez nous, avec un verre de vin, bien écrasée à pleurer ma vie (…) que j’ai eu l’appel de mon service à la clientèle qui me disait: il y a un agent de casting qui veut te parler pour une audition (…)», lançait-elle, en expliquant, avoir vu la proposition d’audition pour La déesse des mouches à feu comme un signe.
«(…) La seule raison pourquoi je voulais gagner, c’était pour monter sur la scène, la seule phrase que j’avais préparée c’était pour ma fille (…)», lançait-elle, en expliquant qu’elle aurait alors l’occasion de lui laisser un moment qu’elle pourrait revisionner ensuite.
La chance pour elle de dire à sa fille, devant plusieurs personnes, que oui, elle l’avait vu tomber, mais qu’elle la voyait maintenant se relever.
«Ce que je lui souhaite le plus, c’est d’avoir la force de se relever à chaque fois et de prendre des risques et de se réaliser (…)», affirmait Caroline avec beaucoup d’émotions.
Nous la félicitons pour son courage et lui souhaitons une belle continuité!