Gildor Roy nous a offert des moments très touchants lors de son passage à Sucré Salé, en compagnie de Mélanie Maynard.
Il y a parlé de son rôle de grand-père, mais il s’est également confié sur des moments émouvants liés à son personnage de commandant Chiasson dans District 31.
C’est à travers des questions posées par monsieur et madame Tout-le-monde, sur les lieux de tournage de l’entrevue, soit une résidence pour personnes âgées, que Gildor s’est exprimé sur les derniers moments de tournage de la populaire quotidienne.
Une scène lui a d’ailleurs procuré de vives émotions!
«Comment vous avez vécu les derniers moments de l’enregistrement de District 31?», lui demandait madame Vincent.
«J’ai commencé à pleurer de bonne heure, parce qu’il y a une scène dans le dernier épisode… où je suis sorti de mon bureau et tous les comédiens sont dans le corridor et ils applaudissent le commandant. Et je n’étais pas au courant, ça m’a vraiment bouleversé. Mais, le pire c’est qu’il fallait que je traverse le corridor, puis que je fasse un discours après. Ça fait que ça a pris tout mon petit change, je n’ai presque pas été capable de le faire», témoigne notre ancien commandant fictif préféré.
Une série qui a profité de l’amour du public au fil des années, et dont la fin en 2022 a été un véritable deuil télévisuel pour de nombreux téléspectateurs.
Rappelons que Gildor Roy sera à l’affiche d’une toute nouvelle émission signée Luc Dionne, Dumas, qui sera diffusée sur les ondes d’ICI-TÉLÉ dès le 9 septembre à 20h.
«Des fois on va se le dire, c’est de l’o*ti de m*rde être une femme, surtout quand tu viens de tomber dans ta semaine, que tu as l’impression de te vider de tes entrailles, que tu as eu un retard de 16 jours dans tes règles… parce que tu es irrégulière, parce que tu as choisi de ne pas prendre de moyen de contraception, parce que les moyens de contraception te donnaient des migraines, mais là tu ne prends plus rien, mais tu as quand même des maux de tête… parce que, bien, tu as 16 jours de retard dans tes règles, donc là, ton corps est comme: Yo b*tch tu peux tu tomber dans ta semaine? Et quand tu tombes dans ta semaine, tu es comme dead, fatiguée. Tu as comme aucune énergie, tu as l’air d’un zombie. Donc, voilà, ça, c’est le moment de ma vie où je déteste être une femme, mais sinon le reste j’aime ça!», lançait-elle, emmitouflée dans une couverture, trouvant visiblement le moment pénible.
Dans les commentaires sous cette vidéo, plusieurs femmes ont témoigné de l’impact qu’ont leurs règles et elles semblent définitivement vivre le même calvaire que Claudie lorsqu’elles ont leurs menstruations.
Pour éviter de vivre les symptômes accompagnant les menstruations, plusieurs femmes optent souvent pour les moyens de contraception. Cependant, Claudie affirme que dans son cas, ils n’auront pas été bénéfiques puisqu’ils lui causaient des maux de tête.
Dans ce cas, repos, bain chaud, et bouillotte seront ses plus grands alliés pendant ce moment peu agréable!
Et vous, avez-vous de nombreux symptômes reliés à vos règles?
En marge de la tragédie impliquant les frères Matthew et Johnny Gaudreau, qui ont tous les deux perdu la vie aux mains d’un chauffard au New Jersey, jeudi dernier, le joueur des Canadiens Cole Caufield annonce changer de numéro pour lui rendre hommage.
Celui qu’il considérait comme son héros en tant que joueur portait le numéro 13 et c’est exactement le numéro que portera Cole Caufield cette saison alors qu’il s’alignera pour le CH.
«Les dernières années en tant que numéro 22 ont été parmi les meilleures années de ma vie. C’est vraiment un rêve devenu réalité et je garderai pour toujours ces souvenirs et ce numéro près de moi. J’ai porté le numéro 13 à un moment de ma carrière à cause de Johnny et maintenant je le porterai à nouveau pour lui rendre hommage. Il a ouvert la voie aux petits joueurs et a prouvé que nous avions un avenir dans ce sport au plus haut niveau. Je lui serai toujours reconnaissant de m’avoir inspiré, moi et les autres», écrit notamment Cole Caufield sur Instagram, en marge de cette annonce spectaculaire.
Alors que toute la planète hockey est toujours sous le choc de la mort insensée de Johnny Gaudreau et de son frère, Cole Caufield pose un geste qui aura assurément un impact toute la saison alors qu’il foulera la glace du Centre Bell, mais aussi du Nationwide Arena de Colombus, où évoluait la regrettée superstar, et du Saddledome de Calgary, son ancien domicile.
«Il arrive parfois que deux chemins, bien qu’ils aient marché main dans la main sous le même ciel, se séparent…»
L’ancien candidat de la premiere saison de Survivor QC, Joël Dandurand a annoncé qu’il n’était plus en couple avec sa conjointe Diane.
C’est via une story mise en ligne le 30 août que l’entrepreneur de 30 ans a mis les choses au clair concernant sa situation amoureuse.
«Il arrive parfois que deux chemins, bien qu’ils aient marché main dans la main sous le même ciel, se séparent pour suivre leur propre étoile. Diane et moi avons pris une décision difficile, celle de poursuivre nos routes chacun de notre côté. Il y a des histoires qui se terminent, non par manque d’amour, mais parce que l’amour sait reconnaître quand il est temps de laisser l’autre s’épanouir sous une lumière différente. Cette reconnaissance fait mal, surprend, mais s’apprivoise.»
«Je souhaite à Diane, avec qui j’ai partagé tant de moments précieux, de trouver le bonheur et la paix dans cette nouvelle phase de sa vie. Que le vent qui la guide soit doux et bienveillant. Merci à tous pour votre soutien et compréhension en ce moment délicat.»
Le couple avait participé à la semaine des couples chouchous de l’émission Combien tu m’aimes en mars dernier, en expliquant que la question qui leur était le plus posée était si Diane était la mère de Joël, en raison de leur écart de 20 ans!
L’animatrice n’a toutefois pas omis de mentionner les récentes révélations de la comédienne sur son anxiété, faites lors de son entrevue précédente avec Pénélope McQuade. Des troubles qu’Anne-Élisabeth a pris en charge, en utilisant les bons outils pour le contrôler, notamment une médication adéquate.
Un sujet qui avait suscité beaucoup d’intérêt de la part du public, mais aussi dans les médias. C’est d’ailleurs avec étonnement que la vedette d’Indéfendable a constaté que ses confessions sur son anxiété avaient suscité autant de discussions.
«J’aimerais ça dire que c’était un bel arc-en-ciel de bonheur, là, mais j’avoue que ç’a donné une espèce de raz-de-marée de commentaires…. Bien, d’abord je réalise à quel point les gens pensent qu’on est parfait (…) qu’on n’a pas de problèmes. Je ne pensais pas du tout… je ne pensais pas que c’était un gros aveu. Je pensais que ça allait passer dans le beurre (…)», confie en premier lieu Anne-Élisabeth à Ève-Marie.
Bien qu’elle soit heureuse d’avoir contribué à démystifier les tabous, cela s’est accompagné d’une certaine charge anxiogène, comme elle l’explique.
«Moi, ce n’est tellement pas tabou pour moi ces choses-là. Mais, peut-être le fait que je fasse ce métier-là, j’ai compris l’importance dans parler, d’une part. Mais, là, après ça, je pense que ça m’a presque, un peu, créé de l’anxiété de dire: Qu’est-ce qu’elle prend, quels sont ses médicaments… je veux le nom de son médecin (…) Moi, je ne suis la porte-parole de rien. J’ai eu une expérience avec l’anxiété que j’ai essayé de pallier toute ma vie. Puis-là, un moment donné, j’ai trouvé que ça a prit trop de place, ça m’a coupé les ailes. J’ai comme assumé que j’avais besoin d’aide (…) Je trouve que c’est une force d’en parler, mais je ne pensais pas que je faisais preuve d’autant de courage (…)», ajoute-t-elle.
Elle termine en encourageant les gens à aller chercher de l’aide, tout en précisant qu’elle ne souhaite pas être étiquetée par ce problème et qu’elle se porte très bien.
Ne comptez évidemment pas sur François Morency, âme et auteur de Discussions… pour dévoiler l’issue de la série.
Seulement, l’humoriste et comédien nous a spécifié un détail important: l’émission ne se terminera pas avec le décès de l’un des parents du clan Morency, Jean-Pierre ou Rollande (Marie-Ginette Guay). Notre journaliste a posé la question à François Morency, et celui-ci s’est montré catégorique: oui, Jean-Pierre et Rollande sont âgés, mais aucune maladie ou mort ne viendra ternir l’esprit feel good de nos réconfortantes Discussions avec mes parents.
«Non, non, il n’en est pas question!», a argué le créateur.
«C’est une comédie, et je voulais que la fin soit à l’image de la série. C’est-à-dire happy, de bonne humeur, drôle…»
On pourrait néanmoins devoir quand même sortir nos mouchoirs, prévient François Morency.
«Il y aura de l’émotion. Il y a une chanson dont je voulais absolument avoir les droits. J’avais une image dans la tête depuis longtemps pour la dernière scène. On a réussi à avoir les droits de cette chanson, qui est une chanson québécoise, d’un groupe légendaire. Ça donne exactement ce que je voulais que ça donne. Mais, il n’y a pas de cancer, pas d’Alzheimer, pas de mort. Il n’était pas question que j’aille là. Ça aurait été de tricher la série que de terminer avec quelqu’un qui se fait frapper par un truck! Ça n’aurait pas été dans l’ADN de ce qu’on est.»
Cette année, dans Discussions avec mes parents, on suivra les hauts et les bas de la vente de la maison de Jean-Pierre et Rollande. On devrait bien rigoler lors des visites libres et avec la recherche de la nouvelle résidence du couple. Le tandem optera-t-il pour un condo, une maison écologique, un conteneur recyclé, une RPA ou – pourquoi pas! – un camp de nudistes? La disparition du Publisac, le groupe La grande secousse, un appareil auditif et une collection pour enfants signée Danielle Cuivre occuperont aussi Jean-Pierre et Rollande. François, lui, ira faire du remplacement à l’école de la petite Lola (Victoria Bouchard), Judith (Caroline Bouchard) et Earl (Karl Graboshas) lanceront une compagnie de fromage et Raynald (Blaise Tardif) jouera les Roméo avec sa Chantal (Amélie Bernard). On retrouvera en outre les attachants (ou pas…) Roch Garneau (Denis Bouchard) et sa Gisèle Sanche (Nathalie Coupal), et la très stoïque Madame Dupuis (Danielle Fichaud), qui tentera de suivre les traces de son idole, Marthe Laverdière…
Bien sûr, les flashbacks dans les années 1980 seront encore nombreux et auront même droit à deux épisodes complets, avec des extraits tirés des précédentes années de Discussions avec mes parents.
Un spécial «coulisses» couronnera finalement la saison.
Ces petits soubresauts du quotidien, narrés de la façon bon enfant de Discussions avec mes parents, expliquent à eux seuls le succès de la fiction, estime François Morency, qui a puisé sa matière dans son propre bagage pour faire rire l’auditoire. Souvenons-nous que cette belle expérience a modestement débuté avec des statuts Facebook sans prétention de ce dernier, où il recopiait simplement des conversations tenues avec les véritables auteurs de ses jours! Puis, les statuts Facebook sont devenus un livre paru en 2017 aux Éditions de L’Homme, puis l’incontournable télévisé qu’on connait.
Mieux encore, Discussions avec mes parents a résonné hors de nos frontières: le rendez-vous a notamment été relayé sur la plateforme TV5 Monde Plus, où il était ainsi accessible dans plus de 117 pays et territoires. Il y a quelques années, des pourparlers étaient également en cours pour adapter le format au Moyen-Orient, en Asie, en Europe de l’Est, en Allemagne et en Belgique.
«Il faut parler aux gens de choses qui les concernent. Il faut qu’ils se reconnaissent. Plus tes références sont ancrées dans une vérité que les gens connaissent, plus ça va marcher. Et tu n’as pas à chercher loin; si tu parles de toi, si tu as été élevé ici, que tu as vécu ici, que tu as des références d’ici, parle de ça! Les gens vont se reconnaitre dans ton vécu à toi. On l’a toujours dit: plus tu es personnel, plus tu es international.»
Et les proches de François Morency dans la vie, dont ses frères et sa sœur – son papa et sa maman sont hélas décédés –, comment réagissent-ils à la fin annoncée de leur incarnation cathodique?
«Ils sont bien curieux de savoir comment je finis ça! On s’est vus il y a deux semaines et je n’ai rien voulu leur dire. Je leur ai dit qu’ils le verraient en même temps que tout le monde! Vous braillerez en même temps que tout le monde à la fin…!»
Depuis un bon moment, vous avez peut-être vu passer sur le Facebook de la star de faux articles aux titres accrocheurs qui mettent à tort et de manière frauduleuse de l’avant des vedettes d’ici et d’ailleurs, mais pour de bien mauvaises raisons.
«Bonjour à tous. Ce matin, j’ai envie de vous partager ma frustration contre le piratage de la page Facebook. Je comprends que quelques personnes sont déçues et fâchées de la situation. Nous le sommes aussi. Croyez-moi, moi et mon équipe mettons tous nos efforts pour faire arrêter tout ça. Je vous demande encore un peu de vigilance et de patience quand vous voyez passer ce genre de poste svp. Vous pouvez bien imaginer que ce n’est pas moi qui partage ces choses… J’admire ces artistes et pour le reste, je ne parle pas encore en suédois (…)», lançait-elle en affirmant que son équipe travaille d’arrache-pied pour régler le problème.
Maintenant, vous savez qu’il ne faut pas croire à ce qui est rapporté dans ce genre de publications et qu’en aucun cas la chanteuse participe à la propagation de celles-ci.
Une fâcheuse situation qui, on l’espère, sera réglée sous peu…
Vous êtes-vous déjà fait prendre par ce genre de publication?
Les tourtereaux avaient partagé de magnifiques photos qui ont laissé croire au public qu’ils pourraient s’être fiancés, notamment en raison de la bague que la douce du ténor porte à son annulaire gauche!
Nous avons voulu clarifier la situation en contactant directement Marc pour lui poser la question à savoir si lui et son amoureuse étaient passés à l’étape supérieure…
C’est ainsi qu’il nous a dévoilé qu’il s’agissait de bagues d’amour (peut-être un nouveau terme, souligne-t-il d’ailleurs!), mais qu’aucunes fiançailles ni mariage n’étaient pour l’instant en vue!
Les amoureux savoureraient simplement leur bonheur à deux, comme nous l’explique le chanteur dans un message aussi charmant que celui-ci.
Un couple que l’on adore voir évoluer jour après jour, et à qui on souhaite donc une longue et belle vie ensemble… à leur rythme!
Ces rôles, rappelons-le, étaient assez extravagants, avec des traits physiques particulièrement exagérés, ce qui aurait immédiatement suscité des réactions au sein de l’équipe de tournage à l’époque, surtout en ce qui concerne le personnage d’Ashley.
«Quand j’étais en Ashley avec mes gros totons. Je sentais le regard des hommes changer. C’était incroyable! (…) Comme le regard des techniciens changeait tout à coup. Elle était blonde avec des gros seins», confie Dorval.
Cela semble d’ailleurs avoir indigné la comédienne, qui a été surprise par la manière dont l’aspect physique peut influencer la perception et la vision.
«Est-ce que ça t’as donné envie d’avoir des implants?», lui demande son intervieweur, Guillaume Lambert.
«Non, j’avais envie de crier à l’injustice! J’étais tellement écœurée. J’ai fait: Ben voyons, je ne suis pas blonde, je n’en ai pas moi de gros seins, mais aimez-moi quand même! Qu’est-ce que c’est, cette affaire-là?», termine Anne avec vigueur.
Dorval a néanmoins révélé avoir vécu de nombreux beaux moments lors des tournages de la série, qui remonte à plusieurs années déjà!
L’entrevue a eu lieu dans une résidence pour personnes âgées, et c’est lors d’un segment de questions posées par les résidents qu’il s’est confié sur la chanson Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours.
«J’aimerais ça savoir si vous avez emmené votre guitare pour jouer Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours?», demande madame Fournier.
«Non, et je vais vous dire pourquoi je ne la chante pas cette chanson-là. Quand mon père est décédé, c’est l’une des chansons que ma mère avait choisie aux funérailles. Jamais je ne pourrais chanter cette chanson-là sans casser en deux en plein milieu», dévoile un Gildor Roy fort émotif.
Si vous souhaitez entendre Gildor Roy interpréter cette chanson, elle est disponible en duo avec Isabelle Boulay sur l’album Scènes d’amour.