Mathieu Baron, invité à Sucré Salé la semaine dernière, s’est ouvert sur divers aspects de sa vie, tant professionnelle que personnelle. Dans un moment touchant, il a partagé ses débuts difficiles dans l’industrie, notamment sur le plan financier.
Il admet avoir travaillé dur pour construire la carrière qu’il a aujourd’hui à la télévision, et qu’il a même failli abandonner à un moment donné afin de gagner sa vie et de payer ses factures.
«Là, je me disais: Tu as beau vouloir, mais un moment donné il faut que les bills se paient (…) Toujours mettre 7,50$ de gaz un moment donné, c’est fatigant (…) Veut, veut pas, il faut que tu restes disponible parce que tu te dis: Si là j’ai une audition… tu travailles dans les restos, tu fais ce que tu as à faire. Tu fais des jobines, ces affaires-là», témoigne Baron.
Mathieu ajoute qu’au début de sa carrière, lors de ses premières auditions, il se sentait obligé de dépenser pour des vêtements adéquats afin de décrocher un rôle.
«Tu te dis: Je vais arriver et avoir l’air exactement de ça, du personnage. Ça fait que tu as 412$ dans ton compte, ton look te coûte 382$, tu espères l’avoir! Mais, bref, un moment donné, ça a marché», termine-t-il sur cette phase plus difficile maintenant derrière lui.
Une carrière désormais bien établie pour Mathieu, qui ne cesse de nous surprendre!
C’est l’heure de la rentrée scolaire… mais aussi de la rentrée télé! Plus tôt cette semaine, le groupe Corus Média ouvrait le bal des lancements de programmation et dévoilait les nouveautés les plus attrayantes de ses chaînes spécialisées (Séries Plus, Historia, Télétoon et Disney). En voici quelques-unes qui ont attiré notre attention.
Nuit blanche – Saison 2. La deuxième saison de Nuit blanche est disponible depuis le mois de mai sur Prime Video et fait maintenant le saut à la télévision linéaire. On se souvient que le débranchement de la série par Radio-Canada, à l’automne 2021, pour des raisons de cotes d’écoute insatisfaisantes, avait causé tout un tollé, tellement que le producteur Pixcom avait redoublé d’efforts pour finalement offrir une suite à la saga-savon de l’autrice Julie Hivon. Dans ces huit nouveaux épisodes, on continue de creuser ce qui est arrivé à Louise «Loulou» Hébert (France Castel) et d’élucider son sordide assassinat. Des secrets continuent aussi de se révéler au sujet d’Aidrian (Ron Lea), de Clémence (Lisette Guertin), et de la progéniture Hébert, Marlène (Marilyse Bourke), Charlotte (maintenant incarnée par Brigitte Lafleur, en remplacement de Valérie Blais) et Lucas (Jean-Philippe Perras). La portion des retours dans le temps, campés en 1970 dans le premier volet de Nuit blanche, se déploie cette fois dans les années 1980, alors que Loulou Hébert devient une femme d’affaires respectée, à la tête d’un empire de parfumerie en plein essor. Si vous n’avez pas vu la première saison de Nuit blanche, celle-ci peut être regardée sur Prime Video ou sur ICI TOU.TV EXTRA. Le mercredi, à 20 h, à Séries Plus, dès le 28 août.
Bête noire – Saison 3. La troisième saison de Bête noire s’annonce très différente des deux premières, nous a laissé miroiter la direction de Séries Plus. En 2021, le drame racontait une fusillade dans une école secondaire perpétrée par un adolescent tourmenté. Le deuxième chapitre (2024), encore meilleur, abordait l’empoisonnement de deux bambins par leur maman, coincée dans un délire religieux. Le troisième opus de Bête noire, lui, débutera avec l’image de la psychiatre Éliane Sirois (Sophie Cadieux) – personnage pivot de Bête noire, avec son acolyte, le sergent-détective retraité Jasmin Boisvert (Martin Dubreuil), lui aussi de retour –, le visage ensanglanté, en proie à un violent choc post-traumatique, alors que deux corps non identifiés, emballés dans des poly bags, sont emmenés à la morgue. Que s’est-il passé? Puis, on se transportera une vingtaine d’heures plus tôt. Éliane et Jasmin, venus chercher le fils de la jeune maman au camp de vacances, un jour d’olympiades, donnent un coup de main à la recherche d’un enfant disparu pendant qu’une énorme tempête fait rage dans la région. Les conditions météorologiques coupent l’accès au signal des cellulaires dans la forêt isolée de Saint-Donat, ce qui complique passablement les opérations. Le tournage de Bête noire 3 a commencé il y a 10 jours. Les textes sont écrits par Patrick Lowe (qui avait cosigné les deux premières éditions avec Annabelle Poisson) et Guillaume Corbeil, tandis que Mariloup Wolfe succède à Sophie Deraspe (Bête noire 1) et Louis Bélanger (Bête noire 2) à la réalisation. Marilyn Castonguay, Jean-Simon Leduc, Jean-François Pronovost et Stéphane Breton compléteront la distribution. Fares Chaanebi et Aurélia Arandi-Longpré personnifieront pour leur part des moniteurs de camp baptisés… Anorak et Pistache. Des surnoms qu’on croirait inspirés d’un réel camp de jour! Il faudra être patient pour voir le résultat de Bête noire 3, qui ne sera en ondes à Séries Plus qu’au printemps 2025.
Anticosti. Autre projet en préparation pour présentation ultérieure, c’est-à-dire en août ou septembre 2025, la fresque Anticosti est réellement tournée à l’île d’Anticosti, sur la Côte-Nord. Son auteur et réalisateur, Guy Édoin (Cerebrum, Toute la vie, District 31 à la télé, et Marécages, Ville-Marie, Malek et Frontières au cinéma) la décrit comme un «thriller d’enquête environnemental», qui s’éloignera du «show de police en bonne et due forme»… Des insulaires s’y opposeront à l’implantation d’un complexe hôtelier de luxe, et une affaire de meurtre et de disparition secouera cette population… où on compte apparemment davantage de chevreuils que d’êtres humains, et où, à défaut de corps policier sur place, le garde-chasse fait figure d’autorité! Rose-Marie Perreault et Olivier Gervais-Courchesne, entre autres, tiendront des rôles de premier plan dans Anticosti, qui est une production de Sphère Média (Cerebrum, Ixe-13, Aller simple, etc).
Du côté des productions étrangères traduites, Séries Plus continue d’offrir, à partir de ces jours-ci, ses blocs de programmation NCIS le lundi (NCIS, NCIS : Los Angeles, NCIS : Sydney). Found : Les oubliés (mercredi, 21 h), Culprits : Arnaque à l’anglaise (vendredi, 21 h), Sexy Beast (vendredi, 20 h) et The Gold : La casse du siècle (vendredi, 21 h 15, à compter du 25 octobre) sont également à l’horaire, tout comme les suites de Moonshine, Blue Blood, FBI, FBI : International, FBI : recherchés, Station 19 et Yellowstone.
Steak, blé d’Inde, patates. Jonathan Roberge est très rigolo à l’animation de ce magazine documentaire qui nous informe sur l’histoire culinaire et gastronomique du Québec. Expo 67, fondation de l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ), popote de nos grand-mères, émissions culinaires, chefs-vedettes, nouvelles technologies : des extraits d’archives, explications d’historiens et commentaires d’invités (Liza Frulla, Sœur Angèle, Janette Bertrand, Louis-François Marcotte, Bob le Chef, Daniel Vézina…) dépeignent de manière très intéressante, dans des épisodes de 30 minutes qui filent très rapidement, l’évolution de la Belle Province à table. De quoi piquer la curiosité… et faire gargouiller nos estomacs! Le vendredi, à 21 h, à Historia, dès le 27 septembre.
Kitsch QC. Le «quétaine», c’est in! Adaptée de l’ouvrage Kitsch QC, de Roxanne Arsenault et Caroline Dubuc, cette série documentaire nous entraîne dans les restaurants et les bars les plus kitsch de la province, tout en veillant à défaire les mythes et stéréotypes généralement associés à ces lieux qu’on qualifie justement de kitsch. Il sera question, dans Kitsch QC, d’histoire, de diversité, d’appropriation culturelle, et d’un Québec d’antan (1950-1980, environ) ayant forgé un patrimoine architectural et culturel en voie de disparition. Le vendredi, à 21 h, à Historia, dès le 6 décembre.
Le pouvoir fantôme. Ce docu-fiction (reconstituant des faits réels avec des comédiens, soit, ici, Serge Postigo, Olivier Gervais-Courchesne, Maxime de Cotret, Jean-François Casabonne, Luc Guérin, Noémie Yelle et Jean-Marc Dalphond), à mi-chemin entre thriller politique et documentaire, relatera la Commission publique d’enquête sur le crime organisée tenue au Québec à l’automne 1972. Le gouvernement Bourassa était alors sous pression suite aux révélations fracassantes du jeune journaliste Jean-Pierre Charbonneau, établissant des liens entre milieu politique et monde interlope. À voir à l’hiver 2025.
Du côté des documentaires uniques, Historia relaiera, le samedi 5 octobre, Mission spatiale 84, célébrant le 40e anniversaire de la mission historique du Québécois Marc Garneau à bord de la navette spatiale américaine Challenger. L’émission sera animée par l’ingénieure en aérospatiale Farah Alibay. Aussi, dans Mirabel, le samedi 2 novembre, Gildor Roy tentera de comprendre l’erreur de planification aéroportuaire que fut le projet d’aéroport international de Mirabel, 20 ans après le vol des derniers passagers. Expropriés, experts et analystes y prendront la parole.
Incroyable avec Dan Aykroyd (Mercredi, 20 h), Les grandes marques qui ont forgé le monde (vendredi, 20 h, dès le 25 octobre), le 100e épisode de Transmission impossible (jeudi, 21 h), Kennedy, retraçant la vie, l’héritage et le leadership de John F. Kennedy (mercredi, 20 h, dès le 6 novembre) et Les grands empires (grec, romain et égyptien, le mercredi, à 21 h, dès le 18 décembre) figurent aussi au tableau des nouveautés de la chaîne Historia, qui ramène en outre ses valeurs sûres La malédiction d’Oak Island, IneXplicable, Pawn Stars : prêteurs sur gages, Les a$ de la brocante, Chasseurs de voitures, La bouffe qui a forgé le monde, Une histoire vraie et Camionneurs de brousse.
À Télétoon la nuit, les amateurs des Simpson, d’American Dad et de Family Guy retrouveront aussi leurs personnages préférés pour de nouvelles aventures toujours aussi loufoques et décalées.
Elle sera accompagnée de collaborateurs exemplaires et bien connus, dont Sabrina Cournoyer au volet culturel, Philippe-Vincent Foisy pour l’actualité, le dynamique Charles-Antoine Sinotte pour les sports, Géraldine Lamarche pour la météo, le pro du web Mathieu Roy et enfin, Patrick Benoit pour la circulation.
Un retour au rendez-vous matinal et un changement en semaine pour Ève-Marie!
Quant aux fins de semaine, rappelons que Richard Turcotte prendra désormais les rênes de l’émission, un rôle qu’il a déjà commencé à assumer cet été en animant la populaire émission.
«Salut Bonjour week-end dès le samedi 7 septembre aux côtés d’Alexandre Dubé pour la portion information, d’Annie-Soleil Proteau pour le volet culturel, d’Hugo Langlois pour le Web et de Félix Rondeau à la météo. Et pour rapporter les nouvelles sportives, Élie Duquet se greffe de façon officielle à la bande de la fin de semaine», dévoile le communiqué de presse.
Ce n’est pas tout, puisque les téléspectateurs auront droit à Salut la rentrée.
«Afin de débuter cette nouvelle saison en grand, Salut Bonjour se mettra en mode Salut la rentrée, une formule spéciale d’une durée d’une semaine, à compter du 2 septembre! Ève-Marie et Richard aborderont tout ce que les téléspectateurs de TVA auront le plaisir de découvrir à la télé cet automne», nous dévoile l’équipe de production.
Vos segments préférés, tels que la cuisine, le mieux-être, les moments en famille et les tendances, seront de retour. De plus, de nouveaux artistes feront leur entrée dans divers segments, incluant Dominic Arpin, Geneviève Hébert-Dumont et Simon Boulerice.
Une saison qui s’annonce particulièrement grandiose, n’est-ce pas?
Cette nouvelle a finalement été confirmée par Maripier elle-même sur ses réseaux sociaux, où elle a partagé une photo de son fils, le petit Henri, portant un vêtement arborant le logo de la chaîne radio.
«Henri est prêt pour mardi le 3 septembre…et maman aussi 😍», dévoile avec grand bonheur la maman.
Dans une entrevue accordée à La Presse, Maripier s’est aussi confiée sur ce nouveau rôle à venir. Elle y a révélé avoir reçu plus d’une offre en radio après avoir perdu son poste à WKND 99,5 FM.
Cependant, après un été particulièrement éprouvant marqué par la perte de son frère, survenue quelques jours après la naissance de son fils, l’animatrice a estimé qu’il était préférable de rester à la maison avec son enfant et de prendre une pause professionnelle. Mais, suite à l’offre de Rythme FM, elle s’est remise en question.
Elle a finalement accepté ce projet en grande partie grâce à l’opportunité de travailler quotidiennement aux côtés de Marie-Ève Janvier, dont elle souhaite être entourée pour sa bonne humeur et sa bienveillance, comme elle le confie à nouveau au média en question.
Marie-Ève Janvier s’est également confiée à La Presse, admettant que la situation était délicate puisque Patricia Paquin est une bonne amie, et elle assure que leur relation perdurera. Toutefois, elle a souligné qu’elle n’avait aucun contrôle sur cette décision.
Elle semble par ailleurs impatiente de débuter cette nouvelle collaboration avec sa collègue. Un lien spécial les unit déjà, puisque le conjoint de Maripier, Jean-Philippe Perras, était le meilleur ami du regretté frère de Marie-Ève.
Dans cet article, nous avons appris par les propos de Jean-Sébastien Lemire, vice-président de la stratégie chez Cogeco Média, que Patricia avait reçu d’autres offres de leur part, mais que celles-ci n’ont finalement pas abouti.
Le duo Morin-Janvier se débute ensemble au micro dès le 3 septembre.
Nous souhaitons à chacune de vivre de beaux moments pour la suite des événements.
C’est lorsque que le collaborateur Guillaume Lambert lui a présenté de vieilles images de la série culte Jasmine, dans laquelle elle jouait une policière, qu’elle a été grandement touchée.
«Ça ne devait pas être facile à jouer, ça?», demande Lambert.
«Ah, tu vas me faire pleurer (…) C’est parce que ça me fait tellement plaisir de revoir ça, merci. Cette série a changé ma vie, cette série m’a donné la chance de trouver ce que j’avais envie de faire», dévoile Linda, visiblement heureuse et nostalgique, mais aussi très émotive.
Un moment touchant en compagnie de Linda!
Vous souvenez-vous de cette série, qui avait marqué le paysage télévisuel à l’époque?
Pardonnez le jeu de mots douteux. Seulement, les sourires qui ornaient les visages de l’équipe de Télé-Québec, jeudi matin, étaient particulièrement fiers.
Malgré les énormes dégâts qui ont ravagé son siège social de l’avenue De Lorimier (lors du bris d’aqueduc survenu dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, le vendredi 16 août dernier), la chaîne publique inaugurait quand même, jeudi, à peine six jours plus tard – et sans anicroche! –, sa programmation 2024-2025, remplie de nouveautés intéressantes. On peut bien le dire: dans ces circonstances, Télé-Québec garde la tête haute et… hors de l’eau.
Comme l’a souligné Marie Collin, présidente-directrice générale de Télé-Québec, devant les journalistes, il y a souvent quelque chose de positif à retirer des événements difficiles comme celui que traversent présentement ses troupes.
«J’ai vu à quel point les équipes sont engagées. L’équipe de direction est extraordinaire pour faire de la gestion de crise. On a eu rapidement des gens qui nous ont ouvert leurs portes…»
Des plans B
Le sous-sol de son édifice (où s’entassaient bien sûr archives et artefacts) inondé de plusieurs mètres d’eau – les images du geyser arrosant la portion de la métropole en périphérie du pont Jacques-Cartier auront résolument frappé l’imaginaire –, les soubresauts des derniers jours ont forcé Télé-Québec à se réorganiser rapidement. Même les images devant être présentées lors du lancement de programmation de jeudi, qui étaient prêtes d’avance et sont parties à l’eau, ont dû être remontées en catastrophe.
À la télévision, dans les derniers jours, contrairement aux chaînes de Bell Média, la retransmission des émissions de Télé-Québec n’a pas été affectée (le diffuseur compte sur deux serveurs pour relayer son contenu, l’un pour les productions originales, l’autre pour les acquisitions étrangères), mais tous les portails web de Télé-Québec ont écopés. L’électricité perdue le vendredi 16 août n’est revenue dans les bureaux (installés depuis 2021 dans l’ancienne prison des Patriotes-au-Pied-du-Courant construite dans les années….1830!) que mercredi, le 21 août. On assure que la grille horaire d’automne entrera néanmoins en ondes comme prévu le 2 septembre.
Preuve qu’il n’existe pas uniquement de la compétition entre les différents réseaux de télévision au Québec : la veille de l’incident (ça ne s’invente pas), Télé-Québec et TV5 avaient paraphé une entente de réciprocité, comportant notamment une clause impliquant un prêt d’espace en cas «d’imprévu» du genre.
Une cellule de crise s’est donc établie dans les quartiers de TV5, situés dans le Vieux-Montréal. Madame Collin a également évoqué un «site de relève» campé dans l’Ouest-de-l’Île et bâti en quelques jours pour transférer le matériel et les opérations, et garantir la bonne marche de Télé-Québec au vu et au su de tous… car même les génératrices ne tiennent pas nécessairement le coup dans pareil tumulte!
«On avait fait des tests de notre plan de relève il y a deux semaines…», a signalé Marie Collin.
«Notre préoccupation depuis le début, c’est: priorité aux citoyens. Comment on donne le meilleur service possible aux citoyens…»
«Dans l’échelle du genre de catastrophes qu’on pourrait envisager, c’est à peu près l’un des pires scénarios. C’est un miracle qu’on soit ici aujourd’hui», a quand même avoué la PDG aux médias réunis devant elle.
«Vous dire la série d’étapes pour retrouver l’ensemble de tout ça… C’est extrêmement complexe!»
On veille également à la sécurité des travailleurs de l’entreprise. Les employés de Télé-Québec oeuvrent présentement pour la plupart en télétravail, et ce, pour au moins deux mois. Les seuls qui se déplacent sont soit en charge des immeubles, soit ceux des départements de technologie.
«Vous comprenez que, qui dit étendue d’eau comme ça, dit moisissure. Les gens qui descendent dans le sous-sol sont pratiquement habillés en scaphandriers. Des mesures doivent être prises…»
Cannelle et Pruneau sont saufs!
Enfin, en ce qui concerne le costume de Passe-Partout qui a défrayé la manchette mercredi: tel que le rapportait le quotidien La Presse, il repose au Musée de la civilisation, à Québec. Il n’a pas été endommagé par l’inondation comme l’avait avancé le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe, en point de presse à l’Assemblée nationale, quelques heures plus tôt.
«Il aurait dû dire: les costumes. Ce n’était pas le costume de Marie Eykel en particulier», a précisé Marie Collin, notant que les housses numérotées abritant les fameux habits de Passe-Partout, Passe-Carreau et Passe-Montagne, sont identifiées dans des documents informatiques pour le moment inatteignables.
Difficile, donc, d’affirmer, pour l’instant, quelles tenues de quels personnages ont été touchées. Même les souvenirs des Oraliens ne sont pas exempts de conséquences du fameux geyser.
«Ça sent bon, c’est positif. Les gens qui s’en occupent sont optimistes», a toutefois soutenu Marie Collin au sujet des artefacts, en laissant miroiter que Cannelle et Pruneau sont probablement sains et saufs.
Fiou!
Ne manquez pas, bientôt, notre aperçu complet de la programmation 2024-2025 de Télé-Québec!
David Laflèche se trouvait à Sucré Salé en compagnie de la collaboratrice Stéphanie Villeneuve cette semaine, avec qui il abordait notamment sa propre carrière musicale, mais où il est aussi revenu sur un grave accident.
«En 2020 tu as eu un gros accident de vélo de montagne qui aurait même pu être mortel, qu’est-ce qui s’est passé?»
«C’était la première sortie de l’année. Puis, sans réchauffement, j’ai été dans le haut d’une montagne. Puis, j’ai pris un risque. Je n’étais pas réchauffé, je n’étais pas prêt. Puis, j’ai perdu la carte pendant six heures», dévoile-t-il.
«Sens-tu qu’il y a un avant et un après de cet accident-là?», lui demande Stéphanie.
«(…) La vie est fragile, même si on est des êtres humains bien, bien forts. Puis, quand tu as un accident de ce type-là, puis qu’à l’hôpital tu vois ta mère arriver, ta fille arriver, ta blonde arriver avec un regard de fantôme, là tu fais comme: OK, j’ai des gens dans mon équipe-là, je veux être-là. Tu sais moi je dis toujours: La vie te parle (…) si tu ne l’écoutes pas, un moment donné elle prend des moyens pour que tu l’écoutes un peu plus», déclare-t-il avec vulnérabilité.
Avec le recul, il a exprimé sa gratitude pour cet accident, qui semble lui avoir ouvert les yeux sur plusieurs aspects importants de sa vie.
Un moment touchant, qui porte certainement à réfléchir!
Émilie Jamois n’a peut-être pas trouvé l’amour pendant la troisième saison de L’île de l’amour, mais elle a été plus chanceuse à sa sortie. En plus d’être heureuse en amour, elle lance maintenant sa propre collection de maillots de bain, Folle Swim.
C’est dans une publication Instagram du 22 août que l’ancienne insulaire en a fait l’annonce. Elle s’est ouverte à nous sur ce projet.
Dans sa légende, elle explique que c’est un rêve de petite fille qu’elle réalise et qu’elle n’aurait jamais pensé se lancer en affaires à 23 ans:
«Mon premier projet sort ce soir à 17 h! Avoir ma propre compagnie, c’est mon rêve de petite fille. Je rentre dans cette aventure avec le cœur léger, sans attentes, seulement du plaisir. Petite Mimi n’aurait jamais cru avoir le courage de se lancer en affaires à 23 ans. Je pense qu’on ne devrait jamais s’empêcher de foncer par peur d’échouer. Cette peur et ce manque de confiance m’ont souvent trahie et brimée dans le passé, et je suis tellement fière d’être une tout autre personne aujourd’hui. Famille, amis et gens qui me suivent sur les réseaux, j’espère que vous allez aimer cette première collection autant que moi. @folleswim, c’est des maillots de bain audacieux et expressifs. Pour moi, c’est plus qu’une entreprise de maillots, c’est un message, un mouvement. Je crois que chaque femme est unique, forte et capable de tout. De toute manière, quelle femme ne s’est jamais fait traiter de folle dans sa vie? C’est pourquoi nous ne devrions pas avoir peur d’être nous-mêmes, de faire, de dire, de porter ce qu’on veut! Bref, vaut mieux être folle que plate.»
Émilie nous a expliqué pourquoi elle a voulu créer sa propre collection de maillots de bain:
«J’ai toujours voulu avoir ma propre entreprise. Au secondaire, je savais que c’était ce que je voulais faire, mais je ne savais pas encore dans quelle direction. Au cégep, j’ai fait un projet dans lequel je devais créer mon entreprise, et c’est à ce moment-là que j’ai déterminé que si je devais en avoir une, ce serait dans les maillots de bain. J’adore les maillots, j’ai toujours eu une collection impressionnante! Donc, pourquoi ne pas créer moi-même les modèles de mes rêves? La raison pour laquelle je réalise ce rêve maintenant, c’est parce que plus jeune, je n’avais pas le courage. J’ai beaucoup évolué en tant que personne ces dernières années, et j’ai trouvé la confiance pour mener à bien ce projet. Je souffre d’un trouble d’anxiété généralisée, et dans le passé, j’avais beaucoup de mal à gérer ça, et quand je m’imaginais le faire pour de bon, je craignais toujours le pire, l’échec. Alors qu’aujourd’hui, je vois ça autrement, c’est une expérience, peu importe le résultat.»
Pour ce qui est des tailles, elles vont de XS à XL, mais Émilie aimerait offrir une plus grande variété:
«J’aimerais beaucoup avoir plus de tailles disponible dans le futur. La seule raison pour laquelle les tailles se limitent à ça pour le moment est le manque de budget.»
Le Tournoi de golf des héros a eu lieu pour une deuxième édition le 22 août 2024 au Golf Saint-Raphaël à L’Île-Bizard afin d’amasser des dons pour la fondation Asista.
Cet événement caritatif a réussi avec succès à amasser un montant total de 120 500$ afin d’aider la fondation dans son importante mission.
Cette fondation, qui entraîne des chiens d’assistance afin d’aider des personnes atteintes de troubles de santé mentale, a d’ailleurs nommé le capitaine des Canadiens de Montréal Nick Suzuki ambassadeur il y a trois ans.
Le joueur de 25 ans était très heureux de participer à l’événement et a son rôle à coeur.
«Faire partie d’Asista depuis trois ans m’a permis de constater directement l’impact que nous avons au sein de notre communauté. Notre tournoi de golf est une façon géniale de rassembler les gens, de profiter d’une belle journée de golf et de soutenir une cause importante. Je suis honoré d’être impliqué et j’aimerais remercier tout le monde qui est venu», peut-on lire sur le site officiel de la LNH.
Les chiens de refuges sont formés afin de devenir des chiens d’assistance, notamment pour aider à apaiser les troubles de stress post-traumatique, de l’autisme et les problèmes d’anxiété sévère.
Pour plus d’informations sur la fondation ou pour faire un don, vous êtes invités à visiter le site web officiel d’Asista!