Non seulement Beyoncé est une vive amatrice de whisky japonais, mais elle adore également toute la puissance et la confiance que lui donne un whisky de qualité lorsqu’elle en déguste un.
C’est notamment pour cette raison qu’elle a décidé de commercialiser son propre whisky, nommé en l’honneur de son arrière-grand-père Davis Hogue. Apparemment, le fermier de métier produisait du whisky de façon illégale il y a fort longtemps.
Visant à rendre hommage à sa famille et à l’état du Texas, la chanteuse s’est associée avec Moët Hennessy afin de fabriquer ce whisky américain. Le produit est fait et embouteillé en terre texane.
Nous pouvons d’ailleurs remarquer un cheval doré sur la bouteille du spiritueux, un petit clin d’œil à l’État et à son album RENAISSANCE.
En plus, il semblerait que ce whisky fasse déjà fureur, puisqu’il a déjà remporté plusieurs prix dont le Best in class des SIP awards.
Si vous souhaitez vous le procurer, le whisky Sir Davis est disponible en pré-commande sur le site web officiel au prix de 89$ US. Le produit sera également mis en vente sur les tablettes au mois de septembre aux États-Unis.
C’est un très bel été pour le cinéma québécois qui ne cesse de récolter des succès!
Après le film Nos belles-soeurs, c’est maintenant au tour du film 1995 de franchir le cap des 2M$ au box-office, soit une première depuis l’été 2018 où étaient sortis les films 1991 et La chute de l’empire américain.
Mais, ce n’est pas tout, car Ricardo Trogi est maintenant le réalisateur canadien avec le plus de films québécois millionnaires, avec sept films: Québec-Montréal, Horloge biologique, 1987, Le mirage, 1991, Le guide de la famille parfaite et 1995.
Les tourtereaux marquaient leur deuxième anniversaire de mariage; leurs noces de cuir. Pour l’occasion, Virginie a partagé un message émouvant accompagné d’une photo souvenir de cette belle journée.
«2 ans d’amour et 2 ans de mariage aujourd’hui. Noces de cuir. Je referais TOUTE pareil», écrivait la mariée comblée.
Elle a aussi publié de magnifiques stories où elle raconte à nouveau cette journée magique.
«Il y a deux ans exactement, il faisait beaucoup plus beau qu’aujourd’hui – Et j’épousais mon amoureux et mon meilleur ami. Bon anniv’ de mariage Claude Meunier», racontait Virginie, se remémorant son mariage.
Claude a repartagé une story de sa douce moitié en y ajoutant une petite touche d’humour!
«Seulement 2 ans…j’ai hâte que ça en fasse 20!», a-t-il ajouté à l’image originale.
C’est avec une immense tristesse que nous avons appris, par communiqué de presse, la perte du grand producteur Jean-Claude Lespérance.
Son décès est survenu après avoir demandé l’aide médicale à mourir.
Un homme qui a profondément marqué le milieu artistique, en produisant de nombreux spectacles de renoms et d’importantes figures de l’industrie, comme Céline Dion, Roch Voisine, la légendaire pièce Broue et Starmania. Il a également été derrière des projets télévisuels emblématiques tels que La petite vie et Un gars, une fille.
«Pionnier et figure marquante de l’industrie du spectacle, de l’humour et de la télévision au Québec, Jean-Claude était un homme discret et indépendant, reconnu pour son intégrité. Il savait s’entourer de collaborateurs talentueux, complices et fidèles. Il explorait, prenait des risques et investissait, donnant tout son sens au métier de producteur. Grand visionnaire, il fait partie de ceux et celles qui ont créé le showbiz québécois», peut-on lire dans le communiqué.
Il s’agit également du père de Guillaume Lespérance, producteur de cinéma et de télévision, qui suit brillamment les traces de son père.
Celui-ci lui a d’ailleurs rendu un vibrant hommage sur Facebook.
«Mon père a reçu l’aide médicale à mourir mardi dernier. C’était un homme hors norme avec qui j’ai eu une enfance extraordinaire. Enfant, j’ai passé des centaines de soirées d’été à regarder les spectacles qu’il produisait dans les coulisses du Théâtre St-Denis, du Vieux Clocher de Magog et de la salle Maurice O’Bready. Il m’emmenait à New York dans les années 1980, à une époque où peu de gens y allaient, et encore moins avec leurs enfants. J’ai grandi dans les théâtres, les studios d’enregistrement et les salles de répétition. Il m’a appris l’importance d’une réputation irréprochable et de toujours tenir parole. Il a aidé des dizaines d’amis et d’artistes qui me l’ont dit en secret pour ne pas le contrarier. Je ne sais presque rien de son histoire, de son enfance dans la Petite Patrie, de la pauvreté dans laquelle il a vécu, de son travail de menuisier ou de régisseur au TNM, de ses précieux amis morts du sida ou dans un accident d’avion. Mon père ne parlait jamais de lui ni de son passé, et je ne savais donc presque rien de sa vie. Il s’est avéré être un grand-père fou de ses petits-enfants et le meilleur des pères pour moi. C’est une grande perte pour nous et pour sa merveilleuse compagne de vie Louise Claude»
Il n’est pas le seul à lui avoir rendu hommage, puisque Guy A. Lepage a également publié un texte touchant.
Lepage, qui a travaillé avec Jean-Claude par le passé et collabore aujourd’hui avec son fils sur Tout le monde en parle, a exprimé son admiration, son respect et sa reconnaissance envers le regretté producteur.
«Avant de travailler avec @guillaume_lesperance, j’ai travaillé avec son père Jean-Claude qui fut le producteur de Un gars, Une fille. Homme discret et peu mondain, il travaillait dans l’ombre à faire fructifier financièrement les créateurs qui l’accompagnait avec une probité et une efficacité trop rare dans ce milieu. Peu intéressé par les petits potins du quotidien et les anecdotes superficielles des gens qu’ils côtoyaient, les futilités l’agaçaient visiblement. Mais c’était pourtant lui qui se débattait corps et âme pour sortir du pétrin ces mêmes personnes lorsqu’elles étaient fragiles et démunies. Jean-Claude avait toujours 10 minutes à m’accorder pour écouter mes demandes quasi quotidiennes ou mes suggestions enthousiastes avec son petit sourire en coin. Il m’a invité chez lui, il est venu chez moi, il m’a fallu longtemps pour comprendre que je faisais partie des rares élus qui avait droit à cette faveur et certainement le seul à circuler partout chez Avanti sans y être invité. Il m’avait à la bonne. Un jour, il m’a abordé avec un ton différent. Presque timide, il m’a demandé si j’acceptais d’intégrer son jeune fils Guillaume dans mon équipe de production en me disant qu’il n’interviendrait jamais dans cette relation et que c’était moi le patron. C’était un homme de parole, là aussi. Jamais il ne s’est immiscé entre son fils et moi. Aujourd’hui, nous avons appris collectivement le décès de Jean-Claude. Discrètement, tel à son habitude. Aujourd’hui je repense à ce qu’il a fait pour moi : il m’a enrichi d’une part mais il m’a aussi enseigné la droiture, l’honneur, la loyauté, le respect de la parole donné et il m’a légué à jamais un ami d’abord et un associé ensuite : son formidable fils Guillaume. Merci pour tout Monsieur Lespérance. Mes condoléances à Louise Claude la femme de sa vie et son alter ego.»
Toutes nos pensées vont à la famille et aux proches.
Marc-André Grondinétait sur le plateau de Sucré Salé pour une entrevue avec Mélanie Maynard, où son rapport au vedettariat a été discuté. Un terme qu’il ne semble pas apprécier particulièrement, préférant se concentrer sur le succès auprès de ses pairs et sur une bonne éthique de travail plutôt que d’être connu de tous.
Il a d’ailleurs mentionné qu’à l’époque, au début de sa carrière, il avait été victime d’intimidation en raison de ses apparitions télévisées et du fameux terme «vedette».
«Quand j’étais au primaire, moi je faisais du téléroman, que mes amis ne regardaient pas. Leurs parents regardaient ça (…) On me collait l’étiquette de vedette, puis c’était négatif», dévoile le comédien.
«À l’école?», demande Mélanie.
«Oui, oui, oui… J’étais bullié beaucoup, puis c’était: La vedette, la vedette. Donc, c’est pour ça aussi je pense que quand il y a eu C.R.A.Z.Y., je ne me suis pas battu contre le vedettariat, mais je ne l’ai pas entretenu du tout», ajoute avec vulnérabilité Marc-André.
Par la suite, Maynard a évoqué une entrevue de 2006 avec lui, soulignant que les commentaires à son sujet à l’époque étaient peu flatteurs:
«Moi, je t’ai eu en entrevue en 2006 pendant C.R.A.Z.Y., puis je me rappelle que toute l’équipe disait: Ah, vous allez voir Marc-André Grondin n’est pas facile. C’est vrai qu’il y a eu un moment où on a pris ta timidité pour une espèce de fermeture.»
«C’était genre il y a Roy Dupuis, puis il y a moi! Les deux ténébreux qui ne veulent pas faire d’entrevues (…) Ce n’est pas que je ne veux pas faire d’entrevues, c’est que je ne fais pas d’entrevues pour rien», termine Grondin qui, visiblement, souhaite être reconnu pour son talent.
Même si Marc-André n’aime pas les entrevues, celle-là se sera avérée fort intéressante en compagnie de Mélanie!
En effet, c’est dans une vidéo partagée sur TikTok, dans laquelle elle réagit aux photos des nouveaux candidats, qu’Ally a dévoilé qu’elle le connaissait très bien et qu’elle avait été à la même école secondaire que lui.
«Bon Étienne, comme on se retrouve! Donc potins, potins, potins, je suis allée au secondaire avec Étienne, c’est l’ex, ex, ex à une de mes amies de très longtemps (…) Étienne je le connais très personnellement, je sais c’est quel genre de personne… (…) vous irez voir sa vidéo de présentation, ça dit tout et quand même, ça ne ment pas! (…)», lançait-elle, ayant visiblement une opinion sur sa personne.
Il est difficile de savoir si la créatrice de contenu a de bons mots à dire au sujet d’Étienne…
«37 ans… j’vais me souvenir de toi, 37! J’vais me souvenir de toi, 2024! Ça a commencé à l’été 2023 avec de gros stress entrepreneuriaux, un stress que je qualifierais de 76 sur 10, un stress qui nous fait beaucoup apprendre, mais qui nous mange par en dedans. Ensuite, 37 ans, tu t’es poursuivi avec une magnifique grossesse d’une poupoune merveilleuse à venir. Un moment donné, 37, on est allés chiller dans le sud avant d’accoucher (j’ai passé la semaine à avoir peur du ZIKA) sachant pas que j’avais bien pire dans moi déjà! – Après Noël, l’année a commencé bizz avec mon diagnostic le 13 janvier… Depuis, ma vie est sur pause, mais pas mon avenir par contre. Depuis 2024, je vis des choses que je ne souhaite à personne. Par contre, force est de constater qu’en date d’aujourd’hui, ce que j’ai vécu cette année comme apprentissage de moi, ma personne, ma Stéphanie Tremblay, mon amoureux, mon fils, ma famille, mes amis, ça n’a pas de prix, et je revivrais cette année sans hésiter (bin oui j’ai dit ça). J’le pense, autrement, j’aurais jamais réalisé la chance incroyable que j’ai d’avoir des humains de rêve autour de moi. J’avoue aussi que ma force de caractère et mon positivisme sont assez incroyables! Le stress, la maladie, c’est pas le fun, mais ça fait grandir et réaliser des millions de choses. Merci, 37 ans! Merci pour vrai, 37. Bienvenue 38, j’te prendrais plus douce quand même hahaha», écrivait avec grande sagesse Geneviève, qui semble en paix avec toute la situation.
D’ailleurs, le carrousel de photos présente un tas de souvenirs des hauts et des bas de sa dernière année, et il est facile de constater la grande force et la résilience qui habitent la combattante.
Nous lui souhaitons une 38e année à la hauteur de sa force et de son optimisme!
Il semblerait qu’il y ait de la friction dans l’air chez les Kardashian-Barker. En effet, les tourtereaux qui n’hésitaient pas à faire maintes démonstrations d’affection en public semblent s’être calmés, et ça ne plaît pas nécessairement à Travis.
D’après un article d’In Touch Weekly, le batteur de Blink-182 s’ennuierait des marathons de sexe dont le couple aurait eu l’habitude auparavant.
En effet, le couple qui est ensemble depuis 2021 avait une vie sexuelle bien chargée, mais la naissance de leur enfant, Rocky Thirteen Barker, ferait en sorte que Kourtney soit moins disponible pour faire des galipettes.
D’après une source proche du couple, la maman de 45 ans serait exténuée, elle qui a aussi trois autres enfants issus de sa relation précédente avec Scott Disick.
Kourtney aurait tendance à préférer les câlins tranquilles plutôt que les séances de jambes en l’air. Travis tenterait de voir la situation de son point de vue, mais ce changement dans la libido du couple jetterait tout de même de l’ombre sur leur dynamique. Sans compter que la situation n’est pas idéale pour la maman qui doit aussi gérer sa relation avec son plus vieux, Mason, âgé de 14 ans, qui a décidé de prendre ses distances et de se tourner plutôt vers son père.
Kourtney vivrait donc des émotions en montagnes russes, ne la rendant pas disponible aux rapprochements comme avant.
Le soleil reviendra-t-il chez les Kardashian-Barker? C’est à suivre!
Avoir les deux mains dans une série qui prend forme rend Fabienne Larouche heureuse comme une enfant le soir de Noël. L’auteure et productrice a de quoi être emballée par les temps qui courent, alors que trois des nouveaux bijoux de sa maison de production, Aetios, s’apprêtent à éclore, en plus des STAT, À cœur battant et Doute raisonnable que le public a hâte de retrouver en septembre, et des 10 épisodes de Les Révoltés, que TVA s’apprête à diffuser.
«Créer une nouvelle série, c’est enivrant, c’est très excitant! Quand ça prend vie, le casting, la distribution, la réalisation, voir les premiers montages, les premiers assemblages… C’est enivrant. C’est quasiment comme un fix de drogue!», s’enflamme Fabienne, que Hollywood PQ a rencontrée à la visite de plateau de Dumas.
Récapitulons…
Dumas, nouvelle fiction hebdomadaire de Luc Dionne, démarrera le lundi 9 septembre, à 20 h, à ICI TÉLÉ. Le nouveau joujou du papa de District 31 affrontera directement Les Armes, autre projet d’Aetios signé Pierre-Marc Drouin (autre protégé de Fabienne Larouche et Michel Trudeau, qui écrit aussi Doute raisonnable), puisque l’émission campée dans les Forces militaires canadiennes sera lancée le même jour, à la même heure , à TVA. C’est l’information que vient de communiquer TVA à Hollywood PQ.
Vincent-Guillaume Otis, Eve Landry, François Papineau et Mickaël Gouin, entre autres, seront en vedette dans Les Armes, dans une réalisation de Jean-Philippe Duval (également maître d’œuvre de Doute raisonnable et À cœur battant; Fabienne Larouche et Michel Trudeau sont des gens fidèles!) Tant dans le cas de Dumas que de Les Armes, il s’agit de séries annuelles (à l’antenne toute l’année). Guerre de cotes d’écoute en vue le lundi soir!
Il y a, de plus, L’Appel, suspense scénarisé par… Luc Dionne (gens fidèles, qu’on disait!), réalisé par Julie Perreault (oui, la comédienne et photographe, qui s’est fait la main sur STAT, notamment), avec Magalie Lépine-Blondeau, Pier-Luc Funk et Patrice Robitaille. L’Appel reviendra sur la guerre des motards qui secouait le Québec à la fin des années 1990 et le procès de Maurice «Mom» Boucher, présidé par la chevronnée procureure aux assises France Charbonneau. Cette ambitieuse saga en six heures est attendue éventuellement sur Club illico.
Oh, et le chapitre d’À cœur battant (mardi, 20 h, ICI TÉLÉ, dès le 10 septembre) relayé cet automne à ICI TÉLÉ sera bien le dernier. Mais Fabienne Larouche assure que son auteure, Danielle Trottier (Toute la vie, Unité 9, Cheval-Serpent, La promesse, Emma) tricote déjà sa prochaine série… À suivre!
Quant à STAT et Doute raisonnable, rendez-vous le lundi 9 septembre, à 19 h et 21 h, à ICI TÉLÉ, pour la suite des histoires entamées. Lou-Pascal Tremblay, ici, et Geneviève Schmidt, ici, nous ont d’ailleurs récemment mis l’eau à la bouche… Et Les Révoltés, avec Sarah-Jeanne Labrosse et Pier-Luc Funk, disponible sur Club illico depuis l’an dernier, occupera, à partir du 10 septembre, la plage du mardi, à 21 h, à TVA.
Pour l’instant, aucune deuxième saison n’est planifiée pour Les Révoltés… «À moins que…», laisse planer le tandem Larouche-Trudeau, sous-entendant que des cotes d’écoute mirobolantes pourraient remettre cette décision en question.
À propos de Terre de sang
Bref, la rentrée est foisonnante dans la famille Aetios. «Je travaille moins que je travaillais quand j’écrivais une quotidienne», remarque pourtant Fabienne Larouche, qui agit comme script-éditrice sur les différents bébés de sa maison de production.
Et, si vous vous posez la question, non, Fabienne n’a pas rangé sa plume d’auteure, même si le dernier opus de 30 vies remonte déjà à huit ans. La femme d’affaires de 65 ans traîne encore dans ses cartons sa fresque historique Terre de sang, sur laquelle elle bosse depuis une dizaine d’années. Les articles de journaux parus sur le sujet depuis 2015 parlent d’un drame déployé à Montréal, au 17e siècle, à l’époque du débarquement des Filles du roi en Nouvelle-France. On comprend à demi-mot que le résultat devrait aboutir à Radio-Canada.
«C’est déjà écrit, ça fait un bout. C’est moins de stress», mentionne Fabienne.
«C’est un hommage à nos arrière-arrière-grand-mères. Une histoire d’immigration très actuelle. Immigrer, à cette époque-là, ce n’était pas comme aujourd’hui. Tu n’avais pas une carte d’assurance-maladie et un chèque d’aide sociale en arrivant! C’était autre chose», précise-t-elle ensuite.
Voilà qui met l’eau à la bouche. Quand pourra-t-on apprécier cette prometteuse Terre de sang? Fabienne Larouche et Michel Trudeau en savent peut-être plus qu’ils ne veulent bien l’admettre, mais se contentent de répondre «dans les prochaines années».
Le défi principal de cette grandiose entreprise? Le budget, bien sûr. L’argent en télé se faisant apparemment de plus en plus rare, un paquebot de la trempe de Terre de sang ne se construira pas en criant «bateau».
«Il y a des cycles [en télévision]», note Michel Trudeau, laissant entendre que l’heure est moins aux séries d’époque dans nos petits écrans présentement. «Pour faire quelque chose de bien, ça prend quand même pas mal d’argent…»
«Et il y a environ 40% moins de séries qui se produisent en ce moment!», souligne Fabienne Larouche, qui ne se laisse néanmoins pas démonter par l’actuel portrait un brin sombre de la télévision.
«Janette (Bertrand) est rendue à 99 ans et demi! J’ai encore quelques bonnes années! La création, ce n’est pas monotone. C’est toujours nouveau. C’est excitant! Notre métier est un privilège. Je ne commencerai pas à me plaindre que c’est difficile. On trouve des solutions et on a du plaisir…»
«On trouve de nouvelles façons de raconter des histoires. Dumas, par exemple, c’est quelque chose qu’on n’a pas vu souvent. Aux États-Unis, il y a Ray Donovan, mais ce n’est pas tout à fait la même chose. Blue Moon non plus», réfléchit Michel Trudeau.
Absents des Gémeaux
Dans la dernière année, la maison Aetios a choisi de ne plus inscrire ses productions dans la course aux prix Gémeaux (tous les détails ici).
On se souvient que l’attribution du trophée de la Meilleure série quotidienne à Indéfendable, l’an dernier, devant STAT, avait causé une surprise totale dans l’industrie de la télé. STAT avait pourtant remporté les autres statuettes prestigieuses (textes, réalisation, jeu de Suzanne Clément et Geneviève Schmidt), généralement associées au titre de Meilleure série quotidienne.
Or, ce n’est pas là la seule raison du désistement d’Aetios à la fête des Gémeaux, expliquent Fabienne Larouche et Michel Trudeau. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que leur compagnie «boycotte» l’événement, elle qui en avait été absente de 2002 à 2015. Fabienne a souvent formulé publiquement ses réserves envers le mode de fonctionnement de l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision (ACCT), organisatrice de la remise de prix.
«J’ai joué dans ce film-là plusieurs fois! Les Gémeaux 1, les Gémeaux 2, les Gémeaux 3, les Gémeaux 4, les Gémeaux 5… (rires) Je ne suis plus sûre que c’est un bon film!», blague-t-elle avec Hollywood PQ.
«Ce n’est pas pour gagner», enchaîne Michel Trudeau.
«Pourquoi on ne réinventerait pas ça, si on veut honorer la télévision? Honorer les nouveaux talents et la diversité? Est-ce que c’est nécessaire d’avoir une compétition entre auteurs et producteurs? C’est un peu phony (faux).»
«Quand tu es un jeune auteur qui en nomination et qui gagne un trophée pour la première fois, c’est le fun; mais l’exercice coûte cher…»
Ce à quoi Fabienne Larouche acquiesce vivement.
«Ça coûte extrêmement cher aux producteurs. Quand tu ne gagnes pas ou que tu n’es pas en nomination, qu’est-ce que ça donne? On va faire autre chose avec notre argent…»
C’est sur Instagram que la maman, créatrice de contenu et entrepreneuse a partagé un long message où elle fait une réflexion quant aux hommes avec qui elle a partagé sa vie et sur sa manière d’être, en relation.
Dans ce texte elle aborde le fait qu’elle est parfois aveugle lorsqu’elle est en amour, qu’elle a de la difficulté à faire face à ses émotions et qu’elle pardonne facilement lorsqu’on lui fait du mal, bref, elle se met complètement à nu.
«L’autre fille, tu sais CETTE fille avec qui il t’a trompée et qui devient ta nouvelle obsession.. et bien la fille n’est pas la vraie obsession, la vraie obsession c’est: essayer de savoir pourquoi? Qu’avait-elle que je n’ai pas? Qu’aurais-je pu faire différemment? Est-elle plutôt son type? Je me suis posé ces questions bien trop de fois dans ma vie et je me suis posé les mauvaises questions. Depuis que je suis une jeune adolescente (environ 14 ans), j’ai été trompée dans la plupart de mes relations (je ne vais pas dire de noms donc ça ne vaut pas la peine de spéculer, car on ne veut pas accuser les mauvaises personnes, je suis seulement ici pour parler de moi et de mes sentiments!). C’est presque devenu une habitude et j’en suis devenu désensibilisée, je pardonnais très facilement et à un moment donné, quand j’apprenais la nouvelle, ma première réaction était: C’est reparti. J’ai aussi commencé à croire à la théorie du c’est dans la nature des hommes, j’essayais de trouver une explication logique, je suppose, pour me sentir mieux parce que c’est toujours trop douloureux à vivre. Et le pire chez moi, c’est que quand je suis amoureuse, je suis légitimement l’humain le plus aveugle de cette planète, je suis tellement délirante, je ne peux pas croire que la personne que j’aime ferait ça sans explication raisonnable, je trouve des excuses pour eux tellement facilement parce que je ne veux pas avoir à subir toute cette douleur. Je veux juste m’en remettre et passer à autre chose, mais cela arrive encore et encore. On m’a souvent dit que c’était peut-être parce que je ne suis pas en sécurité, mais ce n’est vraiment pas ce que je ressens. Je pense que dans tous les aspects de ma vie, j’ai vraiment du mal à faire face à de mauvaises émotions intenses (…) En ce moment, je suis vraiment en pleine spirale, donc je suis désolée si la description va un peu dans tous les sens, j’écris littéralement en réfléchissant, mais ça me fait du bien de le sortir. Ça me manquait d’écrire ici mes émotions peu claires et d’entendre parler de votre point de vue féminin ou de vos propres histoires. Moi après m’être relue: *quand j’ai commencé à écrire, je pensais que je finirais par me demander pourquoi les hommes trichent, mais finalement je me rends compte que l’ensemble revient à moi qui refuse d’affronter l’horrible vérité dans la plupart des aspects de ma vie», lançait-elle ayant visiblement le besoin d’extérioriser ses pensées.
Dans les commentaires, plusieurs ont été touchés par ses mots et ont tenu à la rassurer en lui affirmant qu’elle n’est pas le problème.