Un nouveau projet cinématographique dans lequel il partage l’écran avec la comédienne Marianne Fortier. Selon la bande-annonce, leur chimie à l’écran semble très présente, ajoutant une profondeur à leurs performances.
Il a d’ailleurs dévoilé à l’animatrice du rendez-vous matinal qu’il a eu un coup de coup de foudre, professionnel, pour celle-ci!
Pier-Luc a commencé en mentionnant que les deux avaient débuté leur carrière à un jeune âge et qu’ils avaient toujours grandi dans le même milieu, en se connaissant sans réellement avoir travaillé ensemble. Cette grande première s’est donc passée à merveille.
«Je la connais, comme, depuis que j’ai douze ans. Là, on a 30, les deux. Puis là, c’était la première fois qu’on travaillait ensemble les deux (…) On se connaissait déjà, on savait que l’autre existait (…) Puis moi, j’adore le travail de Marianne. Ça fait que quand on a commencé à travailler ensemble… puis pour vrai, ça a vraiment été une espèce de coup de foudre professionnel», ajoutant que même s’ils paraissent différents, ils ont découvert qu’ils ont plein de points de similitude.
Qu’ils apprennent à se connaître sur le plateau a également créé de la magie lors des tournages, comme le mentionne Funk.
Un moment fort intéressant en compagnie du comédien!
Pour voir Pier-Luc et Marianne à l’écran dans cette comédie romantique, avec un côté mystérieux mettant en scène des extra-terrestres, rien de moins, rendez-vous dans une salle de cinéma près de chez vous dès le 18 octobre!
Celui qui a marqué l’univers de la musique a fait quelques confidences, dont une qui s’est avérée particulièrement touchante. C’est lorsque France a évoqué l’enfance de Paul, en parlant d’un souvenir poignant de sa mère qui avait voulu lui acheter une guitare, mais qui n’a pu le faire en raison de ses finances, que les émotions se sont dévoilées.
Il a commencé par raconter que sa mère et son père avaient eu de graves problèmes de santé et, comme à l’époque les soins n’étaient pas couverts, ses parents ont dû s’endetter. Son père baissait souvent le chauffage dans la maison, en plus que la famille n’avait plus rien à manger.
«On gelait, tu comprends. Ça fait que là, on n’avait plus rien à manger dans la maison. Mes parents me disaient: Si tu peux aller te chercher quelque chose quelque part, vas-y», confie Paul, dont les parents l’invitaient à aller chez ses amis pour se nourrir.
C’est ainsi qu’il est revenu à l’histoire de la guitare que sa mère n’a pas pu lui acheter…
«Ils ont tout fait pour sortir de cette misère-là (…) Donc, à un moment donné, ma mère… hey, là, tu vas me faire pleurer… on s’en va et là, elle m’amène m’acheter une guitare pour ma fête, mais là, elle voit les prix et elle se met à pleurer», raconte le talentueux auteur-compositeur-interprète, visiblement ému par ce souvenir.
C’est par la suite qu’il est revenu sur le décès de sa mère et s’est confié sur la peur constante qu’il avait à l’époque, celle de la perdre à tout moment. C’est finalement lorsque sa mère l’a quitté qu’une partie de ses angoisses est disparue.
«C’est parce que j’ai passé ma vie à avoir peur qu’elle meure parce qu’elle avait été malade dans mon enfance… et donc elle avait eu des cancers, elle avait eu des problèmes pulmonaires et tout ça (…) Donc, je me souviens d’arriver chez nous et puis j’avais peur que l’ambulance soit là (…) Elle est décédée finalement à 80 ans. Donc, elle a quand même bien vécu sa vie. Puis, pas longtemps avant de mourir, à l’hôpital, elle m’a fait un petit sourire, un sourire calme (…)», témoigne Paul avec beaucoup d’amour pour la femme qui lui a donné la vie.
Il termine en évoquant qu’à la suite de son décès, il a mis du temps avant de la pleurer comme il le fallait, soit un an, pleurant au départ pour elle, non pour lui.
Une histoire d’amour qui a fait l’objet de plusieurs discussions dans les médias, dans les chaumières québécoises, mais aussi à la télévision.
C’est lors du dernier épisode de Je viens vers toi que l’animateur Marc Labrèche a invité Ricardo Larrivée pour le segment Champagne! Showbizz!, un moment du talk-show qui consiste à lire sous souffleur des nouvelles de vedettes, de façon humoristique.
«Le 4 octobre dernier est sorti en salle le nouveau film québécois mettant en vedette Gildor Roy: La petite et le vieux!», débutait Marc.
«Et si vous ne voulez pas vous rendre au cinéma, vous pouvez voir la petite et le vieux sur l’Instagram de Sébastien Delorme!», enchaîne Ricardo.
Une lecture qui a déclenché un immense fou rire sur le plateau de l’émission!
Après qu’ils aient été récemment choisis pour passer en quarts de finale, ils nous ont offert une performance grandiose, dans le cadre de cette étape bien attendue.
En effet, c’est lors du dernier épisode que sept prestations d’artistes ont eu lieu, toutes aussi merveilleuses les unes que les autres.
Harmonix nous a d’ailleurs offert un moment unique et magique, en chanson, une fois de plus avec cette fois le morceau A Million Dreams!
Lors de ce quart de finale, seulement trois des prestations offertes allaient passer en demi-finale et les juges ont choisi, parmi ces grands chanceux, Harmonix. Un bonheur pour le groupe en symbiose. Kevin a d’ailleurs tenu à témoigner de toute sa reconnaissance.
«On n’y croyait plus. On a écouté tout le show avec vous autres, on n’aurait pas su qui choisir nous-même, il y a tellement de talents sur cette scène (…) Donc, ça vaut tellement cher en ce moment, merci beaucoup!», souligne le chanteur très heureux de ce dénouement.
De la beauté dans leurs numéros depuis les débuts, de l’harmonie constante dans leurs performances et une chimie incontestable entre eux!
Dans la vidéo, on entend celle-ci expliquer à Lysandre qu’elle vit avec la douance, un terme utilisé pour qualifier le fonctionnement d’individus qui présentent des capacités exceptionnelles dans certains domaines donnés.
«Donc du coup, on se voit aujourd’hui pour discuter des résultats de l’évaluation qu’on a faite ensemble (…) Tu présentes ce qu’on appelle un haut potentiel intellectuel, donc tu rentres dans les critères de ce qu’on appelle la douance (…)», entend-on dire la professionnelle, qui poursuit en expliquant à Lysandre qu’encore aujourd’hui la douance n’est pas très bien définie.
«Ça peut être accompagné de certaines particularités plus au niveau psychologique, c’est aussi des personnes qui ont souvent un cerveau qui a besoin d’être nourri (…) des personnes qui souvent ont des attentes très très élevées envers eux-mêmes (…)», continue-t-elle, en demandant à Lysandre s’il s’agit de quelque chose qui lui parle, entraînant une réponse positive de la créatrice de contenu.
Elle explique aussi que la douance peut donner un décalage au niveau social et peut donner l’impression aux personnes qui vivent avec celle-ci d’être différents et de ne pas fonctionner comme les autres.
La médecin poursuit en affirmant que les profils de douance intellectuelle sont souvent à risque d’épuisement professionnel et qu’il s’agit d’une caractéristique héréditaire, donc que le fils de Lysandre pourrait bien l’avoir.
Après avoir donné les résultats des tests cognitifs à Lysandre, celle-ci a exprimé comment elle se sentait de maintenant savoir qu’elle a un HPI.
«(…) Je sais que tous les humains sont différents, je suis consciente que je ne suis pas comme différente à ce niveau-là, mais je sentais qu’il y avait comme un rythme de vie général que je n’étais pas capable d’être au même rythme un peu et là, je réalise que c’est peut-être juste la manière que mon cerveau fonctionne qui est atypique (…)», lance Lysandre, qui dit se sentir maintenant vue et validée alors qu’elle se posait des questions sur sa différence depuis très longtemps.
Elle affirme d’ailleurs que ça lui apporte une fierté et de la valorisation de savoir qu’elle n’est pas «conne» et qu’elle est capable de prendre des décisions par elle-même.
«(…) C’est spécial comme diagnostic parce que tu en parles et tu as un peu l’air de te vanter (…)», ajoute-t-elle.
La spécialiste a donc affirmé que l’image que les autres se font de la douance est souvent perçue comme étant valorisante, alors que ça vient aussi avec des défis et des complications.
À la fin de la séance, Lysandre démontre vivre une émotion et ferme la caméra.
Suite à la publication de cette vidéo et à la publication de quelques stories sur le même sujet, un humoriste a partagé une vidéo dans laquelle il parodie visiblement Lysandre.
«Je reçois mon diagnostic en direct», peut-on lire en marge de sa vidéo qui se veut être humoristique.
«(…) maintenant que l’argent est dans mon compte chèque, je peux vous le confirmer, monsieur Forget, ce n’est pas facile à entendre, vous avez un haut potentiel intellectuel, ce qu’on pourrait aussi appeler de la douance (…)», entend-on dans la vidéo.
À un moment, l’animatrice du podcast, Marylène Gendron s’est ouverte sur le fait qu’elle est attirée seulement vers des hommes étant beaucoup plus vieux qu’elle, des confidences qui ont poussé Julie à s’ouvrir sur le sujet.
«(…) Ces hommes-là qui sont avec des filles plus jeunes (…) Moi, ça me challenge vraiment beaucoup, que tous les gars de mon âge sont avec des filles beaucoup plus jeunes, donc après ça, c’est vraiment plus difficile pour moi de rencontrer des gars. Les gars ne veulent pas être avec moi, fin», lance-t-elle.
Elle explique ensuite que, selon elle, tous les hommes qui ont eu des enfants, qui se sont séparés, ne veulent plus être avec leurs pairs et désirent être avec des filles qui leur porteront un regard ascendant.
«(…) Parce qu’ils ont été comme abîmés dans leur masculinité d’une certaine façon, dans une relation (…) ce regard ascendant là (…)», réfléchit-elle, en expliquant qu’elle se demande donc s’il est encore possible d’être dans une relation égalitaire.
«(…) Ça semble très, très difficile (…) après ça, je pensais beaucoup aux gars et j’étais comme: Mais, il y a des filles, ce sont ces filles-là, elles tripent sur ces gars-là aussi, c’est filles-là de 28 ans sont avec des gars de 50 ans», continue Julie, en interpellant grandement Marylène qui dit vivre ce genre de relation depuis très longtemps.
L’animatrice explique donc qu’elle recherche un écart d’âge dans une relation puisqu’elle a le besoin de ressentir un sentiment d’admiration envers son partenaire, chose qu’elle ne ressent pas auprès des hommes de son âge.
Un peu plus tard, Julie s’est ouverte sur le moment où elle a pris conscience de ce phénomène.
«(…) Avant la pandémie j’étais en couple (…) il y a eu la pandémie et je me suis encabanée, j’étais en burn-out, j’étais en peine d’amour (…) J’ai comme l’impression qu’avant la pandémie j’étais comme début quarantaine et je pouvais encore être un objet de désir (…) Je suis sortie de la pandémie et c’était terminé! (…) C’était comme, soudainement, tu es passée de l’autre bord (…)», affirme-t-elle.
Elle explique que plusieurs parlent de ce phénomène en l’appelant l’invisibilité des femmes et qu’avant que ça lui arrive, elle n’y croyait pas vraiment.
L’animateur lui a donc demandé comment elle s’en était aperçue.
«(…) C’est clair, ce n’est plus… c’est bien niaiseux, ce n’est pas que je veux me promener dans la rue et me faire reluquer (…) mais, il n’y a plus cette affaire-là, il l’a, mais beaucoup moins, cette espèce de regard porté sur soi ou de… une espèce d’attention particulière ou un… juste de sentir la possibilité de la séduction c’est comme si pouf c’était disparu, comme une bulle qui avait éclatée et ç’a été vraiment challengeant (…)», explique-t-elle, en affirmant qu’elle ne pense pas avoir énormément changé et que ça a été un gros choc de constater que les hommes ne la voyaient plus de la même façon.
Julie affirme n’avoir jamais vraiment misé sur son apparence et croit que ça doit être extrêmement difficile pour les femmes qui ont toujours été valorisées par leur beauté de vivre ce phénomène.
«(…) Tu peux comprendre qu’elles deviennent dingos et qu’elles se mettent à intervenir de façon très radicale, parce que c’est quand même violent (…)», continue l’actrice, qui avoue que l’idée d’avoir des chirurgies lui est déjà passée par la tête, en plus à cause de son métier, elle se voit souvent dans des éclairages et des angles peu flatteurs.
Elle avoue d’ailleurs avoir récemment visionné un film dans lequel elle joue et avoir eu de la difficulté à se regarder.
«J’ai eu du Botox dans le front, la fameuse… parce que sinon j’avais tout le temps, tu sais, je suis super expressive, donc j’étais comme: J’ai tout le temps l’air d’être fâchée! Donc cette affaire-là, je l’ai calmée, je le calme parfois, si j’ai un tournage et tout (…)», avoue-t-elle en expliquant cependant qu’après, il est facile de tomber dans un cercle vicieux et d’exagérer, mais que pour sa part, elle s’est mis une limite mentale.
Elle raconte qu’elle a commencé les injections de Botox à 45 ans, en se disant qu’elle allait le faire le plus tard possible et que le jour où elle franchirait le cap, elle devrait être capable de l’assumer et de le dire.
Un entretien très intéressant et franc entre les animateurs et Julie qui a fait preuve d’une grande ouverture et de beaucoup d’honnêteté.
Un épisode qui fera certainement beaucoup de bien à plusieurs femmes dans sa situation.
Guylaine Tremblay en a gagné, des trophées Artis. En a reçu une flopée, de marques d’affection du public. Au point où certains trouvaient à une certaine époque que c’en était presque trop, à l’époque d’Annie et ses hommes, puis d’Unité 9. Mais, que voulez-vous, quand les Québécois aiment, ils aiment pour longtemps!
La comédienne de 64 ans – c’était son anniversaire récemment, le 9 octobre! – est encore extrêmement active, enchaînant chaque année les projets stimulants à la télé et au théâtre (elle incarnera même la grande Janette Bertrand sur les planches au printemps prochain…). Qu’elle s’arrache le cœur dans du drame (comment oublier Unité 9 ou, plus récemment, Anna et Arnaud?) ou s’éclate dans la comédie (elle renouait l’an dernier avec sa Caro de La petite vie, était hilarante dans Nos Belles-Sœurs et participera à sa sixième édition du Bye Bye à la fin de l’année), Guylaine Tremblay brille, se démarque et nous fait vivre de sincères émotions. On s’en émeut moins maintenant, tant la dame est présente un peu partout, mais Guylaine Tremblay est résolument l’une de nos très grandes actrices.
Elle le prouve encore dans Veille sur moi, nouvelle minisérie de six épisodes fraîchement débarquée sur ICI TOU.TV EXTRA, où Guylaine s’avère bouleversante dans la peau d’une grand-maman au grand cœur d’un milieu modeste, Maggie Bougie, qui se bat pour protéger son petit-fils de quatre ans. Pascale Renaud-Hébert, tout aussi excellente, personnifie Corinne, sa fille déboussolée, mère de l’enfant, qui voudrait bien ravoir la garde de son fiston, mais que ses démons ralentissent à se prendre en main.
Absence pesante
Au commencement de Veille sur moi, Corinne rapplique sans préavertissement. Trois ans et demi plus tôt, elle avait confié son bébé à sa mère, apparemment pour un après-midi. Elle s’est plutôt évaporée dans la brume, ne se rapportant que sporadiquement au téléphone, partie sur le party avec un amoureux du type peu recommandable, le toxique Joey (Guillaume Laurin). Son absence date de si longtemps que son garçonnet, Zack, ne la reconnaît pas. (Note de la plus haute importance : le petit Jérôme Hébert, qui interprète Zack, est mignon à faire fondre, et joue avec un naturel désarmant! Et il n’a aucun lien de parenté avec Pascale Renaud-Hébert, soit dit en passant). Le gamin jouit d’un quotidien sain et stable avec sa grand-mère, avec qui il est heureux et encadré.
Maggie devient méfiante aussitôt qu’elle aperçoit sa fille. Celle-ci jure ne plus consommer, avoir quitté Joey, avoir l’intention de s’enraciner et de se responsabiliser. Elle paraît sincère. Maggie la croit. Veut la croire. Mais Corinne ne tardera pas à dégainer de trop gros sabots, désireuse de reprendre son enfant, sans égards pour les sentiments de Maggie qui s’y est consacrée corps et âme pendant trois ans et demi. Celle-ci, non seulement inquiète de la condition de son héritière, ne veut évidemment pas perdre le petit bonhomme qui représente tout son univers.
La DPE (Direction de la protection de l’enfance, équivalant de la DPJ) devra rapidement s’en mêler. Quels seront les droits de Maggie, protégée par aucun papier légal? Or, derrière les différends, violents, on ressent toujours l’amour profond qui unit Maggie et Corinne. Un rapport affection-haine qui aura tôt fait de perturber le vulnérable Zack.
Après quelques soubresauts, les deux femmes parviendront à trouver une erre d’aller. Mais Corinne reste fragile. Et impulsive. Bien sûr que son manipulateur Joey n’acceptera pas de se faire ainsi larguer. Quand surviendra l’ultime cassure, au quatrième épisode, les choses se détérioreront sérieusement. Et Corinne aura des cartes dans sa manche, puisqu’elle-même est une ancienne protégée de la DPE, Maggie ayant jadis connu ses périodes tumultueuses quand sa progéniture était petite.
Veille sur moi ne se campe pas en milieu aisé. Nous sommes ici dans un monde défavorisé, mais pas totalement pauvre, comparable à celui de M’entends-tu? Les personnages sont peut-être mal engueulés et peu éduqués, mais ils sont vaillants et ne se laissent pas abattre. La langue, belle, réaliste, rappelle celle de Michel Tremblay, peu châtiée mais venant du cœur.
De beaux personnages
Et tout l’entourage de Maggie, Corinne et Zack est aussi attachant que le noyau central. La délurée et pragmatique Samantha (Karine Gonthier-Hyndman), amie de Maggie comme de Corinne, sera coincée entre l’arbre et l’écorce. Yolanda (Fabiola N. Aladin), l’éducatrice de Zack au centre d’entraide, voit d’un très mauvais œil le retour de Corinne, ne pensant qu’au bien-être du chérubin. Jean-Philippe (Étienne Lou) est un gentil jeune papa qui fait de l’œil à Corinne, tandis que Mario (Luc Senay), patron de Maggie au restaurant où elle est une serveuse très appréciée, use de douceur et de patience pour apprivoiser cette dernière.
Spécifions que tant Guylaine Tremblay que Pascale Renaud-Hébert portent cette fiction dans leurs tripes; la première en a eu l’idée originale, sensible au sort des grands-parents de sa génération et elle-même amoureuse folle de sa petite-fille (dont elle nous parlait ici!), et la seconde en signe les textes. Comme elles l’ont raconté à Tout le monde en parle la semaine dernière, Guylaine tenait à ce que ce soit Pascale qui écrive Veille sur moi, séduite par le style sensible et vrai de cette dernière. Pascale a aussi cosigné M’entends-tu?, In Memoriam, Sans rendez-vous, et plusieurs autres émissions. Veille sur moi est sa première fiction complète en solo.
Le réalisateur Rafaël Ouellet (Aller simple : Survivre, Double faute, Ruptures, Blue Moon, Nouvelle adresse, etc) a parfaitement rythmé cette histoire poignante, dirigeant ses têtes d’affiche de main de maître.
Et c’est Pamplemousse Média, l’entreprise de France Beaudoin, qui produit Veille sur moi. Une première fiction pour une boîte déjà reconnue pour ses variétés et ses documentaires de qualité (Maman est malade,En direct de l’univers, On ramassera demain, Je viens vers toi) et pas la dernière, gageons-le.
Les 6 épisodes de Veille sur moi sont déjà disponibles sur ICI TOU.TV EXTRA et seront diffusés à la télé traditionnelle, sur ICI TÉLÉ, en janvier.
Dans cet épisode, les couples d’amis ont discuté d’un sujet qui les rejoint énormément, c’est-à-dire, la vie familiale.
Vers la fin de l’épisode, Cassandra a demandé aux animateurs quels sont leurs plus grands défis en tant que parents, une question qui lui a bien vite été retournée.
Elle a alors affirmé qu’en ce moment elle se sent très bien, mais que la réponse n’aurait peut-être pas été la même si la question lui avait été posée deux mois auparavant.
Cassandra finit donc par répondre que son plus grand défi est d’être séparée de sa petite Ozie, puisqu’elle ressent le puissant besoin de toujours être à ses côtés.
«J’ai envie d’être tout le temps avec ma fille (…) donc, je m’en vais la porter à la garderie et je n’ai trop pas envie de travailler, je n’ai trop pas envie de rien faire et je me sens mal et j’ai envie d’aller la rechercher. J’ai vraiment besoin d’être avec elle», avoue-t-elle, en trouvant son défi un peu «con et poche».
Il s’agit d’une situation qui vient cependant affecter sa vie professionnelle puisqu’elle a de la difficulté à se motiver.
Côté vie familiale, Cassandra a continué en affirmant que tout va pour le mieux et que plus que la petite vieillit, mieux c’est.
«Ça vraiment été le newborn stade que j’avais vraiment envie de me gunner, j’ai trouvé ça vraiment difficile», lance-t-elle, en réalisant ensuite qu’elle n’avait pas utilisé une expression appropriée pour qualifier comment elle se sentait à ce moment.
«J’étais au bout du rouleau, j’ai vraiment trouvé ça difficile, mais, là, plus qu’elle vieillit et plus que je trouve ça merveilleux de la voir s’émerveiller à tout (…)», continue-t-elle, en expliquant qu’elle trouve beau de la voir évoluer comme petit humain.
Un échange très intéressant et surtout très honnête entre les quatre parents qui vivent de près la même situation.
Il a également abordé plusieurs aspects de sa vie, notamment ses débuts de carrière qui n’ont pas été très florissants. Durant cette période, il a traversé une phase de grande précarité sur le plan financier.
Gino a fait cette confidence après que l’animateur Guy A. Lepagelui a demandé pourquoi il avait choisi de persévérer, malgré ses débuts difficiles à TVA, où il devait cumuler des petits boulots en parallèle, afin d’arriver financièrement.
«Je ne sais pas pourquoi j’ai persévéré, malgré les embûches que j’ai eues. Parce que là, les gens, vous avez vu les 21 dernières années qui, somme toute, ont été de belles années professionnelles (…) L’image que les gens ont de moi, c’est que ça a toujours été facile. Mais les 12 années précédant cela, ça n’a pas toujours été facile. Oui, j’ai eu quelques émissions à la télé, mais jamais ça n’allait plus loin (…)», témoigne Gino.
Il a ajouté qu’il avait failli abandonner à deux reprises, même si c’était ce qu’il voulait réellement faire de sa vie.
«Dont une fois où j’allais m’inscrire à l’université, j’étais prêt, ça faisait peut-être neuf ans que je me bourlinguais d’une petite job à l’autre. Des fois, j’allais à l’épicerie avec mes rouleaux de cennes noires, puis de cinq cennes pour aller m’acheter du lait, puis du beurre, puis du pain, pour manger. Puis à un moment donné, je me suis dit: C’est assez, je ne peux plus vivre là-dedans, il faut absolument que je retourne travailler et que je me trouve un autre métier (…)», dévoile par ailleurs l’ancien animateur de Salut Bonjour.
Il avait toutefois cette petite étincelle pour le métier qui ne s’est jamais éteinte, et comme nous le savons, sa carrière a finalement pris un superbe tournant, cette fois pour de bon.
Nous avons bien hâte de découvrir les prochains projets de Gino!