Après s’être fait menotter et emmenée au poste de police, selon ce que rapporte TVA, la jeune femme aurait dû passer une première nuit en prison et aurait ensuite comparu le 31 juillet par visioconférence au palais de justice de Victoriaville.
Suite à sa comparution, la Couronne se serait opposée à sa remise en liberté et aurait donc demandé que Megan passe une autre nuit derrière les barreaux.
La fraudeuse devait comparaître une deuxième fois en cour, ce jeudi, 1 août, à Victoriaville.
L’homme d’affaires Guy Laliberté est à Paris pour soutenir sa fille, la cavalière Naïma Moreira-Laliberté, qui participait pour la première fois à l’épreuve de dressage en sport équestre aux Jeux olympiques.
La jeune femme et son cheval ont d’ailleurs obtenu une note de 68,711 en dressage individuel!
L’adorable duo père-fille a donné une entrevue à Radio-Canada dans laquelle le fier et ému papa souligne le beau parcours de sa fille.
«(…) à cinq ans, elle est montée à cheval (…) depuis ce temps-là, elle a embrassé le sport et elle s’est donnée des objectifs de réussite au mérite, parce qu’il faut comprendre que c’est quand même un sport de pointage, ce n’est pas toujours évident. Et puis, Naïma très jeune, elle dit: moi, c’est un sport que je sais où il va falloir faire face à l’adversité (…) Elle m’a toujours dit: Je vais gagner mes lauriers au mérite et je pense que c’est ce qu’elle a fait pour se retrouver ici. (…) On est bien bien content; on est bien content pour Naïma aussi. (…)», lançait-il visiblement très fier du parcours de sa fille.
Questionné au sujet de leur relation, Naïma et Guy expliquent qu’elle vole maintenant de ses propres ailes, mais qu’au besoin son papa est toujours là pour la guider et la supporter.
De plus, elle mentionne se sentir supportée dans cette aventure par sa famille et ses amies qui passent tous ensemble d’incroyables moments.
Naïma aura vécu cette belle aventure avec son cheval Statesman.
Toutes nos félicitations à elle pour son accomplissement!
Lors de cette troisième saison, c’est nul autre que les talentueuxMaxim Royet Naïla Louidort qui rejoindront le cabinet et vous feront vivre des émotions fortes.
Au début du mois d’octobre, Mélodie, nouvelle stagiaire allumée et dégourdie interprétée par Naïla Louidort, vient faire ses premières armes au cabinet Lapointe & MacDonald.
En novembre, MeAlain, grande criminaliste du crime organisé jouée par Maxim Roy, bouscule de façon inattendue l’ordre et la dynamique du cabinet.
Cette 3e saison d’Indéfendable promet d’être toujours aussi réaliste, riche en émotions et en intrigues captivantes.
Elle traitera de plusieurs sujets de société polarisants: agressions sexuelles, familicide, terrorisme, harcèlement, grand banditisme, profilage racial, troubles mentaux, itinérance, trafic de drogue, enlèvement et plusieurs autres.
Ne manquez pas Indéfendable, du lundi au jeudi à 19h, dès le 9 septembre, à TVA et TVA+
«Gorgui Diouf (1921- 2024) Cette semaine, j’ai enterré mon papa au Sénégal. Il est parti en laissant un grand vide autour de lui. Lorsqu’un grand arbre à palabre du calibre de cet homme s’effondre, que son ombre salutaire disparaît, que cessent les réunions qui solidifiaient les liens dans le rire comme dans les pleurs, l’inévitable mélange de tristesse et de nostalgie se prépare à traverser les cœurs et les esprits. C’est ce sentiment qui a traversé notre famille avec son départ de ce vieux lion centenaire. Plus grand que nature, il était un être de famille d’une grande droiture, un travailleur infatigable, une aiguille qui rapiéçait les liens familiaux et communautaires, un baobab profondément enraciné dans la terre de ses ancêtres qui restera dans nos mémoires pour très longtemps. Des centaines de personnes ont défilé dans notre maison familiale pour nous dire du bien sur notre papa. Mon père adorait les vaches, les chevaux, les moutons, les chèvres, les arbres, etc., la nature a toujours été une grande source d’émerveillement pour le paysan et éleveur de zébus qu’il était. Merci, papa, de m’avoir donné cette envie de célébrer la création au-delà de l’espèce qui est désormais au centre du biologiste que je suis devenu. Que la terre de nos ancêtres lui soit légère, papa ! S’il y a des zébus au paradis, je te souhaite d’y trouver un énorme troupeau pour explorer les pâturages célestes avec ces bovidés que tu portais si profondément dans ton cœur», a partagé Boucar avec une photo de lui et son père.
Boucar avait, encore une fois, les mots justes pour exprimer la situation dans des termes magnifiques malgré la tristesse des événements.
Alors que le film a récolté un million de dollars au box-office et que celui-ci sera présenté en première internationale au Festival du film francophone d’Angoulême, une autre belle réussite s’ajoute à la collection.
L’engouement du public québécois pour ce long-métrage mettant en vedette de nombreuses personnalités, dont Geneviève Schmidt, Guylaine Tremblay, Ariane Moffatt et Véronic Dicaire, ne cesse d’augmenter.
Racontant l’histoire de «Germaine Lauzon, une ménagère qui gagne un million de timbres et invite ses sœurs, belles-sœurs et voisines à un party de collage de timbres, suscitant la jalousie de ses paires», il s’agit d’une histoire qui rend à la fois nostalgique et qui fait rire toutes les générations.
Lysandre Nadeau et Claude Bégin ont partagé un épisode de leur podcast Parenthèse intitulé «On adresse ce qui va moinsbien», un épisode qui fait extrêmement réagir et pas nécessairement positivement.
Dans cet épisode, Lysandre et Claude jouent à un jeu de questions qui les pousse à s’ouvrir sur le moment difficile qu’ils traversent présentement et sur leur nouvelle réalité en tant que parents.
Cependant, ce moment qui, disons-le, ressemble à une thérapie de couple, en a rendu plusieurs mal à l’aise, puisqu’à plusieurs moments, le couple ne semble pas être sur la même longueur d’onde.
On retrouve une Lysandre très fatiguée qui a besoin de beaucoup de temps pour elle et un Claude peu satisfait en ce qui concerne les relations intimes.
À un moment Lysandre et Claude s’ouvrent sur le fait qu’ils ne désirent pas devenir «un vieux couple».
«(…) Je trouve ça drôle c’est comme… c’est comme… on est devenu une caricature du couple qui se transforme vraiment en (…) vieux couple, ouin (…)», lançait-il.
Lysandre,optimiste face à la suite des choses, a exprimé son désir que la situation s’arrange éventuellement. Cependant, on sent que Claude lui met la responsabilité sur ses épaules.
«C’est toi là, c’est de ta faute, tu n’as jamais été en couple longtemps, donc là, tu découvres ça et tu es comme: Ah c’est chill!. Non. J’ai passé ma vie à contrer le… devenir un vieux couple, ce n’est pas aujourd’hui que je vais enjoy! (…)», expliquait le chanteur qui ne semble pas du tout trouver leur situation agréable.
Lysandre a ensuite mentionné son désir d’apprendre, mais encore une fois, Claude n’avait pas l’air si optimiste…
«Tu veux apprendre? (…) j’essaie de t’apprendre chaque jour (…)», ajoutait-il.
Lysandre, visiblement chicotée par sa réponse, a contredit sa pensée en mentionnant que de son côté, elle tente souvent de trouver des pistes de solution, mais exprime qu’à chaque fois il mentionne qu’il n’a pas le temps.
Elle lui demande alors quelle est SA solution, mais avant qu’il ne réponde, elle le fait à sa place et s’écrie: «fo*rrer!».
Tout au long de l’épisode, le schéma se répète: on sent une Lysandre émotive qui s’accroche aux points positifs et un Claude qui contredit plutôt les petites choses apportées par son amoureuse.
Dans les commentaires, plusieurs ont exprimé leurs émotions face à cet épisode où l’ambiance est plus lourde qu’à l’habitude.
Félicitations à eux pour leur ouverture et leur transparence, mais…
Nous leur souhaitons du repos, de la douce communication, ainsi que beaucoup de moments de qualité en couple afin de se retrouver!
Ce serait aux alentours de 17h15, à Sherbrooke, le 30 juillet 2024, que la police de Blainville aurait procédé à l’arrestation de la jeune femme de 24 ans.
Convoquée plusieurs fois par la justice, Lalonde aurait omis de se présenter à neuf reprises.
Selon Noovo, elle serait maintenant incarcérée et serait en attente des procédures judiciaires.
Avant l’arrestation
Rappelons que celle qui se faisait passer pour une avocate et qui niait être lamême Megan Lalonde visée par les accusations de fraudes aurait enfin confirmé être bel et bien celle que l’on avait pu découvrir sur des photos partagées par TVA Nouvelles.
Avant son arrestation, la jeune femme avait avoué sa réelle identité sur TikTok et avait annoncé à tous qu’elle quitterait la plateforme vu les conseils donnés par… ses avocats.
Cependant, elle a continué d’être active et de s’adonner à la pratique de directs, en allant même jusqu’à ouvrir sa caméra dévoilant ainsi l’entièreté de son visage.
Bien que le tout puisse paraître invraisemblable, Megan se faisait féliciter et était même encouragée par de fidèles supporteurs durant toute la séquence.
Chaque jour, la femme étaient soutenue par des internautes qui agissaient à titre d’invités dans ses lives avec qui elle s’amusait et discutait. D’autres, sur différents comptes TikTok, s’étaient quant à eux fait un devoir de couvrir l’affaire jusqu’à ce que la jeune femme fasse enfin face à la justice.
Juste avant de se faire passer les menottes, la jeune femme, qui se trouvait justement en direct, se serait filmée en train de quitter son domicile, ce qui aurait alerté la communauté TikTok qui la traque depuis un bon moment!
Voyant Megan sortir de sa maison, des internautes auraient contacté le service de police pour leur faire part de son déplacement.
Une fois les policiers sur place, ils lui auraient mis les menottes et l’aurait amené au poste de police pour qu’elle y passe la nuit en attendant de comparaitre le 31 juillet par visioconférence au palais de justice de Victoriaville.
Lalonde pourrait maintenant devoir faire face aux conséquences de ses actes.
C’est sur sa page Instagram que l’animateur de Survivor a partagé un texte dans lequel il mentionne avoir reçu la visite, à travers un papillon, de la sœur décédée de sa conjointe.
«Dans la famille de ma Douce, ils ont toujours dit que le papillon représentait la présence de Caroline parmi nous, sa sœur décédée en 1990. Et aujourd’hui, par un moment paisible, voire parfait, aux abords du lac du chalet familial des Trottier, alors que nous discutions de la vie et de ce privilège que nous avons de la savourer pleinement, avec notre chien Boris, Caro est venue nous rendre une belle visite! Elle a volé autour de nous pendant une dizaine de minutes, se posant çà et là, déployant toute sa beauté et virevoltant au gré du vent, au gré de la vie… On y croit ou on n’y croit pas, mais…», lançait-il visiblement toujours ému des événements récemment survenus.
Wow…
Quel touchant moment!
Avez-vous déjà vécu une situation semblable à la sienne?
Dans ce nouveau volet venant continuer la série sur sa propre vie amorcée avec 1981, puis 1987 et 1991, le personnage de Ricardo a les deux pieds dans l’âge adulte et trime dur pour se faire une place dans l’industrie du cinéma.
Le réalisateur Ricardo Trogi, la productrice Marie-Claude Poulin, de Sphère Média, et le comédien Jean-Carl Boucher ont révélé quelques secrets de tournage et autres réflexions lors d’une entrevue avec notre journaliste.
Voici 4 faits intéressants à savoir sur 1995… avant d’aller le voir!
Les scènes se déroulant en Égypte ont été tournées au Maroc
Dans 1995, Ricardo (Jean-Carl Boucher), toujours pétri d’ambition, d’orgueil masculin, de maladresse et de désir de reconnaissance, encore aussi attachant – et qui en découd toujours à faire respecter la prononciation de son nom de famille…! – s’envole pour l’Égypte dans la foulée de sa participation à l’émission culte La course (pastiche de La course destination monde), édition 1994-1995.
Il y vivra une malchance qui l’entraînera dans une spirale administrative sans fin. Sa patience et sa persévérance seront mises à rude épreuve!
Or, l’équipe de 1995 n’a pas réellement tourné ces scènes en Égypte, mais plutôt au Maroc. Toutefois, les images du Népal exposées à la fin du film ont véritablement été filmées à Katmandou. Le voyage s’est amorcé à la fin octobre dernier et les troupes ont directement volé du Maroc au Népal pour compléter la production du film, sans retour au Québec entre-temps. Pour les besoins d’une séquence, le comédien Guillaume Gauthier s’est même déplacé au Népal pour seulement deux jours! Le tout s’est terminé juste avant Noël.
«L’Égypte n’était pas assez stable politiquement. Tourner à l’étranger, c’est un gros casse-tête de financement, car on a beaucoup de restrictions de dépenses hors Québec et hors Canada. La logistique de ce qu’on transporte ou pas, les lois des autres pays, trouver les bonnes équipes. C’est un gros défi, mais ç’a bien été!», explique Marie-Claude Poulin.
«La façon de travailler sur le terrain, au Maroc, ressemble à la nôtre. Il y a une grosse industrie de cinéma, là-bas. Ils sont sympathiques, ils parlent français. Ils ont l’habitude de travailler avec des Parisiens, des Américains, des Européens. Ils en ont vu d’autres!», renchérit Ricardo Trogi.
«Si j’avais voulu tourner en Égypte, il aurait fallu que je montre mon scénario à je ne sais plus quel ministère X, Y ou Z; si eux se mettent le nez là-dedans, le bordel part! Au Maroc, ils s’en foutent, et c’est bien correct…!»
Une expérience que Jean-Carl Boucher, qui porte l’œuvre 1995, sur ses épaules, a complètement adorée.
«Dans le film, Shadi Janho, l’acteur qui incarne Yunnis [un Égyptien rencontré lors du périple de Ricardo, qui lui mettra sans le vouloir des bâtons dans les roues], parle arabe, français, anglais. Je me promenais beaucoup avec lui et il me traduisait beaucoup. Il a été comme un guide. C’était vraiment formidable de rencontrer les gens. Les Marocains sont tellement gentils! Il se tourne énormément de films au Maroc; j’avais l’impression que ça serait rock and roll, mais finalement, ça a été super facile!»
La caméra: c’était encore pire dans la réalité…
Coincé en Égypte, où il ne vient pas à bout de terminer la conception de son court métrage pour La course, Ricardo, dans 1995, doit dénicher une caméra de toute urgence.
Or, Ricardo Trogi raconte que, si l’affaire semble rocambolesque à l’écran, elle s’est avérée encore plus complexe dans la réalité.
«Quand ça m’est arrivé, ce truc-là, ç’a duré trois jours. Dans le film, ça dure une journée et demie. Dans la vraie histoire, j’ai rencontré 34 personnes différentes; dans le film, on en voit huit!»
«J’avais tout noté après une journée aux douanes. En arrivant à mon hôtel, je me suis dit qu’il m’arrivait quelque chose d’exceptionnel et que j’allais faire un court métrage avec ça. En six mois de voyage, il m’en est arrivé pas mal, mais je me suis concentré sur la portion qui était la plus difficile à faire. Pour voir jusqu’où pouvait aller la complexité quand on faisait cette émission de télé-là [La course destination monde]…»
Le seul élément que le cinéaste a oublié de cet épisode de son «vrai» passé? Comment il a véritablement fait pour se démerder et trouver une caméra!
1995 ne conclura peut-être pas la «Trogilogie»
Non, 1995 ne sera peut-être pas le dernier volet de la série cinématographique autobiographique de Ricardo Trogi! La productrice Marie-Claude Poulin travaille fort pour convaincre le réalisateur de poursuivre sur sa lancée.
«J’espère que ça ne sera pas le dernier, parce que ça a été un bonheur de travailler avec lui», souhaite-elle à voix haute.
Qu’en pense le principal intéressé?
«Je ne sais pas si je vais faire autre chose encore là-dessus. Ce n’est pas simple. Je vais voir. Là, je suis un peu épuisé. J’ai de la misère à voir plus loin que demain!», hasarde-t-il.
Une idée point toutefois déjà dans son esprit: ses années de réalisation de publicités pourraient lui fournir une matière intéressante…
«Il faut que je prenne quelque chose qui se traite en une heure et demie, et ça ne me tente pas de parler de cinéma. Parler de publicité ne me dérange pas. Sinon, je ne sais pas ce que je ferais…»
Des attentes au box-office
Dans la foulée du succès du film Nos Belles-Sœurs, les attentes sont hautes au box-office pour 1995, compte tenu de l’engouement déjà créé par les opus précédents de la série, 1981, 1987 et 1991.
«Je pense qu’il y a un effet d’entraînement. Il y a un public qui se regroupe, celui qui va voir tous les films québécois. Sinon, le public n’est pas nécessairement le même que celui des Belles-Sœurs. 1995 va attirer un public plus jeune, et aussi plus âgé, de gens qui ont regardé La course destination monde. Il y a un antécédent dans les films de Ricardo, les gens les connaissent. On dirait que la pression est là!», admet la productrice Marie-Claude Poulin.
Rappelons que 1981 (sorti en 2009) avait généré 900 610 $ aux guichets. 1987 (sorti en 2014), avait engrangé 2 461 768 $. En 2018, 1991 avait obtenu les meilleurs résultats de box-office de l’année au cinéma avec des recettes de plus de trois millions ; la barre des deux millions avait été franchie en moins d’un mois. Un coffret Blu-Ray réunissant les trois opus de la «Trogilogie» avait été commercialisé à la fin 2018.
«Mais on ne peut pas comparer avec les anciens box-offices de Boys ou de Bon Cop, Bad Cop. Des box-offices à huit millions, ça n’arrivera plus…», nuance Marie-Claude Poulin.
Mario Jean fait partie des grands de l’humour! En effet, l’humoriste cumule sept one-man-show, quatre films, deux Olivier pour Spectacle d’humour de l’année et une vingtaine de nominations dans diverses catégories du gala!
Dernièrement, il était de passage à l’émission estivale Sucré Salé, en compagnie de la chroniqueuse Chloée Deblois afin d’aborder son tout dernier spectacle solo intitulé Les imparfaits bonheurs… et autres tutti quanti de la vie! Dans ce dernier, il aborde le temps qui passe, le fait de vieillir, la longue vie de couple, les péripéties de la vie, etc.
Le segment de Sucré Salé débute alors qu’ils sont tous deux à bord de la Star Mobile, la chroniqueuse souhaitant amener Mario à la rencontre de la jeunesse!
Cinq jeunes adultes sont assis dans les estrades et participent à un segment humoriste que Chloée a nommé la ChronoloJean où ils doivent placer en ordre chronologique les différents spectacles solo de l’humoriste.
Après avoir réussi le jeu avec l’aide de Mario, l’animatrice s’est tournée vers lui:
«Là, Mario, on a une p’tite surprise pour toi. On voudrait te remettre une plaque de 25 000 billets vendus; ton billet d’argent pour ton one-man-show!»
Mario Jean était visiblement surpris de recevoir cette belle récompense pour un spectacle qui reflète exactement où il en est dans sa vie; tout simplement heureux.
C’est sous une petite salve d’applaudissements provenant des jeunes participants qu’il a pu récupérer son précieux prix.