Hier, Juraj Slafkovsky s’est absenté de l’entraînement. Et comme on le sait affecté par un mal d’épaule (gauche), disons que ça ne sent pas forcément bon pour la Flanelle.
Vous voulez des nouvelles ce matin?
45 minutes avant l’entraînement, Slaf a sauté sur la patinoire. Il était en même temps que Rafaël Harvey-Pinard… et normalement, les joueurs qui jouent le soir ne patinent pas 45 minutes d’avance. Surtout pas ceux qui tentent de ne pas se blesser outre mesure.
Ça laisse croire que Slafkovsky ne sera pas en mesure d’affronter les Rangers ce soir. https://t.co/LQ0BpSJLEY
MONTREAL, CANADA- OCTOBER 17: Lane Hutson #48 of the Montreal Canadiens fights with Adrian Kempe #9 of the Los Angeles Kings in front of the net during the third period of the NHL regular season game between the Montreal Canadiens and the Los Angeles Kings at the Bell Centre on October 17, 2024 in Montreal, Quebec, Canada. (Photo by Arianne Bergeron/NHLI via Getty Images)
Il y a quelques semaines, on a appris que la mère de Lane Hutson allait venir vivre avec lui à Montréal.
Même si Hutson a quitté la maison familiale il y a plus de quatre ans (à 16 ans, pour le hockey), le défi de la LNH est différent. Il débarque aussi dans un autre pays et une autre culture en déménageant à Montréal.
My column on Canadiens rookie defenceman Lane Hutson adjusting quickly to life in NHL with a little help from his mother, who is living with him in Montreal #Habs#HabsIO: https://t.co/sliXv9rBvd
Même si Hutson n’a pas des airs de gars à problème, de voir qu’il a un tel encadrement à la maison ne doit pas être une vilaine chose, non?
Après tout, même s’il a vraiment l’air du gars qui fait les choses qu’il faut faire en général dans la vie, il a quand même des repères à la maison. Ça ne doit clairement pas lui nuire, ça.
Et sur la patinoire, ça paraît. Il semble être en parfait contrôle (pour un gars qui a huit matchs d’expérience chez les pros, du moins) et on va s’entendre pour dire que son début de carrière est spectaculaire.
De la façon dont il est reconnu dans la LNH, il est difficile de remettre ça en doute.
Ce n’est pas tout le monde qui a la chance d’avoir un encadrement familial comme celui-là. Cependant, je me demande si certains joueurs ne gagneraient pas à avoir un peu de… supervision.
Pas besoin de nommer personne, right?
Évidemment, il faut quand même garder en tête que Hutson a demandé à sa mère de venir le rejoindre au Québec : ça ne lui a sans doute pas été imposé. C’est un grand garçon qui a décidé que c’était le mieux pour sa carrière.
Et c’est tout à son honneur – tout comme c’est à l’honneur de sa mère, qui travaille à distance à partir de Montréal pour supporter son fils.
En rafale
– Logique.
Deux MVP qui ont frappé au moins 50 circuits cette année qui s’affrontent : ce sera du bonbon. https://t.co/GKthV05ZWG
Ce soir, c’est jour de matchs à Montréal: Les Canadiens accueillent les Rangers et le CF Montréal dans un match “WIN OR DIE” accueille Atlanta! En sachant que si le CF gagne ce match pour ensuite jouer un minimum de 2 matchs de séries vs…
lululemon and Fanatics have teamed up to produce a new NHL apparel line. Check out some of the looks & styles, featuring guys like Connor Bedard, John Tavares, Dylan Larkin, Mark Stone and others… https://t.co/yGWZ8hW8Ax
Depuis déjà quelques années, le monde du journalisme sportif est frappé par de nombreuses coupures. Il y a toutefois souvent des gens pour s’occuper de leurs tâches par après.
Ce n’est pas ce qui s’est passé avec Marc Antoine Godin chez The Athletic, puisque la boîte a complètement abandonné le marché francophone de Montréal en le remerciant.
Ce même Marc Antoine Godin a été invité au balado Drette su’l tape de David Beaucage et il a pris le temps d’expliquer comment s’est produit son licenciement. L’épisode complet est disponible sur YouTube.
Quelques jours avant l’annonce de son licenciement, Godin était parti au Combine de la LNH pour réaliser des entrevues et se trouver des histoires avant le repêchage. En revenant du Combine, il s’est assis devant son ordinateur, pour réaliser qu’il avait perdu ses accès aux outils de The Athletic.
Voilà! C’est de même que tu apprends que tu es renvoyé! C’est l’fun, hein?
Ça doit être tout un choc de l’apprendre de cette manière. Tu es probablement rempli de stress et tu essaies d’appeler tes collègues et tes patrons pour des explications. Je pense réellement qu’un appel téléphonique aurait été un minimum respectueux de la part de la boîte.
Heureusement pour Godin, Radio-Canada l’a approché environ une semaine plus tard pour lui offrir un emploi.
Très peu de temps après avoir rejoint The Athletic, Godin savait qu’il y aurait une fin à cette histoire et qu’il prenait un risque en allant là-bas. Il a surtout senti la fin quand il était le seul employé francophone de la boîte.
Le seul qui pouvait le comprendre en français, c’était Arpon Basu.
On connaît tous la fin de l’histoire. Godin est parti et ça signifiait la fin du contenu en français chez The Athletic. Rappelons que les textes sur le Canadien étaient disponibles dans les deux langues quand Godin était chez The Athletic.
Ce virage peut être attribué au New York Times, qui a acheté The Athletic pour 550 millions $ en 2022, quelques mois avant le licenciement de Godin. Les employés avaient été avertis qu’il n’y aurait pas de coupures immédiates, mais qu’il fallait s’attendre à une certaine restructuration.
Godin est maintenant à Radio-Canada, mais il est resté dans un milieu à risque et il en est conscient. Il préfère ne pas tenter de prédire l’avenir dans cette situation.
Depuis déjà quelques années, le monde du journalisme sportif est frappé par de nombreuses coupures. Il y a toutefois souvent des gens pour s’occuper de leurs tâches par après.
Ce n’est pas ce qui s’est passé avec Marc Antoine Godin chez The Athletic, puisque la boîte a complètement abandonné le marché francophone de Montréal en le remerciant.
Ce même Marc Antoine Godin a été invité au balado Drette su’l tape de David Beaucage et il a pris le temps d’expliquer comment s’est produit son licenciement. L’épisode complet est disponible sur YouTube.
Quelques jours avant l’annonce de son licenciement, Godin était parti au Combine de la LNH pour réaliser des entrevues et se trouver des histoires avant le repêchage. En revenant du Combine, il s’est assis devant son ordinateur, pour réaliser qu’il avait perdu ses accès aux outils de The Athletic.
Voilà! C’est de même que tu apprends que tu es renvoyé! C’est l’fun, hein?
Ça doit être tout un choc de l’apprendre de cette manière. Tu es probablement rempli de stress et tu essaies d’appeler tes collègues et tes patrons pour des explications. Je pense réellement qu’un appel téléphonique aurait été un minimum respectueux de la part de la boîte.
Heureusement pour Godin, Radio-Canada l’a approché environ une semaine plus tard pour lui offrir un emploi.
Très peu de temps après avoir rejoint The Athletic, Godin savait qu’il y aurait une fin à cette histoire et qu’il prenait un risque en allant là-bas. Il a surtout senti la fin quand il était le seul employé francophone de la boîte.
Le seul qui pouvait le comprendre en français, c’était Arpon Basu.
On connaît tous la fin de l’histoire. Godin est parti et ça signifiait la fin du contenu en français chez The Athletic. Rappelons que les textes sur le Canadien étaient disponibles dans les deux langues quand Godin était chez The Athletic.
Ce virage peut être attribué au New York Times, qui a acheté The Athletic pour 550 millions $ en 2022, quelques mois avant le licenciement de Godin. Les employés avaient été avertis qu’il n’y aurait pas de coupures immédiates, mais qu’il fallait s’attendre à une certaine restructuration.
Godin est maintenant à Radio-Canada, mais il est resté dans un milieu à risque et il en est conscient. Il préfère ne pas tenter de prédire l’avenir dans cette situation.
Avant d’être échangé aux Sharks, le gardien Yaroslav Askarov avait dévoilé qu’il ne voulait plus jouer dans la Ligue américaine de hockey. Il s’est malgré tout retrouvé avec le Barracuda de San Jose pour commencer la saison.
La bonne nouvelle pour les Sharks, c’est que de commencer la saison n’a pas affecté son moral. Il s’est même permis deux grosses célébrations après chacun de ses deux premiers matchs.
Même si c’est vraiment cool de voir un jeune gardien qui se donne en spectacle, ce sera peut-être bientôt la fin de ces célébrations. En entrevue après sa dernière victoire, le gardien russe a dévoilé que quelqu’un lui a conseillé de se calmer avec les célébrations excessives.
Awesome exchange between Askarov & #SJSharks reporter @Sheng_Peng dissecting his post-win celebrations. Wearing a big smile, he admits he’s trying to tame it down after advice, which we can assume is from within the club. While uderstandable, his big personality is so refreshing. pic.twitter.com/05gQ8Cy1of
Marco Normandin de Habsolument Fana aussi parlé de ce sujet et la conclusion est évidente : c’est très probablement un membre de l’organisation des Sharks qui lui a dit de se calmer.
Askarov le prend en riant, mais c’est probablement une des choses qui le rendait le plus populaire, après ses statistiques impressionnantes.
Après son premier match de la saison, Askarov a tout simplement renversé son but, lui qui n’avait laissé passer aucun but dans la rencontre.
It’s going to be a blast watching Askarov make his way to the NHL! Putting the net to bed after a shutout in his Barracuda debut and 10th of his AHL career. 😂🥅💤 #TheFutureIsTeal#NHL
Ses performances n’ont pas changé lors du match suivant avec un autre blanchissage. Sauf que cette fois, il s’est contenté d’une célébration un peu plus tranquille.
On comprend donc qu’il avait reçu le message de se calmer avant ce deuxième match.
Honnêtement, Askarov mérite de célébrer tant qu’il veut s’il continue d’offrir des performances du genre. Ça attire l’oeil des partisans et ça donne probablement le sourire à ses coéquipiers.
Askarov est resté parfait en deux matchs dans la LAH cette saison, repoussant 48 tirs en deux matchs. Dans la LNH, Vitek Vanecek et Mackenzie Blackwood en arrachent et ont tous les deux un taux d’efficacité en dessous de la barre des ,900.
Filip Mesar impressionne depuis le début de l’année avec le Rocket. Avez-vous jeté déjà la serviette sur le choix de première ronde du Tricolore ? 🔵⚪️🔴
– Hutson a droit à un peu d’aide de sa maman à Montréal.
My column on Canadiens rookie defenceman Lane Hutson adjusting quickly to life in NHL with a little help from his mother, who is living with him in Montreal #Habs#HabsIO: https://t.co/sliXv9rBvd
DETROIT, MI - MARCH 21: David Perron #57 of the Detroit Red Wings gets set for the face-off against the New York Islanders during the third period at Little Caesars Arena on March 21, 2024 in Detroit, Michigan. Detroit defeated the New York Islanders 6-3. (Photo by Dave Reginek/NHLI via Getty Images)
Quand un joueur de la LNH s’absente « pour des raisons personnelles », c’est rarement très joyeux. C’est ce qui semble se passer dans le cas de David Perron avec les Sénateurs d’Ottawa.
Lundi, son entraîneur-chef Travis Green a dévoilé aux médias que Perron allait devoir s’absenter du voyage en Utah pour des raisons personnelles.
Travis Green says David Perron is away from the team for personal reasons.
Il y a deux semaines, la conjointe de Perron a dévoilé publiquement sur Instagram qu’il y avait eu des complications avec sa grossesse et que leur futur enfant courrait de gros risques.
Voici une traduction du début de ce long message de Vanessa.
« Elizabeth Perron. Nous avons choisi son nom en route pour un examen à Toronto. J’avais besoin qu’elle soit réelle avant de risquer de la perdre. Quelques semaines auparavant, à 30 semaines de grossesse, j’ai découvert qu’elle avait une grande malformation congénitale des voies aériennes pulmonaires. Nous avons écourté notre été et emménagé dans une chambre d’hôtel afin de commencer un suivi et un traitement pour notre petite fille pendant que les rénovations de notre nouvelle maison étaient en cours. Déplacer notre famille à travers les pays tout en gérant ce diagnostic n’a pas été facile. »
La bonne nouvelle, c’est que leur future petite fille a subi une intervention pour implanter des drains dans ses poumons, ce qui a fait rétrécir la majorité de sa masse pour ne plus mettre sa vie en danger avant la naissance.
La moins bonne, c’est que l’enfant devra probablement subir une opération à cœur ouvert dès la naissance.
Vanessa en serait maintenant à 39 semaines de grossesse. Nous ne savons pas encore si l’absence de David Perron est réellement liée à cette situation, mais nous lui envoyons quand même beaucoup d’amour dans cette passe difficile.
En rafale
– Ce serait bien.
«Je peux te dire que je me souviens de tous les buts refusés à cause de moi» – Brendan Gallagherhttps://t.co/C6geqayCsm
C’est après que la coanimatrice Julie Bélanger ait évoqué que le rapport qu’entretient Yvon, maintenant âgé de 89 ans, avec la mort, avait changé, qu’il s’est confié sur le sujet.
Capture TVA
«Quand j’ai réalisé que j’allais mourir un jour, je ne l’ai pas pris. Je n’ai pas aimé ça du tout! J’avais sept ans, à peu près. J’ai fait des crises d’angoisse toute ma vie (…) tout à coup je vivais ma mort. Pas la peur de mourir un jour… mais je vivais ma mort… c’est quelque chose (…) À mesure que ça approche, c’est moins épouvantable. Admettons que ça devient normal», témoigne avec transparence l’humoriste pionnier sur l’idée de quitter ce monde un jour.
Capture TVA
Il dévoilait aussi qu’autour de l’adolescence, il croyait être éternel.
«Je me disais qu’ils vont trouver quelque chose… Non, je ne mourrai pas, les autres vont mourir, mais pas moi. Ceux avant nous vont mourir, mais pas nous (…) Jusqu’au jour où, moi, je me tanne vite de pas mal tout… Sauf Judi (…) Alors, imagine-toi si on ne mourait pas», ajoute le grand Deschamps.
La Confrontation des 4 nations approche à grands pas, mais les équipes se doivent de sélectionner leur alignement en premier. Les États-Unis, la Finlande, la Suède et le Canada ont jusqu’au 2 décembre pour soumettre leur alignement de 23 joueurs.
En attaque, le Canada ne manque pas de talent. On pense à des joueurs comme Connor McDavid, Nathan MacKinnon, Sidney Crosby, Connor Bedard et compagnie.
Sauf qu’on aurait peut-être droit à une petite surprise en profondeur pour la formation canadienne. Lors du dernier épisode de son balado 32 Thoughts, Elliotte Friedman a dévoilé que Tom Wilson pourrait être dans les plans du Canada.
32 Thoughts Monday morning news, information and analysis podcast.
Je dois avouer que cette nouvelle est assez choquante considérant sa faible récolte de 35 points la saison dernière avec une équipe qui a réussi à se qualifier pour les séries éliminatoires.
Wilson avait signé une prolongation de contrat de sept ans tout juste avant sa dernière saison et de voir de si faibles performances a fait peur à de nombreux partisans des Capitals. Son contrat n’entrait en vigueur qu’au début de l’actuelle saison.
La bonne nouvelle dans cette histoire, c’est que Wilson semble avoir retrouvé ses repère depuis le début de la présente campagne. Il compte déjà cinq buts et une mention d’aide en seulement quatre matchs!
Au meilleur de ses capacités, Wilson pourrait peut-être pousser pour un poste avec le Canada, surtout si l’on prend en compte que Don Sweeney est le directeur général de l’unifolié.
Sweeney, qui est aussi le directeur général des Bruins, aime les joueurs robustes et c’est ce qui pourrait donner un certain avantage à un joueur comme Wilson.
Le plus grand problème, c’est que peu importe à quel point Wilson joue bien, il devra se démarquer de nombreux autres joueurs canadiens qui ont extrêmement de talent.
Observez cet alignement projeté par Bleacher Report. Ce serait très difficile pour Wilson de déloger un de ces attaquants.
Best-on-best hockey is only a few months away 👀
Projecting both USA and Canada’s rosters for the Four Nations Face-Off 🇺🇸🇨🇦
À compter de cette semaine, Processus sera mis en ligne à compter le mardi, à l’aube (5 heures) à demain matin! Nous sommes en train d’enregistrer! 😉 pic.twitter.com/6JjTjTFAXx
MONTREAL, CANADA- OCTOBER 14: Cole Caufield #13 smiles during the warm-up of the NHL regular season game between the Montreal Canadiens and the Pittsburgh Penguins at the Bell Centre on October 14, 2024 in Montreal, Quebec, Canada. (Photo by Matt Garies/NHLI via Getty Images)
Quand on pense à Cole Caufield, on pense à un gars qui est capable de trouver le fond du filet avec aisance. Il l’a fait à tous les niveaux, et il démontre depuis quelques années qu’il peut le faire dans la LNH.
Il n’a pas hérité du surnom «Goal Caufield» pour rien, après tout.
Et cette saison, Caufield a déjà six buts à sa fiche en seulement six matchs. Il risque de ralentir la cadence, évidemment, mais pour le moment, il est vraiment en feu…
Et ça commence à le placer dans un groupe assez sélect dans l’histoire du CH.
RDS a publié une statistique fort intéressante sur Caufield : dans l’histoire du Canadien, il pointe déjà au cinquième rang des buteurs nés aux États-Unis avec ses 87 buts en carrière… et il est très réaliste de croire qu’il pourrait pointer au deuxième rang dans quelques mois.
Il n’a besoin que de 21 autres buts pour rejoindre Alex Galchenyuk au deuxième rang.
Il est un peu moins réaliste de croire qu’il va rejoindre le premier rang, cela dit. Max Pacioretty, qui a marqué 226 buts dans l’uniforme du CH, devrait conserver sa première place pour quelques saisons.
Cela dit, dans l’optique où Caufield inscrit 30-40 buts par année (une marque qu’il a le potentiel d’atteindre régulièrement) et qu’il est sous contrat pour les sept prochaines années à Montréal, il semble assez évident qu’il va finir par occuper le premier rang.
À un rythme de 40 buts par année, il dépasserait Pacioretty au premier rang à quelque part en 2027-28.
Cela dit, ça ne semble vraiment être qu’une question de temps avant de le voir dépasser Chris Nilan (un but), Brian Gionta (10 buts) et Alex Galchenyuk (21 buts). Et quand on voit à quel point il est en feu cette saison, il semble plus que réaliste de croire que ce sera chose faite avant la fin de la présente campagne.
Et d’ici quelques années, il est plus que réaliste de croire qu’on le verra bien installé au premier rang.
En rafale
– Arber Xhekaj était frustré à l’entraînement ce matin.
Pendant l’entraînement de ce matin, je me retourne vers mon collègue Renaud Lavoie et lui lance: «Arber a l’air en beau *!&/?»*!. C’est évident.»
Dans le vestiaire, après la séance, le jeune homme a confirmé le tout.
Julie Le Breton était de passage à Tout le monde en parleen compagnie d’Élise Guilbault pour parler de la toute nouvelle série les mettant en vedette: Le retour d’Anna Brodeur.
L’animateur Guy A. Lepage, qui n’en manque pas une, a profité de la présence de Julie pour évoquer sa récente entrevue avec les animateurs du podcast Tout le monde s’haït.
«Julie, tu étais récemment invité au balado Tout le monde s’haït…», lance Lepage, surprenant de son invité.
«Ah, mon Dieu! (…)», s’exclame la star.
Alors que Guy A. s’apprêtait à lancer un extrait du passage où celle-ci constate que les hommes aiment désormais être avec des femmes plus jeunes, elle intervient visiblement découragée que cet extrait se soit rendu jusqu’à l’émission.
«Ah bien, non, bien, là, voyons dont! (…)», lance-t-elle, faisant réagir Guy A., qui semblait ne pas comprendre pourquoi Julie a eu cette réaction dramatique!
Guy A. a continué et a lancé, malgré que Julie ne le désirait visiblement pas, l’extrait où elle affirme qu’elle est challengée par le fait que des hommes soient en amour avec des femmes vraiment plus jeunes.
«Bon, premièrement, je ne comprends pas ces hommes qui ne veulent pas être avec toi. Mais, depuis ça…», affirme-t-il après l’écoute des propos de son invité, se faisant aussitôt couper par Julie.
«(…) J’ai dit ça en toute intimité dans un podcast», lance-t-elle, un brin naïvement.
Capture Radio-Canada
«Ce n’est pas intime, un podcast!», rappelle Guy A.
Julie a donc renchéri en expliquant que le fait de parler pendant presque deux heures fait disparaître le filtre et les barrières qu’elle se met.
«Bien, c’est surtout que probablement que tu le vis et que tu le penses», affirme Élise Guilbault, qui analysait la situation de près.
Capture Radio-Canada
Guy A., qui sait tout, a ensuite révélé que, depuis qu’elle a exprimé son ressentiment au podcast, plusieurs hommes lui écrivent pour lui proposer des rendez-vous amoureux.
«Mais, depuis (…) son Instagram est inondé de propositions d’hommes de son âge et même plus vieux!», lance Guy A. très amusé par la situation.
Capture Radio-Canada
Il lui a donc demandé si elle profitait de ce vent de popularité auprès des hommes.
«Pas vraiment, c’est pas tout à fait comme ça que ça fonctionne. Donc, j’inviterais tout le monde qui regarde ce soir, à ne pas me faire de propositions de date en canots (…)», répond-elle, faisant éclater de rire le public ainsi que ceux qui se trouvaient sur le plateau.
Capture Radio-Canada
Voyant son malaise, Alexandre Barrette, présent en tant que fou du roi, a saisi l’opportunité de demander à Julie ce qu’elle n’assume pas.
«Je n’assume pas de parler de ma vie privée à Tout le monde en parle, je trouve ça bien gênant (…)», répond-elle, en mentionnant toutefois que ses propos sont bien réels quant aux différences d’âge dans les couples.