Chez TPL, on ADORE lire. Josiane vous partage souvent ses coups de c?ur lecture sur ses stories Instagram et sur le blogue, on vous suggère fréquemment nos lectures du moment ou nos festivals et salons préférés de littérature.
Chaque année depuis 5 ans, on vous partage quelques suggestions pour la fameuse journée du 12 août et pour l’édition 2019, une petite twist supplémentaire très cool a été rajoutée par la librairie L’Euguélionne.
Pour ceux qui ne sont pas familiers, ça fait depuis 2014 que les librairies du Québec soulignent la journée du 12 août comme une occasion particulière d’acheter un roman d’un auteur ou d’une autrice québécois.e. La journée a été mise en place pour souligner le merveilleux travail et la grande créativité des auteurs et autrices d’ici et aussi afin de donner un peu de pep à l’industrie littéraire québécoise.
Cette année, en plus d’acheter un livre québécois, la librairie l’Euguélionne vous invite à choisir une publication écrite ou illustrée par une femme, une personne non binaire ou appartenant à une communauté marginalisée. Pour l’occasion, la librairie organise aussi un événement qui durera de 10h à 18h, le 12 août. On aura l’occasion de découvrir une grande sélection de livres, dont des ?uvres en français et en anglais. Du thé glacé et de la limonade seront servis gratuitement et question d’être dans l’ambiance québécoise, une playlist 100% Céline Dion jouera en boucle toute la journée! Le rêve! Vous trouverez tous les détails de l’événement ici.
On termine cet article avec 3 suggestions de livres québécois ultra intéressants et rédigés par des femmes.
Nos 3 suggestions de livres québécois
écrits par des femmes
Nouvelles d’ici, d’ailleurs et de là-bas
Marie-Célie Agnant, Éditions de la Pleine Lune

L’autrice québécoise d’origine haïtienne signe un magnifique recueil de 6 nouvelles, toutes plus poignantes les unes que les autres. S’attardant sur l’exploration des humains, de leurs comportements et de leurs zones d’ombre comme de lumière, Nouvelles d’ici, d’ailleurs et de là-bas met de l’avant 6 histoires sans prétention avec des personnages énigmatiques et déroutants.
La Minotaure
Mariève Maréchale, Éditions Triptyque

La Minotaure est un roman ultra touchant dans lequel une narratrice terrifiée par l’idée de vivre nous livre des épisodes de son enfance à travers des notes pour comprendre l’origine de ses angoisses. Au travers du livre, on voit les liens se tisser entre les événements de son enfance et l’âge adulte et entre la vie et la mort, qu’elle croit toujours imminente. C’est aussi le récit d’une parole qui se lève et s’affirme face à une violence patriarcale, blanche, de genre et de classe sociale qui étouffe et invisibilise la narratrice. Une violente et forte impulsion de vivre teinte toute l’histoire, du début à la fin.
L’autrice est chercheuse en littérature et spécialistes des écritures des femmes. Elle explore, à travers la fiction et ses poèmes, les identités de genre, les jeux de pouvoir et la masculinité toxique.
Ne sommes-nous pas Québécoises?
Rosa Pires, Éditions Remue-Ménage

Cet essai se veut, entre autres, un écho au célèbre Ne suis-je pas une femme?, écrit par la militante Sojourner Truth, en 1851. Rosa Pires signe donc un tout premier essai personnel sur une thématique tout à fait d’actualité. L’autrice est née d’immigrants portugais et est souverainiste de longue date. Avec la Charte des valeurs, quelque chose se brise : elle a le sentiment d’être une étrangère dans son propre pays. La politologue décide donc de mener une enquête auprès de 10 femmes issues de la deuxième génération de l’immigration afin de voir leur point de vue sur les inégalités, l’appartenance et la question nationale. Un fil conducteur à travers tous les témoignages : la revendication de leur place comme citoyennes québécoises engagées, à part entière. Ne sommes-nous pas Québécoises? est un essai touchant, et criant de vérité.
Bonne lecture (féministe)!
Le jour que tout le monde (non, non, on exagère pas!) attend est enfin arrivé: le nouveau catalogue IKEA est sorti!
C’est un fait, la simple idée de magasiner chez IKEA fait faire de l’urticaire à certaines personnes. Mais pour d’autres, genre nous, c’est une passion sans borne!
En tant que grandes fans de la compagnie suédoise, on est VRAIMENT contentes de découvrir les nouveautés lancées aujourd’hui même.
Oui, oui, on a déjà épluché les pages (virtuelles) du catalogue IKEA 2020. Et pour que ça serve à autre chose qu’à procrastiner au bureau, on vous partage nos coups de c?ur.
Que ce soit dans la section literie, les lampes, les meubles, la vaisselle: on a trouvé plein de belles affaires. On vous invite à regarder les photos de la galerie pour découvrir nos items prèfs!
On est certaines que ça va inspirer la déco de votre nouvel appart, ou alors vous donner envie de revamper les pièces de votre maison, pour un vent de fraîcheur!
Bon magasinage!
« L’intestin, le deuxième cerveau? » C’est ce qui attire l’attention des derniers temps en recherche! Le microbiote intestinal est le superhéros des temps modernes, on dirait! Nos bactéries intestinales fêtent leur moment de gloire grâce à leur implication dans la digestion, le système immunitaire et même le fonctionnement du cerveau. Le célèbre microbiote intestinal! C’est bien beau tout ça, mais semble-t-il qu’il ne soit pas le seul à être si glorieux. Youhouuu?Y’a le vagin aussi! Et je vous en parle!
Youppiii!
Parlons de flore vaginale!
Le microbiote vaginal, en bref
Eh oui?Le populaire vagin fait son entrée en matière de microbiote. Ce dernier compte a lui seul une population de bactéries qui lui est UNIQUE! OUI ! les femmes détiennent leur propre espèce: Criibacterium bergeronii.
Parlons donc, aujourd’hui, du microbiote vaginal?La flore vaginale serait-elle la nouvelle héroïne de l’heure?
Commençons par dire que cette flore a un impact indéniable sur la santé de la femme? Et de son bébé évidemment. Plusieurs femmes connaissent Madame Vaginose Bactérienne!? Celle-ci n’annonce rien de bon pour le microbiote vaginal!
La maudite vaginose…
La bactérie de la vaginose; celle qui cause douleurs et pertes vaginales malodorantes! Cet individu microscopique, à lui seul, peut provoquer des fausses couches, accouchements prématurés et des infections maternelles et néonatales.
C’EST PAS RIEN?
La bactérie de la vaginose modifie le microbiote vaginal et le rend moins « sain ». Ça sent pas bon tout ça… ?
Y’était temps qu’on l’étudie!
« Mais comme beaucoup d’affections qui ne concernent que les femmes, la vaginose a reçu moins d’attention en recherche. » déplore Janneke van de Wijgert, épidémiologiste au Institute of Infection and Global Health de l’université de Liverpool, au Royaume-Uni.
Les scientifiques le disent: les problèmes au niveau du microbiote vaginal sont à considérer, autant, voire plus que celui de l’intestin!
Le vagin nous dévoile (enfin) ses secrets
On dirait que le vagin commence à livrer ses secrets?
Les chercheurs estiment que près du tiers des cas de VIH pourraient être évités si les « bonnes » bactéries régnaient dans tous les vagins. C’est la même chose pour les autres types d’ITS.
Outre le risque d’ITS, l’absence de « bonnes » bactéries menace aussi la grossesse. Certaines études concluent même que la flore vaginale des Afro-Américaines serait liée à deux à trois fois plus de risque d’accoucher prématurément que les Caucasiennes.
Finalement, la nouvelle mission des scientifiques: éviter la transmission du VIH et d’autres ITS, diminuer le risque de fausses couches, mais aussi prévenir une partie des 13 millions de naissances prématurées qui surviennent dans le monde chaque année. Pour ce faire, le rôle du microbiote vaginal est monumental.
En plus?la flore vaginale est léguée de mère en fille, au moment de l’accouchement. Cela peut devenir une charge invisible qui se transmet de génération en génération.
Morale de l’histoire: on continue d’étudier le corps de la femme! Let’s go, progrès scientifique, tu sauves des vies!
Source d’information: Québec Science
15 268. J’ai actuellement 15 268 photos sur mon iPhone. Pis pourtant, je n’en ai aucune qui capte les petits yeux heureux que ma grand-mère faisait quand elle voyait mon père déposer une grosse tranche de pain dans son assiette. Aucune de son sourire serein, quand elle nous battait aux cartes. Pis aucune photo récente d’elle et moi, ensemble.
Ça me fait mal parce que – long story short – elle nous a quitté assez soudainement. Pis on dirait que quand une personne a toujours été là, on ne prend pas pour acquis que ça peut arrêter, sans préavis, du jour au lendemain. Et quand elle part, sa mémoire n’est pas exportable. Effacée, sans back-up. Un cloud inaccessible pour toujours.
C’est con, je documente tellement de trucs banals dans ma vie que j’ai oublié de capturer l’essentiel. Je peux pratiquement dire ce que j’ai mangé chaque jour dans la dernière année juste en regardant la pellicule de mon téléphone, mais je n’ai pas un seul cliché récent de ma belle mamie et moi, sur lequel je peux me retourner quand la réalité me frappe.
Pis là il est trop tard. Fucking trop tard.
Je n’arrêterai pas de photographier des moments de mon quotidien. Même s’ils sont ordinaires. C’est pas ça le point. Je vais continuer de le faire, mais mieux. Capter mes proches sur le vif, quand ils vivent de quoi de beau. Sortir mon Nikon à Noël. Ou à la fête d’une matante. Mais surtout, j’hésiterai pas à demander à ce qu’on me prenne, moi aussi, en photo avec le monde que j’aime.
Souvent, on n’ose pas le faire. Par peur de déranger? Peut-être. Au risque d’avoir l’air narcissique? Sûrement. Parce qu’on se dit qu’on aura le temps d’en prendre une autre fois? Ouin?
J’ai pour toujours mes souvenirs. Des photos mentales de ses expressions. Des vidéos pas downloadables de ses mouvements, de sa façon de se déplacer, d’être elle. Mais je donnerais n’importe quoi pour pouvoir reculer dans le temps, juste assez pour lui faire un dernier câlin pis revoir une dernière fois ses petits yeux s’illuminer quand elle nous voyait arriver. J’t’échange ça n’importe quand contre mes 15 268 photos. Deal?
En été, beaucoup de gens partent en voyage à l’étranger. Californie, Maroc, Islande, Viet-Nam, Espagne, Afrique du sud, Nouvelle-Zélande: tellement de destinations à explorer! Si vous avez la chance de vous envoler pour vivre de folles aventures outre-mer, vous allez nécessairement passer par une boutique hors taxes, communément appelée duty free.
Les boutiques duty free sont un excellente prétexte pour faire des petites folies, tout en économisant quelques sous, peu importe la devise.
Aujourd’hui, on a décidé de rêver un peu et de vous suggérer 10 produits de luxe à acheter en boutique hors taxes (parce que YOLO!)
1.Le Vernis à lèvres d’Yves St-Laurent – 49$
View this post on Instagram2.Votre parfum préféré
View this post on Instagram3.Le mascara volume de Chanel – 43$
View this post on Instagram4. Le Fond de teint en vaporisateur Airflash de Dior – 82$
View this post on Instagram5. L’eau de parfum SÌ FIORI d’Armani – 122$
View this post on Instagram6. Le SOS primer de Clarins – 39$
View this post on Instagram7. Un crayon pour les yeux en gel de Marc Jacobs Beauty – 33$