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Dans les coulisses

Le CH a eu chaud, mais sort vainqueur contre les Flyers de Philadelphie

C’est en ce dimanche soir que Matvei Michkov disputait son premier match contre les Canadiens de Montréal.

Avant la rencontre, il avait déjà amassé neuf points en huit petits matchs.

Pour l’occasion, c’était Cayden Primeau qui gardait la cage à Philadelphie, puisque Samuel Montembeault avait joué la veille.

Du côté des Flyers, c’était le jeune gardien biélorusse de 22 ans, Aleksei Kolosov, qui disputait un premier match en carrière dans la LNH.

Fait intéressant, il s’agissait du premier gardien biélorusse à jouer dans l’histoire de la LNH.

C’était aussi un duel entre deux très bons amis, les deux entraîneurs-chef, soit Martin St-Louis et John Tortorella

Voici la formation du CH pour le match :

Dès le départ, on a vu un Lane Hutson très impliqué.

Avec moins de trois minutes écoulées au match, le petit défenseur bougeait très bien (comme d’habitude) dans la zone offensive et il a bien failli marquer son premier but en carrière.

Après s’être facilement débarrassé de Nicolas Deslauriers sur le long de la bande, il a malheureusement frappé le poteau.

Il a aussi donné une autre chance à son club de marquer sur la même séquence.

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Quelques minutes après cette présence d’Hutson, on pensait avoir droit à un combat d’Arber Xhekaj, mais tout le monde s’est trompé.

Le vétéran Sean Couturier est entré en collision avec Kirby Dach et sa tête a été atteinte.

Évidemment, tel un vrai protecteur, Xhekaj a invité Couturier à danser.

Ce dernier ne semblait pas très chaud à l’idée d’affronter le colosse, mais quand il a réalisé qu’il n’avait pas bien le choix, il a finalement jeté les gants, ce que Xhekaj a fait aussi après.

Au moment que la bagarre allait commencer, le défenseur des Flyers Nick Seeler est arrivé de nulle part et a sauté sur le #72…

Résultat de l’escarmouche : Arber Xhekaj a été le seul puni sur la séquence et a purgé deux minutes de pénalité pour inconduite de partie…

Ouin, pas besoin d’en dire plus, mais je vous laisse tout de même la chance de juger la séquence par vous-même :

Encore une fois, les arbitres en ont échappé une pas pire sur cette séquence.

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Ceci dit, le Tricolore pouvait se consoler en faisant confiance à son excellent désavantage numérique.

D’ailleurs, avant les rencontres de dimanche, Montréal était au troisième rang de la LNH pour l’efficacité en infériorité numérique avec près de 90% de réussite.

Peu de temps après cette pénalité douteuse de Xhekaj, qui a facilement été tué par le CH, le capitaine Nick Suzuki s’est levé pour marquer son troisième but de la saison.

Jayden Struble a très bien fait circuler la rondelle pendant son shift et a lancé au filet.

Kirby Dach, qui passait devant le gardien adverse, a pris le retour et a fait dévier à son capitaine qui avait un filet grand ouvert.

Voilà un septième match de suite avec au moins un point pour le #14.

En fin de période, les Flyers ont cependant créé l’égalité grâce à Travis Sanheim.

L’ancien du CH, Ryan Poehling, ainsi que Garnet Hathaway ont été complices.

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Lors de la deuxième période, le match a penché grandement à l’avantage du Tricolore, alors qu’il a marqué trois buts sans riposte.

D’abord, avec moins de cinq minutes écoulées au deuxième vingt, Brendan Gallagher, fidèle à son habitude, s’est placé devant le filet pour dévier le tir de Logan Mailloux.

Sur la séquence, on le voit étirer la jambe pour réaliser cette déviation.

Josh Anderson a récolté sa troisième passe de la saison, alors que Mailloux en est maintenant à deux points.

Pour une rare fois, le CH présente une belle efficacité en avantage numérique.

Et évidemment, il fallait nul autre que Cole Caufield pour marquer un autre but lors de l’avantage d’un homme.

Suzuki a amassé son deuxième point du match, alors que Mike Matheson a récolté sa 8ᵉ passe de la saison.

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Le capitaine compte maintenant 11 points à ses sept derniers matchs.

Dans les neuf derniers matchs, le CH a marqué en AN dans huit de ceux-ci.

Et finalement, trois minutes plus tard, Jake Evans a fait scintiller la lumière rouge pour une deuxième fois en autant de match.

Sur ce but, Gallagher a récolté une passe en brisant son bâton.

C’était probablement une des passes transversales les plus lentes que j’ai vu.

Savard a aussi été complice sur le but.

La troisième période, contrairement au deuxième vingt, était beaucoup plus tranquille.

Il y a eu des occasions de part et d’autres, mais tout semblait croire que le CH allait sortir de là avec la victoire.

Mais en fin de période, les Flyers ont inscrit deux buts en 29 secondes.

Travis Sanheim a enfilé l’aiguille pour une deuxième fois dans la rencontre, alors que Travis Konecny a réduit l’écart à un seul petit but.

Trop peu trop tard pour Philadelphie, puisque le match s’est finalement terminé sur le pointage de 4-3 pour le CH.

Le prochain match du Tricolore sera mardi prochain, alors que le Kraken rendra visite à la troupe de Martin St-Louis au Centre Bell.

Prolongation

– Depuis qu’il a été muté à l’aile du premier trio, Kirby Dach connait de très beaux moments. On le sent créatif, il n’a pas peur de sortir ses mains du dimanche, il alimente très bien ses coéquipiers et utilise son tir quand il le faut.

Décidément, le voir à l’aile semble être la solution la plus bénéfique pour le CH. On voit le vrai Kirby Dach, et c’est beau à voir.

– Encore une fois, David Savard a connu un fort match. Comme à l’habitude, il était très efficace défensivement et n’a pas eu peur de se jeter devant des tirs pour les bloquer.

C’était un peu plus difficile pour le vétéran au tout début de la saison, et c’est normal, car il vieillit. Mais il faut être patient le temps qu’il retrouve sa zone de confort et une fois dedans, il est un défenseur très fiable.

– Brendan Gallagher m’a particulièrement impressionné lors de ce match. On l’a vu faire ce qu’il fait de mieux : se placer devant le filet, déranger les adversaires (dont Matvei Michkov) et il a même récolté deux points dans la rencontre.

C’est ce Gallagher qu’on veut voir, car c’est là qu’il est le plus utile à une équipe.

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Dans les coulisses

Mauvais début de saison : Trevor Zegras continue de régresser d’année en année

Chez les Ducks d’Anaheim, on n’a pas le début de saison souhaité, eux qui présentent une fiche de 3-3-1.

Troy Terry et Leo Carlsson vont très bien, eux qui ont respectivement récolté 6 points et 5 points chacun en sept matchs.

Par contre, pour Trevor Zegras, c’est assez désastreux.

Il n’a que deux petits points, malgré du temps de jeu de qualité en situation offensive.

Il se doit de faire mieux. Il doit être parmi les meneurs offensifs du club, sans quoi, il n’a pas une grande utilité à l’équipe.

Ses deux points en sept matchs lui donnent un rythme d’une saison de 23 points…

Encore une fois, l’Américain déçoit et régresse d’année en année, comme on peut le voir dans le tweet ci-dessous.

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Ce tweet démontre le rythme de points sur une saison de 82 matchs de Zegras depuis son arrivée dans la LNH, et ce n’est pas très beau

Et ce n’est pas qu’une faible régression, avec un rythme qui rebondit tranquillement pas vite.

Il y a simplement une grosse baisse de production et les Ducks doivent se poser des questions et je me dis que le club DOIT échanger Zegras.

Par contre, s’il y a un point positif pour Anaheim dans tout ça, c’est qu’ils ont en masse de jeunes centres prometteurs.

On peut penser à Leo Carlsson, Mason McTavish, Cutter Gauthier en plus de Zegras.

Ces deux derniers sont cependant employés à l’aile cette saison.

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En échangeant Zegras, bien que la valeur ne soit pas très haute pour le moment, ça permettrait aux Ducks d’aller chercher un besoin plus essentiel.

Un ailier qui est connu pour marquer des buts serait bénéfique, car il n’y a pas vraiment de franc-tireur pur, bien que Gauthier et McTavish peuvent très bien remplir le filet.

Un gars comme Jake Debrusk, qui n’a pas un bon début de saison à Vancouver, serait une cible logique.

Il faut préciser que les autres équipes ne voudront pas donner la lune pour Zegras actuellement et un échange de joueurs qui ne produisent pas à la hauteur des attentes semble logique.

Bref, les Ducks ont une belle situation devant eux et ils ne peuvent plus laisser aller ça.

Ils se doivent de faire de quoi avec le cas Zegras, une bonne fois pour tout.

En rafale

– Incroyable!

– Eh bien.

– Le Québécois a récemment annoncé sa retraite, mais le CH peut se réjouir de ce qu’il a obtenu en l’échangeant aux Blues.

– En effet.

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Hollywood PQ Style de star

Elisabeth Rioux: «Il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais»

Dans le dernier épisode du podcast Ouvre ton jeu animé par Marie-Claude Barrette, Elisabeth Rioux partage son parcours personnel en évoquant ses relations amoureuses passées. L’épisode est marqué par la douceur et la bienveillance de l’animation de Barrette, créant un espace propice aux confidences et à la vulnérabilité.

Dans le segment de la carte jaune, Elisabeth Rioux évoque son expérience avec la violence conjugale et les répercussions profondes sur sa vie. Elle partage avec courage les conséquences émotionnelles et psychologiques qu’elle a dû affronter, dont une perte de mémoire.

Alors qu’elle se confiait sur les circonstances de sa dénonciation dans les médias, Marie-Claude a demandé à son invitée dans quel état elle se trouvait à ce moment-là.

«J’ai fait de la thérapie et tout et j’ai beaucoup de blancs de mémoire (…) le monde me demande: Comment c’était d’être enceinte? Je suis comme: Je ne m’en rappelle pas, je ne le sais pas (…)», explique-t-elle, sanglotant.

L’animatrice explique qu’elle pense que sa mémoire a bloqué quelque chose qui était en souffrance à ce moment-là, puisque c’est lorsque Élisabeth a annoncé qu’elle était enceinte que son partenaire a commencé à avoir des comportements violents.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Elle revient d’ailleurs sur une phase de sa relation avec le père de sa fille qu’elle n’a pas vraiment montré sur les réseaux sociaux.

«(…) Au début (…) il était aussi allé à l’hôpital de Saint-Jérôme, hôpital psychiatrique, pendant un mois, à peu près (…) avant ça, moi c’était comme: OK, je le laisse, le gars il est violent, je le laisse! Et après ça, j’étais comme: OK, mais ce n’est pas de sa faute! (…)», lance-t-elle, expliquant avoir eu le désir de l’aider par amour et pour garder sa famille.

«(…) Les docteurs me disaient: S’il prend des médicaments, il va redevenir normal et ça va être correct (…)», se remémore-t-elle, affirmant qu’à ce moment elle avait de l’espoir que tout redevienne beau.

Elisabeth précise toutefois qu’à ce moment, personne n’était au courant de ce qu’elle vivait, parce qu’elle ne désirait pas que les gens autour d’elle ne l’aiment plus, elle voulait le protéger.

«(…) C’était le père de ma fille, je ne veux pas qu’après ça, mes amis… je ne veux pas que tout le monde se mettent contre lui (…) pour moi, c’était l’amour de ma vie que j’allais être avec toute ma vie, je ne voulais pas que mes parents ne l’aiment plus», explique-t-elle.

La femme d’affaires explique avoir été ensuite fortement interpellée par une scène dans une émission diffusée sur Netflix.

«Il y a la série Maid sur Netflix (…) un truc qui m’avait interpellé, c’est (…) je pense la seule scène abstraite de la série au complet, c’est quand on la voit dans son sofa et il y a comme un trou qui se creuse (…) c’est exactement comme ça que tu te sens, tu es dans un trou et c’est tout le temps de plus en plus creux. Tu ne dis rien, mais tout continue autour (…)», compare-t-elle, disant s’être perdue et avoir même encore à ce jour de la difficulté à savoir ce qu’elle aime.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Plus tard, Elisabeth, qui raconte avoir fait des tables rondes en compagnie de femmes ayant vécu de la violence psychologique et physique, explique qu’elle a fait une constatation à ce sujet.

«Une chose qui est ressortie, mais que je n’avais jamais entendue ailleurs avant, c’est que les femmes qui avaient vécu de la violence physique, c’était plus facile pour eux de passer à autre chose après (…) versus celles que c’est de la violence seulement psychologique, et je l’ai vécu après, j’ai eu une relation… que là c’était vraiment juste psychologique et j’ai vraiment vu la différence (…)», affirme-t-elle en expliquant que la violence psychologique est beaucoup plus subtile.

«Quelqu’un qui a eu juste de la violence psychologique, c’est tough de passer à autre chose, parce que tu te demandes tout le temps: Est-ce que c’est moi le problème? Et tout le monde continue tout le temps à douter de toi, parce qu’il n’a rien d’illégal (…), continue Elisabeth.

Dans une explication précédente, la jeune femme avait confié avoir subi de la violence psychologique par un autre partenaire.

Elle est revenue sur le sujet avec Marie-Claude Barrette.

«(…) J’ai eu une autre relation après que ça s’est fait vraiment plus progressivement…», explique-t-elle.

«J’étais rendu l’ombre de moi-même. À ce moment-là, tous les trucs que j’aimais, je ne les aimais plus, je n’aimais plus rien (…) moi, j’ai toujours eu les cheveux longs (…) je m’étais coupé les cheveux (…) j’avais trois outfits que… parce qu’il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais, donc j’avais trois outfits que je mettais tout le temps (…)», affirme Elisabeth, en expliquant qu’il ne l’avait jamais empêché directement de mettre d’autres vêtements, mais que si elle le faisait, il allait la faire sentir mal de s’être habillée comme elle le désirait.

Elle explique qu’elle était en évitement. Donc, qu’elle ne faisait plus rien.

«(…) Je ne sortais plus de la maison parce que sortir, c’était… j’avais peur de la réaction. Je n’allais plus en voyage parce que, quand j’allais en voyage, il y avait tout le temps une réaction (…) tout faisait peur. Donc, c’était comme si je marchais sur des oeufs (…)», se remémore-t-elle, expliquant qu’à la fin de cette relation, elle ne savait plus qui elle était.

«(…) Moi, je dors avec un oreiller entre mes genoux (…) il ne voulait plus que je fasse ça, parce que ça le gossait (…)», raconte-t-elle, expliquant qu’avec du recul, elle a compris que ce n’était pas normal.

Elle mentionne qu’elle faisait juste dormir pour que le temps passe plus rapidement et que même à ça, il trouvait tout de même le moyen de chialer sur quelque chose.

«Il n’aimait pas mes amis (…) c’était la première étape que j’aurais dû voir (…)», affirme-t-elle.

Un témoignage touchant et vulnérable livré par l’influenceuse.

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Dans les coulisses

Pascal Leclaire enverrait Cole Caufield dans les estrades le temps d’un match

Les Canadiens de Montréal connaissent un début de saison respectable, compte tenant des absences de taille comme Juraj Slafkovsky, Patrik Laine et Kaiden Guhle.

Difficile de faire mieux que ça dans les circonstances, même s’il y a quelques trucs à améliorer.

Une chose est sûre, Cole Caufield est en feu depuis l’ouverture de la campagne, lui qui compte sept buts en huit matchs seulement.

Il veut définitivement se rattraper de l’an dernier dans la colonne des buts et il n’y a pas grand-chose à dire dans son jeu, même s’il n’est pas parfait 100% du temps.

Par contre, l’ancien gardien Pascal Leclaire a une opinion bien particulière du petit attaquant.

De passage à La Poche Bleue dans un récent épisode de la Taverne Hockey, Leclaire y est allé d’une déclaration inattendue.

Tony Marinaro parlait de certains joueurs qui mériteraient de sauter leur tour et envoyer des gars comme Arber Xhekaj ou Jayden Struble à Laval, ça n’a pas un gros impact dans la chambre.

Par contre, il a dit que si un gars comme Josh Anderson serait rétrogradé, ça attirerait l’attention des gars dans la chambre et ça enverrait un gros message.

Leclaire a répliqué en disant, plutôt que d’envoyer des gars à Laval, pourquoi ne feraient-ils pas un tour dans les estrades?

Et c’est là qu’il a proposé Cole Caufield…

Je vous laisse l’écouter par vous-même :

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En cliquant sur le vidéo YouTube ci-dessus, ça vous amènera directement à l’extrait en question.

Pour expliquer son point de vue, l’ancien gardien a mentionné que Caufield marque toujours de la même façon, et sinon, on ne le voit pas du match.

Peut-être que Caufield n’est pas le meilleur défensivement, même s’il est loin d’être un fardeau à ce niveau, mais il a marqué à presque toutes les rencontres cette saison.

Et c’est ce qu’on veut de la part du #13, qu’il marque des buts.

C’est un peu poussé tout ça, selon moi.

En fait, même Tony n’en revenait pas quand Leclaire a dit ça.

Est-ce qu’on aura droit à un autre appel de Marinaro à sa mère pendant son émission matinale à BPM Sports?

Elle devrait avoir la réponse.

En rafale

– Bonne nouvelle pour le CH, Josh Anderson jouera ce soir.

– Voyons voir si le CH pourra continuer sur cette lancée contre les Flyers de Philadelphie ce soir.

– Serait-il le temps pour les Ducks d’échanger leur vedette?

– Demidov n’est pas qu’un joueur unidimensionnel.

– Le talentueux espoir des Capitals de Washington connait un très bon début de saison.

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Dans les coulisses

Patrick Roy questionne publiquement une décision de Lou Lamoriello

Lou Lamoriello, le président et directeur général des Islanders de New York, et Patrick Roy ne sont pas reconnus pour avoir la langue dans leur poche. Lors de l’embauche de Roy comme entraîneur de l’équipe de Long Island, plusieurs se questionnaient sur comment allait se passer la cohabitation entre les deux personnalités au bouillant caractère.  

Et bien nous assistons possiblement aux premières frictions entre le coach et son directeur général. Hier, suite à une défaite de 6-3 face au Panthers de Floride, après avoir mené 3-0, Roy semble avoir remis en question la décision de son D.G. de rappeler le joueur Pierre Engvall pour la rencontre comme le rapporte le site Toutsurlehockey.com.

Questionné dans l’entrevue d’après-match, l’ancien gardien a dit comprendre ce que Engvall a fait pour l’équipe depuis deux ans et qu’il imagine (« I guess ») que Lou pensait que c’était un bon moment pour le rappeler.  

Un peu avant, Roy avait aussi dit qu’« il pense que Lou pense que la physicalité est importante pour nous »

Le problème est que jusqu’ici, Engvall connaissait un début de saison très ordinaire dans la LAH avec le club école des Islanders avec un seul but et une fiche de -3 en six parties. Rien pour justifier un rappel…

Sauf peut-être son contrat de trois millions par année et ce jusqu’en 2030! Ça fait cher payé pour un joueur dans la Ligue Américaine et on peut comprendre que Lamoriello doit être à l’aise avec la situation actuelle. Que ce soit pour justifier son contrat ou pour échanger son joueur, Lou doit idéalement faire jouer Engvall dans la LNH. 

Or, Roy veut et doit gagner immédiatement. Les Islanders sont une équipe vieillissante qui veut participer aux séries d’après-saison pendant que leur fenêtre est encore ouverte et espérer faire un bout de chemin par la suite. 

Et pour y arriver, on peut comprendre que l’entraîneur veut se donner les meilleurs outils possibles et il ne semble pas considérer que Engvall en fasse partie. D’ailleurs, l’attaquant a été le deuxième joueur le moins utilisé par Roy lors de la rencontre d’hier avec seulement 10 minutes 37 de temps de jeu. 

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Si Roy n’a pas remis ouvertement la décision de son directeur général en question, il semble sous-entendre qu’il ne l’endosse pas et qu’il ne prend pas le blâme pour celle-ci.    

Est-ce que nous assistons déjà à la fin de la lune de miel entre Pat et Lou? On sait que Lamoriello peut parfois prendre des décisions surprenantes et impulsives surtout s’il n’est pas satisfait (parlez-en à Claude Julien!). 

Et advenant un début de saison difficile chez les Islanders, est-ce qu’on pourrait assister à un congédiement rapide de l’ancien portier du Canadien après une attente de près de sept ans avant son retour derrière un banc d’une équipe de la Ligne nationale? Il est un peu tôt pour spéculer, mais ça va être une situation intéressante à suivre! 

En rafale

– Kapanen et Hutson populaires!

– Une sixiéme victoire pour Green Bay.

– Match serré remporter par les Cards.

– Victoire canadienne.

– À écouter!

– Impressionant!

– Vraiment cute!

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Matvei Michkov : un pari payant pour Daniel Brière

Ce soir, le Canadien est en visite à Philadelphie afin de jouer un deuxième match en vingt-quatre heures, cette fois contre les Flyers. Il s’agira d’une partie importante pour les deux équipes qui ont gagné la veille et qui veulent chacune construire sur leur momentum suite à des débuts de saison difficiles. 

Il s’agira aussi d’une première occasion pour les fans du Tricolore de voir Matvei Michkov affronter leur équipe. Le joueur recrue connaît un excellent début de campagne avec neuf points dont quatre buts en huit parties. L’attaquant russe est particulièrement menaçant avec l’avantage d’un homme comptant déjà trois buts et six points sur le jeu de puissance.

Aujourd’hui, Daniel Brière, le directeur général des Flyers, doit être très heureux de sa première décision importante lors de son entrée en poste!

Rappelons que la sélection de Michkov au septième rang était un choix risqué puisqu’il était sous contrat avec le SKA de St. Petersburg dans la KHL pour trois ans et qu’il avait une réputation de joueur paresseux.

Rappelons aussi que le Canadien aurait pu choisir le Russe au cinquième rang et que l’équipe lui a préféré David Reinbacher. Cependant, il est possible que Michkov se soit arrangé pour jouer à Philadelphie et qu’il ne voulait pas venir à Montréal

Bref, est-ce que la partie de ce soir (et son début de saison impressionnant) pourrait faire regretter aux fans et à la direction de l’équipe d’avoir levé le nez sur le jeune attaquant? Peut-être. Ça va définitivement être intéressant à regarder!

Il est encore tôt, mais jusqu’ici Brière semble avoir remporté son pari. De son propre aveu,  « [Michkov] est impressionnant. Jusqu’à maintenant, il est meilleur que ce à quoi je m’attendais »

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L’organisation des Flyers a aussi fait beaucoup d’efforts pour faciliter l’arrivée et  l’intégration de son jeune espoir en Amérique du Nord. Même son entraîneur John Tortorella, le coach à la poigne de fer, semble prêt à laisser une certaine liberté pour laisser son attaquant exprimer son talent offensif. 

Bref, si les Flyers connaissent un début de saison encore plus difficile que le Canadien avec seulement deux victoires, les performances de Matvei Michkov est une des belles histoires du commencement de la saison dans la LNH et une très bonne nouvelle pour les Flyers. 

Et on risque de beaucoup en parler à Montréal, non seulement à cause des comparaisons avec Reinbacher, mais aussi avec notre espoir Ivan Demidov qui connaît une situation très similaire à celle de Michkov. 

En rafale

– Ohtani sera là!

– Pat et Lou à couteaux tendus?

– Une grosse perte pour les Sens.

– Grosse victoire des Lions!

– Blessure au genou pour Diggs.

– Quelques beaux jeux de NFL.

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Harris et Kovacevic : Des débuts complètement différents avec leur nouvelle formation

Johnathan Kovacevic et Jordan Harris ont été échangés par le Canadien dans les derniers mois.

Le droitier a été envoyé au New Jersey contre un choix de 4ème ronde au repêchage 2026, tandis que le gaucher a fait partie de la transaction qui a amené Patrik Laine à Montréal.

Cela dit, les deux gars sont en train de vivre une situation complètement différente avec leur nouvelle formation.

Jordan Harris n’a pas assez impressionné la direction des Blue Jackets pour pouvoir jouer régulièrement.

Il n’a disputé que quatre matchs depuis le début de la saison à Columbus et il se retrouve dans un rôle de profondeur, comme c’était le cas à Montréal par moments.

Mais pour Kovy, tout roule comme sur des roulettes : il a pris part à tous les matchs des Devils cette saison et il joue un rôle important dans la brigade défensive au New Jersey.

La preuve?

Ce soir, Kovacevic (comme c’est souvent le cas depuis le début de la saison) évoluera sur la deuxième paire défensive aux côtés de Jonas Siegenthaler.

Il est utilisé sur le top-4 et il y a une raison : Sheldon Keefe apprécie l’apport du défenseur dans l’alignement.

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Lorsque Jordan Harris était à Montréal, on disait qu’il avait peut-être plafonné au niveau de sa progression.

Sans dire qu’il est un mauvais défenseur, Harris est un joueur qui ne se distingue pas beaucoup sur la patinoire parce que son style de jeu est relativement « plate »… Exactement comme c’est le cas avec Kovacevic.

Mais ce dernier a quand même trouvé une façon de se faire valoir et là, certains se demandent si le Canadien a fait une erreur en l’échangeant pour si peu.

Un choix de quatrième ronde contre un défenseur qui évolue au sein du top-4… On s’entend que ce n’est pas beaucoup.

Par contre, au même titre de Jordan Harris, plusieurs pensaient que Kovacevic n’était pas capable d’en amener plus à l’organisation du CH. C’est le contraire qui se produit en ce moment et ça fait réaliser que des fois, c’est surtout l’environnement qui peut être favorable à la progression d’un joueur.

Il faut être content pour Kovacevic, cela dit. Il joue parce qu’il le mérite, et Jordan Harris doit regarder ce que son ancien coéquipier fait de bien pour suivre ses traces.

En rafale

– Il faut une autre grosse performance ce soir.

– Rappel : Lane Hutson est bon au hockey.

– Shane Pinto est encore blessé.

– C’est logique. On parle de Shohei Ohtani, quand même…

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Échange de Dubois : Quand Vilardi joue, les Jets ont une fiche de 42-11-2

En échangeant Pierre-Luc Dubois à Los Angeles, les Jets ont réussi à mettre la main sur des morceaux intéressants.

Du lot? Gabriel Vilardi, qui aide son nouveau club à gagner depuis son arrivée à Winnipeg.

En fait, quand Vilardi est en uniforme, les Jets font partie des meilleures formations de la Ligue nationale… 

La formation a remporté ses huit premiers matchs de la saison, ce qui est impressionnant.

Mais ce qui est encore plus impressionnant, c’est quand on regarde la fiche du club quand Vilardi est en mesure de jouer.

Le gros joueur de centre a disputé 55 matchs depuis son arrivée à Winnipeg (23 buts et 40 points) et les Jets cumulent un dossier de 42-11-2 dans ces 55 matchs-là.

Faut croire qu’il aide l’équipe à un autre niveau : 

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Est-ce que ça veut dire que Pierre-Luc Dubois était le problème à Winnipeg?

Pas forcément, non.

Ça veut surtout dire que les Jets ont fait un bon coup en échangeant un joueur à problèmes contre des éléments qui aident le club soir après soir.

Et ça veut aussi dire qu’en prenant un pas de recul, on réalise que les Jets ont gagné cette transaction-là… Parce que Dubois a été échangé aux Capitals après seulement une saison à Los Angeles.

Imaginez si le Canadi… Non. Pas aujourd’hui. 

Notons aussi qu’avec leurs huit victoires en autant de matchs cette saison, les Jets ont maintenant signé 16 gains consécutifs si on remonte à la dernière campagne.

C’est impressionnant parce qu’ils ont trouvé une solution pour que ça fonctionne de façon constante.

C’est sûr que ça aide quand tu as l’un des meilleurs gardiens de but de la Ligue nationale devant le filet, mais si les Jets sont aussi bons, c’est parce qu’il y a une structure en place et c’est parce que les meilleurs joueurs du club sont les meilleurs joueurs sur la patinoire. 

En rafale

– C’était vraiment un beau jeu.

– J’adore.

– Il peut jouer ce soir, donc.

– Nice.

– Ah oui?

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Tour d’horizon des espoirs du CH : Luke Tuch inscrit ses deux premiers buts chez les pros

Pendant que le Canadien de Montréal se ressaisissait hier soir après une semaine difficile, plusieurs espoirs du CH se sont démarqués à travers les différentes autres ligues de hockey que la LNH.

Que ce soit dans la Ligue américaine ou dans la NCAA, les espoirs du CH se sont démarqués.

Voici le portrait.

Luke Tuch – Ailier gauche – 22 ans

Après avoir connu des saisons et des performances en dents de scie dans la NCAA avec l’Université de Boston, Luke Tuch a tout de même reçu un contrat de la part du Canadien de Montréal.

Le CH a donc jugé que le potentiel demeurait présent chez lui malgré une mince progression dans les rangs universitaires américains.

Tuch a connu un solide camp d’entraînement avec le CH, et il fait présentement sa marque en tant que recrue dans la Ligue américaine avec le Rocket de Laval.

D’ailleurs, hier soir, dans la victoire de 4 à 3 du Rocket face aux Comets de Utica, Tuch a inscrit ses deux premiers buts chez les pros.

Ce sont deux beaux buts qui permettent à Tuch de cumuler quatre points en six matchs cette saison.

À 22 ans, Tuch demeure un espoir vraiment intriguant et intéressant dans les rangs du CH.

Il pourrait très bien finir par s’établir dans la LNH dans un rôle de profondeur avec son excellent tir et sa robustesse.

D’ailleurs, Tuch a exactement le profil de ce que recherche présentement le Canadien sur le marché des transactions.

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Joshua Roy – Ailier droit – 21 ans

Dans ce même match du Rocket, Joshua Roy s’est lui aussi démarqué, alors qu’il continue de briller avec le Rocket.

Il a inscrit un but et une passe hier soir, portant son total de points à six en six matchs.

 

Bref, le Québécois démontre clairement qu’il est trop fort pour la Ligue américaine, mais malheureusement, c’est son hors-glace qui joue en sa défaveur.

Si ce n’était que des statistiques et des performances, Roy mériterait d’être rappelé immédiatemment par le Canadien.

Voyons voir quand est-ce que le Québécois sera de retour dans la LNH.

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Sam Harris – Ailier gauche – 21 ans

Qui ?

Sam Harris, un choix de cinquième ronde (133ᵉ au total) du CH en 2023.

L’espoir de 21 ans dispute cette année sa deuxième saison dans la NCAA avec l’Université de Denver, et jusqu’à présent, ça se passe très bien pour lui.

Il a inscrit hier soir son sixième but de la saison, ce qui le place à égalité au premier rang de la NCAA à ce chapitre.

Il sera donc à surveiller cette saison, alors que s’il continue de la sorte, il pourrait recevoir un contrat de la part du Canadien.

Autres performances notables

AHL :

  • Jared Davidson est un autre espoir très intéressant qui évolue présentement avec le Rocket de Laval. Il a inscrit son deuxième but de la saison hier soir, ce qui lui fait quatre points en six matchs comme Tuch. À 22 ans, il demeure également un beau projet.

NCAA :

  • Jacob Fowler a enregistré sa troisième victoire de la saison hier soir, alors que Boston College l’a emporté 4 à 2 face à l’Université du Western Michigan. Fowler a repoussé 20 des 22 tirs dirigés vers lui. Il présente maintenant un taux d’efficacité de .937 et une moyenne de buts alloués par match de 1,51.

En Rafale

– Incroyable.

– C’est vraiment la défensive qui fait défaut présentement chez le CH.

– À suivre.

– Les Oilers vont devoir se ressaisir.

– Pour les intéressés.

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Dans les coulisses

Jake Evans : une autre performance digne d’un excellent joueur

Hier soir, le Canadien de Montréal a réussi sa mission, et je ne parle ici d’avoir remporté le match.

Bien évidemment, le fait de gagner 5 à 2 à la maison face aux Blues de Saint-Louis est une belle réussite, mais ce n’était pas l’essence de la mission du club de Martin St-Louis hier soir.

La mission était de faire taire les critiques en disputant un match solide défensivement selon le système de Martin St-Louis.

Eh bien, cette mission a été réussie, et même si cela n’aura pas été parfait, le Tricolore aura réussi à stopper l’hémorragie de buts accordés en jouant un bon match défensivement.

Bref, le CH a mérité de gagner, ce qui fait du bien à tout le monde.

Plusieurs joueurs se sont levés et se sont démarqués hier soir, et un d’entre eux, c’est évidemment Jake Evans.

Fidèle à son habitude, Evans a tout donné encore une fois à chacune de ses présences hier soir.

Il a excellé dans tous les départements du match, récoltant un but, une passe, une mise en échec et un tir bloqué, tout cela en plus d’être 50% au cercle des mises en jeu.

Ce n’est pas pour rien qu’Evans a joué 16 minutes et 40 secondes hier soir.

Il a entièrement mérité son temps de glace avec cette autre performance digne d’un excellent joueur.

Plus les matchs passent cette saison, et plus Evans s’affiche réellement comme un joueur de profondeur idéal.

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Son efficacité en infériorité numérique est incroyable, son éthique de travail est exemplaire, et en plus de tous les petits détails qu’il fait bien, il réussit à produire offensivement.

Evans compte un but et quatre passes en huit matchs cette saison, ce qui représente clairement son meilleur début de saison en carrière.

Il ne faut pas oublier également qu’Evans joue avec Josh Anderson et Brendan Gallagher, soit les deux lourds contrats que traînent le CH.

Le numéro 71 du CH les fait bien paraître tout en conservant un différentiel de 0, ce qui est solide considérant que Kirby Dach est à -9 par exemple.

Bref, chapeau à Evans.

Il sera intéressant de voir si Kent Hughes décidera de resigner Evans, ou bien de l’échanger à la date limite des transactions étant donné qu’il lui reste seulement une année de contrat à 1,7 M$.

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Quels sont les autres éléments que je retiens de ce match ?

1. Lane Hutson a connu un très bon match.

Après quelques matchs plus discrets/difficiles, Hutson s’est bien repris hier, alors qu’il a souvent été le moteur de l’attaque du CH en zone offensive et en relance.

Il a d’ailleurs obtenu une passe dans ce match, ce qui fait de lui le premier défenseur recrue dans l’histoire du Tricolore à obtenir sept passes à ses dix premiers matchs en carrière dans la LNH.

2. Oliver Kapanen volait sur la patinoire hier soir.

Le jeune Finlandais n’a pas obtenu de point dans cette victoire, mais il a été très solide.

J’étais sur place au Centre Bell, et le constat était indéniable parmi les partisans à côté de moi, le jeune a très bien joué.

À un certain point, j’étais convaincu qu’il finirait par inscrire son premier but dans la LNH, mais finalement, ce sera pour une autre fois.

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3. Arber Xhekaj a bien fait et a donc bien répondu à son entraîneur.

Il n’a vraiment pas été parfait, mais il a su faire les bons petits détails au bon moment en plus d’être physique tout au long du match.

Petit à petit, le shériff retrouvera sa confiance.

4. C’est un but qui va faire du bien à Kirby Dach.

Le numéro 77 du CH a disputé son meilleur match de la saison hier soir, et on sent que tranquillement, la rouille disparaît.

Dach était à l’aise sur la glace hier soir, et il démontrait des choses semblables à celles qui nous avaient enflammé il y a deux ans.

En Rafale

– À noter en vue du prochain repêchage.

– Il est très solide pour les Leafs.

– Magnifique.

– Excellent début de saison pour le jeune défenseur des Kings.