Catégories
Actualité Art de vivre Divertissement Nightlife.ca Style de star Tourisme

Célébrez le Nouvel An dans un casino près de chez vous

Vous n’avez aucune activité prévue le soir du 31 décembre?

Sachez que Loto-Québec propose des attractions spéciales dans ses casinos et salons de jeux pour souligner le passage à la nouvelle année, avec animation, musique et décors de circonstances.

Au Casino de Montréal aura lieu un «marathon festif» jusqu’à 5 h du matin, couronné d’un décompte enflammé, avec ou sans option de buffet gourmand (au choix du visiteur).

Au Casino du Lac-Leamy, à Gatineau, l’ambiance sera EDM et house jusqu’aux petites heures, sur les rythmes d’un DJ, dans un environnement LED immersif.

On promet des surprises de toutes sortes avec décorations, musique de DJ et entrée gratuite à Mont-Tremblant, Trois-Rivières et Québec.

Enfin, au Casino de Charlevoix, on mise sur la vue enchanteresse sur la région pour donner envie aux gens de lever leur verre dans une atmosphère des plus élégantes.

Les membres Casino Privilège peuvent dès maintenant réserver, en prévente, leurs places pour les soirées du 31 décembre à Montréal et Gatineau.

Les ventes pour ces mêmes villes commenceront le 29 novembre, et les détails de ces différentes offres des Fêtes seront publiés, juste ici, le 11 décembre.

Dans quel casino pourrons-nous vous voir?

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Céline Dion et Adele, en larmes, nous offrent un moment bouleversant

Céline Dion assistait au concert, au Colosseum du Caesars Palace à Vegas, de la talentueuse Adele, le tout accompagné de ses enfants, et elle a eu droit à son moment magique.

Adele a interrompu son spectacle pour aller à la rencontre de la diva québécoise! Un instant complètement bouleversant entre les deux grandes dames de la musique, avec une belle accolade qui fait actuellement l’objet d’un buzz sur Internet.

Dans une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux, on peut les voir complètement touchées de se retrouver, fondant toutes les deux en larmes.

C’est par la suite qu’Adele a demandé à son public de se lever pour honorer Céline.

Avez-vous aussi la larme à l’œil?

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Elisabeth Rioux: «Il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais»

Dans le dernier épisode du podcast Ouvre ton jeu animé par Marie-Claude Barrette, Elisabeth Rioux partage son parcours personnel en évoquant ses relations amoureuses passées. L’épisode est marqué par la douceur et la bienveillance de l’animation de Barrette, créant un espace propice aux confidences et à la vulnérabilité.

Dans le segment de la carte jaune, Elisabeth Rioux évoque son expérience avec la violence conjugale et les répercussions profondes sur sa vie. Elle partage avec courage les conséquences émotionnelles et psychologiques qu’elle a dû affronter, dont une perte de mémoire.

Alors qu’elle se confiait sur les circonstances de sa dénonciation dans les médias, Marie-Claude a demandé à son invitée dans quel état elle se trouvait à ce moment-là.

«J’ai fait de la thérapie et tout et j’ai beaucoup de blancs de mémoire (…) le monde me demande: Comment c’était d’être enceinte? Je suis comme: Je ne m’en rappelle pas, je ne le sais pas (…)», explique-t-elle, sanglotant.

L’animatrice explique qu’elle pense que sa mémoire a bloqué quelque chose qui était en souffrance à ce moment-là, puisque c’est lorsque Élisabeth a annoncé qu’elle était enceinte que son partenaire a commencé à avoir des comportements violents.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Elle revient d’ailleurs sur une phase de sa relation avec le père de sa fille qu’elle n’a pas vraiment montré sur les réseaux sociaux.

«(…) Au début (…) il était aussi allé à l’hôpital de Saint-Jérôme, hôpital psychiatrique, pendant un mois, à peu près (…) avant ça, moi c’était comme: OK, je le laisse, le gars il est violent, je le laisse! Et après ça, j’étais comme: OK, mais ce n’est pas de sa faute! (…)», lance-t-elle, expliquant avoir eu le désir de l’aider par amour et pour garder sa famille.

«(…) Les docteurs me disaient: S’il prend des médicaments, il va redevenir normal et ça va être correct (…)», se remémore-t-elle, affirmant qu’à ce moment elle avait de l’espoir que tout redevienne beau.

Elisabeth précise toutefois qu’à ce moment, personne n’était au courant de ce qu’elle vivait, parce qu’elle ne désirait pas que les gens autour d’elle ne l’aiment plus, elle voulait le protéger.

«(…) C’était le père de ma fille, je ne veux pas qu’après ça, mes amis… je ne veux pas que tout le monde se mettent contre lui (…) pour moi, c’était l’amour de ma vie que j’allais être avec toute ma vie, je ne voulais pas que mes parents ne l’aiment plus», explique-t-elle.

La femme d’affaires explique avoir été ensuite fortement interpellée par une scène dans une émission diffusée sur Netflix.

«Il y a la série Maid sur Netflix (…) un truc qui m’avait interpellé, c’est (…) je pense la seule scène abstraite de la série au complet, c’est quand on la voit dans son sofa et il y a comme un trou qui se creuse (…) c’est exactement comme ça que tu te sens, tu es dans un trou et c’est tout le temps de plus en plus creux. Tu ne dis rien, mais tout continue autour (…)», compare-t-elle, disant s’être perdue et avoir même encore à ce jour de la difficulté à savoir ce qu’elle aime.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Plus tard, Elisabeth, qui raconte avoir fait des tables rondes en compagnie de femmes ayant vécu de la violence psychologique et physique, explique qu’elle a fait une constatation à ce sujet.

«Une chose qui est ressortie, mais que je n’avais jamais entendue ailleurs avant, c’est que les femmes qui avaient vécu de la violence physique, c’était plus facile pour eux de passer à autre chose après (…) versus celles que c’est de la violence seulement psychologique, et je l’ai vécu après, j’ai eu une relation… que là c’était vraiment juste psychologique et j’ai vraiment vu la différence (…)», affirme-t-elle en expliquant que la violence psychologique est beaucoup plus subtile.

«Quelqu’un qui a eu juste de la violence psychologique, c’est tough de passer à autre chose, parce que tu te demandes tout le temps: Est-ce que c’est moi le problème? Et tout le monde continue tout le temps à douter de toi, parce qu’il n’a rien d’illégal (…), continue Elisabeth.

Dans une explication précédente, la jeune femme avait confié avoir subi de la violence psychologique par un autre partenaire.

Elle est revenue sur le sujet avec Marie-Claude Barrette.

«(…) J’ai eu une autre relation après que ça s’est fait vraiment plus progressivement…», explique-t-elle.

«J’étais rendu l’ombre de moi-même. À ce moment-là, tous les trucs que j’aimais, je ne les aimais plus, je n’aimais plus rien (…) moi, j’ai toujours eu les cheveux longs (…) je m’étais coupé les cheveux (…) j’avais trois outfits que… parce qu’il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais, donc j’avais trois outfits que je mettais tout le temps (…)», affirme Elisabeth, en expliquant qu’il ne l’avait jamais empêché directement de mettre d’autres vêtements, mais que si elle le faisait, il allait la faire sentir mal de s’être habillée comme elle le désirait.

Elle explique qu’elle était en évitement. Donc, qu’elle ne faisait plus rien.

«(…) Je ne sortais plus de la maison parce que sortir, c’était… j’avais peur de la réaction. Je n’allais plus en voyage parce que, quand j’allais en voyage, il y avait tout le temps une réaction (…) tout faisait peur. Donc, c’était comme si je marchais sur des oeufs (…)», se remémore-t-elle, expliquant qu’à la fin de cette relation, elle ne savait plus qui elle était.

«(…) Moi, je dors avec un oreiller entre mes genoux (…) il ne voulait plus que je fasse ça, parce que ça le gossait (…)», raconte-t-elle, expliquant qu’avec du recul, elle a compris que ce n’était pas normal.

Elle mentionne qu’elle faisait juste dormir pour que le temps passe plus rapidement et que même à ça, il trouvait tout de même le moyen de chialer sur quelque chose.

«Il n’aimait pas mes amis (…) c’était la première étape que j’aurais dû voir (…)», affirme-t-elle.

Un témoignage touchant et vulnérable livré par l’influenceuse.

Catégories
Hollywood PQ Style de star

13Hz, de Messmer: Qui sommes-nous pour juger?

Quand un artiste lance une nouvelle œuvre, il n’est pas rare qu’il définisse celle-ci comme sa «plus personnelle à ce jour».

Ou sa «plus mature».

Sa «plus aboutie».

Ou quelconque autre cliché surutilisé du genre.

Pas toujours. Pas systématiquement. Mais avouez que vous l’avez déjà entendue. Qu’il s’agisse d’un one-man-(woman)-show pour un humoriste, d’un album pour un chanteur, d’un roman pour un écrivain, le dernier-né est toujours le chouchou, le meilleur à nos propres yeux. Et ce n’est souvent pas faux. Bien sûr qu’on s’améliore avec le temps. Il faut bien que l’expérience acquise d’un projet à l’autre, au fil des années, serve un brin.

Maintenant… Messmer pourrait-il en affirmer autant de son quatrième spectacle, 13Hz, parti pour une longue virée d’au moins un an, ici comme en Europe?

S’agit-il du joyau le plus poli et peaufiné de son répertoire?

Messmer en action lors de la première montréalaise de son quatrième spectacle, 13Hz, au Cabaret du Casino de Montréal / Crédit : Serge Cloutier

Hélas, non. Loin de là.

Jugez-en par vous-mêmes. En janvier 2012, au Centre Bell, alors qu’il battait un record d’hypnose de 422 spectateurs au Centre Bell, Messmer avait demandé à ses «victimes» d’interagir avec des martiens. L’auteure de ces lignes y était, 12 ans plus jeune d’âge et de naïveté devant les prouesses du même amuseur.

En 2024, les complices momentanés de l’hypnotiseur se sont à nouveau transformés en martiens. Pour l’auteure de ces lignes, la deuxième fois, plus d’une décennie (et une pandémie) plus tard, c’était un peu moins drôle.

Dans ses précédents opus – Fascinateur (2007), Intemporel (2012) et Hypersensoriel (2017) –, Messmer envoyait ses «magnétisés» dans de faux voyages vers l’espace, leur faisait croire qu’ils étaient empêtrés dans un nid d’abeilles, simulait avec eux un tour de l’Exposition universelle de Paris, les enjoignait de donner des câlins ou d’entonner My Heart Will Go On.

Dans 13Hz (dont le titre évoque la fréquence à laquelle circulent les ondes alpha du cerveau à l’état de relaxation), Messmer les incite à se tortiller dans une serviette sur la plage ou à personnifier des pompiers. Il convainc une dame mature qu’elle est incapable de solutionner un innocent casse-tête pour enfants (et en profite pour appeler ses propres filles de 7 et 3 ans à la rescousse; «C’est facile!», s’exclame la cadette). Il persuade ensuite un petit groupe d’une victoire à la loterie («F*ck You, patron!»), avant d’y créer la bisbille en annonçant que le billet gagnant était invalide. Après un (faux, évidemment) accident de voiture, la fête se termine dans un dj set, avec Messmer aux platines, comme à Ibiza.

Messmer en train d’hypnotiser des sujets à la première montréalaise de son quatrième spectacle, 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Rien qui ne soit destiné aux personnes enceintes, en convalescence ou sous l’effet de drogues ou d’alcool, répétera l’hôte à maintes reprises.

Le tout, sans grande mise en scène ou scénographie. Des projections (jolies) sur panneaux rectangulaires, des éclairages colorés à thématique fleurie (sympas), la sempiternelle rangée de chaises accueillant les «réceptifs» au fatidique «compte de 3», l’incontournable écran retransmettant les faits et gestes incriminants, la musique tout droit sortie de n’importe quel film de science-fiction… Le show réside surtout dans les réactions de l’humain «possédé».

Non, Messmer n’a jamais offert l’élite du divertissement.

Arrivé à son quatrième spectacle, il aurait pu approfondir ses numéros.

Plus substantiel que, grosso modo, les faire se tortiller…

On entend L’Incendie à Rio trois fois dans 13Hz.

Bien sûr que c’est redondant, répétitif et, finalement, peu recherché. D’autant plus que, souvenons-nous, l’homme a longtemps officié à la télé en plus de mystifier les salles. Il fut un temps où TVA nous beurrait du Messmer (L’expérience Messmer, Messmer fascine les stars, Lâchés lousses…) autant que de publicités de Vidéotron.

Quelques « cobayes » à la merci de Messmer à la première du spectacle 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Mais, après toutes ces années, alors qu’on pourrait croire son art épuisé, sa méthode, dépassée, que les nouvelles générations d’humoristes pourraient le talonner, voire l’évincer, on se pointe au Cabaret du Casino de Montréal un bon lundi soir d’octobre pour la première médiatique de 13Hz, et on s’ébahit de constater à quel point l’assistance –  à pleine capacité –  est captivée, hilare, passionnée par les singeries des «cobayes» de Messmer.

Ce dernier a vendu plus de deux millions de billets en carrière, indique son site officiel. Il est une mégastar en Europe. Encore bien davantage qu’ici, nous souffle son équipe.

«Méfiez-vous des gens qui disent aimer le peuple, mais qui détestent tout ce que le peuple aime…», décrétait un respecté politicien.

Messmer pourrait résolument investir un effort pour élever l’originalité et la qualité générale de son contenu. Mais impossible de nier que les gens adorent le personnage. Les vedettes cachées qui se prêtent à un numéro musical très loin de leur zone de confort sous un costume infantilisant à Chanteurs masqués, les stars grimaçant de terreur ou de dégoût à Sortez-moi d’ici!, les participants d’Occupation double ou Ma mère, ton père qui pleurent à qui mieux mieux, de sincérité ou pour la postérité: l’être humain se plaît à compatir avec ses semblables en position de vulnérabilité, à frissonner à la même cadence.

Messmer place ses sujets dans un état d’extrême, excessive fragilité, en s’emparant même de zones méconnues de leur cerveau. Et quoi de mieux, pour attirer les masses et engendrer un rire contagieux, que de taquiner gentiment des inconnus, de les humilier sans malice.

Messmer sur le point de faire des siennes avec ses « victimes » à la première du spectacle 13Hz / Crédit : Serge Cloutier

Pour peu que son procédé soit authentique, bien sûr. On ne relancera pas ici le débat qui a souvent fait rage autour de Messmer, à savoir si ses techniques sont bien réelles (et éthiques), si des acteurs sont impliqués dans le fatras.

Le running gag concernant un certain Jay Maloney, lundi (un homme «endormi» dont l’identité temporaire l’a suivi jusque pendant l’entracte) aurait très bien pu avoir été orchestré à l’avance, puis interprété par un bon comédien. Un quidam aurait aussi pu décider d’embarquer et de jouer le jeu pleinement, d’en rajouter plus que la demande du client, même, pour la cause.

Peut-être aussi que tout était vrai. Qui sait?

Après tout, il y avait encore quelques personnes – dont l’animatrice Isabelle Maréchal – endormies sur leur siège à la fin de la prestation…

Lundi soir, au Cabaret du Casino, il n’y avait que les cascades répétées de rires, les visages ahuris, les yeux ronds, obnubilés (mais pas toujours hypnotisés) par les pitreries de Messmer et ses invités d’un jour. Les tapements de mains endiablés quand ceux-ci descendaient «faire le train» au parterre, aux notes du foutu Incendie à Rio.

Qui serions-nous pour les snober?

Messmer présente son spectacle 13Hz en tournée. Consultez son site Web (messmer.ca) pour toutes les dates.

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Serge Denoncourt en larmes à Quel talent!

Serge Denoncourt est l’un des juges de l’émission Quel Talent! et, depuis le début, il nous a surpris. Bien qu’il conserve son côté très direct, nous avons également découvert un Serge plus doux et plus empathique.

Lors du dernier épisode, il a même versé des larmes tout en lançant de nombreux éloges!

C’est lorsque le chanteur Ian Sabourin est monté sur scène et a livré une performance complètement époustouflante que le metteur en scène a été submergé par de vives émotions.

Capture Noovo

«Ça a marché sur moi complètement, j’ai versé une petite larme», témoignait Serge, avec émotion dans la voix, tout en ajoutant à l’endroit du candidat qu’il avait fait un très bon choix musical.

Capture Noovo

Un peu plus tard dans l’émission, Serge a de nouveau eu un coup de cœur pour la troupe de danse Stardust. Ce groupe de jeunes danseurs a ébloui autant le public que les juges, en réinventant leur style. Après avoir incarné des personnes âgées dans des numéros précédents, ils sont cette fois devenus de jeunes enfants dans une cour d’école, dansant sur la chanson Les étoiles filantes de Les Cowboys Fringants, lors du dernier épisode.

«Moi je pense, pour vrai, être le fan numéro un de Stardust», dévoilait Serge.

Capture Noovo

Au finale de cette soirée des quarts de finale, trois groupes ou personnes allaient passer aux demi-finales et c’est avec grand bonheur que les juges on choisi Stardust, Ian Sabourin et TäBï Yösha pour cette prochaine étape.

Nous leur souhaitons le meilleur pour la suite des choses!

Pour ne rien manquer des prochaines étapes, rendez-vous sur les ondes de Noovo et Noovo.ca, dès 19h30, du lundi au jeudi!

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Yvon Deschamps: «J’ai fait des crises d’angoisse toute ma vie»

Yvon Deschamps était invité à l’émission Ça finit bien la semaine, où il a abordé différentes sphères de sa vie, y compris ses crises d’angoisse.

C’est après que la coanimatrice Julie Bélanger ait évoqué que le rapport qu’entretient Yvon, maintenant âgé de 89 ans, avec la mort, avait changé, qu’il s’est confié sur le sujet.

Capture TVA

«Quand j’ai réalisé que j’allais mourir un jour, je ne l’ai pas pris. Je n’ai pas aimé ça du tout! J’avais sept ans, à peu près. J’ai fait des crises d’angoisse toute ma vie (…) tout à coup je vivais ma mort. Pas la peur de mourir un jour… mais je vivais ma mort… c’est quelque chose (…) À mesure que ça approche, c’est moins épouvantable. Admettons que ça devient normal», témoigne avec transparence l’humoriste pionnier sur l’idée de quitter ce monde un jour.

Capture TVA

Il dévoilait aussi qu’autour de l’adolescence, il croyait être éternel.

«Je me disais qu’ils vont trouver quelque chose… Non, je ne mourrai pas, les autres vont mourir, mais pas moi. Ceux avant nous vont mourir, mais pas nous (…) Jusqu’au jour où, moi, je me tanne vite de pas mal tout… Sauf Judi (…) Alors, imagine-toi si on ne mourait pas», ajoute le grand Deschamps.

Capture TVA

Un autre moment fort intéressant en sa compagnie!

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Guy Jodoin «crashe» le spectacle de Rosalie Vaillancourt

Guy Jodoin et Rosalie Vaillancourt animeront la prochaine saison de Sortez-moi d’ici!, succédant ainsi à Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette. Guy a réservé une belle surprise à sa nouvelle collègue, qu’il a dû lui remettre sur scène lors de l’un de ses spectacles d’humour.

C’est lors de la présentation de son one-woman-show MILF au Théâtre du Vieux-Terrebonne qu’il a interrompu l’humoriste pour lui révéler qu’elle avait accompli un bel exploit!

Jodoin est arrivé avec un énorme billet d’or sur lui, symbolisant plus de 50 000 billets vendus pour Rosalie. Il portait d’ailleurs un costume doré, qui complétait bien ce magnifique cadeau.

Courtoisie

«Merci, merci. Vraiment, ça me touche tellement, je ne sais plus quoi dire», témoignait Rosalie, visiblement heureuse.

Capture vidéo de Courtoisie

Une belle complicité s’est déjà installée entre le duo et nous avons hâte de les voir à l’œuvre cet hiver dans la très attendue prochaine saison de Sortez-moi d’ici!.

Capture vidéo de Courtoisie

Toutes nos félicitations à Rosalie!

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Virginie Fortin dévoile enfin qui est son amoureux

Virginie Fortin, qui est récemment devenue maman d’une petite fille, a finalement révélé l’identité de son amoureux lors de son passage à l’émission Véronique et les Fantastiques.

L’humoriste, qui gardait sa relation amoureuse bien secrète depuis quelque temps, nous a surpris en révélant le nom de celui qui fait battre son cœur lors de la chronique radio de son collègue Alexandre (alias la pétillante Mona de Grenoble). Lors de celle-ci, ils discutaient jusqu’où les gens se sentaient à l’aise en couple.

Il s’agit de l’ancien professionnel et champion de MMA Olivier Aubin-Mercier!

Son amoureux est d’ailleurs très connu dans le monde du sport!

«Je fais pipi devant Olivier Aubin-Mercier (…) Parce que je trouvais ça drôle, l’image de faire pipi devant mon chum (…)», déclare-t-elle sans, désormais, aucune cachotterie pour le public.


Nous avons également récemment pu le voir à l’émission Je viens vers toi, où il agissait en tant que chakra, avec un humour bien aiguisé.

Longue vie aux amoureux!

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Chanteurs masqués: Cathy Gauthier démasquée et voici qui pourrait se cacher sous Jack Spi-Rat!

Une soirée de plus en compagnie de Chanteurs masqués, qui allait offrir un divertissement hors du commun, comme on l’aime.

Ce soir, quatre personnalités cachées ont monté sur scène pour performer: le Soleil, Miss Maïs, le Rhino et le Cygne.

Oui, la compétition offre de belles performances, mais n’oublions pas celui qui nous intrigue depuis quelques semaines déjà: Jack Spi-Rat. Ce candidat masqué ne fait pas partie des chanteurs officiels, mais il vient brouiller les cartes en fournissant des indices aux enquêteurs. Plusieurs noms ont été avancés, dont Guy Jodoin, Robert Lepage, Dominic Paquet et Yannick Nézet-Séguin.

Capture TVA

Celui qui, selon nous, fait le plus de sens est sans contredit Guy Jodoin, notamment grâce à son indice d’équipage dévoilé ce soir, qui nous ramène à Dans une galaxie près de chez vous.

Sur une toute autre note, une personnalité allait, bien évidemment, faire ses adieux dans cette compétition savoureuse, et c’est avec tristesse que le Soleil allait quitter, mais pas avant de dévoiler son véritable visage.

C’est avec grande surprise que l’humoriste Cathy Gauthier se trouvait sous ce masque qui brillait de mille feux, bien que Sam Breton l’avait deviné!

Capture TVA

Aviez-vous devinez qui s’y cachait?

Pour ne rien manquer de l’émission la plus regardée au Canada, rendez-vous tous les dimanches à 18 h 30 sur les ondes de TVA!

Catégories
Hollywood PQ Style de star

Sansdrick d’OD: «Le dating, en ce moment, me fait capoter (…)»

Dans le cadre d’un épisode du podcast On s’connait pas tant que ça, animé par les deux anciens candidats d’OD Sansdrick et Pézie, les animateurs ainsi que leur invitée Marina Bastarache ont discuté ensemble des applications de rencontre, entre autres choses.

Marina expliquait que, de son côté, elle ne serait pas capable d’utiliser Tinder, puisqu’elle est beaucoup plus attirée par les personnalités des hommes que par leur physique.

C’est à ce moment que Sansdrick a avoué qu’il trouvait difficile de faire des rencontres amoureuses.

«(…) Moi, je suis célibataire (…) j’ai 35 ans (…) ça ne me tente plus de sortir dans les clubs, j’aime ça une fois de temps en temps, mais de faire ça quotidiennement, d’aller dans les restos, dans un 5 à 7. Moi, j’aime ça être à la maison avec mon chien, être avec mes amis, être relax, donc le dating, en ce moment, me fait capoter (…)», explique Sansdrick, qui affirme qu’il n’est pas bon pour écrire et donc que les applications de rencontres ne sont pas faites pour lui.

«(…) Je trouve ça vraiment tragique parce que là, je me vois vieillir et je n’ai pas envie d’être en couple pour être en couple, je veux être en couple avec la bonne personne (…)», continue-t-il.

Capture YouTube @On s’connait pas tant que ça

Marina a donc demandé où il est possible de nos jours de faire la rencontre de personnes de nos jours.

Pézie, de son côté, a affirmé qu’elle trouve qu’ils sont très chanceux d’avoir accès à plusieurs événements sociaux dans le cadre de leur métier et qu’il s’agit d’endroits où il est possible de faire de belles rencontres.

Cependant, il semblerait que l’argument à Pézie n’ait pas convaincu Marina et Sansdrick, qui affirment que, de leur côté, ils ne croient pas que ce soient des moments propices aux découvertes amoureuses.

Alors qu’ils discutaient du sujet et argumentaient, Marina a eu une idée d’où il pourrait être possible de rencontrer des gens.

«(…) Je viens de trouver où tu pourrais rencontrer des gens que ce n’est pas nécessairement des gens du milieu et que c’est probablement des amis d’amis. Il faudrait que tu crash tous les birthday party des gens que tu connais! (…)», lance-t-elle, fière de son idée.

Toutefois, Sansdrick a exprimé qu’il trouvait cette idée compliquée et, découragé, il a fait appel à l’aide au public.

«Public (…) si vous avez quelqu’un à présenter, n’importe qui, je suis ouvert, mais aidez moi gang s’il vous plaît!», demande-t-il, visiblement désespéré.

Capture YouTube @On s’connait pas tant que ça

«Gang, si vous avez une amie d’une amie que vous voulez me présenter, écrivez-moi, envoyez-moi des photos (…) des vidéos, n’importe quoi!», conclut-il.

C’est votre chance de tenter une approche envers Sansdrick!

Seriez-vous intéressée à faire sa rencontre ou connaissez-vous quelqu’un qui le serait?