En 2022, la comédienne Lindsay Lohan a fait un retour remarqué à l’écran avec Falling for Christmas sur Netflix. Cette année, elle sera de nouveau dans un nouveau long-métrage festif intitulé Our Little Secret.
L’histoire suivra les aventures d’Avery et Logan, deux ex qui se retrouvent forcés de passer Noël ensemble. La raison? Leurs nouveaux partenaires sont frère et sœur.
Lindsay Lohan partagera l’écran dans Our Little Secret avec Ian Harding (Pretty Little Liars), Kristin Chenoweth (Wicked), et Tim Meadows, qui incarnait le directeur dans Mean Girls.
Le film, tourné à Atlanta, est réalisé par Stephen Herek (Afterlife of the Party, Same Time, Next Christmas) et scénarisé par Hailey DeDominicis, affiliée à l’Agence Artistique Claude Girard.
En 2025, Lohan reviendra également dans une suite très attendue de Freaky Friday, intitulée Freakier Friday, confirmant qu’elle est plus occupée que jamais!
C’est sur Instagram que la chanteuse dévoilait avoir partagé un court moment avec ce chanteur très connu: Lionel Richie.
Un admirateur de Nathalie lui a permis de retrouver ce cliché pris au Forum de Montréal, en compagnie de la star américaine, à l’époque où elle était âgée de 14 ans.
«Wow! J’en reviens pas!! Merci merci à Josef Wheeler, un fan fidèle depuis tellement d’années qui a réussi à trouver la fameuse photo de Lionel Richie et moi, au Forum de Montréal, le 22 septembre 1983!!», écrivait-elle, très enthousiaste de cette trouvaille.
Un moment certainement mémorable pour Nathalie, comme on peut en déduire grâce à son sourire sur la photo!
Évidemment, celui qui connaît une histoire d’amour digne d’un conte de fées avec Chéli Sauvé-Castonguay a été questionné sur celle-ci.
C’est alors qu’il racontait à quel point elle lui était tombée dans l’œil à l’époque de Musique Plus, et qu’il faisait l’éloge de sa personne, que Patrick a raconté une anecdote qu’il n’avait jamais racontée auparavant.
C’est en expliquant qu’il avait toujours fait très attention avec Chéli vu leur différence d’âge, qui se remarquait davantage à l’époque où ils travaillaient ensemble, que l’anecdote est revenue dans la mémoire de Patrick.
«Il y a une fois… c’est la première fois que je raconte ça (rires)», lance-t-il.
«Il y avait un BBQ sur la terrasse en haut et j’étais très chaudaille (…) Chéli était là et j’étais très, très… j’étais très sur le party, très heureux, et je me suis dit: Je vais aller lui parler! (…)», raconte Groulx, en expliquant qu’à ce moment, il se disait de faire attention parce qu’il avait bu et qu’il était possible qu’il bafouille et qu’il ait l’air niaiseux.
«(…) On était proche du BBQ (…) on parlait de tout et de rien et j’essayais d’avoir l’air un peu normal et j’ai dit: As-tu… as-tu un chum? Et elle m’avait dit: Ouais, ouais, j’ai un chum (…) et j’avais fait: Ah ok… (…)», se remémore-t-il, en ajoutant qu’à ce moment précis, il avait pas mal su ce qu’il avait à savoir.
Il affirme qu’après avoir obtenu cette réponse, il s’était effacé!
En parlant avec sa désormais amoureuse, elle lui a affirmé ne pas se souvenir de lui avoir répondu ça, puisqu’elle avait le béguin pour lui!
«Un crush immense», comme elle l’a elle-même dit.
Patrick pense qu’ils ne se le sont pas avoué à cette époque parce que c’est aujourd’hui qu’il fallait que la relation fonctionne.
«(…) Parce qu’il fallait qu’on se rencontre là, là. Parce que là, ça marche et là c’est le fun et là on a vécu plein d’affaires qu’on avait à vivre et moi j’ai maturé (…)», lance-t-il, ayant des cœurs dans les yeux et visiblement énormément en amour avec sa douce.
Adorable!
Longue vie et bonheur aux amoureux.
Pour découvrir ou redécouvrir l’histoire d’amour détaillée des deux tourtereaux, c’est juste ici.
Celle qui affirme ne pas en avoir parlé avant puisqu’elle désirait choisir un endroit où elle se sentirait écoutée a décidé de se confier à Marie-Ève Janvier et aux auditeurs des ondes de Rythme 105.7.
«(…) Ça faisait sept ans que j’étais avec Alexandre, il était allé faire l’émission Sortez-moi d’ici! et en revenant de Sortez-moi d’ici!, on a été voir la comédie musicale Annie (…)», raconte la star, en expliquant qu’elle avait désiré conclure cette belle soirée autour d’un verre, mais que sa proposition avait été refusée par son compagnon de l’époque qui était trop fatigué.
«(…) on rentre à la maison, je vais aux toilettes et en descendant les marches, lui, il les montait et à ce moment-là, on s’est croisé comme deux fantômes, on ne s’est pas regardé, on ne s’est pas touché, il s’est comme mis sur le côté pour me laisser passer (…)», explique-t-elle, se rejouant visiblement la scène dans sa tête.
Elle affirme d’ailleurs que c’est à ce moment qu’elle s’est dit:
«Là c’est terminé!»
Mariana ajoute qu’elle avait déjà vécu plusieurs autres moments où elle avait senti la fin de leur relation approcher.
«(…) Quand j’ai été voir ma psy et ma psy m’a dit: Va le laisser!, je suis arrivé devant lui, je suis partie à pleurer (…)», raconte-t-elle, en expliquant qu’à chaque fois qu’elle se décidait à le laisser, elle se convainquait que c’était seulement ses émotions et ses impulsions qui parlaient et que c’était sa faute à elle s’ils avaient des difficultés.
Elle explique que le lendemain matin, ils se sont dirigés à l’extérieur, qu’elle lui a servi son café, qu’elle s’est assise et qu’elle lui a dit:
«Alex, il faut que je te parle» et qu’il l’ait regardé en lui disant: «On se laisse»… et qu’elle a acquiescé.
«(…) J’ai dit: Tu vas prendre tes affaires et tu dois quitter maintenant. Parce que si tu restes ici, je vais me rappeler tous les beaux moments qu’on a et je vais choker, go!», se rappelle-t-elle.
Mariana tient tout de même à souligner qu’il s’agit de la plus belle chose qu’il leur soit arrivé puisque maintenant, ils ont une super relation.
Elle donne aussi le conseil à tous ceux qui entendront son histoire et qui ont le même sentiment qu’elle, de s’écouter!
«Vous êtes, vous-même, maître de votre destinée. Si, à tous les matins, vous vous levez avec un point dans le ventre en faisant: Je ne suis plus heureuse, je ne suis plus heureux!, vous devez, à un moment où ça va bien, aller voir votre conjoint/conjointe et dire: Je t’aime jusqu’à la fin des temps, mais je ne peux plus être en couple avec toi (…)», conclut-elle, spécifiant tout de même que toutes les situations sont différentes.
Un nouveau projet cinématographique dans lequel il partage l’écran avec la comédienne Marianne Fortier. Selon la bande-annonce, leur chimie à l’écran semble très présente, ajoutant une profondeur à leurs performances.
Il a d’ailleurs dévoilé à l’animatrice du rendez-vous matinal qu’il a eu un coup de coup de foudre, professionnel, pour celle-ci!
Pier-Luc a commencé en mentionnant que les deux avaient débuté leur carrière à un jeune âge et qu’ils avaient toujours grandi dans le même milieu, en se connaissant sans réellement avoir travaillé ensemble. Cette grande première s’est donc passée à merveille.
«Je la connais, comme, depuis que j’ai douze ans. Là, on a 30, les deux. Puis là, c’était la première fois qu’on travaillait ensemble les deux (…) On se connaissait déjà, on savait que l’autre existait (…) Puis moi, j’adore le travail de Marianne. Ça fait que quand on a commencé à travailler ensemble… puis pour vrai, ça a vraiment été une espèce de coup de foudre professionnel», ajoutant que même s’ils paraissent différents, ils ont découvert qu’ils ont plein de points de similitude.
Qu’ils apprennent à se connaître sur le plateau a également créé de la magie lors des tournages, comme le mentionne Funk.
Un moment fort intéressant en compagnie du comédien!
Pour voir Pier-Luc et Marianne à l’écran dans cette comédie romantique, avec un côté mystérieux mettant en scène des extra-terrestres, rien de moins, rendez-vous dans une salle de cinéma près de chez vous dès le 18 octobre!
Une histoire d’amour qui a fait l’objet de plusieurs discussions dans les médias, dans les chaumières québécoises, mais aussi à la télévision.
C’est lors du dernier épisode de Je viens vers toi que l’animateur Marc Labrèche a invité Ricardo Larrivée pour le segment Champagne! Showbizz!, un moment du talk-show qui consiste à lire sous souffleur des nouvelles de vedettes, de façon humoristique.
«Le 4 octobre dernier est sorti en salle le nouveau film québécois mettant en vedette Gildor Roy: La petite et le vieux!», débutait Marc.
«Et si vous ne voulez pas vous rendre au cinéma, vous pouvez voir la petite et le vieux sur l’Instagram de Sébastien Delorme!», enchaîne Ricardo.
Une lecture qui a déclenché un immense fou rire sur le plateau de l’émission!
Après qu’ils aient été récemment choisis pour passer en quarts de finale, ils nous ont offert une performance grandiose, dans le cadre de cette étape bien attendue.
En effet, c’est lors du dernier épisode que sept prestations d’artistes ont eu lieu, toutes aussi merveilleuses les unes que les autres.
Harmonix nous a d’ailleurs offert un moment unique et magique, en chanson, une fois de plus avec cette fois le morceau A Million Dreams!
Lors de ce quart de finale, seulement trois des prestations offertes allaient passer en demi-finale et les juges ont choisi, parmi ces grands chanceux, Harmonix. Un bonheur pour le groupe en symbiose. Kevin a d’ailleurs tenu à témoigner de toute sa reconnaissance.
«On n’y croyait plus. On a écouté tout le show avec vous autres, on n’aurait pas su qui choisir nous-même, il y a tellement de talents sur cette scène (…) Donc, ça vaut tellement cher en ce moment, merci beaucoup!», souligne le chanteur très heureux de ce dénouement.
De la beauté dans leurs numéros depuis les débuts, de l’harmonie constante dans leurs performances et une chimie incontestable entre eux!
Dans la vidéo, on entend celle-ci expliquer à Lysandre qu’elle vit avec la douance, un terme utilisé pour qualifier le fonctionnement d’individus qui présentent des capacités exceptionnelles dans certains domaines donnés.
«Donc du coup, on se voit aujourd’hui pour discuter des résultats de l’évaluation qu’on a faite ensemble (…) Tu présentes ce qu’on appelle un haut potentiel intellectuel, donc tu rentres dans les critères de ce qu’on appelle la douance (…)», entend-on dire la professionnelle, qui poursuit en expliquant à Lysandre qu’encore aujourd’hui la douance n’est pas très bien définie.
«Ça peut être accompagné de certaines particularités plus au niveau psychologique, c’est aussi des personnes qui ont souvent un cerveau qui a besoin d’être nourri (…) des personnes qui souvent ont des attentes très très élevées envers eux-mêmes (…)», continue-t-elle, en demandant à Lysandre s’il s’agit de quelque chose qui lui parle, entraînant une réponse positive de la créatrice de contenu.
Elle explique aussi que la douance peut donner un décalage au niveau social et peut donner l’impression aux personnes qui vivent avec celle-ci d’être différents et de ne pas fonctionner comme les autres.
La médecin poursuit en affirmant que les profils de douance intellectuelle sont souvent à risque d’épuisement professionnel et qu’il s’agit d’une caractéristique héréditaire, donc que le fils de Lysandre pourrait bien l’avoir.
Après avoir donné les résultats des tests cognitifs à Lysandre, celle-ci a exprimé comment elle se sentait de maintenant savoir qu’elle a un HPI.
«(…) Je sais que tous les humains sont différents, je suis consciente que je ne suis pas comme différente à ce niveau-là, mais je sentais qu’il y avait comme un rythme de vie général que je n’étais pas capable d’être au même rythme un peu et là, je réalise que c’est peut-être juste la manière que mon cerveau fonctionne qui est atypique (…)», lance Lysandre, qui dit se sentir maintenant vue et validée alors qu’elle se posait des questions sur sa différence depuis très longtemps.
Elle affirme d’ailleurs que ça lui apporte une fierté et de la valorisation de savoir qu’elle n’est pas «conne» et qu’elle est capable de prendre des décisions par elle-même.
«(…) C’est spécial comme diagnostic parce que tu en parles et tu as un peu l’air de te vanter (…)», ajoute-t-elle.
La spécialiste a donc affirmé que l’image que les autres se font de la douance est souvent perçue comme étant valorisante, alors que ça vient aussi avec des défis et des complications.
À la fin de la séance, Lysandre démontre vivre une émotion et ferme la caméra.
Suite à la publication de cette vidéo et à la publication de quelques stories sur le même sujet, un humoriste a partagé une vidéo dans laquelle il parodie visiblement Lysandre.
«Je reçois mon diagnostic en direct», peut-on lire en marge de sa vidéo qui se veut être humoristique.
«(…) maintenant que l’argent est dans mon compte chèque, je peux vous le confirmer, monsieur Forget, ce n’est pas facile à entendre, vous avez un haut potentiel intellectuel, ce qu’on pourrait aussi appeler de la douance (…)», entend-on dans la vidéo.
À un moment, l’animatrice du podcast, Marylène Gendron s’est ouverte sur le fait qu’elle est attirée seulement vers des hommes étant beaucoup plus vieux qu’elle, des confidences qui ont poussé Julie à s’ouvrir sur le sujet.
«(…) Ces hommes-là qui sont avec des filles plus jeunes (…) Moi, ça me challenge vraiment beaucoup, que tous les gars de mon âge sont avec des filles beaucoup plus jeunes, donc après ça, c’est vraiment plus difficile pour moi de rencontrer des gars. Les gars ne veulent pas être avec moi, fin», lance-t-elle.
Elle explique ensuite que, selon elle, tous les hommes qui ont eu des enfants, qui se sont séparés, ne veulent plus être avec leurs pairs et désirent être avec des filles qui leur porteront un regard ascendant.
«(…) Parce qu’ils ont été comme abîmés dans leur masculinité d’une certaine façon, dans une relation (…) ce regard ascendant là (…)», réfléchit-elle, en expliquant qu’elle se demande donc s’il est encore possible d’être dans une relation égalitaire.
«(…) Ça semble très, très difficile (…) après ça, je pensais beaucoup aux gars et j’étais comme: Mais, il y a des filles, ce sont ces filles-là, elles tripent sur ces gars-là aussi, c’est filles-là de 28 ans sont avec des gars de 50 ans», continue Julie, en interpellant grandement Marylène qui dit vivre ce genre de relation depuis très longtemps.
L’animatrice explique donc qu’elle recherche un écart d’âge dans une relation puisqu’elle a le besoin de ressentir un sentiment d’admiration envers son partenaire, chose qu’elle ne ressent pas auprès des hommes de son âge.
Un peu plus tard, Julie s’est ouverte sur le moment où elle a pris conscience de ce phénomène.
«(…) Avant la pandémie j’étais en couple (…) il y a eu la pandémie et je me suis encabanée, j’étais en burn-out, j’étais en peine d’amour (…) J’ai comme l’impression qu’avant la pandémie j’étais comme début quarantaine et je pouvais encore être un objet de désir (…) Je suis sortie de la pandémie et c’était terminé! (…) C’était comme, soudainement, tu es passée de l’autre bord (…)», affirme-t-elle.
Elle explique que plusieurs parlent de ce phénomène en l’appelant l’invisibilité des femmes et qu’avant que ça lui arrive, elle n’y croyait pas vraiment.
L’animateur lui a donc demandé comment elle s’en était aperçue.
«(…) C’est clair, ce n’est plus… c’est bien niaiseux, ce n’est pas que je veux me promener dans la rue et me faire reluquer (…) mais, il n’y a plus cette affaire-là, il l’a, mais beaucoup moins, cette espèce de regard porté sur soi ou de… une espèce d’attention particulière ou un… juste de sentir la possibilité de la séduction c’est comme si pouf c’était disparu, comme une bulle qui avait éclatée et ç’a été vraiment challengeant (…)», explique-t-elle, en affirmant qu’elle ne pense pas avoir énormément changé et que ça a été un gros choc de constater que les hommes ne la voyaient plus de la même façon.
Julie affirme n’avoir jamais vraiment misé sur son apparence et croit que ça doit être extrêmement difficile pour les femmes qui ont toujours été valorisées par leur beauté de vivre ce phénomène.
«(…) Tu peux comprendre qu’elles deviennent dingos et qu’elles se mettent à intervenir de façon très radicale, parce que c’est quand même violent (…)», continue l’actrice, qui avoue que l’idée d’avoir des chirurgies lui est déjà passée par la tête, en plus à cause de son métier, elle se voit souvent dans des éclairages et des angles peu flatteurs.
Elle avoue d’ailleurs avoir récemment visionné un film dans lequel elle joue et avoir eu de la difficulté à se regarder.
«J’ai eu du Botox dans le front, la fameuse… parce que sinon j’avais tout le temps, tu sais, je suis super expressive, donc j’étais comme: J’ai tout le temps l’air d’être fâchée! Donc cette affaire-là, je l’ai calmée, je le calme parfois, si j’ai un tournage et tout (…)», avoue-t-elle en expliquant cependant qu’après, il est facile de tomber dans un cercle vicieux et d’exagérer, mais que pour sa part, elle s’est mis une limite mentale.
Elle raconte qu’elle a commencé les injections de Botox à 45 ans, en se disant qu’elle allait le faire le plus tard possible et que le jour où elle franchirait le cap, elle devrait être capable de l’assumer et de le dire.
Un entretien très intéressant et franc entre les animateurs et Julie qui a fait preuve d’une grande ouverture et de beaucoup d’honnêteté.
Un épisode qui fera certainement beaucoup de bien à plusieurs femmes dans sa situation.