C’est pendant son passage à Sucré Salé cette semaine que Guy Jodoin a révélé avec qui il aurait vu Mélanie Maynard en couple, lors d’un segment vérité!
«Dans le milieu, tu me verrais en couple avec qui? Et je te verrais en couple avec qui?», lui demandait l’animatrice.
C’est ainsi que Guy a mentionné un nom bien-aimé du public, que Mélanie a côtoyé de près dans le cadre de sa carrière, plus particulièrementDans Une galaxie près de chez vous.
«Claude Legault!», s’écrit Mélanie en voyant le nom sur le tableau de son invité.
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«Dans une galaxie près de chez vous, j’y croyais… quand vous vous embrassiez et tout», ajoute Guy Jodoin.
«Il aurait été bien trop dur à contrôler. Moi, je suis contrôlante un peu», confie sans gêne Maynard.
C’est par la suite que Mélanie a dévoilé, à son tour, que Guy aurait fait un beau couple… avec Maude Guérin!
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«Maude, je l’adore (…) elle est drôle et elle est vraie», termine Jodoin, visiblement en accord avec le choix de l’animatrice.
C’est en réponse à une question de l’animateur Jean-Philippe Wauthier qu’il a abordé le tout.
«Toi, tu as l’air en forme ou tu n’as pas l’air en forme? Tout le monde te le dis, hein?»
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«Ben oui quand même (…) J’ai perdu du poids. Regarde, on ne fera pas comme si ce n’était pas là. Mais, il y a des gens des fois qui te disent: Tu as l’air malade», répond en premier lieu Fabien.
«Et puis?», veut finalement savoir Wauthier.
«Bien je ne le suis pas! Je te casse la rumeur ce soir, je ne suis pas malade. Tout va très bien», termine Cloutier.
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Les choses sont désormais clarifiées pour ceux qui s’inquiétaient pour sa santé!
Guy Jodoin était l’invité deMélanie Maynard à l’émission Sucré Salé. Ce fut un moment particulièrement intéressant, d’autant plus qu’il a lui-même occupé le poste d’animateur de ce talk-show par le passé!
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Lors de son passage, il a évoqué plusieurs sujets, dont le fait qu’il avait envisagé de quitter Le Tricheuraprès 13 années à la barre du quiz télé, en se disant qu’il avait fait le tour.
«Rendu à 13 ans… j’ai même dit à mon agente: Je pense que c’est terminé. Je pense que j’ai fait le tour, là! (…)», mentionne-t-il.
Finalement, après réflexion, il a décidé de revenir pour une 14e saison!
«Un moment donné, tu te dis: Bon, est-ce que je continue, qu’est-ce que je fais? Puis, là, on s’est dit: On sait ce qu’on va faire, on va se concentrer sur des idées pour une 14e saison», ajoute-t-il.
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La base restera la même, comme l’explique Guy, mais nous aurons le privilège de découvrir quelques nouveautés pour cette nouvelle saison.
Lors de son passage sur le plateau, le comédien s’est également confié sur sa pause à l’écran, lui qui depuis la fin de son rôle dans District 31 avait choisi de prendre une pause qui aura finalement duré presque deux ans.
Durant cette pause, il n’est cependant pas resté inactif. Il s’est préparé intensivement pour son nouveau rôle de soldat, que nous découvrirons très bientôt. Ce luxe lui a été accordé notamment par Fabienne Larouche, qui lui a offert cette opportunité dans une série qui était en cours d’écriture à l’époque.
«Je vais me préparer, je vais me retirer (…) Je vais dire quelque chose de bizarre, mais j’étais tanné de me voir. Je trouvais qu’on me voyait trop (…) J’avais comme besoin de me sortir un peu, de me retirer un peu et de revenir après ça. De se laisser désirer un peu, de se laisser oublier un peu», dévoile avec sagesse le comédien.
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Cette pause est désormais terminée, à notre plus grand bonheur, car Vincent-Guillaume sera de retour dans cette série très prometteuse!
«Quand j’étais plus jeune, j’étais très obsessive; si mon chum allait quelque part, je capotais.»
Lors de son passage au balado Tout le monde s’haït, la chanteuse Alicia Moffet a révélé comment ses anciennes relations amoureuses ont affecté sa relation actuelle avec son copain, Frédérick Robichaud.
C’est lorsque les deux animateurs ont demandé à Alicia de partager un de ses complexes qu’elle a mentionné qu’elle se sentait très insécure en relation.
Elle a abordé le fait de ne pas se sentir assez bien, ainsi que la peur d’être trompée:
«Plus je vieillis, je suis complètement consciente. Quand j’étais plus jeune, j’étais très obsessive, si mon chum allait quelque part, je capotais. Des fois, j’ai eu des bons gut feelings parce que la réalité c’est que des fois, tu n’es pas folle. C’est juste que c’est tellement tannant de vivre avec ça aujourd’hui […]. Je suis full consciente que ce n’est pas tous les gars qui sont pareils et que mon chum n’est pas pareil, il n’est pas comme mes ex, comme les gars que j’ai daté, puis pas parce qu’un tel a fait ça que l’autre va le faire.»
« […] Mettons que si tu te mets la main sur le feu pis ta main brûle, tu ne la remettras pas sur le feu. Mais, si je me suis fait tromper une fois, que j’avais raison, puis que je me suis fait dire que je ne me faisais pas tromper, mais finalement je me suis fait tromper, comment tu veux que je pense que quand il va aller sortir avec ses boys, je ne me ferai pas tromper? Je le sais, puis c’est un complexe.»
Fred a ajouté en riant qu’il revenait d’un voyage en Gaspésie, et Alicia a renchéri en disant qu’elle n’avait pas dormi pendant cinq jours:
«Je me sens cinglée, et justement, c’est tellement tannant parce que j’haïs vivre avec ce sentiment-là, et je m’haïs de ne pas être capable de le comprendre. Mais, après, c’est comme si mon cerveau avait compris que si mon chum va quelque part sans moi, je vais me faire tromper, et je vais le savoir plus tard […]. Plus je vieillis, plus je me programme à ne pas texter mon chum 1000 fois, à ne pas l’appeler 1000 fois. Quand il est allé en Gaspésie cette fois-ci, je n’ai pas dormi pendant cinq jours, mais je n’ai pas envoyé des paragraphes, je n’ai pas appelé […].»
Alicia a conclu en disant que ce qui lui fait le plus peur, c’est que tout le monde saurait qu’elle se fait tromper, sauf elle.
La chanteuse pourra définitivement bien dormir les trois prochains mois… puisque le couple est présentement au Mexique afin d’animer l’édition 2024 d’Occupation Double!
Ève-Marie Lortie, qui a fait ses débuts comme animatrice de Salut Bonjour en semaine, a connu un excellent départ. Elle a également surpris le grand public en révélant le métier qu’elle rêvait d’exercer plus jeune si elle n’avait pas choisi sa carrière actuelle.
C’est ainsi que nous avons découvert ce qu’elle aurait voulu faire d’autre dans la vie…
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«Quand tu étais petite, quel métier tu voulais faire?», lui demande la petite Léonore.
« (…) Enfant moi, je voulais être prof. Puis, j’avais une classe imaginaire (…) J’avais à peu près six élèves devant moi. J’avais installé des chaises, j’avais un tableau, je mettais des lunettes (…) J’étais sévère, là!», dévoile Ève-Marie!
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Un rêve qu’elle prenait à cœur, puisqu’elle expliquait en plus qu’elle allait jusqu’à remplir six copies d’examen et corrigeait les erreurs de ses (faux) étudiants en difficulté.
Avec son énergie débordante et son dynamisme évident, on imagine qu’elle aurait sans aucun doute fait une excellente enseignante, mais peut-être aurait-elle réellement été sévère…
Au final, elle n’est pas si éloignée de son souhait d’enfance, puisqu’elle est désormais celle qui mènera la cohorte de l’équipe matinale de Salut Bonjour en semaine de 2024-2025, après avoir occupé ce rôle pendant de nombreuses années les fins de semaine!
Les publicités du nouveau bébé de Luc Dionne ont roulé à plein régime entre les épreuves sportives. Preuve que la société d’État espère gros de cette nouvelle série hebdomadaire, judicieusement logée dans la prestigieuse case horaire du lundi à 20 h, traditionnellement réservée aux gros canons à cotes d’écoute. Et ce, deux ans après le bouillant succès d’une certaine quotidienne appelée District 31 (laquelle, doit-on le rappeler, prenait fin au printemps 2022).
Début: 9 septembre. Encerclez la date!
Fin juillet, nous sommes allés zieuter le plateau de Dumas, chauffé par le réalisateur Stéphan Beaudoin (Alerte Amber, Classé secret, L’heure bleue) sous la houlette des producteurs Fabienne Larouche et Michel Trudeau, d’Aetios. L’équipe tournait alors des scènes dans un immeuble à bureaux de Brossard, près du pont Samuel-De Champlain.
Une partie importante de la distribution de la fiction à suspense, campée dans une firme de sécurité privée baptisée Intelco, était présente : outre le «Robert De Niro» de Luc Dionne, c’est-à-dire son acteur fétiche, Gildor Roy, des visages de renom comme Isabel Richer,Jason Roy-Léveillée, Vincent Leclerc, Marie-Lyne Joncas, Jade Charbonneau, Lili Francke-Robitaille, Catherine-Anne Toupin et Madeleine Péloquin, enregistraient des scènes ce jour-là.
Une partie de la distribution de la série Dumas sur le plateau de tournage, à Brossard / Crédit : Serge Cloutier
«À côté de la police»
Luc Dionne n’a pas la prétention de réinventer le genre policier avec Dumas. Même que son nouveau petit monde se situe plutôt «à côté de la police», image André Béraud, Premier directeur, émissions dramatiques et longs métrages de Radio-Canada. Même s’il y a du flic autour!
«On dépeint tout ce que la police ne peut pas faire. En tant qu’individu, si on a des enjeux, on peut aller chercher un détective privé pour aller plus loin et avoir des réponses. On explore l’humain autrement, et on retrouve notre Luc (Dionne) qui se réinvente», explique Monsieur Béraud, vantant du même souffle la multiplicité des talents de son collaborateur.
«Luc a fait du cinéma, de la quotidienne. Je pense que ce gars-là peut tout faire. Moi, j’attends son roman!»
Ainsi, le bourru Jean Dumas (Gildor Roy) a démarré son entreprise, Intelco, il y a une trentaine d’années. Son équipe dénoue toutes sortes d’affaires: infidélités conjugales, prestataires de la CSST travaillant «au noir», vol de propriété intellectuelle, espionnage industriel, détournement de fonds, blanchiment d’argent…
Contrairement aux policiers, les enquêteurs de Dumas ne portent pas d’accusations et reçoivent rémunération.
«C’est de l’investigation privée», renchérit la productrice Fabienne Larouche.
«Ça peut aller du plus petit, jusqu’au plus grand. C’est, par exemple, ta fille de 15 ans qui tombe en amour avec un gars de 25 ans à qui tu ne fais pas trop confiance. Alors, qu’est-ce que tu fais? Tu ne vas pas à la police. Tu engages Intelco, et tu paies pour! Ça peut aussi aller jusqu’à deux états qui sont en guerre et qui ont besoin de quelqu’un pour négocier dans un tiers pays. Intelco est là où n’est pas la police. Quand la police arrive, eux se retirent!»
La productrice Fabienne Larouche, l’auteur Luc Dionne et le réalisateur Stéphan Beaudoin sur le plateau de Dumas / Crédit : Serge Cloutier
Chez Intelco, Dumas bosse avec son fils adulte (Jason Roy-Léveillée). Les relations sont tendues, et l’héritier menace de faire le saut chez le concurrent. Les rapports ne sont pas de tout repos non plus avec son ex-femme (Isabel Richer), avec qui il est en procédure de divorce et qui détient 40% des parts de l’entreprise. Dumas a aussi deux filles (Jade Charbonneau et Lili Francke-Robitaille), dont l’aînée retontira en surprise après deux ans d’absence. Et on fraternisera avec l’entourage professionnel de l’homme… et peut-être ses ennemis, qui sait.
Un «bougonneux»
Si tous anticipent déjà un nouveau triomphe avec Dumas, Luc Dionne, lui, ne s’inflige aucune pression. En tout cas, pas devant les journalistes.
«Rendu à mon âge, on n’a plus d’attentes. On veut juste avoir la paix! J’aime ce que je vois, c’est le fun, ça marche bien. Les comédiens sont bons. Mon bonbon à moi, c’est de les voir jouer.»
Des dossiers scrutés par les troupes d’Intelco, certains se boucleront en un épisode de Dumas; d’autres pourraient étirer leur mystère sur plusieurs semaines. On connaît notre bien-aimé Luc Dionne! Or, la force de la série, aux dires de ce dernier, ne résidera pas tant dans l’action en cours que dans les personnages qui lui prêteront vie.
«L’univers dans lequel personnages évoluent, on s’en fout. Que Séraphin Poudrier soit maire de Sainte-Adèle, on s’en fout. Personne ne se souvient de ce qu’il a fait, mais tout le monde se souvient de Séraphin.»
«Gildor est toujours le même comédien», poursuit Luc Dionne.
«Mais on est loin du commandant Chiasson, ici, je peux te le dire! (grand sourire) Il a l’air bête et il n’est pas fin… et pas à peu près! Il n’est pas très gentil, pas très aimable. On va l’aimer pareil, mais c’est un vieux bougonneux. Il me ressemble encore plus qu’avant, parce que j’ai mon petit côté bougonneux…»
Marie-Lyne Joncas incarne un rôle dans la nouvelle série Dumas / Crédit : Serge Cloutier
En terminant, la question la plus importante: est-ce que ça sera bon, Dumas?
Disons que Fabienne Larouche ne se farcit pas trop d’insomnie à cet égard.
«Luc est un auteur tellement brillant et talentueux! Je suis sa script-éditrice, je suis la première à le lire, et c’est un grand bonheur. Il y a des auteurs, comme lui, avec qui il y a moins d’ouvrage à faire…!»
Dans un sourire fier, André Béraud, Premier directeur, émissions dramatiques et longs métrages de Radio-Canada, nous balance pour sa part l’une de ses phrases chouchous en guise de réponse.
«On n’est pas à l’abri d’un succès! On ne peut jamais prévoir si ça va être bon ou pas. Mais, d’après ce que j’ai vu… On n’est vraiment pas à l’abri d’un succès!»
Un changement dans sa vie qui a été majeur… et malgré le fait que plusieurs personnes l’avaient averti du fait que sa vie changerait du tout au tout, il n’était pas prêt à cela.
«On se fait dire tout le temps: Tu vas voir, ça change une vie, tu vas voir c’est quoi aimer pour vrai… Je ne suis pas imbécile je pense que j’ai compris! (…) Mais, tu ne comprends pas tant que tu ne le vis pas. Je le mangerais (…) Tu me dis là: Il faut que je meure dans les prochaines 10 secondes pour lui… Go!», témoigne avec amour Baron.
Cela lui a certainement permis de découvrir une facette plus douce et vulnérable de sa personnalité et de devenir un homme de plus en plus émotif, comme on a pu le constater sur le plateau.
Un apport avec le public et les gens, qui par le passé l’a affecté, puisqu’il ne vivait pas bien avec le fait que quelqu’un ne puisse pas l’aimer.
C’est après plusieurs années de carrière en tant qu’humoriste qu’il a finalement décidé de mettre les commentaires de côté et de laisser l’opinion de monsieur et madame Tout-le-monde derrière lui.
«Je suis beaucoup plus heureux dans mon métier. Parce que je me laisse beaucoup moins atteindre. J’ai atteint un niveau de lâcher-prise, que je ne pensais pas que j’atteindrais un jour (…) Quand tu es jeune, tu veux te prouver. Asteure, je me dis: Je veux juste faire mon métier le plus longtemps possible. Je ne veux plus rien prouver, je veux juste être là encore, dans 10 ans», se confie Laurent.
Capture Télé-Québec
Plus tard, sur le talk-show, il a ajouté que ceux qui ne l’apprécient pas ne sont plus un problème pour lui.
«Depuis que je me sacre de déplaire aux gens, j’ai l’impression que ça va mieux (…) Ceux qui m’aiment… m’aiment plus. Puis, ceux qui ne m’aiment pas, je m’en sacre. Je n’ai pas d’énergie à dépenser avec ceux qui ne m’aiment pas. Ils ne viennent pas me voir en show… je ne leur dois rien (…) Moi, je dois quelque chose aux gens qui m’aiment et qui viennent me voir», ajoute-t-il avec franchise.
C’est sur Instagram que la fière maman a publié le cliché d’un adorable souvenir où l’on peut voir la petite Rosalie, encore toute jeune, et sa maman, au bord d’un lac.
«Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de cette jolie petite princesse des sables. Une personnalité hors du commun qui ne cessera jamais de m’épater. Étrange que le temps qui passe n’altère jamais la pureté et la fierté de l’amour inconditionnel. Comme si ce sentiment était un plant dont les racines ne cessent jamais de s’étendre et de s’implanter toujours plus profondément dans le cœur. Bonne fête mon petit Rôti. – Je t’aime», écrivait la maman avec émotion, en description de la photo.
En plus de ce message touchant, Mélanie Maynard a aussi partagé une story qui laisse entrevoir l’incroyable personnalité de sa fille, à la fois passionnée d’animaux empaillés (c’est une amatrice d’objets éclectiques) et de bricolage en tout genre.
«Bonne fête à cette merveille qui sait s’extasier aussi passionnément devant un dindon empaillé que devant sa toute première drill!», ajoutait la maman sur une photo où l’on voit Rosalie tenir la boîte d’une perceuse à bout de bras.
