Nathalie Simard était présente sur le plateau de Ça finit bien la semaine, aux côtés de Gino Chouinard, qui lui, y était pour parler de son livre 3800 matins. C’est au cours de cette émission que l’ancien animateur de Salut Bonjour a fait une révélation des plus surprenantes.
«Vous saviez qu’on a déjà failli sortir ensemble?», témoigne tout à coup Chouinard entre deux discussions.
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Une confidence à laquelle Nathalie a acquiescé, en ajoutant avec humour que c’était une chance pour Gino que cela ne se soit pas concrétisé.
«Mais, une chance pour toi, parce que ma vie a été l’enfer. Aujourd’hui, ça serait mieux, tu sais», répond l’animatrice de Ma mère, ton père.
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C’est ensuite que les animateurs Julie Bélanger et Jean-Michel Anctil ont voulu en savoir plus, tout en se demandant si les deux faisaient une blague.
«Non, non, c’est vrai, je n’ai juste pas choisi le bon… épaisse», témoigne la chanteuse qui est célibataire depuis peu et qui a vécu quelques ruptures au cours de sa vie.
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«C’est à l’époque de Double Défi, en 1989, je commence à la télé. Nathalie est déjà une star, puis il y a un gars de mon équipe qui tourne autour d’elle. Moi, mon père aurait été fier, je veux dire (…) Mais, moi, j’étais un peu plus discret dans mes approches…», raconte Gino.
«Trop…», spécifie Nathalie.
«L’autre candidat était plus démonstratif, alors ça a été…», continue-t-il.
«Non, non, ça n’a pas…», rectifie la chanteuse avec humour.
Ainsi, quand ils se croisent, les deux se rappellent qu’ils auraient pu être ensemble!
Gino est aujourd’hui en amour depuis de nombreuses années avec Isabelle, avec qui il a deux enfants.
Nathalie, quant à elle, se trouve bien célibataire pour le moment, comme elle le dévoilait lors de ce même épisode de Ça finit bien la semaine.
Dans la garde rapprochée de l’humoriste, on retrouve également (au moins) un autre comique, Simon Delisle. Et Mariana et Simon sont très liés; non seulement ils font équipe professionnellement depuis une quinzaine d’années (Delisle a été scripteur sur les deux premiers one woman show de Mariana, et cosignera son troisième, qui se mettra très bientôt en branle), mais ils se côtoient aussi de près dans leur vie privée.
Tellement que Mariana a été nommée marraine de la fille de Simon.
«Clémence a 7 ans et Victor a 9 ans», a glissé Mariana au sujet de la progéniture de son vieux complice, lorsqu’on l’a croisée, justement, à la première médiatique du nouveau spectacle de ce dernier, intitulé Tache.
Simon Delisle, grand ami de Mariana Mazza / Crédit : Serge Cloutier
«On est très proches, je suis une grande fan et je l’aime. C’est un très bon ami. Il a toujours été là pour moi quand je faisais En route vers mon premier gala [en 2013, NDLR]. Il est pris avec moi!», a continué la jeune femme en guise d’éloges envers Simon Delilsle.
Mariana Mazza, qui était saluée et sollicitée de toutes parts sur le tapis rouge de Tache, a encore mille projets à son agenda. Outre le nouveau spectacle qu’elle s’apprête à lancer, elle entame la promotion de son nouveau roman, Rivière-des-Prairies, joue dans la deuxième saison de L’aréna, à Noovo (date de diffusion à confirmer) et sera l’une des têtes d’affiche d’ICI ARTV en janvier, avec le magazine littéraire Livre ouvert, qui comportera huit rendez-vous d’une demi-heure. Une deuxième saison est déjà en chantier.
«Il y aura autant des intervenants en littérature, que des artistes dont je vais visiter la bibliothèque et parler avec eux de leurs livres préférés. Je vais faire une recommandation express de livre à la fin de chaque épisode», a détaillé l’animatrice, précisant que Livre ouvert s’intéressera à tous les aspects des bouquins, de leur production à leur promotion. Mariana Mazza se rendra aussi dans une prison pour s’intéresser aux lectures des détenus, se renseignera sur le caractère «somnolent» des livres, questionnera l’attraction des enfants vers les pages couvertures, fouillera les montants de droits d’auteurs, etc.
«C’est vraiment l’univers du livre!», a résumé la grande lectrice assumée, qui, depuis quelques étés, présente justement des chroniques littéraires au talk-show Bonsoir Bonsoir, à ICI TÉLÉ.
Jonathan Roberge photographié au lancement de la série documentaire Steak, blé d'Inde, patates, dont il est l'animateur sur la chaîne Historia.
«À Xavier et Jules. Nous ne dirigerons jamais le vent, mais alignerons toujours nos voiles.»
C’est ainsi que se lit la dédicace aux premières pages de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour, nouveau livre de Jonathan Roberge, qui contient le texte du spectacle Bisou, que l’humoriste et animateur devait originalement lancer en 2020. La maladie de son fils aîné et la pandémie auront eu raison de cette tournée qui a sans cesse été annulée, puis reportée, pendant plus de deux ans.
L’artiste avait donné une quarantaine de représentations de rodage, mais n’a jamais pu atteindre le grand soir de la première médiatique. Son garçon Xavier, alors âgé de 10 ans, a reçu son diagnostic de cancer du cerveau, puis la COVID-19 a forcé la fermeture des salles de spectacle.
«Quand on a voulu repartir, Xa est retombé malade. On a réannulé. Déplacé toutes les dates. J’ai ensuite voulu recommencer; j’ai fait un ou deux soirs. Xa a eu une autre récidive. On est arrêtés encore! Puis, il y a eu la deuxième vague de confinement. Une fois déconfinés, j’allais repartir… Et Xa est tombé malade une autre fois…. Je n’étais pas capable de monter sur scène en sachant que mon gars était en train de récupérer d’une opération au cerveau», nous raconte Jonathan Roberge.
La succession d’événements est résumée à l’endos de son petit bouquin bleu, mais pas exactement de cette façon. On comprend que les souvenirs s’emmêlent peut-être un peu dans l’esprit du papa toujours souriant malgré les épreuves, mais l’essentiel y est : les astres n’étaient résolument pas alignés pour que Bisou voie le jour sur les planches. Alors en ondes quotidiennement à CKOI, Jonathan s’est fait conseiller par ses collègues de radio de mettre le projet de one man show comique sur la glace. Il aura toute la vie, après tout, pour sillonner les routes et les salles. Et, plus tard, Adib Alkhalidey, qui venait lui-même de consigner en un ouvrage littéraire le scénario de son très plébiscité opus Québécois Tabarnak (lancé en 2022), lui a glissé l’idée d’imprimer son contenu pour le grand public.
Réponse de Jonathan?
«Tellement!»
«J’ai mis beaucoup d’huile de coude dans ce projet-là. J’ai travaillé très fort dans les derniers mois», soutient Jonathan Roberge au sujet du livre publié aux Éditions Stanké, déjà disponible en librairie. «Je suis retourné dans mes textes écrits entre 2016 et 2019, je les ai remis au goût du jour. Il y a des numéros que j’avais ajoutés quand Xa est tombé malade. J’ai aussi écrit toute l’histoire derrière ce show-là, pourquoi ç’a été annulé. Ç’a été très thérapeutique de travailler ce livre-là. Je pense qu’il va faire rire, pleurer et faire du bien aux gens.»
La couverture du nouveau livre de Jonathan Roberge, Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour / Courtoisie Groupe Livre Québecor
Comment va Xavier?
Marie-Annick Lépine signe la préface de Bisou – Le one-man show damné qui n’a presque jamais vu le jour. Il faut savoir que (et la musicienne le relate dans son touchant message) Jonathan Roberge et elle se connaissent depuis l’adolescence. «Parce qu’on vient du même coin. C’est une bonne amie de longue date», signale ce dernier. Tous deux se souviennent que Marie-Annick a d’ailleurs bercé Xavier lorsqu’il était bébé.
«Karl (Tremblay) a eu son diagnostic [de cancer] trois mois après Xa. Et on a réalisé, Marie-Annick et moi, qu’on était mutuellement la seule personne qu’on connaissait qui avait vécu la même chose que nous, c’est-à-dire de monter sur scène et faire comme si tout allait bien, comme si on était heureux. On sait tous les deux ce que c’est, de monter sur une scène après avoir pleuré dans les coulisses parce que la personne qu’on aime le plus au monde est malade… Quand Marie-Annick a dit oui, ça m’a vraiment flatté. Et le texte est beau. C’est difficile de ne pas pleurer!»,
Aujourd’hui, Xavier a 15 ans. «Le petit bonhomme de 6 ans qu’on voyait dans la série Papa est rendu à 15 ans», s’enorgueillit son attentionné géniteur, le torse presque bombé de fierté. Xavier a subi quatre récidives de la maladie et, donc, cinq cancers en cinq ans. Il a traversé cinq opérations, 69 traitements de radiothérapie et de la chimiothérapie palliative.
«On en a fait, du chemin!», siffle Jonathan, en précisant que son adolescent guerrier a eu une autre opération en juillet dernier. «Au cerveau, encore, réalisée avec succès par le même docteur. En ce moment, on dit qu’il va bien dans les circonstances. C’est un cancer avancé. Xa continue le combat, un jour à la fois. Il est beau à voir aller : il joue au hockey, il va à l’école. Il n’abandonne jamais, cet enfant-là. Il est incroyable! Il a une urgence de vivre que peu de gens ont. Il est inspirant! Et tellement mature. Quand tu parles avec lui, tu as l’impression qu’il est un monsieur de 85 ans…»
Or, la dédicace qu’on mentionnait au début de cet article, elle est certes adressée à Xavier, mais aussi à son petit frère Jules, qui a 6 ans.
«On parle souvent du combat de Xavier, mais il ne faut pas oublier Jules, à côté, qui voit son idole avoir une maladie. Il a vu ses parents se séparer [Xavier et Jules n’ont pas la même maman, NDLR], il a vécu la pandémie, il a vécu un déménagement. Il est la victime collatérale de tout ce qui brasse! Il est dans l’ombre, à côté. Son frère est son idole et, à 6 ans, il commence à comprendre que ses bobos à la tête ont l’air sérieux. Alors, le livre est dédié à mes deux fils.»
Steak, blé d’Inde, patates : Bon appétit!
Jonathan Roberge connait par ailleurs un automne professionnel du tonnerre, alors qu’il est à la barre de trois émissions : Au-delà du sexe, à Télé-Québec, La guerre du web, à Unis TV,et Steak, blé d’Inde, patates, à Historia.
Au sujet de cette excellente série documentaire retraçant l’histoire culinaire de la Belle Province, Jonathan Roberge indique qu’elle répond presque à un fantasme qu’il entretenait!
Jonathan Roberge combine ses passions pour l’histoire et la gastronomie en animant Steak, blé d’Inde, patates, sur la chaîne Historia / Courtoisie Corus Média
«Moi, dans la vie, je voulais être artiste, humoriste, mais si ça n’avait pas fonctionné, mon plan B était de devenir professeur d’histoire. C’est une passion pour moi. Des émissions de cuisine, il y en a en simonac, mais ce show-là, c’est plus que de la cuisine. C’est de la fierté canadienne française, québécoise! En regardant cette émission-là, on est « une coche » plus fiers de vivres ici!», dépeint celui qui a pris goût à organiser de grandes tablées avec ses amis et leurs familles depuis le tournage de Steak, blé d’Inde, patates, où sont abordés plusieurs aspects de l’évolution de l’assiette des Québécois (Expo 67, la bouffe de nos grand-mères, les émissions et les livres de cuisine, la tradition de l’érable, etc).
Celle qui a aidé à démystifier de nombreux tabous et qui n’a jamais eu peur des mots s’est confiée sur de nombreux sujets, mais est également revenue sur une histoire avec Dominique Michel, en plus d’une avec Guy A. Lepage.
À l’époque, Janette a souvent été l’objet de blagues dans le milieu, ce qui l’a parfois blessée. Ce fut notamment le cas avec RBO. Elle a donc tenu à appeler Guy pour comprendre l’intention derrière ces messages humoristiques, mais blessants.
«J’appelle et je lui dis: Je veux comprendre, qu’est-ce que c’est un baveux? Et c’est là que j’ai trouvé qu’il était tellement tendre. Guy A., c’est un tendre», témoigne Janette, qui visiblement ne lui en a pas voulu longtemps.
Elle a aussi avoué avoir également passé un coup de fil à Dominique Michel, et là, les émotions étaient encore plus vives. En effet, à l’époque où Dodo caricaturait Janette dans les Bye Bye, cette dernière traversait une épreuve difficile, soit son divorce d’avec son ancien amoureux.
«(…) Le soir du jour de l’An, on regarde et là, ils font une parodie de moi où j’ai l’air de la plus niaiseuse du monde. Ça, par-dessus le divorce. J’ai tellement pleuré… alors j’appelle Dodo, puis je dis: Tu sais, tu m’as fait tellement de peine. C’est parce que ça tombait mal, là, dans un moment où je n’étais pas prête à vivre ça», dévoile Mme Bertrand, qui n’a pas peur d’exprimer ce qu’elle ressent.
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Un moment très intéressant en compagnie de la talentueuse et unique Janette Bertrand!
Simon Delisle est de ces intrépides qui se sont faufilés dans l’écosystème humoristique par la porte de côté, peut-être la plus authentique.
Pas assez médiatiquement présent pour qu’on se lasse de lui. Pas imbu de lui-même au point de rechercher la lumière à tout prix. Souvent scripteur pour ses collègues (Jeremy Demay, Laurent Paquin, Mariana Mazza). Intelligent et sûr de lui (du moins, il paraît).
Et il est vivement apprécié dans son milieu, à en constater le nombre de personnalités qui s’étaient déplacées à la Cinquième Salle de la Place des Arts, mardi, pour la première médiatique de son deuxième one man show, Tache. Celui-ci succède à Invincible, son premier effort entamé au printemps 2022. Si Simon Delisle constitue encore pour vous un secret bien gardé, tendez l’oreille, il y a là une jolie perle à découvrir.
Seulement, votre oreille, elle devra s’habituer au débit trépidant de ses paroles. Était-ce le stress du baptême devant les pairs, mardi, ou la simple impatience de nous balancer un contenu dont il aurait raison d’être fier, mais on en perdait des bouts tant les mots se bousculaient dans la bouche de Simon. Ce dernier tire tellement à gauche et à droite, avec des observations souvent si savoureuses, qu’il est dommage d’en échapper des parcelles.
Simon Delisle sur scène, à la première de son deuxième one man show, Tache / Crédit : Serge Cloutier
Du Windex intellectuel!
Le titre Tache prend son sens à la fin de l’heure-et-des-poussières de la représentation, son explication fermant un récit «d’accident» de jeunesse honteux qui a permis au petit Simon Delisle de jadis d’apprivoiser timidement la notion de deuil, apprentissage semblant se poursuivre aujourd’hui.
Mais les taches de son existence, notre hôte les éponge à grands coups de Windex intellectuel tout au long de ce deuxième spectacle. Car Simon Delisle décrie, surtout, dans ce monologue ininterrompu, davantage qu’il n’encense. C’est subtil au début, puis le ton s’affirme au rythme où la tirade progresse: Simon Delisle est chialeux! Mais son chialage est de bon goût et souvent très drôle.
Parce que la pression est grande sur les épaules d’un humoriste qui rapplique avec une deuxième tournée, Delisle déjoue le mauvais sort en remémorant, d’emblée, deux de ses pires shows en carrière. Délectables anecdotes, parfois dures pour l’ego de notre homme.
Celui-ci décrète ensuite une vérité peut-être inéluctable (discutez?): si vous aimez l’hiver, vous êtes atteints du syndrome de Stockholm. Qu’on soit d’accord ou pas, ses explications sont pertinentes. Le seul sport enneigé qui fait du sens pour Simon Delisle est le biathlon, parce que déambuler en ski de fond lui donne véritablement des envies de tirer à la carabine. Preuve de la singularité du style du nouveau quadragénaire: parvenir à réinventer, en 2024, le grommelage envers la saison froide, alors que Dominique Michel entonnait Hiver maudit (J’haïs l’hiver) à la fin des années 1970, il faut le faire.
Simon Delisle sur scène, à la première de son deuxième one man show, Tache / Crédit : Serge Cloutier
L’une des grandes forces de Simon Delisle réside dans sa capacité à fondre les sujets les uns dans les autres avec la fluidité du beurre s’éteignant dans la poêle. On glisse sur ses propos, et pouf! Soudainement, on est ailleurs. Sans l’avoir réalisé. La transition a été tellement naturelle qu’on ne l’a nullement décelée. La rapidité de son phrasé y est peut-être pour quelque chose, mais Delisle possède indéniablement le talent de parler d’Old Orchard, de paresse, d’hyper-positivité, de ChatGPT, de Dixie Lee (chaîne de restaurants apparemment pas tout à fait végane où peut s’incarner le symbolisme profond de la surutilisée expression «YOLO») et du mantra «Merci la vie» (qu’il abhorre) dans un même seul et long trait, sans qu’on ne sache où tout a commencé et où tout se terminera. Bref, il nous envoûte. Comme si, dans sa tête, toutes ces réflexions étaient tangiblement interreliées. Et l’ensemble demeure digeste.
Au cœur de Tache, l’autodérision, l’une des armes de séduction massive de Simon Delisle. Celle-ci point un peu partout, comme dans ce segment médical brodé autour de sa passion des hôpitaux (la cuisson du poulet y est plus à point que dans un tout-inclus, soutient-il). Aussi, lorsqu’il est question de son alopécie, de son vitiligo, de son diabète (Simon Delisle est atteint de polyendocrinopathie et a reçu son diagnostic à l’âge de 9 ans, comme il l’explique à sa manière dans son texte).
Mais l’autodérision en elle-même est aussi l’objet d’un très habile numéro, dans le même souffle que cette «résilience» qu’on célèbre tant, à tort, observe Delisle. Sa propension à savoir rire de lui-même ne devrait pas ouvrir la porte aux commentaires méchants d’autrui. Le message, transmis façon Simon Delisle, frappe dans le mille.
Simon Delisle sur scène, à la première de son deuxième one man show, Tache / Crédit : Serge Cloutier
Mat Lévesque, un dur à cuire
En première partie de Tache, Mathieu «Mat» Lévesque est arrivé sur scène comme un coup de poing avec sa carrure respectable, son autorité naturelle, sa voix tonitruante et son vocabulaire de taverne.
La comparaison est à-propos; le jeune sosie (physiquement) du défunt comédien Robert Gravel nous raconte justement, entre autres, sa plus grosse «brosse» à vie, expérimentée pendant la pandémie. Un épisode où il était vraiment «en feu», au propre comme au figuré!
L’humoriste Mat Lévesque assure la première partie du spectacle Tache, de Simon Delisle / Crédit : Serge Cloutier
Aussi bon orateur que son complice de coulisses (et aussi vite à déballer son sac), Lévesque, avec «[sa] face de chips Yum Yum au vinaigre», tourne beaucoup dans le rayon des paradis artificiels, avec un ultime jab aigre-doux à la paternité.
Pas pour les bambins, mais on a entendu pire.
Simon Delisle présente Tache en tournée. Visitez son site web (simondelisle.ca) pour plus d’informations.
Le gastronome et animateur Daniel Pinard bien connu des Québécois Daniel Pinard est décédé.
C’est ce que confirme son agence ainsi que le Journal de Montréal.
Le coloré animateur, écrivain et épicurien s’était taillé une place de choix dans le coeur des Québécois, ainsi que dans leur ventre, leur faisant découvrir les joies de la nourriture à travers une passion et une capacité de vulgariser hors du commun.
Le Québec perd un pionnier de la cuisine et de la télévision québécoises. Un homme coloré, amusant et plein d’humour dont ma génération se souviendra longtemps, notamment pour ses Pinardises 🍍. Mes pensées vont à sa famille et à ses proches. #polmtlpic.twitter.com/N1tgV6HR6X
Il a piloté plusieurs projets télévisuels, dont Ciel! Mon Pinard et Les pieds dans le plat, mais s’est aussi imposé comme un philosophe aux valeurs imperturbables, après des années de succès.
C’est sur Facebook que l’animateur a partagé une photo en marge de laquelle il a annoncé la réjouissante nouvelle, qui, disons-le, nous fait un baume sur le coeur.
«Il y aussi de belles histoires avec la DPJ. Officiellement papas. Je t’aime Alex», lance Jean-Philippe Dion, visiblement comblé de bonheur.
Il y aussi de belles histoires avec la DPJ. Officiellement papas. Je t’aime Alex.#adoption
En commentaires, plusieurs vedettes telles que Nathalie Simard et Marie-Claude Barrette ont tenu à féliciter les parents et à partager leur excitation.
C’est donc à notre tour de les féliciter…
Bravo à eux et beaucoup de bonheur et d’amour à leur belle famille.
Il semblerait que de majeurs changements soient prévus au sein de BODi, une compagnie de type MLM (Multi Level Marketing), autrefois appelée Beachbody.
En effet, à partir du 1er novembre, la compagnie changerait drastiquement son modèle d’affaires de marketing multiniveaux pour un programme d’affiliation à un seul niveau.
Ce qui veut dire que la compagnie continuera d’exister, mais que plusieurs gestionnaires se retrouveront sans emploi étant donné que les équipes qu’elles dirigeaient… n’existeront tout simplement plus.
Une nouvelle qui fait énormément d’écho, surtout chez plusieurs influenceuses concernées, qui n’ont pas été prévenues au préalable de ces majeurs changements.
«Je me devais de prendre la parole ce matin concernant la décision que BODi a pris pour la compagnie (…) mon estomac est à l’envers depuis hier soir (…)», a témoigné Laurence Lanneville, une «partenaire» BODi.
«Je n’ai pas vraiment dormi de la nuit. J’ai eu mal au cœur toute la nuit (…) ça impacte précisément celles qui ont bâti des équipes (…). Il y a beaucoup de deuil en ce moment, grosse peine d’amour (…)», a déclaré Aurélie Dion, une autre «partenaire» BODi.
«(…) J’ai le cœur en miettes. Je suis une éternelle nostalgique et même si c’est loin d’être la fin pour BODi, nous allons vivre des changements qui vont «défaire» ce que plusieurs d’entre nous avons créé: nos équipes, notre modèle d’entreprise et bien plus (…)», a exprimé Marie-Philippe Desmarais alias Mme Coach, une autre «partenaire» BODi.
En marge de cette restructuration, BODi réduirait ses coûts, élargirait ses canaux de distribution et abaisserait considérablement son seuil de rentabilité.
Vous comprendrez donc que les programmes de récompenses tels que les sorties en équipe dans de beaux et luxueux chalets, ainsi que les voyages de groupes, seront eux aussi abolis.
Un balado sur l’aide médicale à mourir intitulé La mort libre: 10 ans d’aide médicale à mourir et piloté par Alain Gravel est proposé sur la plateforme OhDio de Radio-Canada et le journaliste et animateur d’affaires publiques était l’invité de Guy A. Lepage dimanche soir (29 septembre) en compagnie de certains intervenants, dont Pénélope McQuade, qui a vu sa mère demander l’aide médicale à mourir dans des circonstances bouleversantes. Cette dernière a accepté de livrer un puissant témoignage, abordant son expérience.
«Je l’ai vécu moi, j’ai vu des familles dans les soins palliatifs, parce que ma mère est partie de l’hôpital, puis deux jours et demi après, c’était l’aide médicale à mourir. Ça a été très rapide, parce qu’on lui a demandé: Est-ce que vous voulez ça le plus tard possible ou le plus tôt? Ma mère, c’était le plus tôt qu’elle voulait. Puis, j’ai vu des familles se déchirer. J’en ai vu des familles autour, j’en ai vu des familles pleurer (…) Il y a des proches et familles pour qui c’est un événement très traumatique, j’en suis convaincue, si on ne partage pas les valeurs religieuses, philosophiques, spirituelles (… ) dans mon cas à moi, la première fois que ma mère m’a parlé qu’elle ne voulait pas mourir dans l’indignité, j’avais 12 ans (…) On ne sait jamais comment ça va être jusque dans les heures, les jours avant. On ne sait jamais (…) Nous, je pense que ça nous a apaisés, parce qu’on a tous vu comment elle est décédée, il n’y a pas de questionnement, pas de flou. Mais, c’est vrai que là, j’avoue, qu’un an plus tard, je suis pognée avec une espèce de motton et bien des émotions et je ne sais pas quoi faire avec», explique notamment McQuade.
Le balado La mort libre: 10 ans d’aide médicale à mourir est disponible juste ici.
C’était le troisième rendez-vous de la quatrième saison de Chanteurs masqués, animé par Sébastien Benoit et accompagné des enquêteurs. Une soirée tout aussi divertissante et fabuleuse que les précédentes.
Ce n’est pas tout, puisque le moment tant attendu, celui de découvrir l’intrus qui allait faire son apparition dans l’aventure, était enfin arrivé. Il s’agissait de Jack Spi-Rat, qui ne sera toutefois pas un candidat supplémentaire, mais qui pourra changer le cours de la compétition.
Les enquêteurs recevront chaque semaine des indices concernant son identité, les transportant dans une chasse au trésor. Et si l’un d’entre eux parvient à découvrir l’identité de Jack Spi-Rat, il bénéficiera de certains privilèges!
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Comme à l’habitude, nous avons dû dire adieu à l’un des masqués, et cette semaine, c’était au tour de Serge le Lama.
À la surprise générale, la personnalité cachée était le talentueux Marc-André Coallier, que personne n’avait deviné!