Ce nouveau partenariat entre Miley Cyrus et Dolce & Gabbana est tout simplement explosif!
Le géant italien de la mode dévoile aujourd’hui sa toute nouvelle collection de lunettes pour l’automne/hiver 2024, et devinez qui incarne l’image de cette campagne? La superstar internationale Miley Cyrus! Et oui, vous avez bien lu, la chanteuse audacieuse et toujours provocatrice prête son charisme irrésistible à Dolce & Gabbana dans une campagne digne des plus grandes stars d’Hollywood.
Et bien sûr, on ne peut ignorer les détails qui ne passent pas inaperçus. Miley, fidèle à sa réputation de fashionista audacieuse, fait sensation dans des tenues signées Emmanuelle Alt, styliste de renom, qui sait parfaitement comment sublimer la silhouette de l’artiste tout en conservant cette touche de rebelle chic qui lui est propre.
La première collaboration entre Miley et le duo Domenico Dolce et Stefano Gabbana a eu lieu au printemps 2024, lorsqu’elle est devenue l’égérie de la campagne de lunettes Dolce & Gabbana.
Un coup de maître, qui a ensuite été suivi par une autre campagne pour la collection automne 2024, où Miley s’est laissée capturer par l’objectif légendaire de Steven Meisel, rendant hommage au glamour hollywoodien des années 50.
Et ce n’est pas tout! L’interprète de Flowers fait son grand retour pour la campagne automne/hiver 2024, cette fois aux côtés du mannequin Matthew Noszka!
Qu’en pensez-vous, les fashionistas?
Est-ce le début d’un nouveau couple glamour ou juste une histoire de lunettes?
À un moment, l’animatrice du podcast, Marylène Gendron s’est ouverte sur le fait qu’elle est attirée seulement vers des hommes étant beaucoup plus vieux qu’elle, des confidences qui ont poussé Julie à s’ouvrir sur le sujet.
«(…) Ces hommes-là qui sont avec des filles plus jeunes (…) Moi, ça me challenge vraiment beaucoup, que tous les gars de mon âge sont avec des filles beaucoup plus jeunes, donc après ça, c’est vraiment plus difficile pour moi de rencontrer des gars. Les gars ne veulent pas être avec moi, fin», lance-t-elle.
Elle explique ensuite que, selon elle, tous les hommes qui ont eu des enfants, qui se sont séparés, ne veulent plus être avec leurs pairs et désirent être avec des filles qui leur porteront un regard ascendant.
«(…) Parce qu’ils ont été comme abîmés dans leur masculinité d’une certaine façon, dans une relation (…) ce regard ascendant là (…)», réfléchit-elle, en expliquant qu’elle se demande donc s’il est encore possible d’être dans une relation égalitaire.
«(…) Ça semble très, très difficile (…) après ça, je pensais beaucoup aux gars et j’étais comme: Mais, il y a des filles, ce sont ces filles-là, elles tripent sur ces gars-là aussi, c’est filles-là de 28 ans sont avec des gars de 50 ans», continue Julie, en interpellant grandement Marylène qui dit vivre ce genre de relation depuis très longtemps.
L’animatrice explique donc qu’elle recherche un écart d’âge dans une relation puisqu’elle a le besoin de ressentir un sentiment d’admiration envers son partenaire, chose qu’elle ne ressent pas auprès des hommes de son âge.
Un peu plus tard, Julie s’est ouverte sur le moment où elle a pris conscience de ce phénomène.
«(…) Avant la pandémie j’étais en couple (…) il y a eu la pandémie et je me suis encabanée, j’étais en burn-out, j’étais en peine d’amour (…) J’ai comme l’impression qu’avant la pandémie j’étais comme début quarantaine et je pouvais encore être un objet de désir (…) Je suis sortie de la pandémie et c’était terminé! (…) C’était comme, soudainement, tu es passée de l’autre bord (…)», affirme-t-elle.
Elle explique que plusieurs parlent de ce phénomène en l’appelant l’invisibilité des femmes et qu’avant que ça lui arrive, elle n’y croyait pas vraiment.
L’animateur lui a donc demandé comment elle s’en était aperçue.
«(…) C’est clair, ce n’est plus… c’est bien niaiseux, ce n’est pas que je veux me promener dans la rue et me faire reluquer (…) mais, il n’y a plus cette affaire-là, il l’a, mais beaucoup moins, cette espèce de regard porté sur soi ou de… une espèce d’attention particulière ou un… juste de sentir la possibilité de la séduction c’est comme si pouf c’était disparu, comme une bulle qui avait éclatée et ç’a été vraiment challengeant (…)», explique-t-elle, en affirmant qu’elle ne pense pas avoir énormément changé et que ça a été un gros choc de constater que les hommes ne la voyaient plus de la même façon.
Julie affirme n’avoir jamais vraiment misé sur son apparence et croit que ça doit être extrêmement difficile pour les femmes qui ont toujours été valorisées par leur beauté de vivre ce phénomène.
«(…) Tu peux comprendre qu’elles deviennent dingos et qu’elles se mettent à intervenir de façon très radicale, parce que c’est quand même violent (…)», continue l’actrice, qui avoue que l’idée d’avoir des chirurgies lui est déjà passée par la tête, en plus à cause de son métier, elle se voit souvent dans des éclairages et des angles peu flatteurs.
Elle avoue d’ailleurs avoir récemment visionné un film dans lequel elle joue et avoir eu de la difficulté à se regarder.
«J’ai eu du Botox dans le front, la fameuse… parce que sinon j’avais tout le temps, tu sais, je suis super expressive, donc j’étais comme: J’ai tout le temps l’air d’être fâchée! Donc cette affaire-là, je l’ai calmée, je le calme parfois, si j’ai un tournage et tout (…)», avoue-t-elle en expliquant cependant qu’après, il est facile de tomber dans un cercle vicieux et d’exagérer, mais que pour sa part, elle s’est mis une limite mentale.
Elle raconte qu’elle a commencé les injections de Botox à 45 ans, en se disant qu’elle allait le faire le plus tard possible et que le jour où elle franchirait le cap, elle devrait être capable de l’assumer et de le dire.
Un entretien très intéressant et franc entre les animateurs et Julie qui a fait preuve d’une grande ouverture et de beaucoup d’honnêteté.
Un épisode qui fera certainement beaucoup de bien à plusieurs femmes dans sa situation.
Ce week-end, que les tourtereaux se sont finalement dit «oui» lors d’un mariage qui semble avoir été des plus magiques!
Alanis a d’ailleurs partagé de splendides clichés de cette journée inoubliable, à notre plus grand bonheur!
«forever and always», mentionne-t-elle.
Parmi les invités se trouvait, entre autres, son grand ami LP Lacroix, qu’elle a connu dans le cadre d’OD Bali, ainsi que sa conjointe!
«Belle journée pour célébrer de belles personnes! T’as finalement trouvé ton top 1 Alannnn!! Bravo les amis!👰🏾♀️🤵🏽♂️❤️», mentionne LP, sous cette publication, tout en faisant un beau clin d’œil à l’aventure OD.
Le 12 octobre 2024, une date qui restera certainement gravée dans le cœur de Joël, d’Alanis et de leur petite famille.
Alors qu’un nouveau mouvement social prend de l’ampleur, Rosalie Bonenfant a pris le temps de remettre les pendules à l’heure quant aux intentions que certaines personnes prêtent aux femmes, sans fondement.
C’est à la suite de commentaires non sollicités à saveur misogyne sous une publication de Léa Clermont-Dion sur le réseau social X que le ton est monté. Elle a profité de la situation pour partager quelques captures d’écran dans un carrousel de photos sur son compte Instagram.
Les commentaires étaient sous sa photo professionnelle d’autrice. Sur celle-ci, elle fait face à l’objectif, a les lèvres entrouvertes et la tête penchée sur le côté. Cette pose a suffi pour que plusieurs hommes lui prêtent des intentions séductrices, une sorte d’invitation sexuelle quelconque.
Saisissant la balle au bond, Rosalie Bonenfant a rappelé à tous que «les femmes existent ailleurs que dans votre regard», en parlant des hommes.
«Une femme qui correspond aux standards de beauté occidentaux n’est pas forcément plus séductrice que les autres juste parce que vous vous sentez peut-être séduits en la regardant. De la même façon, une femme grosse ne fait pas forcément la promotion de l’obésité ni ne maudit forcément la minceur en existant simplement dans un corps gros. Une femme instruite qui affirme ses convictions n’est pas forcément plus prude ou moins sexuelle qu’une autre simplement parce que vous n’avez pas appris à désirer un être insoumis. Une femme qui émet une opinion n’attend pas forcément d’être validée ou applaudie par un garçon. (…) Il est temps de commencer à concevoir que les femmes existent ailleurs que dans votre regard.»
Elle poursuit dans son carrousel Instagram:
«Ce que vous ressentez face à nous ne nous regarde pas et ne nous intéresse pas. Nous n’aurons certainement pas besoin de vos lignes de conduite pour circonscrire nos façons d’agir. Nous avons confiance en nous au point de sortir des essais brillants et d’assumer que le public ne sera pas découragé de nous lire si nous avons en plus le culot d’être jolies (…) Ceci dit, ne vous en faites pas trop avec ça, quand on vous varlope, c’est toujours avec la bouche ouverte et la tête penchée, au cas où vous nous apercevriez.»
Ces dernières paroles, sur une note à la fois amusante et provocatrice, font référence au mouvement #boucheouverte lancé sur les réseaux sociaux.
Ce mouvement s’est répandu comme une traînée de poudre dans le paysage médiatique québécois. Plusieurs personnalités publiques et même des citoyens ont publié une photo avec le hashtag #boucheouverte en soutien à Léa Clermont-Dion et pour démontrer l’absurdité des commentaires misogynes.
Bien que cela puisse sembler banal, comme il s’agit de commentaires faits sur le web, c’est tout, sauf banal. Les femmes, connues ou non, sont souvent la cible de commentaires misogynes et c’est une attaque directe aux droits universels qui, nous le rappelons, stipulent clairement que tout le monde a le droit de vivre libéré de toute violence et discrimination.
Sur ce, nous vous invitons à participer au mouvement en prenant un cliché de vous avec la bouche ouverte et la tête sur le côté, parce que, non, ce n’est pas une invitation séductrice.
En mai dernier, la vedette de Stranger Things, Millie Bobby Brown, et le fils de Jon Bon Jovi, Jake, se sont mariés en Italie. Ensemble depuis 2021, ils se sont fiancés en 2023, filant le parfait bonheur depuis.
La nouvelle mariée a partagé plusieurs clichés dans un carrousel sur Instagram et sur le dernier d’entre eux, il est possible de déduire que l’ambiance de la réception était à la fête.
«Forever and always, your wife», écrivait-elle en description.
À son tour, le nouvel époux a aussi partagé un carrousel de photo portant une mention similaire: «Forever and always, your husband».
Pour la cérémonie, Millie portait un corset et une doublure en dentelle. Elle avait aussi un très long voile avec une bordure de dentelle à la base. Jake, quant à lui, portait un veston couleur crème, un nœud papillon ainsi que des pantalons noirs.
Papa Bon Jovi portait les mêmes couleurs que son fils.
Sur la dernière photo du carrousel, vous verrez que la cérémonie a pris place à l’extérieur, entre les arbres, sous une immense arche florale.
Avez-vous reconnu le célébrant? C’est Matthew Modine, le papa d’Eleven (Millie) dans Stranger Things!
Ils ont choisi de célébrer leur amour à la VillaCetinale, en Toscane.
Cette villa, construite au XVIIe siècle, est encerclée d’un immense jardin.
De passage au balado Audré dans l’entrée, l’ex du chanteur Claude Bégin s’est ouverte sur le monde du mannequinat ainsi que sur le trouble alimentaire qu’elle a vécu.
Étant mannequin à temps plein depuis 15 ans, Clodelle a affirmé que ce domaine lui avait amené une grande ouverture d’esprit, mais que malheureusement, il y avait plus de points négatifs.
«Je ne vais pas mentir, c’est un métier très demandant. Il faut tout le temps que tu fit dans un moule. Ce n’est pas les vêtements qui vont fitter la mannequin, c’est la mannequin qui doit fitter dans les vêtements, donc tu es constamment sous pression d’être très maigre. Il faut que tu sois très disciplinée, c’est vraiment un peu comme être un athlète dans un certain sens (…). C’est beaucoup de pression, autant que c’est le fun et que c’est enrichissant et que tu apprends plein de choses, mais ton plaisir est souvent mis de côté (…). Moi, avec le temps, sous pression, j’étais beaucoup plus jeune, j’étais très en demande, j’avais une grosse carrière et I was struggling avec le fait de toujours rester une image parfaite. J’ai développé de la boulimie assez jeune, de l’anorexie, c’était vraiment sous pression à cause du métier, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté», racontait Clodelle en s’ouvrant sur le milieu du mannequinat.
Elle a continué en disant qu’elle est contente de revenir dans le métier maintenant âgée de 30 ans et qu’elle a envie de développer une relation saine avec le mannequinat pour guérir quelque chose à l’intérieur d’elle.
«J’avais besoin de me retrouver, de me poser certaines questions: Qu’est-ce que je veux dans la vie? Et comment je veux être dans mon corps ? Ça m’a vraiment fait du bien de prendre une pause, mais je suis contente de recommencer. Je trouve qu’à 30 ans, c’est un bel âge, je me connais maintenant, je connais mes limites. J’ai guéri ce côté-là de moi qui avait des troubles alimentaires et même quand j’ai arrêté, j’ai viré de l’autre bord des troubles alimentaires dans le sens que j’ai commencé à beaucoup manger, mais je pense que ça m’a vraiment fait du bien, j’avais besoin de ça», continue-t-elle en expliquant ce qui l’a amenée à reprendre ce métier, maintenant plus âgée.
Caroline Néron était de passage au podcast Golf Le Monde animé par Daniel Melançon, un épisode dans lequel ils ont ensemble parlé de golf, comme le veut le principe du balado.
Daniel, qui désirait justement aborder ce sujet, a alors demandé à Néron ce qu’elle pensait de la mode féminine de 2024 dans le monde du golf.
«(…) J’aime quand même le look un peu conservateur, je trouve ça respectueux pour un sport qui le mérite (…)», lançait-elle, en ajoutant qu’elle devait cependant retourner en magasin afin de s’équiper à nouveau et de voir ce qui était maintenant en vente.
Daniel a donc renchéri en expliquant à Néron que la mode vestimentaire du golf n’est plus ce qu’elle était, surtout du côté féminin.
«(…) Actuellement, en 2024, il y a beaucoup, beaucoup de filles sur les réseaux sociaux qui utilisent le golf pour bien se vendre, mais de façon très sexy (…)», affirmait-il à la grande surprise de Néron.
L’animateur a donc donné quelques noms en exemples, (Grace Charis, Paige Spiranac) voyant que Caroline n’était pas du tout au courant de ce qu’il avançait.
«(…) C’est des filles qui jouent bien au golf, mais qui mettent tous leurs attributs physiques de l’avant (…)», continuait-il, en disant que plusieurs terrains de golf ne les accepteraient pas à cause de leurs petits shorts et de leurs décolletés très plongeants.
Caroline est restée bouche bée devant les propos de Daniel.
L’animateur lui a lors demandé si elle pouvait s’imaginer être comme plusieurs golfeuses connues, en «golfeuse sexy», sur les réseaux sociaux, lorsqu’elle était plus jeune.
«(…) J’avais vraiment beaucoup de respect pour ce sport, mais ça reste que je pense que d’emblée là dans ma jeunesse, ma vingtaine, j’aimais ça m’habiller sexy, mais pas trop là. Donc peut-être que oui, mais c’est sûr que mon chandail était souvent trop court (…) trop sexy, non, je ne pense pas que ça a sa place sur un terrain de golf, mais encore là si c’est assumé! (…)», répondait-elle.
«(…) L’exemple que je te donne, c’est que c’est des filles assurément talentueuses en affaires, talentueuses au golf et elles utilisent leur corps littéralement pour vendre une image et elles sont vues par des millions (…)», lançait Daniel, attisant une réaction positive de Néron qui affirmait, à ce moment-là, que la tactique était très bonne, alors pourquoi pas?
Alors là, un technicien a apporté un téléphone à Daniel pour qu’il puisse montrer à Caroline un exemple de ce qu’il expliquait.
Lorsqu’elle a eu la photo entre les mains, elle a semblé avoir immédiatement changé d’idée.
«(…) Non, non, ça c’est intense! Elle n’est pas en top de maillot sur le terrain de golf là quand même? Ce n’est pas son habit de golf ça là? (…)», s’interrogeait-elle en semblant être découragée.
Daniel lui a donc répondu que oui, il pouvait s’agir d’un haut de maillot.
«(…) Ben voyons! Ah oui? Tout à fait?», répondait-elle choquée par ce qu’elle venait de voir.
L’animateur lui a ensuite montré une autre golfeuse.
«(…) Hein? Tu as le droit de t’habiller de même? (…) c’est un peu intense, non, moi je trouve ça intense (…)», réfléchissait-elle, alors que de son côté Daniel affirmait qu’il ne croyait pas que la golfeuse en question serait invitée à Laval-sur-le-lac.
«(…) Non, mais moi ça je trouve ça trop intense, elle joue en brassière! (…)», lançait-elle.
Daniel a alors affirmé, une fois de plus, que ce phénomène faisait maintenant partie du golf en 2024.
«(…) Non! Ah! Ben non! Ben là, non! Non! (…)», laissait-elle échapper, visiblement découragée.
Daniel lui a donc demandé comment elle réagirait si sa fille Emanuelle lui disait qu’elle désirait jouer au golf en étant habillée ainsi
«Ben, non. (rires) Bien, c’est-à-dire, j’ai encore le droit de lui dire quoi faire, mais à un moment donné, je n’aurai plus le droit. Je trouve que c’est un peu (…) non, c’est un peu too much, ça n’a même pas rapport avec le golf d’être en grosse craque (…), mais camisole, moi j’aurais apprécié moi porter la camisole. (…)», lançait-elle, en affirmant qu’il ne s’agirait cependant pas d’une camisole décolletée.
Et vous, qu’en pensez-vous?
Les femmes devraient-elles pouvoir s’habiller comme elles le désirent lorsqu’elles pratiquent le golf ou devrait-il y avoir de la réglementation?
Alors que l’animatrice et Sabrina discutaient ensemble des difficultés à se trouver un maillot de bain tendance qui irait bien à leur corps, la chroniqueuse a avoué avoir de la difficulté à dire lequel était son modèle favori.
Elle explique que puisqu’elle est grande, aucun ne lui va bien.
«Je n’aime pas ça les maillots (…) je suis comme longue, filiforme (…) et on m’a tout le temps niaisée sur ma maigreur (…). Là, il y a surement des gens, ils vont écrire genre: Ta yeule, t’es mince, tu n’as pas le droit de te plaindre, mais en même temps, je suis désolée, mais genre, toute ma vie on m’a niaisée aussi pour ma maigreur: T’es dont ben maigre, ce n’est pas beau être maigre (…)», lançait-elle affirmant que des gens lui écrivent sur les réseaux pour lui dire ce genre de choses.
«Ah elle se trouve tu cool, elle, d’être maigre? Je suis comme voyons, cri*s! Ça va être mon seul sacre aujourd’hui, mais je l’ai bien choisi (…) voyons cri*s pour vrai, mon métabolisme fonctionne comme ça, j’ai effectivement pas grand muscle et même quand je m’entraine et même quand je mange des protéines (…)», affirmait-elle, visiblement découragée.
L’animateur lui a donc demandé comment elle recevait ce genre de commentaire et elle a expliqué qu’elle le prenait plus mal auparavant.
«(…) C’était plus dur il y a dix ans, quand j’ai commencé Salut Bonjour. Les gens étaient plus rough (…) quand tu es nouvelle quelque part, les gens ont comme une période d’adaptation (…). Avant, j’étais vraiment plus sur Facebook, là je t’avoue que ma page Facebook, je ne la gère justement plus parce que je trouve que c’est ultra négatif (…). Mais, maintenant, aujourd’hui, c’est sûr que ça me fait toujours un petit coup de poignard de recevoir un message, surtout quand c’est sur ma personnalité: Ah elle, elle m’énerve, pas capable d’écouter l’émission à cause d’elle (…)», expliquait-elle en se disant convaincue qu’encore aujourd’hui les femmes ont moins le droit d’être intenses côté énergie que les hommes.
Elle affirme d’ailleurs que les commentaires méchants l’affectent encore plus quand ils viennent de femmes, puisqu’elle pense qu’elles devraient s’élever entre elles au lieu de se rabaisser.
«(…) Ce n’est pas parce que je ne mange pas (…) sincèrement, je me suis souvent fait demander: As-tu des troubles alimentaires? Et je suis comme: C’est vraiment mon métabolisme (…)», continuait-elle, en affirmant qu’elle ne fait qu’exister et que si elle pouvait avoir un corps plus athlétique elle en serait ravie.
L’animatrice lui a demandé si elle lisait les commentaires. Sabrina a donc répondu qu’elle le faisait de moins en moins et que sa mère lui faisait souvent un bilan en lui envoyant les beaux commentaires.
Sabrina a d’ailleurs tenu à saluer un homme à qui elle a répondu sur Instagram puisqu’il avait partagé un commentaire négatif sur elle!
Nous envoyons beaucoup d’amour à Sabrina et l’encourageons à rester fidèle à elle-même malgré les critiques non constructives.
Sur son profil Instagram, Florence a publié une courte vidéo où elle a agencé des shorts noirs avec plusieurs accessoires et autres pièces vestimentaires.
Le magazine Châtelaine a partagé les cinq plus grandes tendances mode de 2024 et les ceintures maxi, ainsi que les pulls, sont au rendez-vous.
Florence Belzile a d’ailleurs agencé son short noir avec un haut molletonné gris, une ceinture maxi et des bottes beiges pour créer son premier look de la saison.
C’est bien connu qu’en début octobre, la température peut être douce, et pour s’adapter à ces variations, Florence a agencé ses shorts avec un t-shirt gris et une camisole blanche.
Le look de gauche peut être complété avec des bottes hautes ou des talons, tandis que pour le look de droite, elle a opté pour des mules, offrant deux options élégantes et confortables pour la saison.
Il y a quelques semaines déjà, l’ancienne candidate de la deuxième saison de Survivor QC, Audrey Morissette, annonçait un changement de carrière en revenant à ses premiers amours: l’enseignement.
Celle qui est également la fondatrice de la marque Essentiels est une amoureuse de la mode, et elle en a profité pour partager ses looks préférés d’automne d’enseignante.
Selon un article mis en ligne sur le site Internet de Salut Bonjour, la jupe, qu’elle soit longue ou courte, est un must pour la saison automnale 2024. Sur la photo de gauche, Audrey porte notamment une jupe de sa marque. Sur celle de droite, elle a opté pour un look un peu plus chic avec de shorts noires, des bas résilles de la même couleur, ainsi que des souliers en cuir verni.
Clin d’œil a dévoilé que les couleurs automnales ne se limitent pas aux rouges et aux oranges, car le rose pastel sera très à la mode pour la saison cocooning de 2024, et Audrey l’a bien compris. Sur la première photo, elle a jumelé un cardigan rose à une jupe noire courte, tandis que sur celle de droite, elle a opté pour un look plus décontracté avec une chemise rose, des jeans et une paire de souliers jaune fluo.
Vogue France a annoncé que pour l’automne et l’hiver, le style preppy serait très à la mode. Audrey a ainsi associé un cardigan à une jupe grise ainsi qu’une veste à motifs et des shorts noirs. Les petits souliers noirs viennent bien compléter les deux looks.