Au début 2024, Charlotte Cardin enfilait ses chaussures de mannequin afin de participer au défilé de Miu Miu. Elle faisait partie des figures de proue de la collection automne/hiver 2024 et avait même fait une publication sur Instagram à ce sujet.
Elle était de retour dans la Ville Lumière pour la Fashion Week de Paris, mais cette fois, à titre de chanteuse.
Etam Paris propose de la lingerie, du prêt-à-porter, des maillots de bain ainsi que des pyjamas.
C’est donc pour agrémenter la présentation des toutes dernières créations d’Etam que Charlotte a interprété sa chanson Feel Good en direct du centre du podium.
Une très belle soirée pour la chanteuse et les invités du défilé.
Dans ce spot publicitaire, la grande chanteuse se tient dans un ascenseur dans lequel elle change de tenue à plusieurs reprises. Évidemment, elles sont toutes très glamours, tout comme la star qui est resplendissante.
«Une petite touche de glam avant d’entrer dans quelque chose qui vaut vraiment la peine d’être regardé. Ne manquez pas ce moment! Visionnez le film L’Oréal Paris sur (le compte Instagram de) l’Oréal Paris», était-il écrit en description de la vidéo.
Toutefois, sachez que la présence de la grande dame s’est limitée à être la voix qui présentait l’ouverture du défilé. Elle n’a pas parcouru la passerelle.
La Cour supérieure aurait refusé d’entendre l’appel de la compagnie de produits «aux formules 100% naturelles et véganes» créée par la comédienne Jacynthe René à travers sa compagnie Maison Jacynthe.
En effet, selon ce que rapporte Le Journal de Montréal, la juge Geeta Narang aurait refusé d’intervenir et d’accueillir l’appel d’un jugement, puisqu’elle considérait le motif non fondé.
Lors de sa demande d’appel, Jacynthe aurait aussi tenté de dénoncer la manière dont sa crédibilité aurait été traitée lors de son audience de première instance.
Un motif qui aurait été de nouveau considéré sans fondement par la juge.
La propriétaire aurait aussi souligné que le verdict de culpabilité était déraisonnable vu la mission première de sa compagnie, qui est de «prodiguer des conseils de beauté et de maquillage», un argument qui aurait lui aussi été jugé comme non fondé.
Rappelons que Maison Jacynthe avait été condamnée en 2021 à payer une amende de 19 000$ pour exercice illégal de la médecine, en donnant, entre autres, des conseils sur «l’irrigation du côlon» alors qu’il s’agit d’une pratique réservée au membre de l’Ordre des médecins.
Ce sont d’ailleurs deux vidéos publiées en 2018 sur la page Facebook de Maison Jacynthe qui avaient donné matière au procès. Dans les vidéos en question, la propriétaire de la compagnie, accompagnée du naturopathe Christian Limoges, s’étaient semble-t-il donnés comme mission de diagnostiquer des conditions de l’intestin.
Lors du procès, la comédienne avait tenté de se défendre en affirmant qu’elle ne se présentait en aucun cas comme un médecin dans les deux vidéos partagées sur sa page, que le mot «clinique» ne figurait pas dans le nom de l’entreprise et qu’elle «ne portait pas de stéthoscope ni de sarrau blanc»…
Nouvelle image de marque
L’entreprise, qui est active depuis maintenant 10 ans, a d’ailleurs lancé une nouvelle image de marque en juillet 2024.
Selon un témoignage rédigé sur leur site, l’équipe trouvait que leur ambiance et leur décor n’étaient pas à la hauteur de leurs produits. Ils ont donc procédé à un renouveau du visuel de leurs boutiques, leur site et leurs étiquettes.
«Vous nous avez demandé au fil des années de vous aider à vous retrouver. Nous ne savions par où commencer», peut-on lire.
Mais la question se pose. Est-ce suffisant pour faire oublier l’erreur de jugement dont a fait preuve la propriétaire en partageant des vidéos ayant comme sujet un enjeux aussi sérieux que la santé?
Il semblerait que plusieurs influenceurs et personnalités publiques aient décidé de passer outre cet «incident» survenu en 2018, puisque plusieurs d’entre eux font la promotion de la compagnie ou collabore avec celle-ci.
Camille Dufresne
Véro Magazine
Amanda Boily
Noemy Petit
Qu’en pensez-vous, Maison Jacynthe mérite-t-elle une deuxième chance?
Comme le veut le principe du balado, au début de l’épisode, Caroline a pigé plusieurs cartes vertes sur lesquelles étaient inscrites des questions. Elle a choisi de répondre à celle qui lui demandait quelle personne avait fait une différence dans sa vie.
Un peu plus tard, Marie-Claude pouvait, à son tour, choisir une question verte à laquelle son invitée devrait répondre et elle a décidé de lui demander sur quel trait de caractère elle avait dû travailler.
La vedette a donc avoué être impatiente, et ce, de façon générale.
«(…) Je suis impatiente dans tout (…)», avouait-elle, en mentionnant se l’être fait dire à de nombreuses reprises, lorsqu’elle était plus jeune.
Elle explique que son impatience lui a parfois fait prendre des décisions sans vraiment y réfléchir et qui lui ont malheureusement causé des problèmes.
Caroline a ensuite affirmé avoir travaillé sur ce côté de sa personnalité en se démarrant une compagnie.
«(…) De la famille, tu peux te fâcher, tu peux te fâcher contre ta mère, tu sais qu’elle va rester ta mère, tu peux te fâcher contre ton père, mais ton employé si tu te fâche après, et qu’il décide qu’il s’en va, tu te retrouve avec un poste de moins (…)», lançait-elle.
Une belle conversation qui l’a amenée à s’ouvrir sur la faillite qu’elle a traversée en 2019.
«Moi le lâcher-prise, je l’ai tu appris avec la faillite! (…) le premier mot que j’ai lu, c’était lâcher-prise et c’était ça qui m’avait menée à prendre ma décision (…)»,lance-t-elle.
Marie-Claude a alors saisi la balle au bond et lui a demandé si avec la faillite, elle avait l’impression d’être à la croisée entre lâcher-prise et acharnement.
«(…) Ah bien oui, c’est sûr! En fait, je pense que tout entrepreneur qui passe par là, même ceux qui le frôle, parce qu’on s’entend, tu te lances en affaires, tu vas avoir des ups and downs, ça, c’est sur, mais… moi en fait, ça été ça à la fin. C’était de l’acharnement. Je devais faire faillite et je ne voulais pas lâcher. Je continuais à essayer de trouver des idées, des idées, des idées, je patinais, c’était débile (…)», se remémorait-elle.
L’animatrice, se mettant visiblement à sa place, lui a demandé de lui expliquer dans quel état elle se trouvait à ce moment.
«(…) J’étais en dépression contrôlée, premièrement parce que j’avais un enfant, donc j’avais une semaine sur deux que j’avais une dépression (…)», lançait-elle, en ajoutant que la faillite l’avait libérée.
Elle a affirmé que le jour où elle avait pris la décision d’abandonner, un poids énorme lui était enlevé de sur les épaules.
«Ça a fait: Je ne peux plus là, quand même que je voudrais, je ne peux pas rentrer au bureau, je ne peux pas… je ne peux pas continuer, je ne peux pas travailler, je ne peux pas… c’est fini, fini, c’est fini», lançait-elle, en expliquant que derrière cette épreuve se cachait un énorme soulagement.
Ce moment difficile a d’ailleurs été accompagné de son divorce, qui a eu lieu dans le même laps de temps.
«(…) Quelque part, je me suis mis dans une double situation, en même temps que je sentais que mon entreprise allait tomber, j’ai décidé aussi de faire tomber ma vie personnelle (…)», explique Néron, en comparant ce moment à un saut en parachute.
Pendant cette étape difficile, Caroline a tout de même reçu un magnifique cadeau, qui tombait pile au bon moment: la proposition d’un projet incroyable.
«Pendant que j’étais en boule chez nous, avec un verre de vin, bien écrasée à pleurer ma vie (…) que j’ai eu l’appel de mon service à la clientèle qui me disait: il y a un agent de casting qui veut te parler pour une audition (…)», lançait-elle, en expliquant, avoir vu la proposition d’audition pour La déesse des mouches à feu comme un signe.
«(…) La seule raison pourquoi je voulais gagner, c’était pour monter sur la scène, la seule phrase que j’avais préparée c’était pour ma fille (…)», lançait-elle, en expliquant qu’elle aurait alors l’occasion de lui laisser un moment qu’elle pourrait revisionner ensuite.
La chance pour elle de dire à sa fille, devant plusieurs personnes, que oui, elle l’avait vu tomber, mais qu’elle la voyait maintenant se relever.
«Ce que je lui souhaite le plus, c’est d’avoir la force de se relever à chaque fois et de prendre des risques et de se réaliser (…)», affirmait Caroline avec beaucoup d’émotions.
Nous la félicitons pour son courage et lui souhaitons une belle continuité!
Malgré les perpétuelles interventions, les dénonciations à découvert en stories et les reportages sur le sujet, force est d’admettre que plusieurs personnes n’ont toujours pas appris à se comporter avec civisme sur Internet. Ces gens se cachent derrière leur écran pour se permettre des commentaires, voire des insultes très violentes et sans retenue qu’ils ne feraient pas en personne. Et les personnalités connues sont des victimes faciles pour ces trolls qui sévissent sans vergogne sur les réseaux sociaux. Les femmes sont des cibles de choix pour eux, n’hésitant pas à s’en donner à cœur joie pour les rabaisser gratuitement.
Geneviève Pettersen en a donné un bon exemple récemment lors d’une de ses chroniques au 98,5 FM. L’autrice et amoureuse de Pierre-Yves McSween a partagé un des pires messages qu’elle a reçu à la suite d’un segment où Frédéric Labelle et elle discutaient de la décision de la mairesse de MontréalValérie Plante de bloquer les commentaires sur certaines plateformes.
Geneviève poursuit son intervention en lisant un message qu’elle a reçu sur Facebook. Elle met d’abord en garde les auditeurs avant de débuter et nous faisons de même. Les prochains passages pourraient en choquer certains.
«Et là je m’excuse, auditeurs, auditrices, c’est très très cru et ça m’a pris deux jours m’en remettre. C’est pas une joke. T’es une est* de grosse c*nne, je te souhaite la mort ma vieille t*rche sale. Tu ne mérites rien de ce que tu as. Tu devrais fermer ton est* de grande gueule sale et laide. Je peux pas croire que tu te donnes le droit de parler. Je te souhaite de te faire battre jusqu’à la mort vieille cruche. Comment oses-tu parler quand tu n’es qu’une c*nne? (…) Le karma va te rattraper et je t’espère le pire du pire du mal. Je veux te voir écraser par un camion de poubelle et te voir te faire battre des milliers de fois, comme d’après toi, une fois c’est pas assez. Je te souhaite de te faire v**ler jusqu’à ta mort (…)».
Son coanimateur lui demande alors si elle a porté plainte, ce à quoi elle a répondu qu’elle a arrêté de le faire, mais que oui, c’était bel et bien le type de message pour lequel elle aurait pu aller voir la police.
Voici l’intégralité du message en question:
Certaines personnalités ont réagi à la publication de l’animatrice, comme Kim Lizotte et Manal Drissi, en partageant à leur tour leur point de vue sur la violence des commentaires et des messages en ligne.
Kim a partagé le segment audio de Geneviève, accompagné d’une capture d’écran d’un commentaire reçu sous une de ses vidéos. On peut y lire: «Méchante cr*ss de folle! Elle connaît f*ck all. C’est une wannabe humoriste. Sors de ta chambre d’écho est* de folle. Personne pense ce que tu dis! Ast* de folle du cal*ce».
Afin de soutenir les femmes victimes de cette méchanceté gratuite, elle soulève une question simple: Mais pourquoi?
«En soutien à toutes les femmes de la sphère publique qui le vivent régulièrement. C’est normalisé, banalisé, mais c’est ça. On tolère et on continue. Mais pourquoi?», se questionne-t-elle à propos de la violence vécue sur diverses plateformes qui, vraisemblablement, n’arrivent pas à filtrer les agressions.
À son tour, Manal Drissi a soulevé la problématique. Elle est revenue sur sa plus récente expérience sur Facebook, au dévoilement de la bande-annonce d’un projet en collaboration avec Gabrielle Lisa Collard.
Ce simple dévoilement de sa série en développement a provoqué une vague de commentaires méchants sur Facebook. En réaction à ces derniers et à la publication de Geneviève, elle a tenu à rappeler ce qu’implique être une femme ou un individu marginalisé dans la sphère publique. La mairesse de l’arrondissement Côte-des-Neige–Notre-Dame-de-Grâce, Gracia Kasoki Katahwa, en sait également quelque chose.
À titre informatif, voici une mise en contexte de ce qu’a vécu la mairesse de l’arrondissement montréalais:
Tout ça se déroule au ici, au Québec, mais sachez que cette misogynie est présente partout ailleurs. Afin de vous informer et de prendre conscience de l’ampleur des dégâts qu’elle cause, nous vous invitons à visionner le documentaire Je vous salue salope de Léa Clermont-Dion et Guylaine Maroist.
C’est du 16 au 22 septembre 2024 que se déroulera la semaine de la mode de Montréal alors que plusieurs créateurs, manufacturiers, détaillants et écoles se réuniront afin de célébrer la mode locale.
Des lancements de collections, des défilés, des visites d’atelier, des conférences et des événements de magasinage seront au rendez-vous toute la semaine au grand plaisir des fanatiques de mode.
D’ailleurs, le lancement de la quatrième édition de cette semaine festive commencera en force le 16 septembre de 17h à 21h à l’Atrium des Grands Ballets.
Le mercredi 18 septembre, rendez-vous au Musée McCord Stewart pour l’événement signature qui sera dédié à l’histoire de nos vêtements, tandis que le 19 septembre, Mennillo Designs fera défiler ses collections exclusives de l’automne 2024 et de l’hiver 2025.
Ne manquez surtout pas le 20 septembre, le marché collectif vintage et seconde main alors que cette soirée festive sera accompagnée de musique live et de boissons.
Finalement, Geneviève Borne, Heidi Hollinger et Rhodie Lamour défileront le 21 septembre et un DJ sera présent pour divertir les invités.
Cette semaine mode est idéale afin de découvrir les produits de nos créateurs d’ici et d’en savoir plus sur ce domaine incroyable!
«Cette semaine est unique de par l’exclusivité des marques locales. Il est essentiel d’inviter la population à encourager, mais surtout s’intéresser, au-delà de la mode d’ici, qui est complète et fait concurrence aux grandes marques d’ailleurs», a expliqué Vickie Joseph, présidente du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, fondatrice de V Kosmétik et co-fondatrice du Groupe 3737.
La FDA (Food and Drug Administration) a récemment adressé une lettre exprimant son mécontentement concernant une publicité télévisée mettant en vedette la joueuse de tennis Serena Williams, en indiquant que celle-ci contient plusieurs affirmations trompeuses pour le public.
Selon la FDA, la publicité trompeuse présente Serena Williams, la championne de tennis, souffrant d’une crise de migraine sévère et de sensibilité à la lumière dans son vestiaire.
Cependant, peu après, elle est montrée en train de rire et de sourire. Ensuite, elle apparaît avec enthousiasme, marchant sur un chemin bleu à travers les rideaux de scène et saluant le public.
Pendant ce temps, une voix off affirme que le médicament élimine rapidement la douleur de la migraine, tandis qu’un texte à l’écran indique que Ubrelvy soulage rapidement la douleur des migraines.
La FDA soutient que, bien que l’Ubrelvy offre un bénéfice thérapeutique significatif aux personnes souffrant de migraines, la publicité donne une impression trompeuse de son efficacité réelle.
La FDA met en avant deux préoccupations majeures dans ses explications: la vitesse à laquelle le médicament contre les migraines agit et l’implication dans la publicité que les symptômes de la migraine, (comme la douleur mais aussi la photophobie, la phonophobie et les nausées) disparaîtront complètement après la prise du médicament.
La FDA souligne l’importance de la précision dans la publicité pour les médicaments, affirmant que l’efficacité de l’Ubrelvy est exagérée dans la publicité avec Serena Williams.
Selon la FDA, Ubrelvy mettrait environ deux heures à agir, contrairement à ce qui est suggéré dans l’annonce, et environ 78% à 81% des patients ne parviennent pas à obtenir un soulagement complet de la douleur après une seule dose, selon les études cliniques.
Finalement, en plus de tromper sur le délai d’action de deux heures, l’affirmation selon laquelle «une dose élimine la douleur de la migraine» est également trompeuse, car seulement environ 19% à 22% des patients ont été libérés de douleur deux heures après avoir pris une dose d’Ubrelvy.
Le tournage a eu lieu quelques semaines auparavant, et c’est encore une fois le coiffeur Kevins-Kyle Lambert et son équipe qui étaient responsables des coiffures cette année. Nous avons eu l’occasion de discuter avec lui pour obtenir quelques exclusivités sur les préparatifs.
C’est ta deuxième année pour OD, comment ça s’est passé cette année en comparaison avec l’année dernière?
«Bonne question! C’était très différent dans le sens où on savait où on s’en allait. La production nous faisait beaucoup plus confiance au niveau des twists. L’année passée, j’avais beaucoup moins d’infos que cette année […]. Je savais à l’avance tout ce qui allait se passer sur le tapis, et en tant que fan, parce que j’adore le show, c’était vraiment agréable d’être dans la confidentialité totale et de savoir ce qui s’en venait. Mais, il fallait aussi que je joue le jeu, en mode Monsieur-je-ne-sais-pas chaque fois que les gars ou les filles me posaient des questions. Il fallait vraiment que je fasse semblant de ne rien savoir, de ne rien comprendre. Ce n’était pas parce que je ne savais pas, c’était juste pour éviter de donner des informations […] Eux, ils ne savent pas combien de filles ou de gars il y a en tout, donc chaque détail compte. Ils vont jusqu’à compter le nombre de pommades ou d’huiles Angel pour essayer de soutirer des informations.»
Est-ce qu’il y a de la préparation pour les candidates avant de quitter pour le Mexique?
«Oui, définitivement, pour certaines candidates, comme Catherine L., par exemple. Elle était brune, mais c’était une demande de la production de lui éclaircir les cheveux parce qu’il y avait une autre Catherine. On ne voulait pas avoir deux Catherine brunes. Donc, on a gardé Catherine Fidiadis avec sa couleur brune très foncée, et on a éclairci Catherine L. Elle se demandait: Pourquoi vous me pâlissez les cheveux?, mais on ne pouvait pas lui dire que c’était parce qu’il y avait une autre Catherine. Elle allait avoir une belle surprise sur le tapis rouge! D’ailleurs, Catherine Fidiadis, on lui a coupé les cheveux très, très courts, même si, sur son portrait, elle avait les cheveux extrêmement longs.
Catherine, c’est une amie dans la vie, donc ce qui était délicat, c’est qu’elle ne pouvait pas me dire qu’elle faisait OD. Elle m’avait demandé: Kev, est-ce que je peux venir me faire poser des rallonges chez toi?, et moi, j’étais comme: Non, Catherine, cet été, je suis en congé avec mes enfants et je me garde pour OD. Mais, ensuite, elle est allée se faire faire des extensions ailleurs. Quand j’ai appris par la prod qu’elle participait au show quelques semaines plus tard, j’étais sous le choc, j’étais comme: No way!. La prod m’a demandé: Est-ce que tu l’as déjà vue avec les cheveux courts? et moi, j’étais comme: Bien, oui, je vais vous le dire, je la connais. Ils m’ont dit: Serais-tu capable de la convaincre de les recouper courts, on l’aimait mieux les cheveux courts […]. Je l’ai appelée, et on a décidé de lui recouper les cheveux courts. Je pense qu’elle n’était pas prête pour son look du tapis rouge, mais excuse-moi l’expression, elle fessait dans le dash!»
Est-ce toi qui choisis les coiffures des filles et des garçons? Est-ce qu’ils ont leur mot à dire?
«Je te dirais que c’est un mélange entre la production, mon équipe et le participant. Par exemple, pour Catherine L., on lui a proposé de devenir blonde. Si elle n’avait pas voulu, ça n’aurait pas eu lieu. Nous, on fait des propositions, et si elles sont d’accord, on fonce. La production n’avait pas d’idée préconçue sur le blond. C’est moi qui suis allée vers un blond naturel, très sablé et beige, mais ça, c’était mon idée. Ensuite, pour Catherine, je lui ai fait des extensions parce que Majestix, la compagnie qui nous commandite les extensions, a proposé de lui donner un peu de volume, et elle a accepté. Elles sont libres de dire oui ou non, mais je te dirais qu’à 95%, elles nous laissent vraiment carte blanche et ont une confiance aveugle envers nous.»
Qui a été le ou la plus difficile à coiffer?
«Je te dirais que c’était vraiment difficile avec l’humidité. J’ai fait des stories là-dessus pour rire, mais le taux d’humidité le plus élevé lors du tapis rouge était de 89%. Pour te donner un exemple, à 100%, c’est du brouillard, c’est carrément de l’eau […] On avait déjà baissé les attentes des filles, car elles voulaient vraiment des waves très prononcées […] parce que je feelais, moi, naturellement en direction artistique, je voulais un look beaucoup plus effortless cette année, plus naturel. On est au Mexique, on pense à la plage, à un style: J’ai fait mes cheveux vite fait […] Je ne voulais pas que les coiffures ressemblent à celles d’un bal de finissants […].
Pour Kristina, la rousse, on lui a monté une tête de rouleaux, ses cheveux étaient phénoménaux, genre on est à l’air climatisé, ses cheveux sont super beaux. C’était personnellement un de mes looks préférés […]. Mais, dès qu’elle est sortie de la chambre pour aller au tapis rouge, elles ont peut-être une minute et demie de marche avant d’arriver sur le plateau de tournage, et pendant une minute et demie, il n’y avait plus de forme, ses cheveux étaient écrasés sur sa tête. En littéralement une minute et demie, j’ai dû la refriser avec un petit fer à batterie d’environ un demi-pouce, mais ce n’était pas le look supposé. Une chance, les candidates jouent bien le jeu!»
Kate Middleton est en rémission, a révélé elle-même la princesse avec émotion dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.
Elle a annoncé la fin de ses traitements de chimiothérapie et a exprimé son soulagement de voir cette étape de son combat contre le cancer enfin terminée.
Middleton, actuellement en convalescence, a aussi annoncé qu’elle commencera bientôt à reprendre certaines de ses activités royales. Elle a souligné que la guérison complète sera un processus long et qu’elle doit continuer à vivre chaque jour au fur et à mesure, tout en prévoyant un retour progressif à ses fonctions.
Rappelons qu’en mars dernier, la princesse a surpris tout le monde en annonçant qu’elle était atteinte d’un cancer, après une intervention chirurgicale majeure à l’abdomen effectuée quelques mois plus tôt en janvier.
Kate, après avoir passé plusieurs semaines à l’hôpital, était en convalescence et est restée à l’écart des regards, sauf à quelques occasions dernièrement.
L’annonce de Kate apporte sans doute un regain d’espoir et de soulagement à ses fans, qui ont été à ses côtés tout au long de ce difficile combat contre le cancer, une épreuve à la fois effrayante et imprévisible.
Netflix met sur pieds des soirées thématiques pour ses séries populaires. La plus récente était sous le thème d’Emily in Paris, et plusieurs créatrices de contenu ont pu en profiter!
C’est le cas de Noémie Marleau, grande gagnante d’Occupation Double Chez Nous, qui a publié quelques stories donnant envie d’être de la partie.
Pour l’occasion, Noémie s’est mise en beauté, vêtue d’un ensemble blanc agencé à un sac à main de la même couleur.
Les invités ont même reçu une petite boîte-cadeau très mystérieuse…
Que comprenait-elle? Des macarons?
Toutefois, le moment dont nous sommes particulièrement jaloux est la rencontre avec deux acteurs de la série: Bruno Gouery (Luc) et Samuel Arnold (Julien). Leurs personnages donnent beaucoup de caractère à la série!
«Sur ma télé ce matin, et maintenant juste devant moi un lundi soir à Montréal», écrivait Noémie, qui, nous le parions, était particulièrement heureuse de pouvoir les voir!
D’autres créatrices de contenu comme Aïssa St-Jean, accompagnée de son amoureux et Emy-Jade Greaves étaient aussi de l’événement.
Pâtisseries, champagne, cadeaux, invités spéciaux et glamour, tout pour une soirée réussie!