Catégories
Ton petit look

Cet ouvrage sur l’anxiété réunit les plumes de plusieurs personnalités comme Safia Nolin et Stéphanie Boulay

Les chanteuses Safia Nolin et Stéphanie Boulay ont notamment participé au projet!

Un nouvel ouvrage collectif sur l’anxiété sera bientôt publié sous KO Éditions et il y a plusieurs personnalités connues qui ont participé à son écriture. Le collectif Stresse pas, minou! est dirigé par Joanie Pietracupa, la rédactrice en chef des magazines VÉRO, ELLE Québec et ELLE Canada. Elle-même assez connue sur les réseaux sociaux et possédant un diagnostic de trouble anxieux généralisé, Joanie Pietracupa a eu l’idée de démystifier l’anxiété en réunissant les plumes de plusieurs femmes vivant avec ce trouble sous une forme ou une autre.

En tout, dix femmes, dont plusieurs sont assez connues, ont participé à la rédaction du collectif. On retrouve notamment les plumes de Stéphanie Boulay, Juliette Bélanger-Charpentier, Gabrielle Boulianne-Tremblay, Catherine Ethier, Florence K, Gabrielle Lisa-Collard, Caroline Décoste, Vanessa Destiné et Ines Talbi. Safia Nolin signe aussi les magnifiques images qui ponctuent les pages et la couverture de l’ouvrage.

Stresse pas, minou! n’est pas un livre de psychologie et n’offre pas de conseils. Au contraire, il s’agit d’un ouvrage qui réunit les voix de différentes femmes en leur permettant de raconter l’anxiété de l’intérieur, comme elles la vivent. Les textes ont un donc un style plutôt littéraire et sont à la fois drôles, lumineux et émouvants.

Le livre sera disponible en librairie dès le 7 septembre 2022.

Catégories
Ton petit look

Sophie Grégoire-Trudeau écrit un livre sur la santé mentale

Elle a aussi commenté la situation avec Lisa LaFlamme…

Sophie Grégoire-Trudeau a été plutôt discrète dans les derniers mois, mais la voici de retour.

Dans le cadre d’une entrevue donnée à TVA Nouvelles, elle explique que la pandémie n’a pas été facile pour elle, surtout en tant que femme du premier ministre du pays. En effet, c’est elle qui a dû garder le fort à la maison et s’occuper des enfants, et elle souligne qu’elle n’a jamais arrêté de travailler au cours des dernières années, sauf que ce travail est bénévole en quelque sorte. Ce n’est pas la première fois qu’une femme s’exprime sur la charge de travail réelle que représente le fait de s’occuper d’une maison, des enfants, du quotidien, etc.

Dernièrement, Sophie Grégoire-Trudeau travaille à l’écriture d’un livre sur la santé mentale. Ce sujet lui est très cher et elle s’implique énormément afin d’améliorer la santé mentale des Canadiennes et Canadiens, surtout les jeunes. Toujours très ouverte, elle explique avoir elle-même souffert de journées plus difficiles que d’autres.

«Je pense que si vous posez la question à toutes les personnes qui ont fait de la politique, c’est certain qu’il y a des journées plus faciles que d’autres. Nous sommes des êtres humains, mais c’est important de rester terre à terre à la maison. Je me rappelle souvent que, peu importe les projecteurs qui sont là, il faut rester ancré», exprime-t-elle.

Durant la même entrevue, elle aborde aussi un autre sujet qui lui tient à cœur: le féminisme et la place des femmes dans la société. Sophie Grégoire-Trudeau en a profité pour commenter deux sujets chauds de l’actualité, soit le congédiement précipité de Lisa LaFlamme ainsi que les sévères critiques à l’endroit de la Première ministre de la Finlande suite au partage d’images d’elle en train de danser et de faire la fête.

Dans le premier cas, Sophie Grégoire-Trudeau souhaite qu’on connaisse le fond de l’histoire sur les raisons du congédiement de Lisa LaFlamme et dans le deuxième cas, elle affirme que la vie privée d’une femme, peu importe qu’elle soit une personnalité publique ou non, lui appartient et ne devrait pas être une source de polémique si les actions posées le sont dans le respect d’autrui.

Elle partage d’ailleurs une interrogation des plus pertinentes: est-ce que le traitement de la situation aurait été le même si ça avait été un homme dans la même situation que la Première ministre de la Finlande?  

Catégories
Ton petit look

Emma Watson fait ses débuts en réalisation avec une magnifique campagne pour Prada

La star y tient aussi le rôle principal.

Emma Watson a fait ses débuts en réalisation en dirigeant une magnifique campagne pour le tout nouveau parfum de Prada: Paradoxe. Cette nouvelle fragrance cherche à célébrer les dimensions multiples des femmes et à briser les cadres dans lesquels la société cherche à les mettre. Le court-métrage d’Emma Watson joue donc sur cette idée des dimensions multiples avec un visuel impressionnant.

Dans la campagne vidéo d’une minute trente secondes, on aperçoit Emma Watson sous différents aspects et dans différentes scènes. L’actrice s’occupe aussi de la narration et on peut l’entendre dire des choses inspirantes comme:

«Oui, parfois j’ai peur. Mais mes rêves me poussent vers l’avant. Je suis associée à la vie elle-même. Je ne suis jamais la même. Mais je suis toujours moi-même.»

Dans une publication Instagram, Emma Watson explique que lorsqu’elle s’est fait approcher par Prada pour être le visage de leur nouvelle fragrance, elle a demandé si elle pouvait aussi réaliser la campagne vidéo.

La marque a accepté, et on doit dire que le résultat est franchement impressionnant et très artistique.

Comme le rapporte Fashion Network, l’actrice a expliqué dans une entrevue qu’elle espère que les valeurs portées par la nouvelle fragrance de Prada encouragent les femmes à explorer les différentes facettes d’elles-mêmes et à exprimer qui elles sont réellement.

Catégories
Ton petit look

Léa Clermont-Dion a interviewé Donna Zuckerberg pour son film sur la misogynie

Le film sera à l’affiche cet automne!

Léa Clermont-Dion n’en est pas à son dernier projet d’intérêt social! L’autrice travaille depuis quelque temps sur un film traitant de la misogynie à l’ère du numérique, et ce dernier sera à l’affiche cet automne. Quelques informations et nouvelles sur ce projet ont été publiées sur les réseaux sociaux via le compte Instagram du film, dont notamment les protagonistes qui participeront par le biais de témoignages.

Récemment, Léa Clermont-Dion a annoncé sur son compte Instagram personnel qu’une des protagonistes interviewées est Donna Zuckerberg, la sœur de Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook. Cette entrevue s’annonce très intéressante puisque Donna Zuckerberg est une spécialiste des groupes antiféministes qui sévissent sur le web. D’ailleurs, Léa Clermont-Dion a lu ses écrits lors de ses propres recherches doctorales! Pour le film Je vous salue salope – La misogynie au temps du numérique, Léa Clermont-Dion et Guylaine Maroist, l’autre cinéaste au cœur du projet, sont allées s’entretenir avec Zuckerberg sur le sujet.

https://www.instagram.com/p/ChiIDiopmmf/

Le film promet d’être très pertinent et éclairant sur un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur, soit le harcèlement et la violence faite aux femmes sur le Web. Le film présente aussi les témoignages percutants de quatre femmes ayant vécu de grandes violences en ligne, et parfois même en personne. On découvrira les récits d’une ex-représentante démocrate américaine, Kiah Morris, d’une enseignante vivant avec le harcèlement d’un ancien collègue de classe depuis plus de cinq ans, Laurence Gratton, d’une YouTubeuse française ayant reçu plus de 40 000 messages sexistes, incluant des menaces de viol et de mort, Marion Seclin et de l’ex-présidente du parlement italien, Laura Boldrini.

Le film sera à l’affiche dès le 9 septembre dans plusieurs cinémas au Québec. Vous pouvez trouver plus d’informations sur ce projet juste ici.

Outre ce film pertinent, Léa Clermont-Dion a récemment annoncé qu’elle animera une formation sur le consentement pour les candidats et candidates d’Occupation Double! L’autrice, réalisatrice et professeure ne chôme définitivement pas, et on adore la voir aller dans ses multiples projets!

https://www.instagram.com/p/ChZ2oDagtgR/
Catégories
Ton petit look

Linda Evangelista fait un magnifique retour avec British Vogue et y va de plusieurs révélations

La top-modèle s’est ouverte sur la procédure qui a tout changé et sur ses premières années dans le mannequinat.

Linda Evangelista était un des plus grands noms dans l’industrie de la mode. Pendant de nombreuses années, la top-modèle était partout avec ses grands yeux bleus et son talent tant pour poser que pour défiler. Puis, un jour, elle a complètement disparu. On ne la voyait nulle part, alors que ses compatriotes top-modèles comme Naomi Campbell, Cindy Crawford et Claudia Schiffer continuaient de faire des apparences remarquées.

Il y a quelques mois, l’ancienne top-modèle a fait sa première sortie publique en plus de cinq ans afin d’expliquer qu’elle a été victime d’une forme rare de complication à une procédure esthétique appelée CoolSculpting. Et tout récemment, Linda Evangelista est revenue sous les feux des projecteurs avec le British Vogue! Elle est la covergirl pour le magazine de septembre, et elle en a profité pour partager où elle en est rendue aujourd’hui dans son cheminement physique et émotionnel.

L’industrie de la mode est très dure sur les actrices qui la composent. C’est un peu ce qu’explique Evangelista dans son entrevue avec le British Vogue. Le rythme est effréné et les attentes sont hautes. Après plusieurs années passées sous les feux de la rampe, la top-modèle a succombé à l’appel de la modification esthétique, et cette décision lui a malheureusement coûté sa carrière durant quelques années. Si Evangelista affirme qu’elle n’a aucun problème à voir les signes de l’âge sur son visage, elle explique que les changements de son corps étaient plus difficiles à accepter.

La société est difficile avec les femmes qui vieillissent, alors qu’elle l’est bien moins avec les hommes. Et ces exigences sont encore plus réelles pour toutes les femmes qui travaillent dans l’industrie de la mode et de la beauté. Il ne faut pas chercher bien loin pour comprendre pourquoi Evangelista a fini par succomber à la pression des procédures esthétiques…

Dans son entrevue avec le British Vogue, la top-modèle revient aussi sur ses débuts professionnels. Quand elle avait 16 ans, une agence au Japon l’a approchée et lui a fait signer un contrat. Une fois sur place, les conditions étaient loin d’être idéales (un appartement miteux et aucun accompagnement) et lors de sa première rencontre avec l’agence, elle s’est fait rapidement demander de poser nue. Il y a quelque chose de réellement problématique avec le fait de demander, voire forcer, une jeune fille de 16 ans de poser nue. Heureusement, à ce moment, Linda Evangelista a choisi de partir et de ne pas se plier aux exigences de l’agence. Elle est par la suite rentrée chez elle. Toutefois, son histoire est loin d’être isolée et de nombreux témoignages horrifiants dans le même genre ont souvent fait les manchettes. L’industrie du mannequinat est vaste, et les pratiques sont parfois douteuses.

Vers la fin de l’entrevue, la top-modèle se permet de préciser que son visage a été soulevé à l’aide de collants et d’élastiques. Elle tenait à avoir cette transparence, et on l’admire pour cela!

Vous pouvez découvrir son entrevue complète juste ici.

Catégories
Ton petit look

Âgisme et sexisme? Une enquête indépendante sera faite dans l’affaire du congédiement de Lisa LaFlamme

Cette nouvelle a pris tout le monde au dépourvu cette semaine…

La semaine a débuté avec une vraie onde de choc dans le milieu journalistique: dans une vidéo publiée sur Twitter, la cheffe d’antenne Lisa LaFlamme a annoncé son congédiement surprise après 35 années de carrière et loyaux services pour CTV.

Dans la vidéo, Lisa LaFlamme exprime de l’étonnement ainsi que de la tristesse suite à cette décision qui tombe comme une vraie surprise pour la professionnelle. Alors qu’il restait encore 2 ans à son contrat, la cheffe d’antenne se serait fait dire par Bell Média, qui détient la chaîne CTV, qu’une «décision d’affaires [avait été prise] de terminer [son] contrat», comme le rapporte le Journal de Montréal.

À ce jour, la vidéo de Lisa LaFlamme a été vue plus de 4,4 millions de fois et a récolté de nombreuses réactions de soutien. D’ailleurs, depuis cette annonce, le soulèvement et l’indignation populaires sont grands.

Cette situation malheureuse pousse au questionnement et plusieurs personnes soupçonnent que la cheffe d’antenne a été victime d’âgisme et de sexisme de la part de Bell Média.

Considérant que Lisa LaFlamme a été remplacée par un journaliste de 39 ans, Omar Sachedina, et que de nombreuses rumeurs courent sur le fait que le chef de CTV News, Michael Melling, aurait passé des commentaires sur la couleur de cheveux de la journaliste, il est difficile de ne pas se questionner sur les réelles raisons de ce congédiement surprise.

Pour les personnes qui ne sont pas trop au courant du dossier, il importe de préciser que Lisa LaFlamme a pris la décision en 2020 de laisser ses cheveux à leur couleur naturelle, soit le gris. Elle a obtenu beaucoup d’appui et de reconnaissance de la part de nombreuses femmes au Canada pour cette décision audacieuse dans un monde où l’apparence est souvent scrutée à la loupe.

Dans un article du Globe and Mail, on apprend toutefois que la journaliste aurait été victime de commentaires sur ses cheveux et que ceux-ci auraient posé problème à Michael Melling. D’autres conflits en lien avec les conditions de travail de certaines équipes journalistiques auraient aussi ajouté de l’huile sur le feu entre les deux professionnels.

Comme la grogne populaire et les rumeurs vont bon train, c’est sans surprise que Bell Média a décidé d’ouvrir une évaluation indépendante de la salle de nouvelles de CTV.

«Nous avons toujours pris très au sérieux les questions liées à tout type de discrimination et nous sommes engagés à offrir à tous nos employés un milieu de travail sécuritaire, inclusif, respectueux et exempt de comportements toxiques», a expliqué la haute direction de Bell Média, par voie de communiqué, comme le rapporte TVA Nouvelles.

Les conclusions de cette évaluation seront très certainement attendues avec impatience par de nombreuses personnes.

Le milieu journalistique n’en est pas à sa première injustice envers les femmes, et si un réel cas d’âgisme et de sexisme est au cœur du congédiement surprise de Lisa LaFlamme, une grande remise en question est plus que nécessaire.

Catégories
Ton petit look

Frances Bean Cobain s’ouvre sur ses défis en santé mentale

Frances Bean Cobain a récemment eu 30 ans!

La fille – et unique enfant – de Kurt Cobain, Frances Bean Cobain, a récemment partagé une publication touchante sur Instagram. Elle y a notamment abordé ses problématiques de santé mentale dans la dernière décennie ainsi que ses sentiments par rapport au fait qu’elle a maintenant 30 ans.

Dans sa publication Instagram, elle affirme assez ouvertement qu’elle n’était pas certaine de se rendre jusqu’à ses 30 ans. Elle explique que sa vingtaine a été ponctuée de difficultés et de traumas, et qu’elle a développé des mécanismes de défense destructeurs suite à ses expériences.

On peut imaginer les défis que la jeune femme a pu avoir à vivre, surtout considérant qu’elle a perdu son père à un si jeune âge – elle avait tout juste un an quand Kurt Cobain s’est enlevé la vie. Faire son deuil lorsque la personne est autant connue et revient fréquemment dans les nouvelles doit être extrêmement difficile.

Frances Bean Cobain poursuit ses explications en disant qu’un incident dans un avion a été le moment déclencheur pour elle. C’est là qu’elle a réalisé que la vie est fragile et qu’elle souhaitait vivre la sienne avec plus de gratitude.

Elle termine son touchant message en partageant une citation de l’auteur Jaiya John: «plus elle devient douce envers elle-même, plus elle devient douce avec le monde». La jeune femme explique que c’est une philosophie qu’elle souhaite adopter et conserver pour les années à venir.

Il est toujours inspirant de voir des personnalités publiques s’ouvrir sur leur santé mentale. Cela contribue à soulever davantage le tabou entourant les problématiques diverses vécues par un grand nombre de personnes.

Catégories
Ton petit look

Eva Longoria appuie les propos de Serena Williams

Serena Williams a annoncé vouloir quitter le monde du tennis récemment afin de réaliser son souhait d’agrandir et de s’occuper de sa famille, mentionnant qu’elle n’aurait pas à le faire si elle était un homme.

La meilleure joueuse de tennis de tous les temps en a surpris quelques-uns en indiquant, via le magazine Vogue, que le décompte était amorcé et qu’elle se retirerait après l’U.S. Open.

À la suite de cette annonce, plusieurs voix se sont rangées derrière elle pour dénoncer le manque d’équité en termes de responsabilités familiales et l’impact de celles-ci sur la vie professionnelle des femmes, dont sa grande amie Eva Longoria, qui approuve la position, le choix et les propos de Serena.

«Si j’étais un homme, je ne serais pas en train d’écrire ceci parce que je serais en train de jouer et de gagner pendant que ma femme s’occupe du travail physique pour agrandir notre famille», a souligné Longoria à People.

«Elle a tout à fait raison. Si c’était une autre époque, si les genres étaient interchangés, elle n’aurait pas à prendre des années de repos pour allaiter. Des années de repos pour guérir d’une césarienne et d’une expérience de mort imminente», lance Eva Longoria.

La célèbre ancienne star de Desperate Housewives a conclu son discours en mentionnant que les femmes pensaient davantage à tout… sauf à elles!

«Les mères portent le poids de tant de responsabilités – pas seulement pour nous-mêmes, pour nos enfants, pour nos mères. Nous sommes des gardiennes, nous sommes des mères, nous aidons la communauté, nous aidons nos collègues de travail, et tant d’autres choses nous incombent. Être une mère signifie une grande chose, cela signifie généralement que vous pensez aux gens en dehors de vous-mêmes. Et cela inclut la planète», conclut Longoria.

https://www.instagram.com/p/Cg2RjysJGNy/?hl=fr
Catégories
Ton petit look

Véronique Cloutier dévoile la nouvelle couverture de son magazine

On retrouve plusieurs personnalités inspirantes sur la couverture!

Bonne nouvelle pour les lectrices et lecteurs du magazine VÉRO, le spécial annuel OSER ÊTRE SOI est désormais disponible en kiosque. Ce numéro volumineux de 146 pages présente de nombreuses personnalités publiques inspirantes comme Anne-Élisabeth Bossé, Boucar Diouf et Guylaine Tanguay.

Ce numéro automnal comprend une tonne de dossiers intéressants en mode, en beauté et en culture. On retrouve notamment une entrevue avec Sonia Vachon, un dossier mode avec les sœurs Boulay comme mannequins vedettes et une entrevue avec Vickie Joseph, la fondatrice de la marque V Kosmetic.

Sur la couverture, ce sont Véronique Cloutier, Tranna Wintour, Nicolas Ouellet, Anne-Élisabeth Bossé, Guylaine Tanguay et Boucar Diouf qui prennent la pose. Entre les pages du magazine, chacune de ces personnalités s’ouvrira sur leur parcours personnel, et on retrouvera aussi des entrevues avec Jessica Barker, Naadei Lyonnais, Virginie Fortin, Marie-Louise Arsenault et Frédéric Pierre. Chacune à leur façon, ces personnes ont « osé être elles » et ont ouvert leur propre chemin.

Ça promet d’être un numéro très intéressant. Découvrez ce nouveau magazine en kiosque dès maintenant!

Psst. Les vêtements portés par Véronique Cloutier sur la couverture du magazine proviennent de sa nouvelle collection d’automne qui sortira en boutique dès le 8 septembre. Restons à l’affût!

Catégories
Ton petit look

Iniquité salariale: Bryce Dallas Howard dénonce avoir été «tellement moins» payée que Chris Pratt

Elle en a fait les frais pour Jurassic World…

Récemment, l’actrice Bryce Dallas Howard s’est prononcée sur l’iniquité salariale basée sur le genre qui sévit encore à Hollywood (et dans la plupart des milieux de travail…). C’est dans une entrevue avec Insider que l’actrice américaine s’est entretenue sur cet enjeu encore tabou, mais bien réel.

L’actrice, qui a participé à tous les films de la trilogie Jurassic World, a confié qu’elle a été payée beaucoup moins que son collègue Chris Pratt. Pourtant, les deux vedettes sont très bien connues, et leur temps d’écran est similaire, donc il n’y a aucune raison pour que l’une d’entre elles soit moins payée que l’autre.

Bryce Dallas Howard explique que lorsqu’elle a négocié son contrat en 2014, les discussions sur l’équité salariale à Hollywood n’étaient pas encore présentes, ce qui l’a placée en situation désavantageuse.

Et malheureusement, le contrat est signé pour l’ensemble de la trilogie, donc malgré le succès retentissant des films, l’actrice n’a pas pu obtenir un meilleur salaire pour son travail.

L’actrice a toutefois discuté de la situation avec Chris Pratt qui s’est engagé à négocier en sa faveur avec les producteurs. Son intervention lui a permis d’obtenir de beaux contrats sur les dérivés de la franchise, comme des parcs d’attractions et des jeux vidéo.

Cette situation précise nous rappelle l’importance d’avoir des alliés qui prennent la parole et font front commun avec les femmes pour lutter contre les injustices en tout genre.

Même si idéalement, Bryce Dallas Howard aurait pu négocier et se faire entendre des producteurs sans l’intervention de Chris Pratt, la réalité est encore autre, et il reste du chemin à faire avant d’atteindre une réelle égalité entre les genres.