Si vous aimez écouter des podcasts, on a une nouvelle suggestion pour vous : Very Moi, le podcast de Pascale-Lou Angelillo! Pascale-Lou a œuvré dans le milieu des magazines québécois durant de nombreuses années, ce qui lui a permis d’accumuler un bon bagage de connaissances sur tout plein de sujets. Elle est passionnée de sport et de tendances, et elle a toujours des choses très intéressantes à raconter!
Étant une personne très authentique, Pascale-Lou souhaitait avoir une plateforme qui lui ressemblait. C’est pourquoi elle a lancé son podcast où elle rencontre plusieurs personnalités publiques intéressantes comme l’animatrice Sabrina Cournoyer ou la directrice des opérations de la ligne canadienne élite de basketball, Annie Larouche.
Chaque jeudi, un nouveau podcast est lancé sur plusieurs plateformes (Spotify, Apple Podcast et Google Play). Chaque épisode nous permet d’écouter de belles conversations autour de plusieurs sujets qui nous font réfléchir!
Let’s Bond est un collectif de jeunes gens d’affaires montréalais qui œuvre pour faire la promotion d’une plus grande ouverture face aux problématiques de santé mentale. Chaque année, le collectif organise des événements spectaculaires, comme le fameux Bal urbain Let’s Bond, mais pandémie oblige, il faut se réinventer! C’est pourquoi les professionnels derrière le collectif ont pensé à faire un événement virtuel pour lever des fonds pour la cause de la santé mentale.
L’événement aura lieu le 15 avril prochain à 19h30 et les participants auront l’occasion d’assister à une performance en direct avec le duo électro musical SOFI TUKKER. Cet événement est présenté en collaboration avec la plateforme virtuelle Yoop et RBC x MUSIQUE.
Les billets se vendent au coût de 24,95$ et tous les profits de la vente iront aux deux organismes partenaires de Let’s Bond : la Fondation Jeunes en Tête et la Fondation Douglas.
La performance sera disponible pour visionnement pendant 24 heures après l’événement.
Vous pouvez acheter les billets et obtenir plus d’informations ici.
Vous avez terminé la première saison sur Netflix, parfait remède d’évasion pendant cette pandémie grise et interminable ?
Vous avez adoré et, comme moi, vous attendez la suite ?
À ce jour, nous ignorons encore la date de diffusion de cette suite tant espérée.
Que faire ?
Faites comme moi et lisez les romans de Julia Quinn. Jusqu’à maintenant, 4 tomes ont été traduits en français et chacun porte le nom d’un des enfants Bridgerton: Daphné, Anthony, Benedict, Colin
Voici 5 bonnes raisons de lire les 8 tomes:
1. La famile Bridgerton
Dans chaque livre, l’un des enfants Bridgerton est le personnage principal. Nous le suivons dans sa quête personnelle et amoureuse. Nous le découvrons à travers sa famille et son cercle social. Nous apprenons à mieux connaître la personnalité de chacun.e et assistons à l’évolution des liens familiaux.
2. Lecture douce
Les romans, se situant dans les années 1800, sont écrits avec un style moderne comparativement aux romans historiques plus descriptifs.
Les chapitres sont courts et remplis de dialogues. Cela ne nous prend pas la tête et procure un bon divertissement.
3. Une fin heureuse
Vous savez, dès le début du livre, que malgré les embûches et les affres de la vie, le personnage trouvera l’amour et vivra heureux. Un peu facile dites-vous ? Pourquoi ne pas se permettre une petite douceur de temps en temps, je réponds.
4. Plus que de la romance
Les personnages seront confrontés à leur rôle dans la société, à leur identité dans la famille, à une remise en question face aux rôles
prédéfinis des hommes et des femmes.
5. Des indices pour la suite
Au cours de votre lecture, vous trouverez réponse à plusieurs de vos
questions:
Qui est (vraiment) Lady Whistledown ?
Pourquoi a-t-on vu des abeilles dans la série télé ?
Marilou Bourdon de Trois fois par jour a annoncé une super nouvelle via sa page Facebook! Comme l’entrepreneure produit certains items textiles comme des sacs à lunch et des nappes, elle a souvent des excédents de tissu et cela occasionne des pertes pour l’entreprise. Plutôt que de gaspiller ces tissus et créer des déchets avec les retailles, la créative maman a décidé de confectionner des chouchous pour les cheveux avec les tissus!
“Ben voyons! C’est quoi le rapport entre Trois fois par jour pis des chouchous”, que vous vous demandez fort…
C’est la meilleure idée! En plus d’être plus respectueuse pour l’environnement, l’entreprise se dote d’un nouveau produit trop mignon et tendance. Les élastiques se détaillent entre 8,95$ et 11,95$ et il y a deux modèles principaux : un avec boucle et un sans boucle. Chacun de ces deux modèles vient en quelques coloris et imprimés différents.
Ne tardez pas trop à mettre la main sur ces adorables élastiques à cheveux ; un modèle est déjà épuisé!
La compagnie québécoise Rose Buddha est reconnue pour ses leggings écoresponsables et éthiques fabriqués au Québec à partir de 80% de bouteilles recyclées. Ayant permis de sauver 7 millions de bouteilles de plastique des océans et des sites d’enfouissement depuis leurs débuts avec la compagnie, les cofondatrices de la marque, Madeleine Arcand et Maxime Morin, innovent encore aujourd’hui en proposant maintenant une jolie bralette zéro déchet.
Si vous ne connaissez pas vraiment le processus de fabrication d’un vêtement, vous ne vous doutez probablement pas de tous les déchets qui peuvent être créés par le transport de la matière première, puis de la marchandise (particulièrement lorsqu’elle n’est pas locale) et de toutes les étapes intermédiaires. La coupe du tissu pour créer les morceaux à assembler pour les leggings, par exemple, provoque nécessairement des retailles qui sont trop petites pour être utilisées afin de créer une autre paire de leggings. Ces morceaux sont souvent jetés.
Afin de réduire ses déchets, Rose Buddha a donc décidé d’utiliser ces retailles qui se retrouveraient autrement à la poubelle afin de créer une jolie bralette; astucieux et écolo! Il est évalué que cette bralette permet de sauver 2 bouteilles de plastique des dépotoirs ce qui est une très bonne nouvelle.
Quelle place occupent les femmes dans le monde de l’art? Le Centre Pompidou ébauche une réponse à cette vaste question dans un MOOC intitulé Elles font l’art. Le musée parisien avait déjà abordé le sujet en 2009, lors de son exposition elles@centrepompidou, qui avait pour objectif de réunir des œuvres contemporaines réalisées exclusivement par des femmes artistes. Ce cours en cinq séquences dresse les portraits de créatrices du vingtième siècle et donne la parole à des historiennes de l’art. L’autrice de bandes dessinéesPénélope Bagieu, bien connue pour sa série Culottées, a même été invitée à illustrer les différentes parties. En plus d’être engagée et intéressante, la formation est aussi entièrement gratuite. Un vrai bon coup à ne pas manquer!
Où sont les femmes dans l’histoire de l’art?
L’introduction est consacrée à Linda Nochlin. Dans les années 1970, cette historienne publie un article intitulé « Why have there been no great women artists? » qui ouvrira une brèche dans un milieu jusqu’ici dominé par les hommes. Elle est considérée comme une pionnière, une sorte de première féministe de l’histoire de l’art. Dans une entrevue, elle met en lumière le fait que les femmes sont absentes des musées. Cela pouvait s’expliquer auparavant par le fait qu’elles n’étaient pas autorisées à se former aux Beaux-Arts. Elles pouvaient certes faire leurs classes pour pratiquer peinture ou sculpture en tant qu’amateur.trice.s mais les portes des écoles professionnelles leur sont très longtemps rester fermées. Aujourd’hui, elles y ont accès, et pourtant le problème perdure: très peu de leurs travaux sont exposés dans les institutions.
Une traversée du vingtième siècle : de 1910 à nos jours
La suite du cours est construite de façon chronologique afin de mieux rendre compte de l’évolution du mouvement féministe dans les arts, prenant comme modèles des artistes du monde entier. Les débuts de l’art au féminin sont étroitement liés à l’industrie de la mode et du design. Si les femmes ont le droit de créer, elles n’ont pas encore accès à ce statut d’artiste et sont « reléguées » au rang d’artisanes du quotidien, de l’utile. Les années passent et les voix s’élèvent plus fort. Les œuvres se veulent subversives. Les femmes n’hésitent pas utiliser leur corps comme matière première, pour dénoncer leur objectification. Elles se mettent en scène, se photographient, expérimentent et confrontent leurs collègues masculins sans détour.
Le musée de demain peut-il être féminin?
Parce que le MOOC du Centre Pompidou n’a pas simplement une vocation informative, il s’achève sur les perspectives d’avenir. Nombreux sont les combats qui restent à mener, les chemins à défricher. Depuis les années 1980, il ne s’agit plus seulement de féminité, mais c’est l’idée même du genre qu’on interroge. On questionne toutes les normes, la lutte qui appartenait aux femmes s’étend maintenant à de nombreuses autres minorités. Elles ont ouvert un débat qui ne cesse de s’enrichir, qui s’ouvre à d’autres communautés marginalisées. Le mouvement prend de l’ampleur et le moment est proche de réécrire l’histoire de l’art, d’en livrer une version actualisée, qui redonne à chacun.e sa juste place.
Envie de suivre le MOOC ? Facile : il suffit de vous rendre sur la plateforme FUN. Et si vous y prenez goût, le Centre Pompidou a promis de diffuser une suite au printemps : Elles font l’abstraction.
Nuances self-care a été fondée par Keisha Lamptey et Adeline Louison, deux jeunes femmes de la communauté noire. C’est en réalisant qu’il y avait un manque de produits adaptés aux peaux et aux cheveux des différentes personnes issues de la communauté noire que les fondatrices ont décidé de lancer Nuances self-care. Ainsi, les Québécois.e.s bénéficieraient d’une gamme de produits locaux et adaptés à leur réalité.
Les produits proposés par Nuances self-care sont naturels, végétaliens, sans produits chimiques ni toxines nocives. La création et la conception des produits sont entièrement canadiennes, ce qui fait de l’entreprise un bon choix local pour les consommateur.trice.s.
En plus d’offrir de bons produits, l’entreprise fait de la sensibilisation sur l’importance de bien prendre soin de la peau et des cheveux. Leur page Instagram propose d’ailleurs des conseils et nous fait découvrir des personnes inspirantes de la communauté noire.
Qu’est-ce qui est encore plus agréable que d’encourager des compagnies de mode locale? Encourager des compagnies de mode locale qui ont a coeur d’innover pour faire plaisir à leur clientèle et être toujours plus écologiques! C’est justement le cas de Womance qui vient de lancer la plateforme Womance Seconde Main. Eh oui, vous pouvez maintenant vous procurer des items Womance à petits prix!
Comment ça fonctionne? Il suffit de vous rendre sur la page de Womance Seconde Main et de faire vos choix parmi les items vendus par les clientes Womance qui ont envie d’un peu de changement dans leur garde-robe!
Vous êtes déjà une fidèle cliente de la compagnie et vous avez des morceaux en excellent état que vous aimeriez vendre? C’est possible aussi! Il vous suffit de vous connecter à votre compte Womance afin d’avoir accès à votre historique d’achat. À partir de là, vous pouvez choisir les items que vous désirez vendre (vous pouvez aussi revendre les items achetés dans la section seconde main) ou encore ajouter manuellement une photo de l’item, rédiger une courte description du produit et le tour est joué. Lorsque l’item sera vendu, Womance vous fera parvenir une étiquette prépayée de Postes Canada afin que vous puissiez faire parvenir le tout à la chanceuse acheteuse dans un délai de 3 jours suivant la vente. Lorsqu’elle recevra son colis, l’acheteuse ira sur le site pour confirmer que le tout est dans l’état promis, puis vous recevrez une carte-cadeau équivalente à la valeur de la vente, histoire de dénicher d’autres morceaux à votre goût!
Petit truc écolo: conservez vos sacs Womance (ceux prévus pour les retours) afin de les réutiliser lors de la revente de vos items sur la plateforme Womance Seconde Main!
« La grande majorité de notre clientèle est très fidèle : elle revient nous voir chaque mois. Pour les remercier, on voulait créer une communauté encore plus forte. On a donc pensé mettre les clients en contact les uns avec les autres. En plus, avec cette nouvelle plateforme de revente, on croit pouvoir ouvrir de nouveaux horizons à Womance et permettre à de nouvelles personnes de découvrir la marque », explique Andréanne Marquis par voie de communiqué.
Mais quelle belle initiative économique et écologique! Seul petit bémol: la compagnie est un peu victime du succès de son initiative et la plupart des items de la section Womance Seconde Main sont présentement vendus. On vous conseille donc de visiter le site chaque jour pour voir les nouveaux arrivages et mettre la main sur des trouvailles à petits prix!
En ces temps un peu troublés, j’ai envie de vous partager mon coup de cœur musical du moment. Parce que la culture est mise à mal en cette période, alors qu’elle est indispensable à nos vies et nos rêves, et parce que j’aime tout particulièrement cet artiste.
Connaissez-vous Grand Corps Malade? C’est un artiste français qui a fait du slam sa marque de fabrique. C’est pour moi un roi de la rime bien trouvée, il a un bon flow, il n’est jamais insultant et il est toujours intelligent. Comme vous l’aurez deviné, j’aime beaucoup son travail. Grand Corps Malade, de son vrai nom Fabien Marsaud, réalise aussi des films, notamment Patient qui traite de son accident et de sa rééducation (je vous le conseille). Enfin, il aborde dans ses textes des thèmes universels comme l’amour, la différence ou encore la famille. Bref, c’est un artiste largement sous-coté, si vous voulez mon avis, et c’est pour cela que je suis très heureuse de vous parler de son nouvel album (bon okay la sortie date de septembre, disons que j’ai un petit retard, oups).
Avant de parler du nouvel opus, je vous donne quelques unes de mes tounes préférées si vous ne savez pas par où commencer; je vous suggère Midi 20 (sur son accident), Les voyages en train (sur les histoires d’amour), Ma tête, mon coeur et mes couilles (sur les hommes) ou encore Pocahontas (sur la famille et la nostalgie).
Abordons maintenant le sujet principal de cet article, l’album de duos Mesdames. Effectivement, GCM s’est entouré de plusieurs artistes féminines, bien installées dans le milieu artistique ou quasi-inconnues, et venant d’horizons artistiques divers. L’opus se veut un hommage à la femme, sous toutes ses facettes. Il parle des relations homme-femme, d’amour, des rencontres et de la vie tout simplement.
Chaque artiste apporte sa patte et sa marque, ce qui donne un album assez hétérogène. Contrairement aux autres albums de GCM entièrement en slam, ici il y a du chant, provenant des voix féminines. Elles font entendre leurs voix, toutes belles et différentes. Il faut aussi noter que les femmes ayant participé à l’album ne sont pas que des interprètes, elles ont aussi écrit et/ou composé certaines des chansons.
Certains diront que c’est un peu démago, mais le slameur a pris de l’avance et nous dit dans le premier morceau :
« Et pour ne pas être taxé de premier degré d’anthologie Veuillez accepter Mesdames cette délicate démagogie »
L’artiste se dit également féministe, il a notamment abordé le sujet lors de la promotion de cet album :
Je ne vais pas vous présenter tous les morceaux de l’album, mais en voici trois que j’aime tout particulièrement.
Pendant 24h, en duo avec la chanteuse Suzane. La chanson parle d’un homme et d’une femme qui décident d’échanger leur corps pour une journée.
Un verre à la main en duo avec l’actrice Laura Smet. Le morceau parle d’une rencontre ratée et nous montre que le destin ne tient pas à grand–chose parfois. Je dois avouer que ça me rend un peu nostalgique des soirées dans les bars.
Chemins de traverseen duo avec les violonistes Julie et Camille Berthollet. J’aime beaucoup ce morceau, car il parle des chemins que nous empruntons dans la vie, notamment du côté professionnel. Mon parcours n’étant pas vraiment linéaire, je me suis retrouvée dans ces paroles.
Certain.e.s diront que nous n’avons pas besoin d’un homme pour mettre en avant des voix féminines. C’est vrai. Mais je pense qu’ici ce n’est pas que ça, les femmes ne sont pas juste là pour faire jolies, elles interprètent, elles écrivent et elles composent. C’est donc tout un travail et un savoir-faire qui est mis de avant dans cet album. Je finirai sur les paroles de l’une de ses chansons: « La femme est l’avenir de l’homme, écrivait le poète et bien, l’avenir s’est installé, et depuis belle lurette. »
Il y a trois mois, on vous annonçait l’ouverture d’un nouveau magasin UNIQLO au Québec, soit la deuxième succursale pour le détaillant japonais. Cette nouvelle succursale se trouvera au Cadillac Fairview Carrefour Laval et nous connaissons enfin la date officielle d’ouverture!
Les portes du nouveau magasin UNIQLO ouvriront officiellement le vendredi 26 mars 2021 à 10h, soit à temps pour le début du printemps! Ce nouveau point de vente a une superficie de 15 000 pieds carrés et offrira la gamme complète d’articles pour femmes, hommes, enfants et bébés d’UNIQLO.
En attendant de pouvoir magasiner à la nouvelle succursale, UNIQLO propose un service gratuit de ramassage du 8 au 23 mars. Ce service risque d’être très pratique pour les personnes qui souhaitent faire leurs achats à l’avance et éviter l’achalandage des premiers jours d’ouverture du magasin.
D’ailleurs, les gens qui achèteront via l’application d’UNIQLO et qui utiliseront le service « Cliquer et ramasser » recevront un bon échangeable au Cadillac Fairview Carrefour Laval du 9 au 18 avril.
Évidemment, l’ouverture de la nouvelle succursale se fera dans le respect des consignes sanitaires.