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5 vêtements Disney pour les adultes au coeur d’enfant

Récemment, je parcourais mes sites favoris lors d’une séance de magasinage en ligne, et je suis tombée sur plusieurs beaux morceaux Disney. J’insiste sur le mot beau, même si ça varie pour chacun.e, parce que souvent ce que je trouve est trop enfantin ou ne me servirait que de pyjama. J’ai donc décidé de partager avec vous ces vêtements qui ont une touche vintage, que vous voudrez porter hors de la maison et qui vous ramèneront assurément en enfance.

1. T-Shirt Minnie – Zara

Zara nous propose un t-shirt de la classique Minnie Mouse, tout ça accompagné d’une touche années ’90.

Crédit:Crédit: Zara

2. Chandail imprimé des Aristochats – H&M

Ce chandail des Aristochats nous ramène définitivement dans le temps! En plus, H&M offre un vaste échantillon de tailles pour plusieurs produits de sa ligne Disney.

Crédit:Crédit: H&M

3. Sweat Bambi – Zara

Ce pull mince à l’effigie de Bambi peut-être porté comme mou à la maison ou encore dans un look d’inspiration cottage core.

Crédit:Crédit: Zara

4. Pyjama en jersey Mickey Mouse – H&M

Ce pyjama donne envie de faire un marathon de visionnement de films Disney lors d’une journée grise (c’est précis, mais c’est vrai)!

Crédit:Crédit: H&M

5. Chandail à manches froncées Histoire de jouets – H&M

J’adore ce chandail au look vintage qui adapte définitivement le vêtement Disney aux tendances d’aujourd’hui.

Crédit:Crédit: H&M

N’hésitez pas à laisser sortir l’enfant en vous une fois de temps en temps, ça ne fait de mal à personne, sauf peut-être à votre porte-feuille.

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Ce que j’ai compris de l’orgueil en amour

(CHRONIQUE)

Parmi mes nombreuses réflexions, ma vie relationnelle est toujours sujette à des questionnements, des déconstructions et redéfinitions. J’ai longtemps réfléchi à ce que je faisais pour toujours tomber sur le même genre de personnes. Dernièrement, j’ai eu une épiphanie sur un vilain défaut que je possède, qui a sûrement eu de gros impacts sur mes patterns relationnels : mon orgueil mal placé.

Il m’est arrivé de me plaindre à propos des (pardon la vulgarité) f*ckboys qui sont passés dans ma vie dans les dernières années. Ceux qui m’ont fait sentir spéciale, puis déçue quand je me suis rendu compte que je n’étais qu’une parmi d’autres. Je parlais (me plaignais) à qui voulait bien l’entendre des intentions malhonnêtes, des déceptions toujours plus frustrantes, de cette game superficielle qui suinte la vie de célibat. On m’a alors répondu « Girl YOU invented the game! »

La révélation. Ma foi, cette personne avait raison, c’était le retour du boomerang, le karma qui s’occupait de moi. Alors que je me victimisais comme si j’étais la sainteté incarnée, mon entourage m’a rapidement relevé mon hypocrisie. J’ai réalisé que j’ai moi-même été une f*ckgirl, (comprendre ici la personne qui ne sait jamais vraiment ce qu’elle veut, celle qui donne juste assez pour garder l’attention d’une autre personne, mais qui n’est jamais intéressée à rien de plus).

C’est que pendant plusieurs années, je n’ai jamais voulu m’engager avec qui que ce soit. Le temps a passé et j’ai eu envie de bâtir quelque chose de sincère, j’étais maintenant prête; « Mettez-vous en file que je choisisse »! Le coup sur l’orgueil, quand je me suis rendu compte que ça ne fonctionnait pas comme ça. Que de jouer la désintéressée, eh bien, ça n’attire personne qui veut du sérieux, au contraire.

L’orgueil et la peur viennent définitivement ensemble. Je voulais tout recevoir avant de donner un tout petit peu. Par orgueil, parce que de sentir le moindre désintérêt de la part de quelqu’un me mettait en colère, m’humiliait même. Par crainte, parce qu’avec le recul je me rends compte que ce besoin de recevoir était une manière d’être certaine que mon intérêt soit réciproque avant de montrer un tant soit peu de vulnérabilité.

Les mixed signals faisaient partie intégrante de la manière dont j’exprimais mes émotions. Ils me permettaient de ne jamais avoir à trop assumer ce que je voulais et comment je me sentais, parce que ça renvoyait la responsabilité à l’autre personne d’essayer de me comprendre. C’était en effet beaucoup plus facile que de faire l’effort de reconnaître et exprimer clairement mes besoins, désirs et insécurités.

Il s’avère que la fameuse game était le fun à jouer jusqu’à ce que je commence à la perdre. Peut-être aussi qu’à force de jouer avec des tricheurs, j’ai fini par ne plus comprendre quelles étaient les règles. Il est là aussi le problème; de voir le tout comme une game, ça implique qu’il y a un perdant et un gagnant. Exprimer la volonté de bâtir quelque chose d’authentique avec quelqu’un, je voyais ça comme prendre le risque de perdre, m’effrayer et effrayer l’autre inutilement. Je voulais être la fille « pas compliquée », qui n’a jamais besoin de rien ni de personne. La vérité c’est que quand tu n’as besoin de personne, bien souvent, personne n’a besoin de toi non plus.

Je commence à réaliser que cette tant convoitée simplicité est overrated, les relations sont complexes parce qu’elles sont riches, intimes et significatives. J’apprends donc à ne plus créer de stratégies, à être cohérente entre mes valeurs, mes paroles et mes actions, à m’ouvrir, même au risque de me blesser. Ce n’est pas facile, j’ai encore l’orgueil dans le tapis, mais l’idée est là. Un sage m’a dit que de se montrer vulnérable est le vrai signe de courage, alors j’essaie d’être courageuse. Ça doit être ça la maturité émotionnelle.

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5 films d’horreur qui abordent «l’inquiétante étrangeté»

L‘inquiétante étrangeté est un concept théorisé par mon adoré Sigmund Freud, qui se veut la définition du sentiment qui nous assaille lorsque l’ordinaire prend soudainement une tournure inquiétante, sans raison logique. Vous savez, quand vous empruntez un chemin un peu « trop tranquille », ou encore, quand la réalité ressemble soudainement un peu trop à un déjà-vu ou même, lorsqu’elle rappelle un rêve dont les contours n’étaient pas tout à fait clairs… C’est ce sentiment tout à fait unique qui émerge, celui qui nous fait douter de nos sens, de la portée de notre logique et notre intelligence. L’inquiétante étrangeté, lorsqu’elle est mise en scène dans des œuvres littéraires ou cinématographiques, peut prendre des proportions qui sont juste complètement intolérables pour les nerfs!

Pour cette ultime nuit d’octobre, celle où les ombres prennent vie et où tout ce qui sort de l’ordinaire nous fait frissonner, voici des suggestions cinéma qui vous glaceront assurément le sang!

Héréditaire, VF de Hereditary (2018)

Une matriarche décède. La vie familiale en prend un coup. C’est sûrement le meilleur film d’horreur des dernières années, à mon humble avis. Une histoire finement tissée dont le fil conducteur est précisément ce sentiment intolérable que quelque chose ne tourne pas rond. Le fil s’étire doucement, lentement, jusqu’à ce que…

Velvet Buzzsaw (2019)

J’ai trop aimé! Si vous aimez bien le milieu de l’art contemporain, c’est un must, car en plus d’en être un amusant satyre du milieu, le film crée un délicieux malaise à travers d’étranges œuvres d’art qui semblent ne pas être aussi « intactes » qu’elles ne paraissent.

Le Rituel, VF de The Ritual (2017)

Des amis partent en randonnée en Suède pour retisser des liens un peu éprouvés suite au décès tragique d’un membre de leur groupe. Tout semble normal malgré une intrigue psychologiquement prenante, mais l’étrange prend rapidement la place, nous menant vers un inimaginable cauchemar aux allures sataniques.

Event Horizon, le Vaisseau de l’Au-delà, VF de Event Horizon (1997)

Peu de gens connaissent ce petit bijou qui mêle science-fiction et horreur… On nous présente d’abord un récit classique de vaisseau spatial perdu dans l’espace, où une équipe tente de comprendre ce qui est arrivé à son bord. Le film nous mène bien loin des intrigues extra-terrestres, et emprunte plutôt une formule étonnante qui mêle le spatial et le biblique! Je n’ai pas pu dormir seule après ça.

Mother!

Excellent huis clos porté par Jennifer Lawrence, mère en devenir qui voit sa maison soudainement envahie par des connaissances de son mari… Pur cauchemar. Vraiment, âmes sensibles s’abstenir.

…et beaucoup de films de M. Night Shyamalan!

L’inquiétante étrangeté est l’ingrédient principal de plusieurs de ses films. En effet, d’une œuvre à l’autre, le quotidien des personnages –  celui qu’on reconnaît et avec lequel nous sommes familiers –  est pris d’assaut par l’incompréhensible et l’inexplicable. Le réalisateur et scénariste nous tient plus dans le suspense que dans l’horreur, mais certaines oeuvres offrent leur lot de sueurs froides, comme Le Sixième Sens ou La visite!

Et vous, quel film vous a donné les pires frousses?

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Mimz lance un concours pour prendre soin de votre santé mentale

De nombreux articles et études le démontrent, la santé mentale des Québécois.es est en chute libre depuis le début de la pandémie (46% des jeunes adultes montréalais ont indiqué avoir des symptômes compatibles à de l’anxiété généralisée ou la dépression majeure). Heureusement, certaines entreprises qui ont à cœur ce sujet lancent des initiatives en vue de promouvoir l’importance de la santé mentale.

C’est notamment le cas d’Émilie-Rose Couture, la fondatrice de la marque de prêt-à-porter Mimz. Émilie-Rose lance un appel à sa clientèle afin de leur rappeler qu’il est important de prendre soin de notre santé mentale autant qu’on le peut. Sous la forme d’un concours, l’initiative de l’entrepreneure invite ses abonné.e.s à sortir prendre l’air et faire un peu d’activité physique. « Je crois assurément que de rester enfermé à l’intérieur, devant un écran tous les jours, ça joue sur le moral. Ce qui me fait du bien et me change les idées, c’est d’aller marcher ou faire une activité à l’extérieur. Je me suis dit qu’avec un concours, il y aurait un incitatif pour faire sortir les jeunes et que ça ne peut que leur faire du bien », mentionne Émilie-Rose.

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CONCOURS #PROMENADEAVECMIMZ 🍂 «Plus d’un jeune sur trois souffre d’anxiété ou de dépression» selon une étude réalisée par l’Université de Sherbrooke en collaboration avec la firme de sondage Léger (Bernier, 2020). Une statistique qui en dit long sur les dommages collatéraux de la pandémie. Personnellement, je crois qu’à force d’être davantage sur nos écrans, notre moral diminue. Une façon qui me permet de décrocher à 100%, est d’aller prendre une marche à un endroit que j’aime, qui m’apaise et qui me fait sentir ailleurs. C’est pourquoi j’ai décidé de lancer un concours pour vous inciter à sortir de chez vous. C’est simple, vous devez prendre une photo d’un endroit qui vous apaise et la publier en ajoutant le hashtag #promenadeavecmimz . Le/la gagnant(e) se méritera un morceau au choix, d’une valeur maximale de 100$. Le concours s’adresse aussi aux hommes, vous pourrez faire une heureuse, j’en suis certaine. Ce concours commence le vendredi 23 octobre et se termine le vendredi 6 novembre 23h59. Vous pouvez donc participer autant de fois que vous le désirez. La santé mentale, c’est fragile. Prenez soin de vous. Prenez un moment pour vous changer les idées. #mimz #promenadeavecmimz *votre compte doit être public pour que je puisse voir vos photos. Vous pouvez aussi identifier @mimz.ca dans votre photo.

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Pour participer, il suffit d’immortaliser votre promenade soit sous la forme d’un selfie ou d’une photo de paysage et d’identifier le mot-clic #promenadeavecmimz ainsi que le compte Instagram de Mimz (@mimz.ca). Le concours est ouvert aux résidents du Québec et les hommes comme les femmes peuvent y participer! Vous avez jusqu’au 6 novembre à 23h59 pour publier votre ou vos photos.

C’est vraiment une belle initiative!

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Découvrez le «DisneyBound» juste à temps pour l’Halloween!

L’Halloween est à nos portes et, que vous aimiez vous déguiser ou pas, il n’y aura pas de party cette année… Ça ne veut cependant pas dire qu’on ne peut pas célébrer en mangeant des friandises et en s’habillant de façon spéciale au bureau comme à la maison. C’est pour ça que je vous présente le « DisneyBound »! Ce concept veut simplement dire qu’à l’Halloween, ou n’importe quel autre jour, vous pouvez représenter votre personnage Disney favori en portant des morceaux que vous avez déjà chez vous. C’est une façon amusante et économique d’afficher vos couleurs, que vous soyez fan de Star Wars ou des Studio Ghibli !

Pour créer votre propre « DisneyBound », vous n’avez simplement qu’à choisir votre personnage Disney préféré et analyser comment il ou elle est habillé.e. Vous pouvez bien sûr vous inspirer de personnages fictifs ou réels qui appartiennent à d’autres univers, il n’y a pas de limites. Vous devez ensuite voir si vous possédez des vêtements de même couleur ou motif que ce que le personnage porte. Par exemple, si vous souhaitez vous transformer en Ariel pour une journée, il vous faudra un haut violet et un bas bleu/vert. Plus vous ajoutez de détails, plus les autres pourront comprendre votre concept.

Voici quelques exemples, tirés directement du compte Instagram de DisneyBound (le créateur original de l’idée), afin de vous inspirer et de mieux illustrer l’idée :

Gus Gus du film Cendrillon

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🐭💛 @beautychick101 #disneybound

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Kiki du film Kiki la petite sorcière du Studio Ghibli

Jean-Christophe, Winnie l’ourson, Tigrou, Porcinet, Coco Lapin & Bouriquet des films de Winnie l’ourson 

Le Chapelier Fou du film Alice au pays des merveilles

Flynn Rider du film Raiponce

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Guys..I want a castle. 🏰 @bet_anchor #disneybound

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Cette façon de vous « déguiser » vous permet d’afficher vos couleurs de façon subtile dans votre vie de tous les jours. Vous pouvez aussi le faire avec des amis pour un concept plus élaboré!

Si vous n’avez pas tout ce qu’il faut à la maison pour vous transformer en votre personnage favori, je vous conseille de visiter la friperie la plus proche pour vous équiper à petits prix. Sur ce, je vous souhaite un bon « DisneyBound » et une joyeuse Halloween!

Connaissiez-vous le concept du DisneyBound?

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Ces produits nous promettent un teint radieux cet hiver

Au Québec, on le sait très bien, dès que l’hiver se pointe le bout du nez, on perd notre beau bronzage de l’été pour laisser place à un teint terne… Grâce à Ton Petit Look, j’ai récemment eu la chance d’assister à un atelier virtuel présenté par Aveeno dans lequel était dévoilé quels seront les produits essentiels à utiliser afin de contrer les teintes ternes cet hiver. J’ai aussi reçu des produits à tester de la gamme Aveeno Positively Radiant et je vous explique comment les utiliser dans votre routine pour avoir un teint lumineux cet hiver!

Un petit mot sur Aveeno

Aveeno propose depuis plus de 65 ans des produits inspirés par la nature. La compagnie croit que la beauté passe par l’équilibre et offre ainsi des produits qui nourrissent et équilibrent la peau de la tête aux pieds.

Les collections qui furent présentées (Positively Radiant et MAXGLOW) ciblent toutes les deux les 5 facteurs de radiance soit : teint, texture, peau terne, irrégularités et taches brunes. Les ingrédients clés sont le soja qui possède des vertus correctrices ainsi que le kiwi qui offre une hydratation de longue durée.

Ce que j’aime des produits Aveeno? Ils sont agréables à utiliser, abordables et facilement accessibles!

La routine beauté pour un teint lumineux

Première étape : le nettoyage

La première étape pour teint radieux est une peau propre! Pour ce faire, on utilisera le nettoyant Aveeno Positively Radiant matin et soir. La maquilleuse Virginie Vandelac, animatrice de l’atelier, mentionne qu’il faut faire mousser le produit avec de l’eau et qu’il faut masser longuement le visage pour bien déloger le maquillage, le sébum et les impuretés. Un seul nettoyage est suffisant si vous portez un maquillage léger tandis que 2 nettoyages consécutifs peuvent être nécessaires si vous portez des produits de maquillage longue tenue.

Crédit:Aveeno.ca

Deuxième étape : l’exfoliation physique

À faire deux à trois fois par semaine, l’exfoliation physique élimine les petites peaux mortes à la surface de l’épiderme pour révéler un teint plus lumineux. Pensez à exfolier votre cou puisqu’il est la continuation de votre visage! Autre truc mentionné par Virginie: il est avantageux d’exfolier sa peau juste avant de se faire un masque hydratant pour maximiser la pénétration des ingrédients!

Troisième étape : le sérum

Le prochain produit à utiliser pour obtenir un teint radieux cet hiver est sans aucun doute un sérum hydratant! J’ai adoré la texture légère du Sérum + Base Aveeno Positively Radiant MAXGLOW. Tous les types de peau peuvent profiter des bienfaits d’un sérum, mais ce seront les peaux déshydratées qui adoreront le plus son effet.

Dans le cas de la formule bi-phasée de ce produit, on l’agitera 2-3 secondes avant d’en verser quelques gouttes dans ses mains pour ensuite les presser doucement sur le visage. Pour les matins où votre peau a besoin d’un petit coup de pouce, vous pouvez vous servir de ce produit en guise de base lumineuse sous votre maquillage!

Crédit:Aveeno.ca

Quatrième étape : les gouttes d’hydratation

Un gros wow pour ce produit absolument génial d’Aveeno! Les Gouttes Infusion Positively Radiant MAXGLOW sont un produit versatile qui laisse un magnifique fini hydraté à la peau.

Utilisez-les en guise de deuxième sérum pour une hydratation boostée! Combinez-les à parts égales avec votre hydratant quotidien pour un 2-en-1 puissant! Mélangez-les à votre fond de teint pour un look lumineux! Servez-vous-en comme sérum de massage avec votre pierre de gua sha!

Crédit:Aveeno.ca

Cinquième étape : l’hydratant

La dernière étape, mais non la moindre, est l’hydratant! L’hydratant quotidien ou crème de jour (appelez-la comme vous voulez) est une étape très importante dans sa routine beauté puisqu’elle scelle tous les soins qu’on vient d’appliquer. J’ai un faible pour le Soin Quotidien Voile Hydratant Avec FPS 30 d’Aveeno puisque la formule est hydratante ET elle contient une protection contre le soleil! Quoi de mieux que d’avoir un teint radieux tout en étant protégé des rayons UVA et UVB?

Crédit:Aveeno.ca

Alors voilà, vous avez en main toutes les étapes pour avoir un magnifique teint radieux cet hiver!

Quels sont vos essentiels beauté pour un teint radieux?

Nous ne sommes pas payées pour parler d’Aveeno, mais comme mentionné précédemment, Myriam a reçu gratuitement des produits à essayer et elle les a beaucoup aimés.

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J’ai été victime de manipulation affective

(CHRONIQUE)

C’est tout juste à la fin de mon secondaire que j’ai rencontré cet ami de façon vraiment banale. Un ami d’amis avec qui je me suis découvert quelques intérêts communs. En apprenant à le connaître, j’ai fini par être très touchée par sa vulnérabilité. J’étais loin de me douter que cela me nuirait un jour.

Cet ami n’a pas tardé de me faire savoir qu’il s’imaginait être en couple avec moi, alors que l’on se connaissait depuis peu de temps. Je n’ai pas vraiment su comment réagir sur le coup tellement son speech était enflammé. Le « non » n’est pas sorti tout de suite, car j’avais le pressentiment que quelque chose de terrible se produirait si jamais je le disais. Je n’étais alors pas capable d’expliquer pourquoi. Je crois qu’en fin de compte, j’avais peur de lui donner encore plus de détresse, et je ne savais pas comment gérer cela. Je tentais malgré tout de lui faire comprendre que ce n’était pas réciproque de mon côté, mais pour lui, le refus ne semblait pas être une option valide.

Il avait trouvé en moi la confidente no. 1. Me parlait de ses déceptions amoureuses, de son sentiment d’incompréhension. Puis, il m’a parlé des femmes qui ne lui avaient jamais donné sa chance, des femmes qui ne savent pas ce qu’elles veulent, des femmes qui s’amusent à faire souffrir, des femmes-agaces. Son discours était toujours le même: c’était la faute des femmes, mais pour lui j’étais « différente » de celles qu’il avait connues.

J’ai malgré tout vécu mes choses de mon côté et j’ai commencé à sortir avec un autre gars. Il l’a su et m’a fait part de son immense détresse, du fait que j’aurais dû le prévenir, que ça lui avait donné le goût de se suicider* et qu’il allait certainement le faire. Je ne savais pas comment me placer en entendant ses mots. Je me sentais coupable et pleine de honte. Il me disait que je lui avais donné de faux espoirs. Je sentais que je devais me rattraper pour le mal que je lui avais fait.

Peu de temps après, il est sorti avec une de mes amies. Ça s’est mal passé et ça a mal fini, le confortant encore plus dans ses pensées dévalorisantes sur les femmes.

C’est un événement anodin sans aucun rapport avec cette histoire-là qui m’a fait sonner une cloche, ou plutôt une sonnerie d’alarme. Un soir où nous nous étions rencontrés chez moi, il s’est amusé à cracher dans le jardin de mes parents. Je m’étais fâchée et lui ai fait savoir que c’était impoli. D’après lui, j’exagérais énormément.

Après ce petit événement qui me paraissait sans profondeur, il a parti une véritable campagne de salissage à mon nom auprès de nos amis communs, déclarant que j’étais une « conne frustrée » et que si je ne m’excusais pas, il ne me parlerait plus jamais. Je l’ai évité pendant plusieurs semaines jusqu’à ce que la vapeur retombe de son côté et que les choses redeviennent comme avant. Sa détresse au quotidien était pour moi une excuse suffisante pour l’accepter à nouveau dans ma vie, d’autant plus que je me disais que j’avais certainement exagéré pour l’histoire du jardin.

Les choses sont plus ou moins redevenues comme avant pendant quelques mois, mais la goutte a fait déborder le vase quand, pour une raison que j’ignore, il a recommencé à dire des choses contre moi dans mon dos. À partir de là, j’ai cessé d’accepter de telles choses de sa part et j’ai choisi de me protéger. Il a essayé de me parler à de nombreuses reprises, mais je ne tolérais plus ce qu’il me faisait. J’ai compris qu’il utilisait un chantage affectif pour accéder à ce qu’il voulait, sans considérer mes propres besoins.

Depuis, il m’est arrivé parfois de faire face à de fortes réactions après avoir dit « non ». À bien des reprises, j’ai ressenti de fortes pressions pour changer d’avis. Dès que l’on ressent un malaise, il est important de ne pas s’invalider et de ne pas céder aux envies de l’autre. Si nous devons répéter plusieurs fois nos attentes envers une relation ou que l’on commence à se résigner sous la contrainte, c’est peut-être parce que l’on est à un point où ça ne sert à rien de parler et qu’il est préférable de s’éloigner.

*Si une personne menace de se suicider ou de vous faire du mal, composez le 911.

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6 maquillages d’Halloween, du plus simple au plus complexe!

Si j’avais une seule fête à sauver, ce serait Noël, mais mon cœur serait pas mal déchiré de laisser disparaître l’Halloween, parce que c’est définitivement un close second. Pourtant, j’ai arrêté de passer de porte en porte à un âge assez jeune, mais j’ai toujours continué de me déguiser. Même dans le cadre d’un travail, qu’on soit deux ou mille à participer, j’en profite souvent pour sortir mes skills de maquillage et ma pâte magique pour construire un costume qui sort du sexy-chaton, sexy-crayola ou sexy-bûcheronne (j’aimerais dire que j’invente, mais c’est malheureusement vrai) qu’on essaye de nous vendre dans toutes les boutiques de costumes qui apparaissent bizarrement à chaque coin de rue, sans crier gare.

Bref, cette année, je me doute que la célébration sera un peu différente des années précédentes, mais ça ne m’empêche pas d’être très emballée par la possibilité de me déguiser, même si ma soirée du 31 risque de se résumer à un apéro virtuel. J’ai donc commencé mes petites recherches et je vous partage des idées de maquillage intéressant pour vous donner un peu d’inspiration pour cette fête où on peut justement laisser aller notre créativité et avoir un peu de fun avec notre trousse de cosmétiques !

Niveau débutant

Les maquillages d’animaux sont une valeur sûre, facile à reproduire, même par les moins expérimenté.e.s d’entre nous! On a vu pas mal de chevreuils dans les années précédentes, mais je suis tombée sur ce maquillage de girafe, qui, combiné à deux petites toques sur le haut de la tête, donne un résultat intéressant, je trouve!

Durant mes recherches, j’ai aussi trouvé beaucoup de maquillages qui ne nécessitaient qu’une partie du visage. Que ce soit une petite galaxie, qui s’étend du nez aux pommettes ou l’immense sourire du chat du Cheshire, dessiné par-dessus les lèvres, j’ai trouvé l’idée vraiment clever parce que ça couvre suffisamment d’espace pour donner un effet intéressant, tout en restant accessible pour les moins expérimenté.e.s d’entre nous!

Souvent, je choisis mon déguisement d’Halloween en considérant mes cheveux, parce que je n’aime pas porter de perruque et que ça limite mon choix. Si j’avais une petite coupe au carré, j’opterais sans aucun doute pour ce maquillage minimaliste de Violette, dans Charlie et la chocolaterie.

Niveau intermédiaire

Les maquillages style cartoon/pop art restent parmi ceux que je préfère. Bien qu’ils nécessitent un peu plus de technique (il faut vraiment faire gaffe à où et comment on trace les lignes !) c’est toujours vraiment impressionnant d’en voir un bien fait. J’ai bien aimé celui de Wonder Woman parce que t’sais, tant qu’à être une héroïne de bande dessinée, aussi bien être badass.

Un autre maquillage qui nécessite un peu de skills, mais qui demeure accessible avec des produits qu’il est possible d’avoir déjà en sa possession est le fameux cornet de crème glacée qui fond. Chaque année, je flirte avec cette idée, mais je ne l’ai jamais exécutée jusqu’à présent. C’est tellement simple, mais en même temps coloré et adorable. En plus, il est possible de s’approprier le concept en modifiant la saveur ou les garnitures. Un monde de possibilités !

Niveau avancé

J’avoue être pas mal impressionnée par tous les maquillages qui donnent un effet de dimension au visage. Si au premier regard, j’ai l’impression que la personne a appliqué un filtre dans la vraie vie ou que mes yeux me jouent des tours en me faisant croire qu’il y a quelque chose qui se cache sous un visage, c’est mission réussie. J’ai vraiment adoré cette idée de visage craquelé, qui ne requiert pas beaucoup de produits, mais pas mal de technique pour reproduire cet effet.

Finalement, même si parfois less is more, lorsque les skills sont marqués et que la motivation est au rendez-vous, il peut être super intéressant de faire un maquillage qui recouvre entièrement le visage. J’ai un énorme penchant pour tout ce qui démontre une connaissance artistique, qui reproduit une technique ou une œuvre célèbre.

Bref, j’ai bien hâte au 31 pour mettre à profit mes recherches et produire un maquillage d’Halloween on point.

Et vous, quels sont vos plans pour Halloween cette année?

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Je n’arrive pas à choisir une carrière

(CHRONIQUE)

Si je remonte à très loin, mon premier choix de carrière a été vétérinaire. J’avais peut-être cinq ou six ans, puis j’ai compris que prendre soin des animaux ne se résumait pas à leur donner à manger et à les flatter. Par la suite, j’ai eu toute une ribambelle d’idées sans vraiment m’arrêter sur un choix en particulier; dresseuse de dauphins, paléontologue, prof de musique, prof de sciences, illustratrice, écrivaine… Quand on me demandait ce que je voulais faire dans la vie, c’était presque toujours une réponse différente, une loto de possibilités.

Une chose est certaine, j’ai beaucoup, mais vraiment BEAUCOUP de centres d’intérêts. Je suis du genre à m’informer sur tout et à rester fixée sur certains sujets en particulier. Il arrive que certains intérêts soient éphémères alors que d’autres me suivent très longtemps. En un mot: je suis passionnée.

Vers le secondaire deux ou trois, nous avions déjà des ateliers préparatoires pour le marché du travail. J’ai été déroutée par les réalités de ce fameux marché. J’espérais avoir une route toute tracée, facile à suivre et rapide à effectuer. Avoir ma job parfaite dès la fin de l’école, mettons.

Peu de temps après, je me souviens d’une orienteuse avec qui j’ai fait des tests de personnalité et qui avait été surprise par mes résultats. D’après elle, j’étais à la fois très portée sur les sciences et la recherche, mais aussi les arts et la créativité. J’ai eu l’impression que j’avais, en quelque sorte, à choisir entre les deux.

J’ai donc choisi les arts et je me suis inscrite au Cégep en littérature. Quelques années plus tard, j’ai switché pour les sciences humaines. L’anthropologie était pour moi une belle occasion de combiner la recherche scientifique à mon intérêt pour les arts et les différentes cultures. Je n’ai jamais regretté de m’être dirigée vers cette branche.

Mais il y a eu le après. Pendant mon bac, lorsqu’on me demandait quels étaient mes projets pour le futur, c’était la même chose que les autres années. Je changeais d’idée constamment. J’ai d’abord opté pour un métier dans la biologie et la génétique, puis l’archéologie et ensuite l’ethnologie. Il m’a fallu prendre une décision. J’ai finalement choisi de poursuivre mes études, mais en changeant de cap à nouveau.

À présent, j’ai terminé un certificat dans le domaine des sciences de l’information, et je commence à avoir mes premiers emplois qui ont directement un lien avec mes études. Malgré tout, j’ai peur de passer à côté de quelque chose. Il m’arrive parfois de m’imaginer travailler dans un autre domaine; c’est surtout la relation d’aide qui m’intéresse beaucoup. En revanche, je ne me vois pas retourner faire de longues études pour le moment.

Je suis consciente que peu importe le choix de carrière que je ferai, je ne me sentirai jamais vraiment complète à cent pour cent, mais la vérité c’est que le travail ne définit jamais une personne à part entière. Ce qu’il me manque, je peux toujours le chercher ailleurs comme, par exemple dans le bénévolat. De plus, j’essaie de connaître l’expérience des personnes qui, comme moi, ont changé d’idée souvent ou hésitent encore à propos de leur choix de carrière. J’ai réalisé que c’est la réalité de plusieurs d’entre nous!

Avez-vous souvent changé d’idée à propos votre carrière?

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«Occupation Double» confirme une société hétéronormative

(CHRONIQUE)

Ma société est hétéronormative. Je le savais déjà, mais force est de constater, quotidiennement, à quel point c’est le cas. Avant d’entamer ma montée de lait, je voulais établir avec vous ce qu’est ce concept d’hétéronormativité, soit la norme sociale qui veut que, naturellement, tous les humains soient hétérosexuels et que ceux qui ne le sont pas soient donc « hors norme ».

Et là, je voulais parler de ce qui s’est passé à Occupation Double lorsqu’on a appris que deux femmes auront une date ensemble. De cette espèce de « OMG, quelle twist! » collectif qui a été lancé sur les réseaux sociaux. Personnellement, ma seule réaction fut « Il était temps qu’OD arrive en 2020 » et je n’ai pas particulièrement aimé toute la publicité faite autour de cette annonce.

En 2020, dans ma perception, on ne devrait pas avoir un discours hétéronormatif. Ça ne devrait pas être notre standard de dater quelqu’un du sexe opposé et, dans le cas contraire, il faudra faire une annonce. Je déteste cette catégorisation dans laquelle tout est noir ou blanc. On est homosexuel ou hétérosexuel, on aime les hommes ou les femmes. C’est quoi ça, la gang? Dans ma perception, peut-être parce que mon entourage est très inclusif, on était rendus ailleurs. Et OD a réussi à me jeter en bas de ma chaise (ben de mon lit) encore une fois.

En quoi c’est exceptionnel que deux femmes aient une date ensemble?

Pourquoi l’animateur, Jay Du Temple, avait besoin d’en faire tout un plat et de nous l’annoncer deux jours d’avance, au minimum? Parce que je ne suis probablement pas la seule qui s’attendait à voir cette date-là hier soir, après l’annonce, le soir précédent, à OD Extra.

Puis, parlant d’hétéronormativité dans notre société, comme je le disais plus haut, mon réseau est très inclusif. Mais, moi aussi, en grandissant dans une société hétéronormative, j’ai eu des réflexes ou des pensées hétéronormatives.

Je l’avoue, il y a quelques années, j’ai moi-même cédé au piège. Je suis éducatrice et j’ai déjà demandé à des enfants « Est-ce c’est papa ou maman qui vient te chercher aujourd’hui? » comme si, naturellement, tous les enfants avaient UN papa et UNE maman. Comme si toutes les familles étaient nucléaires et que c’était la norme ou le standard.

Des confrontations à des situations dites « hors normes » m’ont fait réaliser à quel point j’avais tort. J’ai donc choisi de changer et d’être plus inclusive dans mes actes et mes réflexions afin de mieux refléter la diversité de la réalité.

Par contre, tout le monde n’en est pas au même niveau d’ouverture à la diversité et ça me confronte beaucoup. Je suis d’ordinaire très discrète sur tout ce qui touche ma vie personnelle dans les cadres professionnels principalement pour cette raison.

J’ai une perception très « libre » de mes relations amoureuses et je me permets de sortir du cadre « un homme rencontre une femme, ils achètent une maison en banlieue, se marient et ont beaucoup d’enfants ». Je me permets de vivre mes relations comme je l’entends, parce que l’amour, ça devrait être un sentiment partagé entre deux personnes et les seules normes qui devraient exister dans cedit couple, ce sont les limites que les deux personnes impliquées ont décidées entre elles.

Je trouve que c’est important de s’arrêter et de prendre du recul face à nos jugements hétéronormatifs. Ils ne reflètent pas la réalité, juste la norme que la société veut nous imposer.

Bonne date Cintia et Marjorie!