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Comment réussir son faux bronzage à la maison

On ne se racontera pas d’histoire; toutes les personnes qui ont déjà essayé l’autobronzant ont déjà vécu un petit accident!

Voici 6 étapes qui permettent de réussir un faux bronzage à tous les coups. 

1. Se raser ou s’épiler

Si vous voulez raser ou épiler vos jambes, le faire comme première étape. Vous risquez d’endommager votre beau bronzage si vous le faites après. 

2. S’exfolier

L’exfoliation est une étape hyper importante de ce processus! Pour s’assurer d’avoir un bronzage uniforme, exfolier avant d’appliquer votre autobronzant. On évitera ainsi que des endroits soient plus foncés, car il y avait une accumulation de peaux mortes. 

3. S’hydrater

Utiliser une crème hydratante partout sur le corps et ajouter une deuxième couche si nécessaire sur les endroits ultra secs comme les coudes et les genoux. Attendez que la lotion soit absorbée dans la peau avant de poursuivre avec l’autobronzant.

4. Bien choisir le ton

Il existe des dizaines (même des centaines) d’autobronzants sur le marché! Peu importe si vous préférez en mousse, en gel ou en huile, l’important pour un résultat naturel est de bien choisir le ton. 

Allez-y avec un ton de plus que votre teint naturel. Si votre teint est foncé, alors vous pouvez utiliser une formule ultra-foncée. 

5. Utiliser une mitaine 

Le résultat sera plus joli si vous utilisez une mitaine pour appliquer votre autobronzant plutôt que vos mains. Premièrement, vous n’aurez pas ces fameuses mains oranges. #win Et deuxièmement, vous évitez de faire des stries dans votre faux bronzage. Le truc ultime est d’utiliser une mitaine en faisant des mouvements circulaires! 

6. Éviter la douche et le gym

Afin de conserver votre faux bronzage le plus longtemps possible, essayez d’éviter la douche, la piscine ou de faire de l’activité physique pour un bon douze heures. Plus longtemps la formule reste sur votre corps, plus beau sera l’effet.

Et le visage? 

Vous avez le choix! Si vous décidez d’en utiliser, alors ici aussi, on exfoliera le visage après le nettoyage et on appliquera une crème hydratante avant de poursuivre avec l’autobronzant. Il existe des formules autobronzantes faites pour le visage; elles sont habituellement non grasses et non comédogènes. 

P.S. Un autobronzant n’est PAS une protection solaire donc mettez quand même de la crème solaire si vous sortez au soleil!

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S’affranchir du regard des autres pendant la pandémie

Je me suis souvent posé cette question : est-ce que je serais différente si je me fichais du regard des autres? J’ai beau affirmer que je ne me soucie pas de ce que les gens pensent, je suis née et j’ai grandi dans un monde régi par des normes sociales m’indiquant ce à quoi je dois ressembler.

Adolescente, lorsque je feuilletais des magazines, je rêvais du jour où je ne serais plus une intello boutonneuse: je serais comme ces filles à la peau de pêche, grande, élancée mais voluptueuse, avec des cheveux longs tombant en cascade sur mes épaules. Rien de moins!

Et en vieillissant, je me suis peu à peu approchée de ce modèle, de cette définition unilatérale de la beauté. Bien sûr, j’ai eu mes moments de révolte : l’année où j’ai décidé de ne plus porter de soutien-gorge (ahhhh le sentiment de libération quand on s’affranchit de ce bout de tissu!), ou le jour où j’ai troqué mes jupes contre des jeans parce que j’en avais marre du double standard des exigences vestimentaires au travail (pourquoi est-ce que je devrais me taper des collants qui piquent et des talons hauts pour avoir l’air professionnel alors que mes collègues masculins passent leurs journées en jeans et en chemise à carreaux, hein, pourquoi?!).

J’ai remis en question, peu à peu, les images qui avaient colonisé mon imaginaire d’adolescente. J’ai choisi de m’habiller en jolie robe lorsque j’en avais envie, tout simplement, tout en sachant que le lendemain, la robe laisserait peut-être place à des chemises amples.  Et je me suis émerveillée devant la force des femmes, belles et uniques, qui présentaient leur vérité en s’affranchissant des diktats sociaux.

Mais je n’avais jamais été libérée complètement du regard des autres. Et puis la pandémie du coronavirus est arrivée, nous reléguant presque tous à la maison, loin des yeux de nos collègues, amis, voisins. Est-ce que ça a changé quelque chose à mon apparence? Si j’étais si libre de mes choix avant, logiquement, rien n’aurait dû changer en étant confinée chez moi, non?

Et pourtant, oui, beaucoup de choses ont changé. Une fois passée l’envie de traîner habillée en mou toute la journée, j’ai recommencé à m’habiller pour faire du télétravail. Et j’ai réalisé que je ne portais plus la plupart des vêtements que je porte normalement pour aller au boulot. Ce chandail-là? Trop serré. Celui-ci? Vraiment joli, mais ses coutures me piquent. Ce pantalon-là? Pas assez confortable. Cette robe-là? Je la mettrai avec plaisir cet été, mais en ce moment, il faudrait que je la porte avec des collants, et au fond, je DÉTESTE porter des collants.

Si je ne me sens pas bien dans ces vêtements, pourquoi est-ce que je les portais si souvent? Chaque matin, je décidais d’enfiler ce chandail dont la laine m’irritait la peau, ce pantalon un peu trop serré ou inconfortable. Je n’étais pas aussi affranchie du regard des autres que je le croyais.

Dorénavant, chaque jour, je redécouvre le plaisir de ne porter que des jeans et des t-shirts simples. J’ai osé demander à ma fille de me couper les cheveux. Courts. En glissant mes doigts dans mes mèches rebelles, je me sens tellement libre!  Le seul regard qui m’importe désormais, c’est le mien. Et j’espère que ça durera. Coronavirus ou pas.

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5 sites de cuisine qui nous inspirent de bonnes idées de repas faciles à faire

L’inspiration pour cuisine, ça ne vient pas toujours facilement ou naturellement! C’est pour ça qu’il y a des gens dont la job est de créer des recettes succulentes et originales pour nous aider à monter nos menus de la semaine! 

Cook it

La célèbre entreprise de boîtes repas propose tout plein de recettes sur son site Web. Pas besoin d’être abonné.e pour y avoir accès, mais si vous voulez vous faciliter la vie encore plus, sachez qu’avec un abonnement, vous recevrez tous les ingrédients nécessaires devant votre porte chaque semaine. Pratique, non? Si vous voulez tester l’expérience, le code OBOX40 vous donnera 40$ de rabais sur votre première commande!

Pour les recettes, cliquez ici.

Loounie Cuisine

On connaît Loounie principalement pour son tofu magique, qui est délicieux d’ailleurs, mais la créative cuisinière propose aussi tout plein de recettes entièrement véganes sur son site Web. Pour des idées fraîches et bonnes pour la santé, c’est l’idéal!

Pour les recettes, cliquez ici.

Trois fois par jour

Trois fois par jour, piloté par la talentueuse Marilou, s’est taillée une place de choix dans l’univers culinaire du Québec. Les recettes sont originales et il y en a pour tous les goûts!

Pour les recettes, cliquez ici.

Savourer Geneviève O’Gleman

Geneviève O’Gleman a su se créer un super beau projet suite à la conclusion de Famille futée. Elle a déjà quelques livres à son actif et on peut retrouver plusieurs de ses recettes sur son site Web.

Pour les recettes, cliquez ici.

Coup de Pouce

Les recettes de Coup de Pouce sont réellement pensées pour être simples et santé. C’est un must à découvrir!

Pour les recettes, cliquez ici.

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À la liste plus haut, il faut aussi rajouter La cuisine de Jean-Philippe! En plus, il y a tout plein de petites vidéos intéressantes sur son compte Instagram.

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4 livres d’autrices québécoises qui vous feront vivre une panoplie d’émotions

Ces livres québécois ont tous été écrits par des femmes et sauront cultiver votre curiosité jusqu’à la dernière page.

Les maisons de Fanny Britt

Fanny Britt nous offre un roman sur l’amour, le désir, mais surtout sur la vie, le passé et le présent. 

Les maisons, c’est l’histoire de Tessa, mère et agente d’immeuble, qui remet sa vie en question après sa rencontre avec un ancien amant ayant marqué sa jeunesse. Le livre est séparé en sections se rapportant à différentes périodes de la vie de Tessa. C’est parfois drôle, souvent nostalgique et tout le temps captivant.

Crédit : Le Cheval d’août

 

Rose amer de Martine Delvaux

Rose amer raconte l’amertume d’une petite fille qui deviendra grande. Celle-ci n’a jamais connu son père. Elle habite dans un village terne de l’Ontario avec sa mère et le nouvel époux de cette dernière. Mais que ce soit dans cet endroit reculé ou dans la banlieue où la famille déménagera plus tard, les filles disparaissent.

Martine Delvaux nous plonge dans une réalité très proche de la nôtre, même si l’action se déroule dans les années 70. Le fait d’être une fille, puis une femme qui évolue dans une société telle que la nôtre est un sujet important du roman. Rose amer représente à la fois les figures de la culture populaire servant de repères à une enfance qui semble rose et la dureté d’un monde rempli d’incertitudes et de violences quotidiennes.

Crédit : Héliotrope

 

L’allégorie des truites arc-en-ciel de Marie-Christine Chartier

Ce roman est léger, parfait pour un après-midi détente au soleil ou pour relaxer en fin de journée.  

Au-delà des questionnements amoureux, L’allégorie des truites arc-en-ciel explore différents sujets comme la peur de ne pas être suffisant.e, le regard des autres et l’acceptation de soi.

Crédit : Hurtubise

Les filles bleues de l’été de Mikella Nicol

Les filles bleues de l’été est assurément l’une des plus belles découvertes québécoises. À la fois beau et poignant. L’autrice raconte avec les mots justes ce qui est arrivé, cet été-là, dans la vie de Chloé et de Clara, deux meilleures amies depuis toujours. Ces deux jeunes femmes retournent au chalet où elles ont passé tous les étés de leur enfance, afin d’échapper à la société qui leur fait tant de mal.

Le style de Mikella Nicol est saisissant. Si vous aimez être déstabilisé.e, ce roman est pour vous.

Crédit : Le Cheval d’août

Quels sont vos romans coups de coeur québécois?

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Juste pour rire dévoile la programmation de son premier festival d’humour 100% en ligne

Comme vous le savez sûrement déjà, l’intégralité des festivals a été annulée cet été, et c’est sûr qu’une saison estivale sans gros party extérieur, ça fait bizarre pour tout le monde… Heureusement, plusieurs organisateurs en profitent pour innover et lancer des festivals entièrement virtuels, comme le Groupe Juste pour rire. Les organisateurs du plus gros festival d’humour au Canada ont dévoilé aujourd’hui la programmation du FSTVL HAHAHA, avec plus de 60 humoristes présents.

Le premier festival d’humour francophone 100% numérique offrira du contenu exclusif et original à tous les festivaliers participants. On retrouvera notamment l’hilarant Mathieu Dufour, Mariana Mazza, Maxim Martin avec sa fille Livia Martin, Les Grandes Crues, Virginie Fortin, Louis T et Laurent Paquin.

Le FSTVL HAHAHA aura lieu du 28 au 31 mai prochain, en ligne évidemment. Il y aura un total de 18 spectacles, dont au moins une prestation en direct. Les passes sont en vente dès maintenant, au prix de 40$ + tx! Des passes d’une journée seront aussi bientôt mises en vente.

Quelle belle idée! Qui est prêt.e à se tordre de rire?

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Avez-vous vu la très drôle vidéo que nos collègues chez HollywoodPQ ont tournée avec Mathieu Dufour?

Veut, veut pas avec Mathieu Dufour

Nos amis chez HollywoodPQ.com ont passé un bon moment comique avec l’humoriste Mathieu Dufour qui révèle les 3 questions qu’il ne veut plus entendre… et celles qu’il aimerait entendre plus souvent! ?

Posted by Ton petit look on Wednesday, May 6, 2020

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L’importance de mon nouveau cercle d’amis… virtuels

50: c’est le nombre de jours depuis le début du confinement. Et, au risque de vous surprendre, c’est fort probablement le nombre de rencontres de qualité que j’ai faites pendant ce temps. Je suis une personne occupée, toujours dans le train-train de la vie, à courir après ma queue et à essayer d’arrimer 1001 projets.

Toutefois, au cours des dernières semaines, j’ai pris le temps de m’asseoir, de réfléchir et de me poser. Et j’ai ouvert mon esprit. Quand on ouvre son esprit, du beau nous arrive; j’y crois. On se donne alors la chance de faire de belles rencontres et on prend le temps d’apprendre à connaître des gens qui, autrement, n’auraient pas croisé notre chemin. Du moins, c’est ce qui m’est arrivé. Des gens m’ont ajoutée sur Facebook ou ont parlé de leurs groupes dans des discussions dans lesquelles j’étais impliquée. J’ai ainsi entendu parler de deux programmes qui visaient exactement ce que je voulais accomplir grâce à du réseautage.

J’avais du temps, j’étais à la maison, et j’ai donc décidé de m’investir dans deux cohortes virtuelles dans deux domaines complètement différents qui s’accordent avec mes intérêts. Que ce soit business ou personnel, le programme est simple : un professionnel qui s’y connaît bien dans son domaine (pas un charlatan, entendons-nous) recrute une dizaine de personnes pour les accompagner dans leur cheminement. Avec chaque semaine viennent des défis, des techniques, des idées et surtout, du support! Non seulement individuel, mais également via les 9 autres personnes qui suivent le même programme.

Et laissez-moi vous dire que cet effet de groupe est extraordinaire. En un mois, j’ai accompli beaucoup plus qu’en 4 ans de développement par moi-même. Je me donne une grande partie du mérite, mais c’est cette vague et cette structure qui me portent à pousser encore plus loin mon énergie. Comme on dit si souvent: « Seul on va plus vite, mais à plusieurs on va plus loin! » Et je ne m’imaginais pas faire autant de travail accompagné, moi qui n’aime habituellement pas particulièrement les contacts humains.

Alors voilà, on se propulse ensemble, on travaille sur soi, mais on développe surtout un réseau extraordinaire

Et ce réseau, je l’ai trouvé également dans la communauté de collaboratrices de TPL. Nous nous soutenons, nous jasons, nous déconnons. Aussi, je donne des cours en ligne plutôt qu’en personne et j’ai même des membres de cette belle communauté qui se sont jointes à moi! On rassemble dans une même pièce «virtuelle » tellement de gens qui, autrement, ne se seraient jamais rencontrés.

Je dis donc MERCI à toutes ces belles personnes qui sont entrées dans ma vie et qui me poussent à me dépasser. C’est qu’il y a du beau dans l’ouverture de ces frontières virtuelles malgré que certains soient plus privilégiés que d’autres là-dedans. Si vous avez la chance de vous créer une petite communauté virtuelle pour échanger sur un sujet ou un domaine d’intérêt que vous avez en commun; je vous encourage fortement à le faire. Même sans considérer les résultats concrets, ça vous fera du bien!

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J’ai peur de perdre mes amies pendant le confinement

Je suis une personne très sociable : mon calendrier de sorties est toujours bien rempli et j’aime être entourée de mes amies avec qui je partage tout plein d’aventures et avec qui j’explore tout ce que Montréal a à nous proposer. Bon, ça, c’était évidemment avant le confinement.

Maintenant, je fais comme tout le monde (ou ce que tout le monde devrait faire) : je reste chez moi. J’ai aussi la chance d’avoir un emploi possible par télétravail, donc je ne quitte mon appartement que pour aller acheter de quoi remplir le frigo ou l’armoire de la pharmacie. Oh, et je prends une marche en solo de temps en temps. Mais, évidemment, les sorties me manquent.

Je ne suis pas à plaindre, je le sais. J’ai la chance d’avoir encore mon emploi, mon revenu stable, de quoi manger et un toit au-dessus de la tête. Je suis en santé aussi. Alors je me sens mal de chialer sur mon deuil de ma vie sociale. C’est juste que j’ai tellement peur que le confinement me fasse perdre mes amies.

Je me rends compte que même si j’ai quelques amies dont je suis particulièrement proche ? à qui je me confie et qui connaissent tout ou presque de ma personne ? j’ai aussi de nombreuses amies que je ne fréquente que parce que nous aimons les mêmes activités ou que nous fréquentons les mêmes endroits. Nous nous retrouvons en groupe, nous passons une superbe soirée… et on se retrouve la fois suivante. Entre nos différentes sorties, nous ne prenons pas vraiment le temps d’échanger à propos de sujets plus personnels ; nous sommes plutôt en mode « organisation de notre prochaine sortie ».

Ça ne m’avait jamais frappée jusqu’à maintenant. J’ai tellement de plaisir avec elles que je n’avais pas réalisé à quel point je sais peu de choses sur elles, sur leur vie personnelle, leurs ambitions, leurs craintes et leurs rêves. Et aussi, à quel point elles en savent peu sur moi, à propos des mêmes sujets.

Depuis le début du confinement, je parle très peu à ces personnes que je considère pourtant comme des amies précieuses que je ne veux pas perdre. Comme nous ne pouvons pas sortir, nous ne pouvons pas organiser notre prochaine soirée… mais est-ce que c’est vraiment tout ce que nous avons en commun ? La situation me force à me poser sérieusement la question.

Et si c’était le cas, est-ce que nous sommes réellement amies ? Est-ce qu’il existe plusieurs types d’amitiés ; des plus profondes et des plus… circonstancielles ? Comment fait-on pour que nos amitiés évoluent ? Est-ce que c’est possible, ou même souhaitable ? Est-ce que nous avons plus en commun sans jamais avoir exploré cette possibilité ? Est-ce qu’il suffit de lancer la conversation pour que les confidences plus personnelles suivent ?

J’avoue que j’ai des amies avec qui la discussion coule plus naturellement que d’autres. Je sais aussi que certaines d’entre elles ne sont pas réputées pour leur écoute, mais on dirait que j’ai envie de tenter ma chance. J’ai envie de voir si nous sommes « vraiment » amies, et de découvrir aussi ce que je recherche d’une amitié. Parce que j’ai l’impression que mes attentes évoluent. En tout cas, j’ai amplement le temps d’y penser et d’essayer de lancer des discussions avec elles. Alors, c’est ce que je vais faire ; en espérant faire de belles découvertes parmi celles que je considère déjà comme mes amies. Parce que je ne veux pas les perdre.

Est-ce que le confinement vous fait voir vos amitiés autrement ?

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Mon chum ne me regarde plus comme avant

J’aimerais penser que c’est l’effet du confinement, mais à vrai dire, j’avais déjà remarqué que mon chum ne me regarde plus comme avant. Est-ce normal, est-ce la simple conséquence des années qui sont passées, ou est-ce le signe que quelque chose ne va pas ? Et s’il y a un problème, est-ce que c’est de son côté, du mien ou est-ce que notre relation est menacée ?

Oui, mais il faut lui en parler, vous me direz. Oui, mais j’ai essayé, je vous répondrai. Mon chum n’est pas l’oeuf le plus facile à craquer, si on peut le dire ainsi. Avec les années, j’ai réussi à détecter les signes précurseurs et les bons moments pour entamer une conversation. J’ai réussi à décoder son non verbal et à trouver le sens dans le peu de mots qu’il prononce. Mais ce n’est jamais facile.

Et on travaille là-dessus. On a même consulté, parce qu’on voulait tous les deux mieux se comprendre et arriver à communiquer. On a fait des efforts et on se retrouve aujourd’hui dans une situation pas évidente – le Québec est confiné, je ne vous apprends rien -qui met en évidence des problèmes que nous n’avions vraisemblablement pas réussi à gérer.

Pour faire une histoire simple ; il ne me regarde pas comme avant. Je sens de moins en moins d’amour et d’affection dans son regard, les étincelles ont foutu le camp et ça me fait mal. Notre quotidien se déroule sans trop d’accrochages – ça va même assez bien – et malgré les défis du confinement, nous passons à travers. Mais la passion n’y est plus.

Est-ce que c’est normal, docteur ? Est-ce que la passion est toujours vouée à disparaître dans un couple après quelques années ? Est-ce que c’est naïf de vouloir « raviver la flamme » et s’il y a le moindre espoir que ce soit possible, comment on fait, concrètement ?

Aussi, évidemment, j’ai abordé le sujet avec mon chum. C’était la première étape, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai lancé la conversation. Je me suis exprimée au « je », comme j’ai appris à le faire en thérapie : « je sens qu’une distance s’est installée entre nous, j’aimerais qu’on fasse des efforts pour se retrouver » et même « je t’aime et notre relation est importante pour moi, et la passion de nos débuts me manque » et plus encore…

Fidèle à lui-même, il n’a usé que de très peu de mots pour dire que lui aussi m’aime et veut que notre relation fonctionne. Mais on se retrouve devant une impasse : on fait ça comment ?

J’ai l’impression qu’il ne me dit pas tout. J’aimerais tant pouvoir me glisser dans sa tête et lui tirer les vers du nez. J’aimerais le comprendre… et j’aimerais qu’il me donne la chance d’essayer. Mais quelque chose a changé… et je ne saurai peut-être jamais ce que c’est.

Je fais quoi, maintenant?

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5 plantes parfaites à mettre pour décorer un balcon à l’ombre

Depuis quelques jours, je me suis mise en mode « décoration extérieure » parce que ça me fait un mini velours de me dire que j’aurai un bel espace extérieur pour l’été si jamais tout est fermé encore partout. Le mois dernier, je vous avais parlé sur le blogue de quelques essentiels à avoir pour un balcon cozy et je vais récidiver dans mon rôle de conseillère en aménagement d’espace extérieur (lol) en vous suggérant cinq plantes/fleurs qui poussent merveilleusement bien malgré un balcon ombragé.

On n’a pas tous la chance d’avoir un balcon ou un espace extérieur plein soleil (ou d’avoir un balcon tout court, je sais…), mais malgré un temps d’ensoleillement limité, il existe des solutions pour avoir tout de même de belles jardinières ou bacs à fleurs. Il suffit de se tourner vers des plantes et des fleurs qui se plaisent bien à l’ombre.

Les bégonias

Le bégonia offrira une floraison presque tout l’été avec un bon entretien. On peut lui donner de l’engrais une fois par mois et la plante se plaira bien dans un endroit mi-ombragé.

Voici un bon guide pour l’entretien des bégonias.

Les impatiens

De mignonnes petites fleurs qui viennent en plusieurs coloris. Comme les bégonias, elles sont faciles d’entretien et ne requièrent pas un grand niveau d’ensoleillement. On peut les cultiver en bac ou en jardinière.

Voici un bon guide pour l’entretien des impatiens.

Les fuchsias

Le fuchsia produit de magnifiques fleurs! Quelques coloris différents sont disponibles et la plante fleurira jusqu’en automne. Un minimum d’entretien est toutefois nécessaire.

Voici un bon guide pour l’entretien des fuchsias.

Fougères

Les fougères ne produiront pas de fleurs, mais il existe tout plein de sortes différentes, adaptées aux besoins de chaque jardinier.ère en herbe. Elles tolèrent très bien l’ombre et pourraient apporter une belle touche de verdure à votre balcon.

Voici un bon guide pour l’entretien pour les fougères.

Les Browallia viscosa

Bon, je ne connais que leur nom latin, donc si vous savez leur nom plus « commun », n’hésitez pas à l’écrire en commentaire! Ces mignonnes fleurs mauves enjoliveront votre balcon et n’ont pas besoin de beaucoup de lumière pour le faire!

Voici un bon guide pour l’entretien pour les Browallia viscosa.

Connaissez-vous d’autres plantes ou fleurs qui se plaisent bien à l’ombre? Écrivez-les en commentaires!

Bon jardinage!

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J’ai révélé ma dépression et j’ai été surprise de la réaction

J’ai toujours été du genre à me refermer sur moi-même et à ne jamais divulguer mes vraies émotions, car c’est comme cela que j’ai été élevée. Laissez-moi vous expliquer; je viens d’une famille haïtienne dans laquelle on ne parle pas de sentiments et de santé mentale. Ça ne se fait tout simplement pas chez moi. Je me suis surprise moi-même lorsque j’ai décidé de dévoiler sur Internet, dans mon premier article publié ici, que je souffrais d’une dépression sévère.

Je me sentais prête; je voulais que mon entourage découvre cet aspect de ma vraie personne. J’admets aussi que j’ai choisi de partager mon témoignage sur Internet parce que je sais pertinemment que ma mère n’est pas sur Facebook et donc, qu’elle ne le saura pas. J’ai décidé de l’exclure de ma révélation, car je me souviens encore que lorsque j’avais 16 ans et que mes premiers symptômes de dépression sont apparus, elle m’a regardée dans le blanc des yeux et m’a dit « [d’]arrêter de faire la folle et de [me] comporter comme une personne normale ». Ce fut la dernière fois que j’ai essayé de lui parler de mes émotions.

Mais maintenant, j’ai eu le courage de le dire au monde avec le soutien de mon copain. Je dois l’avouer, il a été très patient et présent. Je n’arrêtais pas de lui donner une porte de sortie, mais chaque fois, il me rassurait en me répétant qu’il était là pour le bon et le mauvais. J’avais besoin de l’entendre chaque jour et il le savait. Il a été le premier à être fier de mon courage et de ma détermination, mais j’avais peur de la réaction de mon entourage malgré tout.

J’ai vite réalisé que j’avais tort d’avoir peur. Je ne m’attendais pas à avoir un tel nuage d’amour dirigé vers moi après la publication de mon article. Les gens ont commenté et m’ont dit que ce que je faisais était courageux et qu’ils étaient de tout coeur avec moi. Certaines personnes m’ont même envoyé un message privé pour savoir comment j’allais, me demander si j’avais besoin de parler et me dire qu’ils étaient là pour m’écouter. Je crois que je n’ai jamais ressenti une vague d’amour aussi pure.

Mais la réaction qui m’a le plus touchée est celle de ma belle-mère. Cette femme-là est mon modèle dans la vie, et ce, dès la première fois que je l’ai vue. La mère de mon copain m’a toujours accueillie à bras grand ouverts, comme si j’étais sa propre fille et lorsqu’elle a su la nouvelle, elle n’a pas voulu commenter sur Internet. Elle m’a appelée et malheureusement, je ne pouvais pas répondre à ce moment-là. Quand j’ai écouté le beau message qu’elle m’a laissé, j’ai fondu en larmes. Elle m’a dit qu’elle m’aimait, qu’elle aurait voulu le savoir pour être là pour moi et qu’elle avait beaucoup de peine de ne pas l’avoir remarqué par elle-même.

Elle a eu exactement la réaction que j’ai tant souhaité obtenir de ma propre mère quand j’avais 16 ans. Donc, je voulais prendre le temps de la remercier du fond du coeur. Merci de toujours être là pour moi et de m’accepter comme je suis. Je t’aime, Claire.

Ton Petit EXTRA

Du 4 au 10 mai, c’est la Semaine de la santé mentale portée par l’Association canadienne pour la santé mentale et son porte-parole, le psychologue Marc-André Dufour, adresse plusieurs phrases clichées que nous avons tous et toutes (malheureusement) trop entendues… N’est-ce pas?

Une autre belle occasion de nous rappeler l’importance de prendre soin de nous et d’aller chercher de l’aide lorsqu’on en a besoin!

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