L’hiver est la saison parfaite pour rester à l’intérieur, prendre un peu de temps pour soi et se reposer. Quoi de mieux pour mettre un peu d’ambiance que d’allumer une chandelle et de laisser votre maison s’imprégner d’une délectable odeur?
1. ÉCODERMA
Si vous ne connaissez pas encore les chandelles de soya d’ÉCODERMA, voici votre nouveau produit préféré. En plus de durer une éternité, elles transforment l’odeur de votre logis en quelques minutes avec leurs arômes tout simplement irrésistibles!
2. Têtes brûlées
En plus d’avoir des noms très originaux, les chandelles de Têtes brûlées sont absolument exquises!
3. Dot & Lil
Les bougies de Dot & Lil offrent des odeurs toutes plus envoûtantes les unes que les autres! En plus d’être offertes dans plusieurs formats adorables, elles sont durables et peuvent devenir une vraie addiction!
4. SOJA&CO
Le plus merveilleux avec les chandelles de SOJA&CO, c’est qu’il y a tellement d’odeurs différentes que tout le monde peut trouver chaussure à son pied (ou odeur à son nez)!
5. Au Naturel
En plus d’offrir plusieurs formats de chandelles, l’entreprise Au Naturel s’assure du bien-être de l’environnement. Elle a d’ailleurs un concept d’emballage sans déchet.
6. T. Less
Ce qui est génial avec T. Less, c’est que vous pouvez vous-même créer votre propre chandelle grâce aux ateliers qui sont offerts. Vous serez donc assurément comblé.e par votre nouvelle bougie ! Vous pouvez aussi simplement vous procurer celles qui sont déjà confectionnées; elles sont parfaites!
7. Dimanche Matin
Vous connaissez peut-être la compagnie Dimanche Matin pour ses confitures, mais leurs chandelles sont tout aussi réconfortantes!
8. Carriage 44
En plus de faire à la main des savons absolument parfaits, Carriage 44 nous offre une belle variété de bougies avec des odeurs ultra chaleureuses, parfaites pour l’hiver!
9. Blanc soja
Comme mentionné ci-dessous, leurs chandelles sentent tout simplement le rêve. Il faut le sentir pour le croire!
10. Flambette
La compagnie offre des odeurs douces, parfaites pour un moment détente!
Êtes-vous en amour avec vos chandelles, vous aussi?
Les Fêtes sont peut-être bel et bien terminées, mais l’hiver lui, vient de commencer! Eh oui, on en a encore pour un bon 3-4 mois de froid, de vent, de neige et de mercure sous zéro.
Qu’à cela ne tienne: on vous présente 5 accessoires d’hiver pour vous tenir au chaud dans les mois à venir, des morceaux faits au Québec. Comme ça, on reste au chaud, on est cute et surtout, on est ÉTHIQUES.
Les mitaines en corduroy de Mercedes Morin
Disponibles en vert émeraude et en noir. Mercedes les a confectionnés avec les retailles des blousons Dionne et des pantalons Flare! Comme ça, pas de gaspillage!
Une tuque Gibou
On vous a souvent parlé de Gibou sur TPL avec leurs bandeaux et leurs tuques, qui sont aussi belles que chaudes.
La marque propose aussi des gants, des foulards et des jolis bérets. N’hésitez pas à fouiller sur leur site web ou leur Instagram pour voir tous les modèles.
Une tuque de Mimi and August
Que serait nos hivers sans Mimi and August? On se le demande!
Une écharpe Odeyalo
C’est bien beau de protéger sa tête et ses mains du froid, mais c’est impossible d’oublier son cou. JOn aime beaucoup l’écharpe JOE d’Odeyalo! Elle est vraiment douce et c’est un très bel investissement, vu la qualité du morceau.
Des chaussettes en mérinos de Bonnetier
Cet hiver, pas question d’avoir froid aux pieds (parce que mon dieu que c’est désagréable comme sensation). En plus d’avoir des bonnes bottes, vive de bonnes chaussettes bien chaudes et qui respirent.
Avec tout ça, vous allez être au chaud jusqu’au printemps!
C’est le genre de nouvelle qu’on adore lire (via cet article de La Presse)! La docteure Liane Feldman vient d’être nommée chirurgienne en chef du Centre universitaire de santé McGill (CSUM), devenant ainsi la première femme à détenir ce poste à cet hôpital.
À la grandeur du Québec, les femmes ne sont pas beaucoup à occuper de hautes fonctions dans le milieu de la santé, quoiqu’il y en a plus qu’avant. Elles ont longtemps été absentes des postes de direction au Québec. Actuellement, on retrouve la docteure Josée Gagnon, au CHU de Québec (elle occupe le même poste que Liane Feldman) et la docteure Anne Méziat-Burdin en tant que chef du département de chirurgie du Centre hospitalier de l’Université de Sherbrooke. Au CHU Sainte-Justine, la docteure Anne-Marie Houle a occupé une fonction similaire pendant quelque temps par le passé.
Les missions de la docteure Feldman incluent entre autres de gérer l’équipe complète de chirurgiens du CUSM, en plus de veiller au bon déroulement de la mission d’enseignement universitaire du département de chirurgie et de superviser la recherche. Dre Feldman a déclaré vouloir « que la recherche ne se fasse pas dans une tour d’ivoire, mais qu’elle ait de réels impacts sur les patients ». Elle place ses priorités sur les soins donnés aux patients et contribuer à améliorer l’expérience de ceux-ci.
La chirurgienne en chef est d’avis qu’elle a été choisie pour cette fonction car elle est simplement « la meilleure candidate pour le poste » au CUSM, mais elle pense que « si [elle] peut encourager certaines personnes à tenter d’occuper ce genre de fonctions, tant mieux. On a besoin de voix différentes autour de la table. »
Bravo pour cette nomination, Dre Feldman!
6 livres féministes à découvrir
Ces ouvrages abordent le féminisme et soulèvent de nombreuses problématiques sur le sujet.
Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir, Gallimard, 1949
Crédit: Les éditions Gallimard
C’est une oeuvre en deux tomes qu’on ne présente plus tant, mais elle fait office de manifeste du féminisme.C’est un ouvrage que l’on conseille souvent à ceux qui veulent s’intéresser à la pensée féministe.
Petit bémol : Si vous n’êtes pas un.e grand.e lecteur.trice au quotidien, ce livre peut être vite décourageant, car il aborde des concepts philosophiques qui peuvent paraître opaques. Surtout, ne vous découragez pas !
King Kong théorie, Virginie Despentes, Grasset, 2006
Crédit: Le Livre de Poche
L’essai de Virginie Despentes propose plusieurs réflexions sur le monde contemporain en abordant sans détour des thèmes variés comme la pornographie, le viol et la prostitution. Son style cru que certains qualifient de « vulgaire » a été très critiqué, d’autant plus qu’elle évoque ses expériences personnelles sans pudeur. Ses propos sont sans nuances et libérés : une nécessité, selon moi, pour aborder des thématiques considérées comme dérangeantes.
Une Chambre à soi (A Room of One’s Own), Virginia Woolf, Poche 10/18, 1929 (2001 pour cette édition)
Ce classique de la littérature féministe est un essai qui est le fruit de plusieurs conférences données dans des collèges pour femmes par Virginia Woolf. Elle aborde avec humour et ironie les causes de l’absence des femmes dans le domaine de la fiction. L’auteure nous transporte dans un voyage à travers l’Histoire qui lui permet de se questionner sur les conditions idéales (matérielles et politiques) pour que la femme rentre enfin dans le monde de l’Art.
Arlington Park, Rachel Cusk, 2007, Éditions de l’Olivier (pour la traduction en français)
Le roman raconte la journée de plusieurs femmes vivant dans la banlieue londonienne. Elles ont en apparence tout pour être heureuses : une belle maison, de l’argent et des enfants. L’auteure pénètre les pensées les plus profondes de ces femmes et elle décrit avec précision et subtilité l’insatisfaction chronique de celles-ci et leurs désillusions.
La réalisatrice Isabelle Czajka a adapté l’ouvrage en film, La Vie domestique, l’action se déroule en France.
La Femme gelée, Annie Ernaux, Gallimard, 1981
La femme gelée est un récit autobiographique passionnant. La narratrice évoque sa vie de jeune fille, de femme, de mère et d’épouse comme une sorte de processus qui n’aboutit qu’à la désillusion. Elle relate notamment sa découverte du féminisme théorique et l’effondrement de ses idéaux quand elle devient épouse et mère, assujettie aux tâches domestiques et comme prise au piège par les conventions sociales de l’époque.
Sorcières, la puissance invaincue des femmes, Mona Chollet, Editions La Découverte, 2018
Crédit: Éditions La Découverte
Peut-être que vous avez entendu parler de cet ouvrage qui a eu beaucoup du succès dans le monde francophone. Mona Chollet, journaliste, appuie ses arguments sur des exemples concrets et sur des sujets d’actualité. Si vous n’aimez pas les livres théoriques, ce livre est fait pour vous ! Elle compare les sorcières de la Renaissance et de l’époque moderne aux femmes contemporaines en évoquant, par exemple, le non-désir d’enfants et la vieillesse de la femme.
Elle a également écrit Beautés fatales dans lequel elle s’interroge sur l’industrie de la mode et de la beauté et de leurs impacts sur les femmes.
Avez-vous lu un de ces ouvrages ? N’hésitez pas à partager vos suggestions!
Des dents en santé : un luxe?
Le Québec se vante d’avoir un système de santé universel qui garantit à tout le monde des soins de santé, peu importe leur revenu ou leur emploi.
Bien que ce système soit imparfait et que ce modèle soit même parfois remis en question, les Québécois peuvent encore aujourd’hui se faire soigner même s’ils n’ont pas un revenu élevé.
Mais qu’en est-il du soin des dents? Parfois complètement oublié et étant considéré comme une catégorie à part – sauf quelques exceptions de chirurgies buccales extrêmement urgentes – le soin des dents relève complètement du domaine privé pour les adultes au Québec.
Si votre employeur offre des assurances privées, cette situation n’est pas trop inquiétante pour vous. Par contre, si votre employeur n’en offre pas, il est très possible de travailler à temps plein et de ne pas être capable de « s’offrir » de soins dentaires.
Est-ce vraiment un « luxe » de se faire soigner les dents?
Certains rétorqueront que les gens n’ont qu’à se payer des assurances privées ou à se prendre une carte de crédit et à s’endetter pour se faire soigner. Mais est-ce qu’on peut vraiment demander aux gens de s’endetter alors qu’ils peinent déjà à rejoindre les 2 bouts et qu’ils vivent de chèque de paye en chèque de paye?
Ces gens ne méritent-ils pas des soins dentaires accessibles?
Peut-on vraiment considérer ces soins comme un luxe, au même titre que de se ramasser de l’argent pour un voyage dans le sud ou de s’acheter une nouvelle télé? Parce qu’au niveau des coûts, on peut vite atteindre des montants similaires… Il suffit de jeter un coup d’oeil à l’enquête réalisée en novembre 2019 par l’équipe de La facture de Radio-Canada pour se rendre compte que les dentistes peuvent demander de petites fortunes pour réparer vos dents.
Je cite l’article, qui nous révèle des statistiques alarmantes :
« « Au Québec, on voit qu’il y a 27 % des gens qui, dans les 12 derniers mois, ne sont pas allés chez le dentiste, faute d’argent » explique Philippe Hurteau, chercheur à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) qui a recensé toutes les données statistiques sur la santé dentaire des Québécois.
Une situation qui va en augmentant, car de moins en moins de gens ont des assurances dentaires, explique le docteur Paul Allison, qui enseigne la dentisterie sociale à l’Université McGill. » (Source: La Facture via ICI Radio-Canada)
D’autant plus que les maladies buccodentaires peuvent affecter l’état de santé général, le bien-être ainsi qu’avoir des conséquences sociales, comme on peut le lire sur le site Hygiène Dentaire Canada:
« L’accès inéquitable aux professionnels dentaires compromet la santé buccodentaire des Canadiens et exerce une pression sur le système de soins de santé canadien, augmentant assurément les temps d’attentes. Ainsi, tous les Canadiens assument ce fardeau. Bon nombre des maladies et des affections que l’on retrouve dans les bureaux de médecins et à l’urgence sont évitables et seraient mieux traitées au moyen d’examens buccodentaires de routine et l’élimination régulière de plaque et de tartre par des hygiénistes dentaires autorisés. »
Le parti politique du NPD propose dans sa plateforme une assurance dentaire pour tous et le sujet a été abordé lors des dernières élections fédérales, mais il semble pour l’instant être le seul parti à réellement se préoccuper de cette situation.
Qu’en pensez-vous? Devrait-on instaurer un régime d’assurances dentaires universel?
Pour vos résolutions de l’année 2020, peut-être avez-vous opté pour des objectifs ultra réalistes, comme ceux mentionnés dans ce super article de notre collaboratrice Andrée-Anne?
Peut-être avez-vous décidé que vous aimeriez arrêter de fumer? Si c’est votre situation, ça tombe bien, parce que le Défi J’arrête, j’y gagne est spécialement conçu pour être réaliste et propose tout plein de moyens utiles pour y arriver.
Le tout premier Défi a été lancé en 1999 par l’organisation Capsana et la Direction de santé publique de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Depuis sa création, il y a 21 ans, le Défi a réussi à entraîner plus de 465 000 personnes à essayer d’éteindre la cigarette pour de bon. C’est avec une approche positive et encourageante que le Défi motive les participants à réaliser un six semaines d’abstinence. Ce qui fonctionne le plus avec le Défi? L’effet de communauté et le support donné aux participants.
Cette année, la thématique du Défi est « T’es capable d’arrêter de fumer, on ne te le dira jamais assez ». La 21e édition cherche à rejoindre davantage les jeunes fumeurs, puisqu’ils sont 19,6% entre 20 et 24 ans à fumer (versus 18,3% pour l’ensemble des Québécois). D’une durée de 6 semaines, du 10 février au 22 mars, le Défi propose plusieurs ressources et une tonne d’outils gratuits pour aider les participants, dont une application.
Et si votre seule motivation ne vous semble pas suffisante (même si on est persuadées qu’elle l’est ?), sachez que le Défi propose plus de 10 000$ en prix à gagner pour les participants. Parmi ces motivations supplémentaires, notons 2 voyages pour 2 personnes au Mexique, une carte-cadeau et un coffret beauté d’une valeur totale de 700$ au Jean Coutu et 1000$ en argent comptant (ce prix est uniquement pour les participants entre 18 et 24 ans)!
Comme mentionné précédemment dans l’article, l’édition 2020 souhaite sensibiliser davantage les jeunes aux multiples bienfaits d’arrêter de fumer. C’est pour quoi une page Web a été lancée spécifiquement pour eux (juste ici) afin de les aider à voir l’éventail de bonnes raisons d’éteindre la cigarette une bonne fois pour toutes.
Pour plus d’infos sur le Défi J’arrête, j’y gagne, cliquez ici.
Découverte en matière de documentaire, le film français Le Grand Saphir, une révolte ordinaire de Jérémi Stadler.
Crédit: Le Grand Saphir
Un peu à la manière du documentaire Demain réalisé par Mélanie Laurent et Cyril Dion, Le Grand Saphir nous présente tout au long du film des initiatives citoyennes en faveur de l’environnement et de notre planète. L’une d’elles représente le fil rouge du récit et suit Emmanuel Laurin qui a décidé de nager le long de la côte méditerranéenne tout en ramassant des déchets sur son chemin. Durant son périple, où il va en collecter un grand nombre, nous le suivons dans ses doutes quant à son action, mais aussi dans ses joies et sa fierté d’accomplir une telle action.
Ainsi, Le Grand Saphir désire nous alerter sur l’état des océans, mais il nous donne aussi de l’espoir en nous montrant ces citoyen.ne.s qui font des petits et des grands gestes pour notre planète.
Si ce sont des thématiques qui vous touchent, je vous invite à lire sur Ton Petit Look l’article sur le mouvement des Clean Walkers ainsi que celui sur la corvée de propreté à Montréal.
Le film est apparu dans plusieurs festivals et événements en France.
Vous pouvez le découvrir en streaming payant via ce lien, notamment.
Quelques mois après avoir obtenu mon diplôme de l’université et ne sachant pas quoi faire de mon avenir, j’ai imaginé suivre des cours dans une école de mode. Même si je n’ai finalement jamais été de l’avant avec ce projet, je me suis quand même mise à coudre en autodidacte.
Peut-être que l’idéal est de prendre des cours, mais je pense qu’il est tout à fait possible de débuter seul.e avec un peu de concentration et de travail ! Mais pas où commencer et que choisir dans le flot de tutoriels proposés sur internet ? Je ne prétends pas ici donner de conseils couture, mais vous faire partager les trouvailles pour débutant.e.s que j’ai trouvées sur internet.
Donc, pas de panique, pas de patrons Burda ou Vogue ici !
Je pense que si vous n’avez jamais touché à une machine à coudre de votre vie, le mieux est de commencer par créer de petits objets avant de vous lancer dans l’élaboration d’un vêtement. J’ai trouvé sur le blog Echos Verts une vraie mine d’or pour créer vos objets zéro déchet. Le but : apprivoiser votre machine à coudre, coudre droit, sceller une couture en créant des objets simples et utiles comme des sacs à vrac, des cotons démaquillants ou un sac à tarte comme celui proposé sur le blogue Je fais moi-même.
Crédit : Je fais moi-même
Si vous n’avez pas envie de dépenser de l’argent dans un nouveau tissu ou que vous ne désirez pas acheter trop de tissu, vous pouvez acheter de petits coupons ou encore demander à une personne de votre entourage qui coud si elle n’a pas des chutes de tissus à vous donner (et elle en aura beaucoup probablement). J’ai trouvé sur le site Guide Astuces 25 objets originaux à créer avec des chutes de tissus, dont ces trousses absolument cute.
Crédit: The Adventures of Bluegirlxo via blogue Guide Astuces
Pour ma part j’ai déjà réalisé plusieurs accessoires, notamment des pochettes, trouvés sur le blog Les lubies de Louise. Les explications sont claires et les patrons simplissimes ! En quelques heures, vous pouvez réaliser un sac ou une pochette qui a de l’allure ! La pose d’une fermeture éclair, étape crainte par la plupart des débutant.e.s, devient facile.
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Mon petit #tuto de #sac à #tricot est enfin sur le blog ! Bonne #couture à toutes <3 <3 <3
Et pour finir, le blog de Lisa Gachet, la créatrice de la marque Wear Lemonade, est très riche en DIY en tous genres et offre des tutos gratuits ultra originaux (dont quelques vêtements pour les plus entrainé.e.s).
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Tout d’abord, première bonne nouvelle : la Semaine de la Poutine revient pour une 8e édition cette année, YES! Nos ventres sont déjà prêts pour 7 jours de délicieuses créations fromagées. La liste officielle des restaurants participants n’a pas encore été dévoilée, mais on sait déjà que ça va être excellent.
Deuxième bonne nouvelle : jusqu’au 15 janvier, vous pouvez vous inscrire à un concours afin de devenir juge officiel de la Semaine de la Poutine! Oui, oui, vous avez bien lu, vous courrez la chance d’être sélectionné.e pour tester toutes les poutines que vous voulez.
On signe où?
Crédit: Giphy
Un juge sera sélectionné par province (parce que la Semaine de la Poutine a lieu du 1er au 7 février dans tout le pays) et le.la chanceux.se recevra jusqu’à 99$ en argent pour essayer les poutines en plus d’obtenir de la marchandise promotionnelle et bien d’autres surprises!
Pour participer, il suffit de remplir le formulaire juste ici et de donner LA meilleure raison de vous choisir pour être juge officiel. C’est tout simple!
Tenterez-vous votre chance?
Plus d’infos sur la Semaine de la Poutine juste ici.
Dès que l’hiver se pointe le bout du nez, je prépare de savoureuses boissons pour affronter les tempêtes en faisant fi du froid mordant. Quand j’étais petite, je mélangeais du lait bouillant à de la simple poudre instantanée pour faire du chocolat chaud, un classique pour tous les enfants! Puis, j’ai découvert que la vie va au-delà de la savoureuse – mais trop sucrée! – poudre Nestlé et j’ai essayé d’autres recettes. Voici mes cinq préférées, pour réchauffer vos mains transies et vos coeurs.
1. Chocolat chaud au thé noir et au Nutella – Recette tirée du magazine Hiver 2015 de Trois fois par jour et aussi disponible ici, sur le site web de Trois fois par jour. Un mélange surprenant qui marie les saveurs tranchantes du chocolat et du thé noir. Je conseille un thé noir parfumé comme le Earl Grey pour obtenir les meilleurs arômes dans votre boisson!
2. Chai latté au chocolat – Recette de mon cru
Chocolat, quand tu nous tiens!
- 1 1/2 tasse de lait de votre choix
- 1 c. à soupe de mélange d’épices à chai latté ou 1 sachet de thé chai
- 2 c. à thé de poudre de cacao
- 1 c. à soupe de sucre ou de sirop d’érable
- Lait chaud moussé, copeaux de chocolat et cannelle pour garnir
Faire chauffer le lait et les épices dans une petite casserole. Quand le lait est très chaud (mais pas bouillant) ajouter le cacao en fouettant, puis le sucre. Laisser mijoter en fouettant pendant 4 minutes, sans porter à ébullition pour ne pas brûler le lait. Filtrer pour enlever les résidus d’épices, puis ajouter du lait chaud moussé et saupoudrer de cannelle et de copeaux de chocolat.
3. Lait chaud à la tire Sainte-Catherine – Recette tirée du site web de Trois fois par jour, juste ici.
C’est mon mélange favori. Chaud, gourmand et enveloppant, à boire au coin du feu ou du calorifère.
Crédit: Trois fois par jour
4. Le bouillon de poulet maison
Un souvenir d’enfance. Ma mère me servait du bouillon de poulet maison quand j’étais enrhumée ou frigorifiée, et c’était si bon! Pour faire son bouillon, elle submergeait une ou deux carcasses de poulet dans un grand chaudron avec des oignons, des retailles de légumes, beaucoup d’assaisonnements et d’herbes de Provence et du sel, et faisait bouillir le tout pendant 3 heures avant de filtrer. Ça goûtait l’amour, le gros sel de mer et le fait maison. <3
5. Guinness à l’espresso
Ce n’est pas une boisson chaude, mais le mélange de ces deux saveurs corsées a quelque chose de saisissant qui fouette les sens. Pour réaliser cet élixir, verser une canette de Guinness froide ou d’une autre bière noire dans un verre de type pinte, et attendre quelques minutes pour que la mousse « se calme ». Ajouter, en versant TRÈS lentement, un espresso simple ou double bien chaud. Mélanger doucement. Le café fait ressortir les arômes de café de la Guinness et intensifie son côté caramélisé.
Quelle est votre boisson réconfortante préférée pour l’hiver?